Nephalion

(Et si on remplace le strass par des pépites de chocolat ? :blush:) C'est une remarque que j'ai pu lire sur certains sites parlant de cette nouvelle hypothétique future mode.

Euh non pas vraiment tripé sur le sujet. Mais ne connaissant pas jusqu'à aujourd'hui, il me fallait en faire profiter les autres ... :blush: J'avoue. Le sondage est orienté pour les femmes, mais ces messieurs pour peu qu'ils osent peuvent tout de même voter, sachant que dans l'absolu cette nouvelle "tendance" peut devenir la leur s'ils le souhaitent. (pour moi, ce sera non merci ... )

Nouvelle tendance en provenance directe des United States Of America, voici le Vajazzling. Après le tatouage, le piercing, la coloration, l'épilation partielle ou totale ... voici venu le temps du bijou motif pour votre pubis ! La technique est très simple: après épilation du dit pubis, on colle de petits strass en choisissant couleur et motif. A priori cette mise en valeur d'une partie plutôt intime de votre personne tiens plusieurs jours. Pratiquée en instituts aux States, à voir si quelqu'un a déjà osé lancer la mode en France. (ils savent plus quoi inventer ... :blush:) Alors mesdames et messieurs, un avis sur le sujet ?

Ben il y a toujours la solution de coffrets en inox avec serrures et commandes inviolables, mais là contrairement aux rampes, l'accès devient plus compliqué car il faut que le détenteur des clés soit là pour que la personne à mobilité réduite puisse profiter de cet aménagement.

Pour le franchissement de hauteurs importantes avec un encombrement au sol réduit, il y a les plateformes élévatrices. Mais c'est assez onéreux et demande un raccordement électrique pas toujours facile à faire.

Il y a moyen aussi de faire une rampe à deux pans, avec un pallier intermédiaire. De la sorte, la longueur est moitié plus courte, par contre l'encombrement au sol est deux fois plus large. De plus, quand la pente est forte ou longue, il faut prévoir des palliers de repos d'après ce que j'ai lu.

5% c'est à dire que tu montes de 5 mètres quand tu avances de 100 mètres. Il y a donc un rapport de 20. Avec une hauteur à franchir de près de 1m, tu as donc une rampe qui approche les 20m de long ...

tranquille comme un dimanche à la maison

La réalité serait de présenter également des propos positifs. Il y a une différence fondamentale entre "les gens sont racistes" et "certaines personnes sont racistes". Refuser cette différence, ce n'est pas la réalité comme tu dis, mais bel et bien de la manipulation... Sur ce, je te laisse prêcher pour ta croisade.

Les cons existent dans chaque nation, chaque religion, chaque couleur, chaque sexe ... Il y en a partout. Et dire "Les Français racistes et Islamophobes....Vraiment?, Et l'inverse jamais???" n'est rien d'autre qu'un propos réducteur car c'est généraliser. Il est facile de citer quelques phrases comme ça, histoire de mettre de l'huile sur le feu. Au passage, on oublie tous ceux qui se battent pour la paix et l'entente des peuples et des religions. C'est de la manipulation. Et en cette période d'élections, bizarrement ça ne m'étonne pas, et je me demande à qui ça peut bien profiter ...

Jamais, l'idée n'a même jamais pu effleurer mon esprit. Il y a des choses qui sont contre nature, ben voter pour le FN est exactement contre la mienne. +100000000

Pour ma part, rien qu'une est déjà un challenge en soi :blush:

Cette rubrique est accessible aux - de 18 ans ... alors chut (mais il y en a bien plus de deux ...) On peut mettre n'importe quel plat ?

Ben ce n'est pas qu'une question de contrôle médicale. Si tu fumes autant, en fonction du taf que tu pourrais exercer tu risques de mettre ta vie et celle de tes collègues en danger. A toi de savoir ce que tu veux. :blush:

Rien n'oblige la famille à manger le superbe plat que tu auras avec passion concocté ... En tant que proche (voir très proche) de CmoiC, je ne peux pas participer hein ! Dites lui que ça ne serait pas bien. Rapport à mes liens avec l'organisatrice, tout ça tout ça. Svp !!!! (pis moi je suis une quiche en cuisine !)

Pour l'heure zen !

Une petite ville de province, comme il y en a tant. Sa grande place, sa mairie, son église, Ses commerces. Parmis tous ces commerces, il y a cet hotel-bar-restaurant. Un petit établissement sans prétention où l'on se sent un peu comme chez soi. Cuisine bistrot, décors très simple, ... Ici pas de chichi, le tutoiement et la bise sont de rigueur. Un petit univers extraordinaire dans une vie on ne peut plus ordinaire. Des personnages qui vont et qui viennent, certains brillent le temps d'un verre, d'autres sont là chaque semaine, chaque jour ... Il y a les patrons, un couple dynamique avec un coeur gros comme ça, l'un comme l'autre étant incapable de laisser à la rue une âme en perdition ... Petites lunettes, air sérieux, et toujours une blague sous le coude pour lui. Piercings, regard bleu hypnotique, et ce côté tactile accueillant pour elle. Il y a les habitués, A. et J. par exemple, les deux copains retraités qui finissent là leur tournée des grands ducs le midi, et qui resterons pour manger après le cinquième ou sixième apéro... On y trouve S., la jeune mère aux multiples amants, qui vient manger là une fois avec son mari, le jour suivant avec un amant, la semaine suivante avec sa maman... Le dernier verre du soir qui se prolonge le temps d'une bouteille ou deux de mousseux et d'un bon paquet de clopes. L'envie de rentrer n'est jamais là. Et la jeune femme se consume dans cette vie dépourvue de sens. Il y a A., ce gamin de même pas 20 ans, sans formation, qui se retrouve là après avoir été mis dehors par sa famille, qui ne bosse pas, et dont les deux principales occupations sont les pétards qu'il consomme à longueur de journée, et la vente de sa précieuse substance qui lui assure le seul revenu lui permettant de survivre. Quand l'argent fait défaut, c'est dans la rue qu'il faut dormir ... Un peu à l'ouest, les idées pas vraiment claires, en marge de ce monde qui ne lui fera jamais de cadeau et pourtant une politesse et un certain sens de l'honneur toujours bien présents. M., l'amie des patrons, charmante jeune femme d'une vingtaine d'année qui use de sa bisexualité pour essayer de choquer les esprits étriqués. Il y a aussi n°5, une femme sans âge, dont le quotidien se résume en trois mots: alcool, violence et décadence. Obligée de vivre à l'hotel pour fuir un foyer à problème, elle recréé pourtant une situation semblable chaque soir dans sa chambre avec un compagnon alcoolique et agressif ... Pleurs, cris, insultes ... Ils se sont finalement séparés ... une nième fois ... Au fil des mois, on apprends à connaître les gens, à ne pas voir que ce qu'il y en façade. Finalement, le tableau, composé d'ombres et de lumière, reste attachant pour qui est à l'écoute. Toutes les composantes d'un univers instable mais tellement humain ... Un désordre où avec le temps chaque personnage semble avoir sa place ...

De ces gens qui ne sont pas suffisamment honnête et capable d'assumer leurs actes.

Comme toujours chaque chose trouvera sa place, le moment venu. Keep cool. :blush: