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Tout ce qui a été posté par Titsta
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Ha, tu vois, je préfère nettement ça. :) Et non, ça n'est pas la même chose. Conseiller à un homme de montrer à une femme qu'il y a autre chose qui l'intéresse chez elle que son cul, en ne cherchant pas à coucher avec elle. ça n'est pas du tout la même chose que de conseiller à une femme de ne pas coucher avec un homme, parce que ça serait se mépriser elle même, et qu'il perdrait soit disant de suite son intérêt pour elle, si elle couchait avec. Rien à voir du tout, et je préfère très clairement la nouvelle version que tu donnes à ce conseil. Qui pour le coup me semble nettement plus intéressant ! Il y a aussi des livres sur des serials killers tu sais. Donc tu va leur dire que les mecs ne pensent qu'à les trucider ? Oui, j'ai bien senti que tes intentions étaient louables. L'enfer est pavé de bonnes intentions. Si tu cherche à ce que les femmes souffre moins. (et je suis d'accord avec Angeeeel qui dit qu'il y a beaucoup d'hypocrisie aussi... ) Commence déjà par leur apprendre à arrêter de confondre frustration et amour. On ne peut aimer que quelqu'un qu'on connait, et même plutôt bien. Donc quand on a un passé commun ensemble, ça tombe sous le sens. Être amoureux au bout de quelques semaines, c'est rien que de la frustration affective accumulée et du manque de cul. Rien d'autre. Les femmes ont des besoins sexuels énormes. Peut-être même plus important que ceux des hommes. Et sont en réalité vachement plus frustrée que les hommes. La nana amoureuse dans sa bulle, tellement prise dans son fantasme qu'elle ne cherche même pas vraiment à découvrir qui est l'autre réellement... C'est la version "féminine" de "l'obsession sexuelle". Rien d'autre. Qu'on fait passer pour un truc super sain alors que c'est vachement glauque. Si on arrêtait d'encenser la glauquitude d'une femme complètement perchée dans sa bulle, comme quelque chose de formidable et d'extraordinaire... Je pense qu'elles feraient vachement moins d'erreurs aussi. Faudrait les aider un peu plus. Être totalement en manque, aveugle et dans sa bulle (être amoureux quoi), ok c'est agréable quand enfin on commence à combler le manque... mais faut quand même que les êtres humains soient profondément cons pour associer cet état avec l'idée de s'engager sur du long terme. >_< Plutôt qu'avec l'idée qu'elles subissent en ce moment la résurgence d'un énorme manque de câlin accumulé, à combler très rapidement d'urgence, pour apaiser tout ces fantasmes. Et qu'elles penseront à s'engager plus tard. Quand tout ça sera calmé, qu'elles arrêteront d'être amoureuse, et qu'elles commenceront enfin à sortir un peu la tête de leur nombril pour se préoccuper de découvrir qui est vraiment la personne en face. JE pense que coucher n'est pas le plus important. C'est bien pour ça que je dis que coucher le premier soir n'est pas un problème. Voilà ! bah tu es comme ça. Si une femmes couchaient avec toi le premier soir, tu ne la jetterai pas pour autant. Tu t'intéresserai quand même à elle, et essayerait quand même de construire quelque chose avec. Bah figure toi que la majorité des autres mecs sont aussi comme ça.
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Y a moyens de protester ? de faire des manifs ? ^^ Vu qu'avec le guignol qu'on a à la tête du gouvernement, qui fait machine arrière, même sur des sujets prioritaires dès que trois têtes se pointent, y a de quoi faire avancer le smilblic :D :D Révolution !!! ^^ :p
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Apprend à lire alors. Sérieusement. La différence entre l'analphabétisme et l'illettrisme, c'est la capacité à lire un message de plus de quelques lignes. D'autant que tes postes sont tout aussi long, donc assez d'hypocrisies. La sexualité commence avec le désir et le moindre échange de sourire. Pas avec la pénétration. Et c'est toi qui ne fait qu'en parler. Moi je ne fait que réagir à ton mépris pour les hommes, pour les femmes, pour le plaisir, l'échange, la découverte, les sentiments réels. Car oui tu les méprises en considérant qu'il n'y a que la baise qui compte. Je répond à l'idéologie que tu propages. Considérant que la sexualité est méprisable, ne devraient qu'être un instrument de pouvoir. Que les hommes sont méprisables et incapable de sentiment ou d'intérêts pour quelqu'un d'autres... Que les femmes n'auraient que leur cul d'intéressant chez elles... Qu'elles devraient prendre sur elle de brider leur sexualité, "pour se respecter". ( Tellement leur plaisir serait une chose méprisable. >_< ) Que les femmes devraient détruire un échange naturel, sains et équilibré avec une autre personne. Pour entrer dans des logiques de manipulation, de castration, de vente de leur propre corps qu'elles devraient utiliser uniquement pour obtenir des "contrats" les plus profitables pour elles, contre la volonté de l'homme, et certainement pas pour leur simple plaisir, ou tout simplement en pleine complicité. Et c'est l'échange que tu proposes comme seul possible. Sans te rendre compte de ce que tu racontes.
