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metal guru

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Tout ce qui a été posté par metal guru

  1. Visiblement tu es amoureux d'elle mais je ne crois pas que tu sois son genre !
  2. Tu peux affirmer ce que tu veux, mis à part des éléments factuels comme l'invention de la télé, le téléphone, internet ... tes affirmations ne sont qu'un avis parmi d'autres et n'ont pas plus de valeur que celle d'un individu plus jeune qui n'a pas connu ton époque mais qui s'est documenté ! Le passé n'appartient pas aux gens qui l'ont vécu, seuls leurs souvenirs sont leur propriété, le reste c'est libre de droit !
  3. Ça reste complètement subjectif, comme l'avis du jeune !
  4. Affirmer que comparer ne veut pas dire comprendre ce n'est pas chipoter, c'est une réalité, que des centenaires puissent comparer les époques, ça veut juste dire qu'ils ont vécu longtemps pas que ce qui ressort de leur comparaison est une vérité opposable à tous !
  5. Ça aussi c'est un truc que j'ai du mal à comprendre dans les débats, l'emploi d'un élément de sa vie personnelle pour infirmer une idée qui n'englobe pas tout le monde ! Tes parents qui ne positivent pas leur jeunesse n'implique pas que le " c'était mieux avant " existe dans la population vieillissante et ce depuis des siècles !
  6. Plus t'es vieux plus tu es assujetti à ta mémoire et à son mode de fonctionnement, si celle ci à tendance à te faire positiver le temps de ta jeunesse, tes comparaisons sont biaisées, c'est le sujet de ce topic ! Comparer ça ne veux pas dire comprendre !
  7. Mais je n'ai jamais dit le contraire, je n'en sais rien de ce que je serais quand j'aurais 70 ou 80 balais ! Disons qu'en étant conscient que le cerveau a tendance à positiver les évènements de la jeunesse peut être que je ferais gaffe avec le " C'était mieux avant " ou alors je râlerai après les jeunes et la vie actuelle en bouffant ma purée liquide !
  8. Je ne te parle pas de ça, là ce que tu mets en avant ce sont les préférences des gens, l'article explique que : Selon la "théorie de la sélectivité socio-émotive", chacun dirige ainsi son attention vers des pensées ou des souvenirs positifs lorsqu’il se rend compte que le temps qui lui reste à vivre est limité. C’est le cas pour les personnes âgées, mais aussi pour les plus jeunes en fin de vie : elles manifestent une attention renforcée aux stimulations positives.
  9. Pourquoi des centenaires arriveraient mieux à comparer le twist avec la zumba ou les vacances au camping de Palavas avec un airbnb à Cancun et à décider ce qui est le mieux ?
  10. C'est peut être difficilement comparable, pas grand monde n'a vraiment tous les éléments nécessaires pour le faire objectivement !
  11. Une personne regardant avec nostalgie une photographie© Getty - WIN-Initiative/Neleman Le passéisme, ça vous parle ? C'est cette certitude que le monde tournait bien mieux avant, que l'humain avait de plus hautes aspirations, que l'intelligence n'avait pas encore capitulé... Contrairement à ce que pourrait laisser croire notre époque, le passéisme ne date pas d'aujourd'hui. "Les jeunes n'ont plus aucun respect et plus rien ne les intéresse", "La fin de l'humanité est pour bientôt et c'est tant mieux", "Le QI de la population est en baisse", etc. Qui n'a jamais entendu (ou ne s'est jamais laissé aller à...) ces récriminations ? Les temps semblent plus que jamais angoissants à l'aune (bien concrète) du changement climatique et des inquiétudes sociales... mais le sentiment prégnant que "c'était mieux avant" a probablement agité nos ancêtres avant nous. De fait, le poète latin Horace en témoignait déjà il y a presque 2 000 ans, dans son _Art poétique (_v. 173-174) : "Mille incommodités assiègent le vieillard… Quinteux, râleur, vantant le temps passé, quand il était gosse, toujours à censurer les jeunes…" Parmi de nombreuses imprécations antiques et atemporelles, nous pouvons aussi citer celles de Valerius Caton dans ses Poetae minores (v. 178-182.) : "Est-ce ma faute si nous n’en sommes plus à l’âge d’or ? Il m’aurait mieux valu naître alors que la Nature était plus clémente. Ô sort cruel qui m’a fait venir trop tard, fils d’une race déshéritée !" ; ou encore les lamentations de Juvénal, dans ses Satires (v. 69-70) : "Déjà du temps d’Homère notre race baissait. La terre ne nourrit plus aujourd’hui que des hommes méchants et chétifs." Pourquoi le passéisme (préférence exclusive pour le passé) semble-t-il à ce point anthropologique ? En savoir plus : Est-il déraisonnable d'être optimiste ? 