SN3 The last.

Tu attribues le spirituel comme exclusivité divine, c'est une erreur. Je reste également curieux : comment se fait-il, dans sa toute puissance et son infini miséricorde, que Dieu soit capable de s'adresser à quelques illuminés mais pas à tout le monde ?

Tout à fait. En effet.

Serge Lama.

Où que j'aille avec ma guitare, je ne me fais que des amis. Certains considèrent ceci comme mon sacerdoce. Enfin bref, je crois qu'il n'y a pas mieux comme langue commune que la musique.

Ah, je suis incapable de faire la distinction entre un moyen et une fin. Elle est bien bonne !

Se couper les veines, se jeter sous les rails, se tirer une balle, se débrancher du respirateur artificiel... bizarrement dès qu'il s'agit de demander à quelqu'un "se" disparaît. Pourtant on se suicide, on ne suicide pas. Elle y répond en partie. Considérer qu'il s'agit d'une forme de suicide est une considération incomplète. Alors qu'en est-il de ceci :"je suppose que la raison de cette entêtement est que l'euthanasie est visiblement un suicide moralement accepté alors ont préfère donner un autre nom ...." ? Vois-tu, dans le cas d'une euthanasie on a pas la volonté de se donner la mort.

Non, la définition est celle du suicide et non celle de l'euthanasie. C'est pourtant simple . Mais peux-être as-tu la flemme de tourner les pages pour trouver la définition de l'euthanasie. D'ailleurs s'il y a deux mots c'est bien pour quelque chose. En l'occurrence il s'agit d'une nuance de poids, sans pour autant qu'il n'y ait pas de point commun. En bref, l'euthanasie répond à la définition du suicide mais pas entièrement. Et encore moins dans le cas d'une euthanasie où le patient ne décide pas (ce cas de figure t'avait peut-être échappé...). L'homicide est accomplit par quelqu'un d'autre. Il y a un caractère suicidaire, mais pas de suicide.

C'est tellement évident qu'il y a deux mots qui relèvent une nuance de poids : l'implication d'une autre personne. Après tu peux t'entêter à n'en choisir qu'un seul pour les deux cas, personnellement je trouve la langue française bien faite. Si quelqu'un te demande de le tuer, comment considéreras-tu ton acte ?

Sans pour autant lui donner un côté divin il y a la conscience. Maintenant tu peux toujours prendre le problème dans l'autre sens : si quelqu'un te demande de le tuer, comment considéreras-tu ton acte ?

Sur la forme oui, sur l'acte non. Aucune implication autre que soi-même.

Ce qui en fait une forme de pression. Les deux sont pourtant différents. Les deux exemples que tu choisis ne font intervenir aucune implication de la part d'un autre être humain.

Et à combien de personnes l'euthanasie est-elle refusée parce que c'est interdit ? L'acte de se donner la mort n'est pas l'acte de demander à quelqu'un de le faire. Les deux peuvent s'appeler suicide, il y aura toujours cette différence.

Est-il saint de les soumettre à une pression pour qu'elles souffrent plus ?

Le suicide est par définition l'acte de se donner la mort soi-même. Demander à quelqu'un de le faire n'est donc pas un suicide. é part ça je rejoins Danaos : si je ne suis pas libre de mourir alors je ne suis pas libre de vivre.

Quand on sait on comprend que ce n'est pas le peuple qui décide malgré le statut de souverain. Je suis même bien curieux de savoir ce que le peuple décide !

Et qu'est-ce que la société ?

Faux, un athée a besoin d'un cadre de vie et d'une ligne de conduite. En fait tout être humain en a besoin. On peut le résumer vulgairement à ça : Cadre : métro, boulot, dodo. Ligne de conduite : métro, boulot, dodo. On peut uniquement profiter aussi, cadre et ligne réunis. Ou un mix des deux, toujours cadre et ligne réunis.

Blabla...

Moi les deux

Nous ne veut pas dire tout le monde. Et puis même nous, on fait les mêmes conneries tout en ayant accès. Je suis bien d'accord, il pourrait en être autrement mais la vérité c'est la répétition.

é ta place je n'en serais pas si sûr. Aussi les adultes d'aujourd'hui ne sont pas plus intelligents que ceux d'hier.

En fait oui, on apprend de nos erreurs. Seulement l'expérience n'est pas héréditaire. Tout passe donc par l'enseignement. Seulement on a beau t'enseigner que le feu brule, tant que tu ne t'es pas brulé tu ne l'as pas véritablement intégré. Je pense qu'il s'agit de la cause de la perpétuelle répétition de l'histoire.

Les deux datent environ de 2500 ans.

Entre Oussama Ben Laden et Nicolas Sarkozy il faut bien admettre qu'un trait est en faveur du français : il ne se cache pas Il y a quand même de belles questions à se poser. Notamment sur les capacités militaire des nations à la recherche du fugitif depuis... 9 ans. Ou alors sur les capacités du fugitif à se cacher depuis... 9 ans. Mais la plus intéressante reste sur l'existence de ce dernier, en effet. Mais ce n'est pas la première fois qu'un personnage mythique fait son apparition. D'ailleurs, qui le connaissait avant 2001 ? Le taoïsme...

Le bouddhisme ne s'oppose pas à l'existence de Dieu, il est neutre.