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Et toujours pas de réaction à mes remarques sur la sexualité. Tu impose une vision complètement faussée et méprisante des rencontres, des hommes et des femmes. Voilà pourquoi on ne te laisse pas balancer ton endoctrinement sans réagir et sans intervenir. On te le dit, on te le crie à tue tête : apprend à respecter les femmes, les hommes, la sexualité. Comme quelque chose de précieux. Tes conseils visent à utiliser la sexualité comme un moyen de pouvoir. Et non comme un moyen d'échange, de découverte, de plaisir, de complicité. Que tu considère innenvisageable. Tu transmet une vision atroce des hommes. Qui ne chercheraient qu'à sauter les nanas, seraient incapable de s'intéresser à qui que se soit que leur queue. Seraient des êtres incapable d'aimer quelqu'un, d'avoir des sentiments. Qu'il serait impensable qu'un homme ai simplement envie de se trouver une copine. Pour construire une vraie relation. ( Mais comment peut tu t'imaginer un seul instant qu'aucun homme ne peut avoir envie de connaitre une femme ? >_< ) Tu a une vision atroces des femmes, et de leur sexualité. Extrêmement castratrice pour les femmes. Tu cherche à leur inculquer la peur des hommes, et un mépris de leur propres désirs. Ce que tu cherche à leur inculquer, c'est qu'il n'y aurait que leur cul qui compte dans une femme pour un homme ! Que si elles en donne l'accès, il n'y aura plus rien qui pourrai le retenir. Je ne peux pas tolérer ce genre de comportement méprisant pour les femmes. Non il n'y a pas que leur cul qui a de la valeur ! Essayer de leur coller ça dans la tête est une monstruosité. >_< Tu es peut être comme ça, je n'en sais rien. Puisque visiblement si une femme couchait avec toi le premier soir, tu la larguerai direct et tu ne pourrais plus t'y intéresser. Tu vas plus loin. Tu cherche aussi à leur coller dans le crâne que la sexualité est quelque chose de dégradant. Que simplement se faire plaisir serait un manque de respect envers elles. >_< (mais quelle idée nauséabonde >_< ) As tu seulement conscience des dégâts qu'ont pu créer ces idées religieuses sur la sexualité et le plaisir des femmes pendant des siècles ? >_< Pire encore (oui, y a pire) Tu cherche à leur apprendre que le seul comportement "respectable" serait de castrer les hommes, si mauvais et nuisibles, pour leur permettre de découvrir d'autres choses... Qu'ils seraient trop cons et immatures pour connaître, sans être castré par les femmes. ( Même les ado immatures ont tendance à tomber amoureux transi. Et les hommes adultes, psychologiquement stables, savent très bien apprécier une personne, se lier, et construire des choses solides pour elles-mêmes. Et ces deux cas réunis composent l'immense majorité des hommes réels. Pas tes fantasmes de psychopathes. ) Tu conseilles aux femmes de ne surtout pas se servir de leur sexe pour se faire plaisir, mais seulement pour manipuler et accrocher les hommes, afin d'obtenir ce qu'elles souhaiteraient. C'est à dire, que tu conseilles aux femmes de se comporter en prostituée en réalité. En as tu seulement conscience ? Même pas je suis sûr. >_< Et en plus, même pour éviter les mecs névrosés qui pourraient exister, tes conseils sont mauvais. Parce qu'un homme qui ne cherche qu'à coucher un seul soir avec une nana, ça n'est pas le faire attendre qui le fera renoncer ! Comme le signale Éclipse partielle, au contraire, c'est se poser en "chalenge". C'est attirer le chasseur, frustrer l'homme qui ne le serait pas pour qu'il ne pense plus qu'à coucher avec la femme, et pas à elle. Pour qu'il ne la voie plus que comme un chalenge. Et tu considère qu'il est impossible qu'il puisse en être autrement. Tu refuse de réagir lorsque je t'expose une autre vision de la sexualité. C'est ça que je trouve atroce dans ta vision de la sexualité et des rapports humains. Et non, je ne te laisserai pas énoncer des bétises sur les hommes, les femmes, la sexualité. En public, et te poser comme un spécialiste qui y connaîtrait quoi que ce soit. Comme si ce que tu racontait pouvait être utilisé dans le monde réel.
