hadpludingburg
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Tout ce qui a été posté par hadpludingburg
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Mais pour répondre à la question, faudrait savoir ce que tu endends par "dictature" et si tu admets la possibiliter pour la structure d'évoluer... « On parle souvent de sacrifier la liberté de chacun à la liberté collective. Stupidité ! Il n'y a pas de liberté collective : il n'y a que des libertés individuelles. » de Jean-Charles Harvey Sur la cohérence de ce que tu envisages : « Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. » de Périclès Et prendre en compte les répercussions éthiques du changement (en gros, faut changer de culture)... Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir. Epictète
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Le Maroc a fait son choix.... (bon, riche pour un pays Africain)
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oui mais surtout parce que les capitaux vont dégager, plus d'investissement donc plus de croissance, le franc serra faible donc importations plus chères à long terme, avec la banque de France qui prête à l'état inflation assurée... inflation sans investissement, c'est suicidaire
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La décadence morale : quel remède ?
hadpludingburg a répondu à un(e) sujet de baillousque dans Société
baillousque, tu est ou un troll ou un garçon de 16-17 ans qui sort d'un camp chrétien catho ou quelque chose de la sorte où l'on t'a encouragé à débattre de ces sujets. Et je pense que tu avais l'impression que tout était clair mais j'espère que maintenant tu relativises un peu tes propos impersonnels visiblement et chargés de propagande psychologique plutôt que logique. Et pour d'extraire de cette barrière mentale il faudra que tu trouves tout seul les réponses aux questions que tu nous posent... l'éducation après le Lycée va faire son travail aussi je pense. Je te souhaite une ouverture d'esprit. -
oui par contre l'article n'est pas très compréhensible... Il faudrait qu'ils expliquent la logique derrière leur dénonciation. l'économie se base sur différentes théories et on y adhère ou pas.
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les lois forment la condition
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"le pire finit par disparaître"... ==> le pire pour l'un est le meilleur pour l'autre. Lorsqu'on recherche une finalité, on ne peut le faire qu'en se réduisant à l'établir pour une individualité. La portée de cette phrase se résume à son application observée dans notre environnement donc dire que le changement s'engage toujours dans la voie d'une adaptation meilleure c'est se résumer à accepter un mécanisme sans vouloir développer le raisonnement. La vie change parce que l'environnement change donc la finalité du mécanisme n'est pas d'aboutir à quelque chose mais de continuer à le suivre. Dire que l'évolution a un but théorique c'est d'aller à l'encontre de l'état des choses et l'état des choses c'est l'application de la logique derrière le mécanisme. Donc si on cherche une fin à l'échelle humaine, il faut simplifier son raisonnement pour trouver à l'échelle d'une vie, la force motrice de celle-ci (une illusion portée sur sa condition ou sur sa mémoire) et si on cherche une fin à l'échelle universelle, on ne peut que se rabattre sur les lois de la physique et de la chimie, incomprises souvent mais existantes. pour clarifier, dire que l'évolution dispose d'une fin, c'est dire qu'on se base sur l'homme (ou même la vie en général) pour le trouver. Mais lorsqu'on établit cette base, différents éléments doivent être pris en compte, ce qui aboutit au rejet d'une finalité. La seule fin est celle qui ne sera jamais comprise....