27 janvier 2022 40 min Non, tout n'était pas mieux avant (loin s'en faut) Pour le psychologue Serge Ciccotti, ce sentiment a probablement toujours existé, nourri notamment par les religions et le mythe du paradis perdu, mais la communication étant bien plus importante aujourd’hui avec les réseaux sociaux et la diffusion scientifique, elle produit un effet de loupe sur ce phénomène. Et ce, même si de nombreux contre-exemples pragmatiques viennent contrecarrer l'idée d'un monde forcément plus noir qu'hier, comme le soulignait avec force l'historien des sciences et philosophe Michel Serres dans son manifeste C'était mieux avant, en 2017 : avant, "les usines sans contrainte, répandaient leurs déchets dans l'atmosphère, ou la mer, ou la Seine, le Rhin ou le Rhône", avant "on ne connaissant pas les antibiotiques, on mourait de vérole ou de tuberculose", avant, il n'y avait pas de soins palliatifs, avant "les chambres à coucher restaient glaciales tout l'hiver", etc. Chères Petites Poucettes, chers Petits Poucets, ne le dites pas à vos vieux dont je suis, c'est tellement mieux aujourd'hui : la paix, la longévité, les antalgiques, la paix, la Sécu, la paix, l'alimentation surveillée, la paix, l'hygiène et les soins palliatifs, la paix, ni service militaire ni peine de mort, la paix, le contrat naturel, la paix, les voyages, la paix, le travail allégé, la paix, les communications partagées, la paix... Michel Serres En savoir plus : Etait-ce ou non mieux avant ? 27 janvier 2022 52 min La faute au "biais de négativité" Selon Serge Ciccotti, il existe deux raisons principales à cet effet "C'était mieux avant" : dans le présent, nous sommes plus sensibles au négatif qu’au positif tandis que la mémoire, en revanche, retient le positif et oublie le négatif. Les recherches en psychologie montrent en effet l’existence d’un biais de négativité, et nous sommes plus affectés par les mauvaises nouvelles que par les bonnes, nous voyons plus les défauts que les qualités : "Beaucoup d’évolutions positives sont invisibles et les médias nous abreuvent d’événements négatifs – attaques terroristes, incendies, tsu­namis… – notamment en raison de leur côté spectaculaire." Des études de l’Université de Caroline du Nord ont récemment montré que nous avions tendance à nous remémorer davantage les événements passés positifs que les événements négatifs : "Seules les personnes déprimées échappent à cette illusion ! Ainsi, sur 12 études recensées, les participants disent avoir vécu davantage d’événements positifs que négatifs." On préfère ce que l'on connaît déjà La mémoire joue en fait un rôle clé dans ce sentiment passéiste. Car ce que nous préférons est généralement ce que nous avons déjà expérimenté - et ce dans tous les domaines, comme le prouve cet article que nous avions publié sur les origines du frisson musical, là aussi intimement lié à la mémoire. À lire : Frisson musical : c'est votre mémoire qui fait tout le boulot ! Il s'agit là aussi d'un biais cognitif mis à jour au XXe siècle par le psychologue américain Robert Zajonc, et appelé "effet de la simple exposition" : plus nous sommes exposés à un stimulus (objet, personne), plus l'attachement pour le stimulus grandit. Un article de Madmoizelle, qui s'en faisait l'écho en 2014, rapportait une expérience dans laquelle un chercheur présentait à des volontaires une douzaine de mots de 7 lettres dénués de sens en leur faisant croire qu'il s'agissait de mots turcs. Ces derniers étaient présentés aux volontaires à des fréquences plus ou moins élevées, entre 0 et 25 fois. Les participants devaient ensuite estimer si le sens de chaque mot était positif ou négatif A priori, rien ne permet d’orienter leurs décisions… Et pourtant : les résultats montrent que les sujets attribuent un sens plus