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Rooooo elle est superbe !!! :coeur: /fond ! Et ne t'inquiète pas trop, elle est très jeune et pas encore sevrée, c'est pour ça qu'elle réagit difficilement. Fait toi aidé d'un véto et surtout du bouquin dont je t'ai passé le lien. :) Dans très peu de temps elle ira mieux. La nature est bien faite, sois confiante et prend en soins, ça suffira. ça n'est qu'un petit moment difficile à passer. :)
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La connaissance de l'autre, (au sens biblique) que j'ai décris hier est une des choses les plus sacrée dans la bible. Pour ne pas dire la plus sacrée. Tout leur pataquès de règles n'a pour seul but que de faire comprendre ça aux gens, et le leur faire vivre. (après on peut juger qu'ils s'y prennent mal ^^ Si les religieux comprenaient le sens de leur livre sacré, ça se sauraient. ) Si tu élimine l'envie ( la volonté d'être à la place de l'autre... et pas d'échanger avec), ou la luxure (la seule recherche du plaisir physique matériel, sans connexion à l'autre), tu atteins la connaissance. La "connaissance" n'étant pas à prendre dans le sens moderne de la quête de la science. (ce qui est mal compris aujourd'hui) Qui est aussi un péché qui t'éloigne de la "connaissance biblique", de la connaissance véritable de l'autre. La science t'éloignant de la connaissance, car t'amenant à trop d'abstraction, trop de "physique" et de "mathématiques". La "connaissance" biblique de l'autre est réellement à prendre dans le sens d'un acte sexuel complet. De vivre et découvrir l'autre, son âme et son corps, comme un tout. Dans la fusion indivisible et vivante des deux (l'incarnation. C'est son sens profond.) Connaitre l'autre, par l'âme et le corps, jusqu'aux subtils frémissements que son âme peut donner à son corps. Il s'agit d'une quête sacrée. ( dans la religion judo-chrétienne en tout cas. ) Nul besoin de se sentir appartenir à un groupe, et de se comporter comme des moutons se rassurant et se jugeant les uns les autres, pour suivre cette quête.
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@pep-psy Un petit commentaire sur ce que j'ai écris ? Qui montre un peu que la sexualité n'est pas, pour beaucoup de vrais Hommes, un truc débile comme tu la vois. ( Sérieux, tu as 15 ans ? C'est un fake ton âge ? Tu as déjà couché avec une nana ? >_< J'allucine >_< ... ) Pour ce qui est de ton scénario. Si tu continuais ta petite expérience de penser sans changer de personnage entre les deux ? Si ton mec de 15 ans d'âge mental ne couche pas le premier soir avec la religieuse infantile de ton histoire. Qu'est-ce qu'il se passe ? Il attend le deuxième, le troisième, une semaine... (se faisant quelques autres nanas de son "catalogue", pour passer le temps.) Pendant ce temps, la nana, qui était semble t'il déjà complètement amoureuse avant même de l'avoir rencontré, ne va que se perdre encore plus totalement dans son fantasme d'amour romantique, totalement déconnecté de la réalité. Pire, si elle a croisé tes conseils à la con, elle s'imaginera connement qu'il l'aime, puisqu'il a attendu ( >_< ) (ok, en couchant avec d'autres nanas parce qu'il n'a pas que ça à faire... mais ça elle ne le sait pas). Et c'est totalement amoureuse qu'elle s'offrira (parce qu'en plus, je t'assure qu'attendre, ça rend les nanas folles elles aussi. Surtout s'il n'y a qu'elle qui attend en réalité).... Et elle se fera baiser et jeter comme une merde !! Peut être deux ou trois semaine après, mais la première fois qu'ils coucheront ensemble. À ton avis, qu'est-ce qui sera pire pour elle ? réfléchi sérieusement si tu veux vraiment donner des conseils. Se faire jeter par un mec qu'elle venaient de le rencontrer ? Ou se faire jeter par un mec sur lequel elle avait passé des semaines à fantasmer un amour complètement irréel, dans sa petite bulle ? ça change tout si tu ne change pas les personnages en cours de route. Si le mec est un salaud, c'est pas de ne pas coucher le premier soir qui va y changer quoi que ce soit. Je vais te dire, même