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Envisager le phénomène du viol selon la doctrine de Darwin
hadpludingburg a répondu à un(e) sujet de -Morgoths- dans Sciences
c'est dire qu'un avocat pourrait disculper totalement son client meurtrier puisqu'il justifie son acte par une passion liée à une situation incontrôlée et à sa nature propre issue de toutes ses expériences et en particulier son enfance... mais ca ne va jamais se faire puisqu'on a trouvé l'équilibre entre la distinction fautif/non fautif pour admettre que de toute façon nos actes sont régis par nos expériences antérieures et par notre nature humaine (personnelle et commune) et on a créé la notion de "force majeure" seule capable de disculper. L'instinct humain ne rentre pas en compte. -
Envisager le phénomène du viol selon la doctrine de Darwin
hadpludingburg a répondu à un(e) sujet de -Morgoths- dans Sciences
Quand je disais que certains n'y croient pas. CQFD. non mais ça résume à peu près le débat de la discussion... On connait la réponse incontestable scientifique (reste à voir s'ils ont des preuves dans leur livre)... mais certains décident ou ne veulent pas y croire pour des raisons philosophiques. On peut tout remettre en question alors pourquoi ne pas le faire? sauf qu'il ne faut pas mélanger les deux notions. Certains croient que 1+1=2, moi par exemple. Je le crois car j'en ai la preuve. D'autres croient que c'est faux car ils ont mal compris le cours de maths sur les corps de caractéristique p>0. La connaissance est une forme de croyance (je vous renvoie au Théétète de Platon). oui... mais mal utilisé parce que croyance pourrait impliquer une remise en question. Dans ce cas, dans le domaine scientifique, on dirait plutôt "savoir". -
Droit de vote aux élections municipales des étrangers
hadpludingburg a répondu à un(e) sujet de Le martien dans France
pfff... quel caricaturisme mal venu... commence par argumenter sur ce que j'ai dit au lieu de m'accuser d'une notion toute faite et utilisé à tout bout de champ à cause du manque d'un argument meilleur. déni de nation? j'ai repris la logique créant la nation, donc l'intérêt de la nation pour aboutir à ma conclusion. Autrement dit, tu trouves triste de dénier ta nation à cause de ce qu'elle représente, mais c'est ces valeurs qui justifient ma conclusion. Donc en fait c'est toi qui commet le déni de nation. assez triste... -
Envisager le phénomène du viol selon la doctrine de Darwin
hadpludingburg a répondu à un(e) sujet de -Morgoths- dans Sciences
je ne pense pas que ceux qui ne croient pas en l'évolution sont nombreux. Par contre, y croire (croire est un mot mal utilisé dans ce contexte... croyons-nous que 1+1=2?) et le comprendre, différences à faire entre les deux... Mais bon, de nos jours, l'évolution et l'existence de théories régissant le comportement humain sont à peu près incontestables. on pourrait tenter de discrédité certaines théories à part, en fabriquant des nouvelles ou en le démontrant scientifiquement mais refuser le mécanisme de l'influence de l'environnement sur la psychologie humaine, c'est refuser la logique pure. -
Envisager le phénomène du viol selon la doctrine de Darwin
hadpludingburg a répondu à un(e) sujet de -Morgoths- dans Sciences
personne ne parle de la théorie comme un argument valide devant le tribunal... j'ai comme une impression de déjà vu... je pense avoir vécu la même chose en lisant mon livre d'histoire en primaire lorsqu'il indiquait que Galilée s'est fait persécuté par l'église (le politiquement correct de l'époque) pour ses idées héliocentriques... C'est vrai qu'on devrait plus demander l'avis des sociologues pour trouver la validité d'une théorie scientifique. Mais ce qu'ils ne comprennent pas c'est qu'ils n'ont peut-être pas tord. Ce n'est pas parce que le viol est quelque chose de naturelle (vérité que je pensais déjà établie.... viol = pulsion sexuelle = naturelle) que l’atmosphère social peut ou ne peut pas favoriser l'acte... (ex. de la guerre). ca fait longtemps qu'on rejette nos instincts premiers... juste parce que viol en fait partie ne veut pas dire qu'on ne devrait pas le rejeter tout autant. Critiquer la théorie sans faits à l'appui ressort de la stupidité et l'incompréhension de gens qui ont peur de perdre les valeurs qui leur sont chères (ex. encore une fois de l'église catholique au moyen âge). -