positif aux mots présentés un grand nombre de fois (10 et 25) qu’aux mots présentés rarement (0,1 et 2 fois) ! Il y aurait donc un lien entre la fréquence d’exposition aux mots et le sens qu’on leur donne. Cette constatation a été effectuée maintes fois. Les seniors, bien plus "passéistes" que les jeunes Enfin ce mécanisme est accentué par l’âge, souligne encore Serge Ciccotti : Des travaux ont montré l’existence d’un "effet d’effacement" qui s’accentuerait avec l’âge : dans une expérience réalisée il y a une vingtaine d’années de l’Université d'Irvine, en Californie, on a réuni des participants et on les a divisés en trois groupes d’âges différents : 18 ans à 29 ans, 41 ans à 53 ans et 65 ans à 80 ans. On a ensuite exposé chacun de ces groupes à des images positives (visages d’enfants souriants), négatives (blessures corporelles) ou neutres (photos d’animaux ou de paysages). On a observé que les jeunes participants se sont souvenus davantage des images négatives que des images positives. Les plus âgés se sont davantage remémorés les images positives. Ce filtre positif expliquerait pourquoi certaines personnes âgées, lorsqu’elles se tournent vers leur passé, oublient les aspects négatifs de ce qu’elles ont vécu. Cet effet d’effacement a été observé dans le cerveau des personnes examinées par imagerie cérébrale : "Chez les personnes âgées, une zone nommée complexe amygdalien, qui intervient dans la genèse des émotions, est activée aussi bien par les images positives que par les images négatives. Cette zone n’est activée que par les images négatives chez les plus jeunes... Cette observation suggère que les personnes âgées manifestent plus de réactivité émotionnelle aux images positives que les jeunes : tout se passe comme s’ils y faisaient plus attention". Selon la "théorie de la sélectivité socio-émotive", chacun dirige ainsi son attention vers des pensées ou des souvenirs positifs lorsqu’il se rend compte que le temps qui lui reste à vivre est limité. C’est le cas pour les personnes âgées, mais aussi pour les plus jeunes en fin de vie : elles manifestent une attention renforcée aux stimulations positives. Voilà qui peut aussi expliquer en partie le populisme spécifique des seniors selon Serge Ciccotti, qui sont davantage pro-Trump, pro-Brexit ou ont soutenu les partis ultra-conservateurs hongrois du FIDESZ et polonais du PiS, affolés par les vagues d'immigration : "Les seniors se sentent en sécurité dans des environnements qui leur sont familiers ; un sentiment croissant d’insécurité pousse les plus âgés dans les bras des populistes". Les parents aussi... Une étude de l’Université de Cornell, a également montré que le fait d’avoir un enfant pouvait accentuer le mécanisme du "C’était mieux avant" précise encore Serge Ciccotti. Sur les 51 professeurs d’école primaire interrogés sur leur perception du danger dans le monde dans un passé récent, ceux qui étaient devenus parents pendant la période évaluée ont perçu le monde comme sensiblement plus dangereux que les autres professeurs : Les perceptions changent quand on devient parent : il est alors plus intéressant d’un point de vue évolutif d’être soupçonneux afin de mieux protéger les nouveaux-nés. Ainsi, les parents qui se méfient spontanément de tout ce qui est nouveau évitent d’exposer leur enfant à un danger potentiel. Dans ces conditions de méfiance, face à la nouveauté, les enfants auraient été mieux protégés, et ces comportements de refus de l’innovation se seraient perpétués. Aujourd’hui, ce type d’attitude est devenu partie intégrante – inconsciente – de nos comportements. https://www.radiofrance.fr/franceculture/c-etait-mieux-avant-et-ca-fait-2-000-ans-que-ca-dure-4385309
  12. La probabilité que plusieurs mecs de ton entourage se comportent ainsi, c'est à dire d'une manière aussi obsessionnelle est quasi nulle parce que ce que tu décris relève quand même de la monomanie, sauf si tu alimentes sciemment ou inconsciemment l'espoir qu'ils ont un jour d'avoir une aventure avec toi ! Si c'est le cas il faut que tu revoies ta façon de les éconduire et que tu sois plus ferme et sincère sinon ils ne comprendront jamais, mais c'est juste mon avis !