si ce que tu racontais ne concernait pas que des gamins immatures et décérébré. Alors s'éclater avec eux dès le premier soir, pour voir, en s'amusant et sans trop s'emballer sentimentalement, est de très loin LA meilleure manière de savoir s'ils sont sérieux ou pas : S'il reste, c'est qu'il est sérieux. S'il ne reste pas, au moins tu ne t'es pas engagée sentimentalement. Ha pardon, j'oubliais que si une nana couchais avec toi dès le premier soir, tu te comporterai mécaniquement, sans pouvoir résister, comme une merde. Alors que si elle ne couche pas le premier soir, tu te transformerai en prince charmant qui rêve de penser aux étoiles avec elle, et de prendre un petit dèj le matin en toute intimité. >_> Dans ma vision des choses, les gens ne changent pas comme ça de nature. Ceux qui apprécient s'étendre, regarder les étoiles, prendre des petits dèj le matin, et construire de belles histoires avec une femme à aimer ne changent pas, qu'ils ai ou non couché le premier soir. Le mec qui ne pense qu'à baiser... bah qu'il ai couché le premier soir ou non, il ne pensera toujours qu'à baiser. Pourquoi ça changerai ? ... Et d'ailleurs, ça ne tiens même pas debout 5 secondes tes conneries. Si vraiment il ne pense qu'à baiser, pourquoi larguer la nana après ? C'est débile, il peut BAISER... faut rester cohérent. >_> Je ne comprend vraiment pas les mécanismes psychologiques qui peuvent jouer pour qu'un imbécile puisse larguer une nana, seulement parce qu'il a couché une fois avec. ça ne peux pas être un mec qui ne pense qu'à baiser. Il faut qu'il ai une névrose profonde. Une phobie des femmes... J'ai vraiment du mal à comprendre. Quoi que si, petit à petit, quand tu m'explique ta vision des femmes, je commence à comprendre. Tu as été tellement endoctriné par des idées à la con, à mépriser les femmes, que tu t'imagine que si tu couche rapidement avec une nana, c'est que c'est une merde profonde. Et tu la largue. Je n'arrive pas à te faire passer à quel point ton erreur est énorme. :/ Arrête de penser que si tu couche rapidement avec une nana, c'est une merde. C'est atroce. :/ Sérieux, je ne sais pas comment "sauver" les malheureuses qui te fréquenterons, et je ne sais même pas comment te sauver toi. Tu es un monstre. De bêtise, mais un monstre quand même. :gurp:
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Bah écoute, garde pour toi tes jugements sur les mecs. Que toi, coucher avec la nana une seule fois sois la seule chose qui t'intéresse. C'est ton trip, (ton besoin ?)... Personnellement, et je ne pense pas une seule seconde être une exception (pour une fois) : Je ne m'intéresse pas aux nanas pour leur cul, mais pour l'échange, l'aventure, la découverte (de l'autre). Et oui, j'ai des désirs aussi ! Et tu sais quoi, les nanas aussi ! Évidement que si ça marche bien avec une nana, même si c'est le premier soir, il n'y aura aucun problème pour qu'on couche ensemble, ça n'enlèvera absolument rien à ce qui m'intéresse chez elle, au contraire. La sexualité est aussi une excellente façon de découvrir l'intimité de l'autre, peut être une des meilleurs. (C'est peut être un truc qui t'échappe ?) Quand les choses se passent bien au pieu, les femmes se libèrent. Que ça soit tendrement ou "bestialement", c'est une découverte profonde, à travers leur sexualité, de qui elles sont en réalité. Dans l'instant, et derrière leur masques sociaux. Et les miens aussi, de masque sociaux tombent, quand je suis au lit avec une femme. C'est une façon de se poser en accords de nos envies, de nos besoins, sexuels comme affectifs. De se "connaitre" (dans le sens biblique du terme) ( Aussi un truc qui t'échappe ? ça n'a rien de méprisable ou d'un manque de respect. Ni envers soit, ni envers l'autre. Un être qui se libère ainsi, deux êtres qui échangent ainsi, c'est une des choses les plus pure et des plus sacrée qui soient ! ) Après avoir couché avec une femme, tu as une complicité physique avec. Plus que ça, une intimité qui reste palpable. Et ce même des années après. Évidement que c'est intéressant ! Évidement