Droit de vote aux élections municipales des étrangers
hadpludingburg a répondu à un(e) sujet de Le martien dans France
qu'est que la frontière si ce n'est qu'une barrière officielle illusoire issue de l'histoire et soumise à ses aléas, accordant la souveraineté à la population qui la compose ; souveraineté dont une partie est octroyée à des institutions décomposées dans le souci d'une meilleure démocratie, en cherchant à personnaliser l'activité du pouvoir en répondant au besoin individuel de chaque groupe, différencié par ses circonstances propres ; besoin qui est trouvé par les électeurs, un intérêt collectif obligatoire. Et le morceau de souveraineté qui est accordé à ces organisations plus petite est trouvé dans la compétence des électeurs à disposer d'un intérêt différent ce celui de l'Etat (voir l'étendu du pouvoir du maire). Donc lorsqu'on vote pour le président français, on vote en tant que français ; lorsqu'on vote pour la municipale, on vote en tant qu'habitant de la municipalité. Ainsi, quelle importance que l'électeur se trouve être de nationalité française? Lorsque des mesures nous concernent, on devrait pouvoir avoir une voie pour choisir leurs dispositions. Je rappelle que ces étrangers payent les impôts comme les autres.... Il serait bien que les autres pays en fassent de même pour les ressortissants français. -
ah donc en gros, les assos pour les aides financières... il y a des débats où les assos non représentatifs n'ont pas lieu d'être... raisons : dans les débats qui engagent un espace plus grand, il faut bien que l'assos traduise la volonté d'au moins une partie de la population... sinon prédominance d'une minorité contre une majorité. pas de participation à la procédure, donc ils ne peuvent engager la responsabilité d'une quelconque partie, ce qui n'empêche pas d'inciter à la poursuite, d'attribuer une aide par conseil, financement...etc. qu'une assos ou qu'une personne individuelle agissent, en droit français, ca n'aura aucune conséquence sur la décision du juge. mais ce qui me parait étonnant c'est que tu énonces ce décret comme une monstruosité mais il ne faut pas seulement l'analyser au point de vue de la poursuite écologique. Un exemple que tout le monde aime bien c'est le FN qui créé la personne morale pour ses fins personnels... dans un état de droit, il faut quand même limiter le pouvoir des entités créé de toute pièce. mais au concret je ne sais pas si le décret changera grand chose relatif aux ondes. de toute façon, l'assos va agir conformément aux poursuites légales, basées sur des textes de lois. il ne faudrait pas mieux analyser ce qu'on peut faire au plan législatif? et si tu pouvais m'éclaircir sur l'étendue des dégâts prouvés médicalement sur le corps humain....
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D'accord, mais tu n'apportes pas vraiment d'élément utile pour qu'on puisse d'apprécier la réforme... c'est un sujet dont seulement une poignée de personnes connaissent l'impact. tout d'abord, de quels débats parlons nous? à quelle échelle? quels enjeux concrets? quel sera le pourcentage d'association non représentatif? (en nombre d'effectif). il existe déjà des poursuites possibles établies par la loi (je pense notamment au recours en référé administratif qui a toujours été assez efficace et donc les caractéristiques sont adaptées au but poursuivit)... je vois l'intérêt de la poursuite par l'association par l'interdiction des procédures de groupes, mais quel impact a l'association, encore une fois, concrètement, qu'une personne individuelle n'aurait pas? (en admettant le droit de poursuite sur la base d'une liberté publique individuelle)...