  13. Si c'est un seul mec qui se comporte comme ça, c'est peut être juste un cassos, s'ils sont plusieurs le problème vient surement plus de ton comportement ou ton discours !
  14. Des sms qui stipulent qu'il y a eu un échange de rapport sexuel contre des avantages en natures ? Je ne crois pas sinon il aurait pris très cher !
  15. Quand c'est parole contre parole et qu'il n'y a aucun élément pour étayer l'accusation on ne peut pas condamner l'accusé, ton histoire du pot de fer contre le pot de terre c'est de la merde dans ce genre de cas !
  16. Non, ça c'est la version des nanas, si elle était vérifiable il serait condamné or pour l'instant ce ne sont que des non-lieux !
  17. Il est accusé de viol, il y a eu un non-lieu décidé par le juge d'instruction et la plaignante vient de faire appel ! tu fais Darmanin viol sur google et tu as tout !
  18. Peut être un mélange d'espoir que tu lui a donné et d'amour qui grandit au fur et à mesure que le temps passe ! Après il y a des gens qui n'ont honte de rien et qui sont imperméables aux codes de la séduction ou même à la psychologie en général ! Je connais des mecs comme ça, le râteau fait partie intégrante de leur vie sentimentale, ils misent sur l'exception qui arrive parfois et qui leur redonne espoir jusqu'à la prochaine série de désillusions !
  19. Si tu dis à un mec à qui tu plais beaucoup que tu es en couple mais qu'il y aura possibilité si un jour tu te sépares, c'est lui faire comprendre qu'il te plait ! A partir de là tu risques de le voir insister et essayer de te faire réaliser que tu serais mieux avec lui !
  20. Je pense qu'une des raisons principales, même si d'autres existent, est que l'individu est souvent attiré par ce qu'il a du mal à obtenir, c'est toujours flatteur d'arriver à inverser une tendance et à séduire une personne qui semblait très réfractaire au début ! Parfois il faut savoir deviner la possibilité derrière le refus initial, mais il faut aussi comprendre assez vite si l'indifférence est réelle et définitive sinon ça devient du harcèlement et on bascule vite dans le ridicule ! Beaucoup de personnes jouent avec la séduction, et l'indifférence manifestée fait intégralement partie de celle-ci, ça fonctionne très bien si l'on sait gérer le truc ! Ça peut être une action volontaire !
  21. As tu pigé qu'ils n'ont pas été jugés contrairement à ce que tu as écrit plusieurs fois et qu'ils ne sont pas accusés de délits mais de crimes ? Abad Et Coquerel n'ont pas été innocentés pour l'instant et pour Darmanin il y a une ordonnance de non lieu sur laquelle la plaignante a fait appel, c'est à dire que comme tous les autres cités ici il n'a pas été reconnu " non coupable " pour employer un langage que tu sembles peut être comprendre mais j'ai un gros doute ! Sur les 5 il y en a un seul qui n'est pas accusé de viol, c'est à dire de crime et c'est Coquerel !
  22. Et moi je penses que tu essaies de noyer le poisson pour ne pas répondre aux conneries et aux mensonges que tu as écrits plus haut : " PPDA et Ramadan l'ont étés ("Présumés innocent") avant qu'ils ne soient Condamnés après avoir été Jugés......donc tout contre eux " Pour l'instant ils n'ont pas été condamnés pour des faits de viols ou d'agressions sexuelles, pigè ? Avec toi on commence à lire très vite alors !
  23. Quels sont ces jugements et quand et par qui ont-ils été rendus ? C'est ma question ! Je pense que tu es confus et que tu ne sais pas trop ce que tu écris !
  24. Je lui réponds qu'il ne m'a toujours pas donné les dates et la nature des condamnations concernant PPDA et Ramadan alors qu'il avait affirmé qu'ils étaient condamné, est ce que tu pensais savoir ? Est ce que tu savais ? Ou est ce que tu pensais que personne ne savait en écrivant des choses fausses ?
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