que c'est épanouissant, enrichissant. Et qu'il n'y a pas la moindre chance que, si ça se passe correctement avec une femme, je n'ai pas envie de la revoir. D'ailleurs, même si ça ne se passe pas correctement. Je ne suis pas débile. Je sais bien qu'il peut y avoir des couacs. La seule chose qui compte, c'est est-ce que la nana est intéressante ou pas, pas tant comment ça s'est passé au pieux. En réalité, j'en ai même rien à faire. C'est un échange que j'apprécie énormément, mais ça n'a aucune influence. Je sais apprécier la découverte. Qu'elle soit sexuelle ou pas ça reste une découverte de l'autre. La façon dont on la découvre fait juste partie de l'histoire qu'on écrit. Et correspond, tout simplement, à nos envies. Qu'on ai couché ou pas ensemble, pour que je n'ai pas envie de revoir une femme, il faut vraiment qu'on ne s'entendent pas sur quelque chose de profond. Qui n'a absolument rien à voir avec la sexualité. J'ai cessé de voir des femmes, pourtant canon, qui "s'offraient". Avant même d'avoir couché avec, parce que je ne les sentaient pas du tout. ( ok, beaucoup pensent que je suis con ^^ ) ça m'est même arrivé d'avoir couché avec des femmes dès le premier soir, et après d'en avoir fait des amies qui sont restée très proche. Parce qu'on sentait aussi bien l'un que l'autre qu'on était plus fait pour être amis qu'amant. Tout simplement. (mais là au moins, il n'y a pas de frustration, pas de "et si on couchait ensemble ?" ) J'imagine que ça doit totalement te passer au dessus, puissance 10 000 cette fois, mais c'est aussi une excellente façon de commencer une amitié. Bref, qu'une femme couche ou non avec moi, ça regarde avant tout son envie du moment. Si le moment y est, tant pour elle que pour moi, c'est certainement pas le moment de remettre ça à plus tard pour des conneries de principes à la con. Une chose à laquelle je tiens beaucoup, chez les femmes. Et un critère qui fait que je les revois ou non. C'est leur capacité à apprécier l'instant. à vivre en accord avec ce qu'elles ressentent. C'est quelque chose que je respecte très profondément. Une des choses qui me fait fuir, c'est la volonté de certaine de "prendre un pouvoir" sur moi, par la frustration, ou la castration. C'est une chose que j'ai beaucoup de mal à respecter. Tu parlais de "se respecter"... tu vois, toi et moi, nous n'avons pas un instant les mêmes valeurs. Et tu aura beau dire, je pense que les miennes sont considérablement plus respectueuses des femmes, des autres, et de moi même que les tiennent.
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Non, ce qui est répugnant, c'est de considérer que coucher avec un homme est un manque de respect pour sois. Endoctriner des femmes comme ça c'est les traiter en pute. (qui ne couchent pas parce qu'elles en ont simplement envie elle aussi, mais qui se servent du désir d'un homme pour obtenir quelque chose qui les intéressera sois disant plus. ) Ce qui est répugnant aussi, c'est de considérer qu'un homme ne peut pas avoir de désir ET des sentiments sincère aussi, en même temps. C'est faux. Les hommes ne sont pas binaire, désirer une femme ne signifie pas qu'elle ne nous intéresse pas aussi en tant que personne, par sa personnalité, son caractère etc... Je vais te dire, c'est même exactement le contraire. Un mec qui n'a pas besoin de coucher avec une femme, c'est qu'il a une copine. Et qu'il cherche un coup d'un soir. Mesdemoiselles, un mec libre, honnète sincère et respectueux, qui s'intéresse un minimum à vous, il vous désire. évidement qu'il a envie de coucher avec vous. Et s'il est honnête et sincère, il vous le montrera, ou aura du mal à vous le cacher. Le "manipulateur-dragueur" ne passe jamais pour un mec qui a envie de coucher avec vous. Jamais. Si vous cherchez des signes positifs, cherchez plutôt les mecs à qui vous faites de l'effet, et qui perdent un peu leur moyens. Pour le reste de ton message, au début, tu disais des choses assez subtiles, avec lesquelles je n'étais pas d'accord, mais sur des nuances. À la fin, c'est du grand n'importe quoi.