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je ne payes plus de loyer , mais un empreint j'ai habité sur Annecy et mon loyer était de 500€ pour 23 mettre carré , tu voi il n'y a pas que paris qui est chère . ouai bah faut trouver les bonnes occasions aussi (je ne dis pas que ce n'était pas une bonne occasion puisque je ne connais pas les prix à Annecy). mais comme dit... avec le reste du SMIC sans les 500 euros, c'est faisable et les transports en commun sont une solution, tout comme la collocation. mais je ne conteste pas la valeur moindre du SMIC comparé à certains salaires. mais en le comparant à ceux des autres pays ou en comparant notre niveau de vie à celui qui fût auparavant, je pense qu'on peut dire, que nous ne sommes pas à plaindre. Admettons, mais pourquoi les personnes au smic devraient être sacrifiées en priorité ? Quelle logique impose de diminuer le revenu de ceux qui en ont le moins ? Quel résultat ou bénéfice peut-on attendre de cette initiative? Pourquoi ne pas commencer par ceux qui en ont le plus ? tu connais d'autres façons de baisser le salaire? et puis je pense que la suppression ou la baisse aura pour effet de diminuer plus que les salaires au niveau SMIC, puisque de nos jours, c'est une base de référence pour comparer les sommes... quel résultat ==> à long terme, puisqu'on aura une relance de l'économie, un pouvoir d'achat plus grand avec des salaires qui vont augmenter grâce à la hausse de l'offre de travail... pour l'état, suppression du travail au noir donc plus d'imposition. pourquoi ne pas commencer par ceux qui en ont le plus? c'est un peu ce qu'on essaye de faire avec la réglementation du pourcentage des dividendes accordés aux actionnaires... mais quelle mesure pourrait permettre de faire une chose pareille? si c'était possible juridiquement, on l'on l'aurait fait il y a longtemps. mais il faut se dire que les plus riches sont la clef de voûte de l'économie, et il faut que la France présente un avantage pour eux, ou alors au moins pas un gros inconvénient, pour que l'investissement ne fuie pas des frontières. Bah, j'ai pas tout compris à ton speech, désolée ! Enfin, si, un peu, entre les lignes. Donc, si on supprime le SMIC, je pourrais prétendre au même salaire que mon Boss, (ou bosser pour un bol de riz journalier ?) oui ou non ? bon en gros, suppression du SMIC = baisse des salaires = hausse de l'investissement (car entreprises ont plus de moyens) = hausse de la production = embauches = moins de chômage et relance de l'économie = stabilité du salaire par l'augmentation de l'offre et hausse du pouvoir d'achat par l'augmentation des salaires, de la productivité et de la faiblesse de l'inflation par la baisse des salaires au début du cycle. si quelqu'un n'est pas d'accord, qu'il argumente sur mon paragraphe 2.... meme salaire que votre boss? non puisque logiquement les deux salaires augmenteront...
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non... c'est juste que le niveau de vie est moins bonne. et si nous n'arrivons pas à maintenir ce niveau de vie (comme la Grèce) eh bien, il faut regarder la réalité en face et serrer les dents pour notre descente nécessaire en enfer. à moins de vivre à paris ou être dans une situation particulière, on peut se débrouiller facilement avec moins que le SMIC. ce qui pourrait être envisager : une aide sociale aux personnes qui sont en visible difficulté (ex. parisien, famille nombreuse...etc). une aide financée par la hausse de productivité, et donc d'imposition qu'engendrerait cette politique. je ne sais pas où tu habites mais dans ma ville (une assez grande ville de france) un loyer à 500 euros peut payer assez facilement un 3 pièce (voir 4). chose meme pas nécessaire pour une personne seule... et puis si on gagne le SMIC, on ne peut pas espérer vivre dans le luxe. et puis y'a toujours la solution de la collocation.
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La vision keynésienne : Qu'un salaire minimum est un plus pour la consommation, une garantie contre une exploitation excessive des salariés les moins qualifiés. Que le SMIC en France joue un rôle de redistribution, au même titre que la politique fiscale, que c'est un instrument de justice sociale patent. Que le SMIC, en maintenant et en augmentant le pouvoir d'achat des travailleurs peu qualifiés, maintient la consommation, ce qui selon la théorie contestée de l'effet multiplicateur keynésien augmente l'emploi (les entreprises embauchant seulement en perspective de débouchés croissants). Cependant, l'effet multiplicateur keynésien, s’il a peut-être fonctionné dans le passé, est de moins en moins efficace à mesure que l’économie devient ouverte (ce qui est le cas de la France où en 2005 54 % de la consommation de biens manufacturés est importée), et la hausse de consommation générée par une hausse du SMIC ne relance que peu l’économie, et essentiellement à court terme, mais contribue à creuser