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Pour la litière, tu la pose dedans, tu prends ses pattes avant, et tu la fait gratter la litière. C'est un réflexe qui leur fait comprendre que c'est là qu'ils doivent faire leur besoin. (parce qu'ils grattent après avoir fait leur besoin. L'association se fera d'elle même) Achète impérativement ce bouquin !! http://livre.fnac.com/a1783968/Pam-Johnson-Bennett-Comment-penser-chat Il t'apprendra un nombre considérable de petits trucs et astuces pour avoir un chat heureux, épanoui, sociable, qui joue avec vous. :) Un des trucs : une maison, pur un chat ( surtout petit ) c'est immense ! Dis toi que simplement ta chambre (enfin une pièce), c'est l'équivalant d'une maison entière pour un petit chat. Donc une maison, c'est comme une ville inconnue. Il y a de quoi être effrayé. Il est vital, pour qu'il puisse s'acclimater et se sentir à l'aise, de lui faire découvrir la maison qu'une pièce après l'autre, semaine après semaine. Qu'il ai le temps de s'acclimater. D'assimiler la pièce, avant de pouvoir passer à une autre. ça prend du temps. La première semaine, tu la laisse dans une seule pièce (il y a de quoi découvrir, t'inquiète). La deuxième, tu ouvre une deuxième pièce (ou le couloir). Et ainsi de suite. Accessoirement, tu peux jouer avec dans la nouvelle pièce. Poser sa gamelle dans la nouvelle pièce (quand elle aura appris qu'elle peut manger dedans) Les chats ont besoin de chercher leur nourriture. C'est aussi un excellent truc pour qu'il ne pissent pas partout. Les chats pissent pour marquer leur territoire, donc dans les lieux qui leur semblent être la limite de leur territoire ( donc un peu partout si la maison est trop grande, et qu'ils n'ont pas eu le temps de l'assimiler. ) Ils ne font pas leur besoin là où ils mangent. Poser sa gamelle dans la nouvelle pièce (et y jouer) permet à la foi de lui faire assimiler la pièce progressivement en y plaçant des reperds familiers, et de lui faire prendre conscience que ça n'est pas là qu'il faut faire ses besoins. Après, ça reste un tout petit chat, pas encore complètement sevré. (Normalement, c'est vers 3 mois) donc c'est parfaitement normal qu'elle soit intimidée. Et qu'elle ai des difficulté à manger, ou à faire sa toilette. Il faut beaucoup de patience, d'amour et d'affection :) ( Pas trop la prendre dans ses bras si elle hésite, les chats n'aiment pas trop être empêché de bouger par des inconnus. Quand on la prend, on la soutiens contre sois, par en dessous, pour qu'elle puisse partir quand elle veux.) Autre chose, quand elle visite les pièces, laisse la découvrir par elle-même les choses, et suis là en l'observant. C'est aussi une bonne façon de découvrir ce qui l'intéresse, et sa personnalité. :) Mais bon, lit le bouquin, tu saura tout ce qu'il faut savoir ! :)
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Pour qui te prend tu pour la juger ? 4 mois de relation... putain... tu as sois disant 44 ans, et tu te crois pouvoir diriger sa vie comme TU l'entends après seulement 4 mois ? Mais tu la connais à peine ! Comment veux-tu qu'en 4 mois elle te fasse confiance au point de risquer sa vie et son métier pour toi ? Est-ce que tu t'imagines que ça se trouve facilement des client correct, rassurant, pas trop lourd, respectueux ? Est-ce que tu as idée du temps que ça a du lui prendre, et l'épreuve que ça a dû être d'apprendre ce métier et de se construire cette clientèle ? Tu sais que c'est une clientèle qui s'entretiens ? Et que tu lui demande de lâcher aveuglément ce qui la fait vivre, en la connaissant à peine. Tu dis qu'elle avait des difficultés financières... Et si elle n'avait pas envie d'être dépendante de toi ? Y a tu seulement pensé ? Es-tu seulement près à l'entendre ? Tu sais, être autonome, c'est un des besoins les plus vitaux des êtres humains. En particulier pour les gens qui n'ont pas eu de chance, et qui ont appris à se méfier de la non-fiabilité de leur semblables. Elle a la responsabilité d'un enfant, ça passe largement au dessus de ton petit égo personnel. Tu crois qu'il suffit que tu donne ta parole pour qu'on te fasse définitivement confiance et qu'on risque sa vie et celle de son môme pour toi, en à peine 4 mois ? Mais pour qui tu te prend ? Ou n'acceptes tu que de te voir en "sauveur" qui cherche à la sauver tout en la méprisant profondément en réalité. En méprisant ce qu'elle fait, en méprisant ses choix, en la traitant en réalité comme de la merde et toi comme un ange qui vient la sauver, elle, pauvre minable qu'elle est à tes yeux. C'est ce que tu lui renvois. Sois la merde pour toi histoire de changer un peu. Et elle l'ange qui a raison, qui sait ce qu'elle fait, qui est adulte, qui est forte, qui est capable de juger ce qui est le mieux pour elle. Et toi l'enfant qui ne connait en réalité