le déficit extérieur La vision libérale : Selon la vision libérale, le SMIC, du fait de son niveau élevé, aurait une influence néfaste en empêchant l'ajustement entre l'offre d'emplois (par les entreprises) et la demande d'emplois sur plusieurs marchés de l'emploi. Selon le principe de l'offre et de la demande, les prix sur le marché (ici le prix du travail est le salaire) permettraient un meilleur ajustement entre offre et demande, voire le retour à un état d'équilibre économique, le « plein emploi ». Les marchés de l'emploi concernés par ce problème sont ceux des emplois peu qualifiés (dont la productivité est inférieure au coût du SMIC pour l'employeur), où justement le chômage en France est particulièrement élevé. Par ailleurs, l'échelle des salaires est aplatie par l'existence du SMIC, et certains employés seraient « bloqués » au niveau SMIC, sans espoir de promotion salariale. Ce phénomène est accentué en France par les allègements de charge qui ont été mis en place sur les bas salaires, incitant les entreprises à ne pas augmenter ces employés. L'Ifrap compare ainsi le pourcentage de salariés au Smic en France (16,8 %) au pourcentage américain (1,5 %). Le SMIC en France est beaucoup plus élevé que dans les autres pays de l'OCDE, en pourcentage du salaire moyen ou du salaire médian, ce qui peut avoir un effet négatif sur le chômage et la production en empêchant des rmistes de trouver un emploi. Selon un rapport du Conseil d'analyse économique de Philippe Aghion, Gilbert Cette, Élie Cohen et Jean Pisani-Ferry, le niveau élevé du SMIC pénalise l’emploi des jeunes ; « on ne peut cependant ignorer que le niveau du coût du travail représente pour [les jeunes sans qualification] une barrière significative, accentuée par l’augmentation rapide du niveau relatif du SMIC au cours des dernières années. Il serait donc souhaitable de réexaminer ce que pourrait apporter une modulation selon l’expérience ou l’âge du salaire minimum des jeunes de moins de 25 ans dont le niveau de formation est inférieur au baccalauréat. » Le SMIC serait selon cette vision une mesure « anti-pauvres »,. Ainsi, la redistribution des revenus se fait au profit non pas de ceux qui en ont le plus besoin, mais de ceux qui ont le pouvoir de pression le plus important sur le gouvernement (les syndicats de la Fonction Publique, masse salariale oblige), bénéficiant ici du soutien des syndicats de salariés français. Les libéraux avancent enfin qu'il existe d'autres moyens de redistribution des revenus moins néfastes pour l'emploi (par exemple, la prime pour l'emploi, l’Impôt négatif, l’Allocation universelle ...) et moins distorsifs pour le marché du travail. Sources Wikipédia ! pas besoin d'aller chercher trop loin.... Maintenant on peut disccuter de l'efficacité ou non de la suppression du SMIC, mais tu connais déjà mon point de vue... donc en gros, maintenant t'es d'accord avec moi sur les effets de la suppression du SMIC (d'après ce que tu as posté, et puisque tu n'as pas répondu à mon paragraphe). je ne confond pas SMIC et SMIG puisque l'indexation l'influence pas les conséquences de sa suppression. mais bon, tu es contre cette politique.... pourquoi? si t'es réellement intéressé par la réponse de ta dernière question, relis la conversation. je donne les conséquences supposées de sa suppression. Ce qui caractérise l'échelle des salaires en France par rapport aux autres pays, c'est le nombre extrêmement élevé de personnes payées au smic. Cette situation est tout à fait anormal et contribue largement au malaise social actuel. beaucoup sont payés au SMIC mais le SMIC est un salaire plus élevé que la moyenne nationale de beaucoup de pays.
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C'est quoi cette théorie soi disant "scientifiquement vérifiée" et diffusée par des économistes éminents.....???? Jamais entendu parlé. En tout cas si elle est vérifiée il faut rapidement l'appliquée pour sauver le pays. Je plains les jeunes qui vont venir sur le marché du travail, ils vont être les premières victimes de ce plan...Mais si c'est pour la bonne cause allons-y!! c'est quoi cette théorie? c'est le paragraphe 2.... statistiquement vérifié. tu en aurais entendu parler sans doute (pas aux infos puisque c'est un peu trop technique) dans des milieux spécialisés dans le cadre du débat pour ou contre le SMIC. mais il n'y a pas d'études statistiques faites sur la suppression du SMIC (pas à ma connaissance), mais j'utilise des outils économiques, admis par les économistes, pour en dégager cette nécessité. la France est un des seuls pays qui a ce type d'organisation donc ce n'est pas pour rien que les autres pays se refusent d'adopter cette contrainte. c'est dans le souci social que cette mesure de suppression est contestée et la création du SMIC vient en partie de cette base. mais attention, le SMIC peut aussi être bénéfique pour l'économie. comme David l'a si savamment démontré, l'économie se calcule en cycles, et dans les conditions actuelles, je pense que c'est la meilleure façon de se rétablir ==> voilà le sens du débat. ca sera la 3ème fois que je le poste mais bon. je l'ai écrit sur Word et pour une certaine raison, on m'a supprimé des espaces lorsque j'allais à la ligne, alors il faut un peu déchiffrer. ah oui, et pour le débat, lorsque j'admet certaines choses, c'est des choses admises par tous les keynésiens... en fait tout le monde sauf les classiques (ce qui n'est vraiment plus d'actualité). Il faut d’abord admettre que l’économie est un ensemble de marchés pas nécessairement efficaces et que la monnaie n’est pas neutre. la demande de monnaie se fait pour motif detransaction, précaution et spéculation et le partage entre ces 3 est influencépar le taux d’intérêt… si le taux d’intérêt est plus grand, on va mettre plus àla banque puisque logiquement, l’argent qui n’est pas investit nous coûtequelque chose. (important ==> ceciest sur une échelle de masse et des études statistiques l’ont vérifié). Bon, donc lademande de monnaie dépend du revenu (PIB) et du taux d’intérêt. Plus le taux d’intérêtbaisse, plus la demande de monnaie augmente. Donc lorsquele taux d’intérêt diminue on veut utiliser notre monnaie puisqu’épargner nerapporte rien. donc baisse du taux d’intérêt ==> hausse de la consommation des ménages ==> hausse de l’investissement des entreprises ==> hausse de l’offre ==> et si la production est la rencontre entre l’offreet la demande, hausse de l’offre = hausse de production puisque la demande adéjà augmenté par la hausse de la consommation des ménages. Maintenant,des études statistiques encore, ont montré la variation commune du taux d’intérêtet le taux d’inflation. avec l’inflation vient la baisse du taux d’intérêt,donc avec l’inflation vient l’enchainement logique qui mène à la hausse de laproduction, ce qui veut dire, une relance de l’économie. ca c’est unefaçon de montrer que l’inflation relance l’économie et donc fait baisser le chômage,mais des études empiriques ont été faites qui montrent qu’il existe unerelation stable décroissante entre le taux de variation du salaire nominal etle taux de chômage (c’est à peu près ce que je disais dans mon premierparagraphe). donc voila lerapport que je trouve entre la suppression du SMIC (baisse des salaires) et le chômage.Et pour en rajouter, on peut considérer que la variation du salaire nominal =inflation (ceci n’est pas sortit au hasard et c’est vérifiablestatistiquement). donc influence de l’inflation sur la production (vérifié plushaut) qui est normal puisque l’inflation a une influence sur le chômage, ce quiaura une influence sur la production…
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Donne moi une bonne raison de le faire en copiant collant ton fameux paragraphe 2... ????? je te sort un argument et dans le cadre du débat, je voudrais que t'y réponde sans te faufiler à travers les mailles de mon texte, et tu me demande une bonne raison de le faire????? et puis avec ton histoire de copier/coller (chose que je t'ai reproché) est-ce que tu insinues que j'ai copié/collé le post de quelque part? parce que je te défie de le trouver sur internet... tu sais il y a des gens qui en savent un petit quelque chose sur l'économie, et n'ont pas besoin de prendre la rédaction d'un autre pour argumenter. encore une fois (si c'est ce que tu voulais de dire) tu détourne tes défauts sur moi. bon, si tu ne veux pas y répondre, explique le alors, juste pour montrer que t'as comprit... tu vas me dire que tu n'as rien à prouver, mais je met en jeu ta réputation sur ce forum et tous qui me lisent sauront que tu argumentes sur des sujets que tu ne comprends pas.