rien de la vie. Et certainement rien de sa vie, ses besoins, ses rêves réels. Commence déjà par t'intéresser à ce qu'elle peut vouloir, à ce qu'elle peut être, à ce qu'elle peu penser, ressentir. Là tu montrera un tant sois peu de l'amour que tu prétends avoir. Met toi à son niveau. Et si tu penses que pour ça il faut que tu descende tu es totalement à côté de la plaque. Essaye un peu de monter à son niveau. De découvrir la vie un peu. Mon avis ? elle a percé ton masque à jour : Tu t'es simplement payé une femme. Et tu as simplement chercher à l'acheter pour diriger sa vie. C'est quelque chose que ressentent bien les prostituées. Si tu te pose toi même dans le rôle du client l'achetant, tant pis pour toi. Elle n'a fait que t'obéïr en prenant ton fric, et tu l'as eu dans l'os en te rendant compte qu'elle était indépendante, adulte, et qu'elle n'avait pas à t'obéïr. Que l'avoir payé ne te permettait pas de diriger sa vie. C'est toi qui la traite en pute, et elle qui te traite en homme digne. Tu ne pense qu'à toi, pas à elle. Et quand tu la regarde, tu ne vois que le sauveur que tu peux être pour elle... toi toi toi, pas elle. Pas un seul instant. Un comportement typique d'un ado en pleine crise d'adolescence. Simplement, t'es tu déjà demandé si elle appréciait ce travail ? Dur très certainement, mais que tu méprise tant. Ce qu'il lui apportait pas seulement financièrement, mais peut être aussi en terme de reconnaissance. Sais tu ce qu'apportent les prostituées aux hommes qu'elles fréquente ? Réellement je parle, pas les clichés à la con. Tu sais, l'affection, l'amour à des êtres qui en manquent tant. Mais tu ne sais pas. C'est méprisable quelqu'un qui apporte de l'affection à des gens qui en manquent pour toi ? Comment jugerais tu quelqu'un qui méprise profondément ton travail ? Sans même avoir cherché à le connaître ? Si tu t'intéresse à une prostitué, essaye peut être de devenir adulte et de t'intéresser vraiment à leur métier. À comment elles peuvent le voir, elles. À comment elles le juges elles, ce métier. Là tu commencera à cesser de te comporter comme un idiot, et tu commencera à devenir digne d'intérêt. Essaye un peu de pénétrer dans son monde, plutôt que de vouloir la déraciner pour l'acheter et la faire venir dans le tiens.
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Européennes 2014 : la presse européenne s'effare du "séisme" Le Pen
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
Je suis d'accord. Le PS comme l'UMP sont dirigé par des 70ards un peu gâteux, qui ont encore beaucoup de compétences pour faire des magouilles politiques, mais qui sont sérieusement entrain de couler la France, à force de s'être complètement déconnecté du monde réel et de ses problèmes. À quand la dissolution du PS et de l'UMP ? Qu'on reparte avec d'autres partis politiques nouveaux, avec des personnes nouvelles, ferme ou modérés mais qui sauront nous proposer de réels choix de sociétés, et qui nous prendrons moins pour des cons. Autrefois, la démago à deux balles suffisait, on élisait un Mitterrand qui prenait toutes les décisions pour nous, et on était très content. Aujourd'hui, les Français sont formés à la politique et à l'économie par le net, avec des connaissances réelles. À peine prononcé, la démago est dévoilée par cette intelligence collective. Chacun de nous à déjà croisé suffisamment de vidéo expliquant l'économie bancaire sur le net, pour que le quidam de base en sache finalement bien plus long sur l'économie que ces gignols de ministres et députés, trop vieux pour apprendre encore quoi que ce soit, et totalement perdu devant un monde et une population qui ne se comporte plus comme du temps de leur premières armes politiques, il y a 50 ans. Le seul avantage qu'a eu le FN ? Le pen à céder la place à sa fille, plus jeune. Quoi qu'on puisse en dire, elle a sut donner au FN des arguments et un gage de sérieux politique et économique dont sont incapable les incompétents notables du PS ou de l'UMP. Et pourtant, ça n'était pas gagné vu les imbécilités du père. dernier représentant politique des magouilleurs démago, à l'époque où ça marchait encore. Les magouilles qu'on effectués le PS pour scier toute légitimité aux dernières élections présidentielles un petit partit prometteur qui montait, europe-écologie, manifeste de leur agonie destructrice. Ils crèvent, mais conservent encore assez de pouvoir pour supprimer toute alternatives un tant soit peu sérieuses. En se faisant encore passer pour un partit représentatif d'un quelconque choix de la population alors que ça n'est plus le cas depuis longtemps. Personne n'est dupe, ils ne proposent plus aucun choix réellement solidaire, plus aucune mesure socialistes (solidaire). L'UMP ne vaux pas mieux, sarko ayant vendu la France aux banques sans aucune contrepartie, donnant