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bon j'ai été assez patient avec ton ignorance mais lorsque tu commences à monter sur tes grands chevaux sans aucune raison particulière, c'est la que je dénonce ta façon d'argumenter... tu sélectionnes (comme je l'ai dit) mes textes (tu as pris l'extrait de la simplification que j'ai faite de mon énoncé, et tu le réfutes avec des théories basées sur des "si" qui sortent de nulle part... donc je pourrais continuer le débat sur ce petit bout de texte, avec des raisonnements plus philosophiques qu'économiques (ca veut dire que n'importe qui peut trouver n'importe quoi pour affirmer des choses qui ne seront pas justifiée)... mais pourquoi puisque j'ai déjà écrit un texte qui prouvait mathématiquement, statistiquement, mon opinion. et ne détourne pas ton ignorance sur moi. je pense qu'il est clair pour tout le monde que tu ne comprends meme pas mon texte, et c'est pour ca que tu ne réponds pas, et c'est pour ca que tu t'empresses de dire que moi-même, je n'ai rien comprit, alors que dans ton texte, il n'y a rien à comprendre et tu te débat dans un argument dont tu ne comprends pas le fond et tu utilises des textes qui te paraissent légitimes puisqu'on y mentionne des termes utilisés, mais tu ne comprends meme pas tes textes. alors si t'as envie de continuer à débattre comme une personne normale, et si t'as envie qu'on te prenne au sérieux, répond à ce @ù^$ de texte..... je sens déjà que tu vas trouver une "bonne" raison de ne pas le faire... je comprend pourquoi tu ne veux pas y répondre. tu n'y comprends rien, encore une fois, puisque ca n'a rien à voir avec le libéralisme. en fait, c'est un peu l'inverse... ca prône l'intervention de l'état dans le marché économique . mais pour dire que mon idée de réforme est dangereuse, pourquoi ne pas le démontrer en réfutant les conséquences des mécanismes économiques énoncés dans le récurant paragraphe 2? Si vous lisez attentivement ma réponse, je vous donne les conséquences de votre politique, à savoir qu'elle entrainerait un risque de déflation. Déflation signifie: offre supérieure à la demande à cause de la baisse du pouvoir d'achat, donc licenciement dans les entreprises faute de possibilité à écouler leurs produits et chômage . C'est la pire situation que l'on puisse imaginer . Je pense que ma réponse est assez clair. la seule raison pourquoi je répond encore à ce type d'argument, c'est parce que les autres le prennent au sérieux. j'ai déjà répondu à ca.... la différence dû à la baisse de salaire sera compensé par la hausse du gain des anciens chômeurs... si on pouvait ne pas me répéter pour la 7ènième fois cet argument... mais quel culot !!! je ne voulais pas être insolant mais il faut que je disent que les répercutions de telles mesures ne sont pas vraiment à discuter. j'ai utilisé des statistiques et des maths... vous, une logique très peu directe et précise. alors au lieu de dire que je ne comprend rien, de trouver des autres arguments bidons pour le réfuter, il faudrait commencer à penser (je sais que c'est dûr) à répondre à mon paragraphe 2, que je peux utiliser comme argument pour n'importe le quel des vôtres. ce que j'ai écrit est généralement admit par les économistes. la discussion voulue c'était s'il existait un autre moyen plus efficace ou si c'était envisageable en france au plan politique... mais pas ses répercutions, qui sont déjà connues.
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pour répondre à david web et à son dernier post, tu crois vraiment que l'économie est en phase 3... de surchauffe? pour savoir dans quelle phase on est, il faut se reporter à la phase précédente... et il ne faut pas prendre quelques chiffres statistiques pour dégager une similitude avec une phase... entre-eux, les phases présentent des similitudes... c'est ce qui en fait un cycle. voilà la phase 2 : "L'économie est maintenant sur une pente ascendante avec une hausse des emprunts et des dépenses de la part des entreprises et des ménages, une baisse du chômage, et donc une augmentation de la demande." tu trouves qu'on vient de sortir d'une phase comme ca?
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tout ceci a déjà été répondu... donc pour relancer le débat je vais encore rappeler ce que j'ai dis avant... si tu le comprends, tu verras que ca répond à tes points... Il faut d’abord admettre que l’économie est un ensemble de marchés pas nécessairement efficaces et que la monnaie n’est pas neutre. la demande de monnaie se fait pour motif de transaction, précaution et spéculation et le partage entre ces 3 est influencépar le taux d’intérêt… si le taux d’intérêt est plus grand, on va mettre plus à la banque puisque logiquement, l’argent qui n’est pas investit nous coûte quelque chose. (important ==> ceciest sur une échelle de masse et des études statistiques l’ont vérifié). Bon, donc la demande de monnaie dépend du revenu (PIB) et du taux d’intérêt. Plus le taux d’intérêt baisse, plus la demande de monnaie augmente. Donc lorsquele taux d’intérêt diminue on veut utiliser notre monnaie puisqu’épargner ne rapporte rien. donc baisse du taux d’intérêt ==> hausse de la consommation des ménages ==> hausse de l’investissement des entreprises ==> hausse de l’offre ==> et si la production est la rencontre entre l’offre et la demande, hausse de l’offre = hausse de production puisque la demande a déjà augmenté par la hausse de la consommation des ménages. Maintenant,des études statistiques encore, ont montré la variation commune du taux d’intérêt et le taux d’inflation. avec l’inflation vient la baisse du taux d’intérêt,donc avec l’inflation vient l’enchainement logique qui mène à la hausse de la production, ce qui veut dire, une relance de l’économie. ca c’est une façon de montrer que l’inflation relance l’économie et donc fait baisser le chômage,mais des études empiriques ont été faites qui montrent qu’il existe une relation stable décroissante entre le taux de variation du salaire nominal etle taux de chômage (c’est à peu près ce que je disais dans mon premier paragraphe). donc voila le rapport que je trouve entre la suppression du SMIC (baisse des salaires) et le chômage.Et pour en rajouter, on peut considérer que la variation du salaire nominal =inflation (ceci n’est pas sortit au hasard et c’est vérifiable statistiquement). donc influence de l’inflation sur la production (vérifié plushaut) qui est normal puisque l’inflation a une influence sur le chômage, ce qui aura une influence sur la production…
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En faite c'est ca le problème , enlevé le smic va toucher tous les métiers des services. Ces métiers dépendent essentiellement de l'humain mais ne produisent pas de VA ( valeur ajoutée) par la recherche, ce sont ces secteurs , grande distribution en 1er, qui en profiteront . Alors que les métiers qui dépendent de la recherche paient souvent leur salarié au dessus du smic, donc cette mesure ne changera pas grand chose pour eux enlever le smic va faire une politique du moins disant Un de mes prof d'économie disait que le problème était qu'en France on ne créait pas assez de produit a forte valeur ajoutée Avant Had tu parlais de capacité de financement, a l'heure actuel le capital par la finance augmente de manière considérable, là est la source possible sauf qu'elle est accaparée. Un de mes prof d'économie disait que le problème était qu'en France on ne créait pas assez de produit a forte valeur ajoutée ah oui, bibifricotin, désolé, j'ai oublié de te répondre sur ce point. il est généralement admit qu'un grand indicateur comme le SMIC change la donne sur le prix des produits de façon indirect. comme tu disais, le SMIC influe sur les autres salaires et beaucoup de salariés gagnent le SMIC ou ont un revenu qui est décidé en fonction du SMIC (légèrement plus haut par exemple). Changement du SMIC donc changement de salaire, donc changement de consommation donc changement du prix. mais peu importe... le prix n'est pas l'indicateur en question ici. c'est le chômage qui est visé et si le prix ne change pas avec cette politique, tant mieux. pour ce qui est des produits à forte valeur ajoutée, que dire de LVMH, ou le marché de la mode en globalité, la vente d'électricité, l'automobile...etc. désolé mais je ne comprend pas bien ton avant dernière phrase, parlant de capacité de financement. personne ne disait le contraire...
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l'économie est cyclique et lorsqu'on recherche l'efficacité de telle ou telle politique, il faut se référer à la situation actuelle et chercher l'équilibre entre les bienfaits et les méfaits des conséquences. l'effet voulu issu de la suppression du smic est la baisse des salaires (meme effet que l'inflation) mais on peut chercher à concilier cette politique avec une politique plus sociale, comme la baisse du SMIC. et il ne faut pas oublier que cette politique relancerait l'économie, donc nul besoin de se soucier d'une politique sociale puisque la baisse serait indirectement bénéfique pour le plus grand nombre. c'est vrai que la baisse du SMIC entraînera la baisse des autres salaires, heureusement, donc le poids de la politique est répartit et donc moins sentit. pour ce qui est de l'école de commerce, je n'en ai jamais fréquenté. ma matière, c'est le droit mais il m'arrive de porter mon regard sur des ouvertures différentes. et nous discutons "économie". j'ai mentionné les cours de marketing pour insister sur le fonctionnement des entreprises (cours que j'ai suivis). mais pour dire que mon idée de réforme est dangereuse, pourquoi ne pas le démontrer en réfutant les conséquences des mécanismes économiques énoncés dans le récurant paragraphe 2?