en un instant plus que 40 ans d'état providence ruineuse de la gauche, ou en donnant plus de 50% d'une mesure ruineuse pour la France à une seule bénéficiaire. Pourrissant les modèles libéraux cher à une partit de la population, de magouilles "monarchistes" d'un autre âge, se servant dans la caisse au passage pour lui et ses amis, comme dans les république bananières. Que ces partis, relativement coupable de haute trahison l'un comme l'autre, disparaissent définitivement. Les gens sont capable de se ressaisir, et de se rassembler sur des partis sérieux qui se présenteraient, si on leur laissait la parole, et si on supprimait un peu cette lutte intestine des clans gauche contre droite, qui bouffent la France et l'empêche de clarifier avec intelligence ses décisions. -
Le monde parallèle entre la foi et la science
Titsta a répondu à un(e) sujet de Fistone dans Religion et Culte
PS : merci Zenalpha et Fistone. -
Le monde parallèle entre la foi et la science
Titsta a répondu à un(e) sujet de Fistone dans Religion et Culte
Effectivement, et je m'attendais à ce genre de réactions. (et à la tienne ^^) Mais je goûte l'ironie de leur incapacité à appréhender rationnellement le monde qui les entourent. Toute modélisation scientifique commence par cette phase de définition d'objets et de modélisation rationnelle, pour aboutir à une cohérence rationnelle du modèle lui-même. La science ne progresse jamais autrement. Ils auraient été les premiers à se foutre de la gueule des modélisations de Darwin, d'Einstein ou de la physique quantique. Sans même prendre conscience que c'est la remise en cause de leurs "tradition", de leur "croyance" qui les marquent. L'appréhension d'objet qui leur étaient jusque là inaccessibles. Leur réaction est révélatrice d'une incapacité malheureusement répandue à appréhender les modélisations rationnelles du monde. Et leur hermétisme, en réalité, à la science. Et j'en goûte l'ironie provenant de personnes pensant la "défendre" ou la représenter en ce lieu. ^^ La seule différence, c'est que le travail scientifique doit se poursuivre, après avoir effectuée ce genre de modélisation. Par l'élaboration d'un protocole de mesure des différents objets définis dans le modèle posé. Et d'un protocole d'expérimentation. Il pourrait d'ailleurs se poursuivre et passer entièrement dans le champs de la science. Mais je ne souhaite simplement pas le pousser jusque-là. ( Je pense plus important pour le monde, comme pour la science d'ailleurs, d'accepter et de reconnaître d'autres façon de penser que la seule appréhension scientifique. Se doter d'autres outils et techniques complémentaires. Qui permettraient de compenser les défauts assez flagrant et reconnu de la science à appréhender une partie de l'univers matériel. Ce qui permettrai aussi à la science de se re-centrer sur son réel fonctionnement rigoureux, qu'elle est par ailleurs totalement entrain de perdre, en pratique. ) C'est un peu le défaut de notre époque. Où les gens appréhendent malheureusement la science comme un ensemble de sacro-sainte connaissance-vérité établies, dont il faudrait répandre la bonne parole. Tirant leur "vérité" du seul fait qu'elles soient réputée, et proviennent de livres techniques-religieux à la notoriété incontestable (comme la bible l'était à une époque)... Et n'acceptent de vérités que provenant de leur "hommes religieux", reconnus scientifique par la communauté, mais incapable de réfléchir et critiquer par eux-même la qualité scientifique de ces choses. Ils se retrouvent en fait pratiquer totalement religieusement la science, sans le savoir. Le fait même qu'ils soit incapable de reconnaître le processus scientifique dans ma pratique est assez révélateur. Et les vrais scientifiques, justement, ne s'y seraient pas laissé trompé. Mais j'avoue bien aimer piéger les pseudo-scientifiques et les confronter à leurs incohérences. -
Le monde parallèle entre la foi et la science
Titsta a répondu à un(e) sujet de Fistone dans Religion et Culte
C'est un peu complexe, et je ne suis pas très habitué à expliquer mes modélisations et croyances personnelles. Surtout en présence ouverte, sur un forum général, à une population de pseudo-scientifiques qui ont souvent du mal à penser de façon rationnelle, à se comporter respectueusement vis à vis de l'intimité des croyances, et ont une vision de la science très déformée par leurs propres croyances matérialistes. L'exercice n'est pas simple, mais je vais essayer. Je commence par quelques postulats. • La science se limite d'elle-même à la modélisation d'une petite partie de l'univers seulement. Elle se restreint à la partie observable et mesurable. L'univers étant déjà pour la science plus grand que sa simple sphère d'appréhension. • J'ai une définition scientifique de "l'univers" : fait partit de l'univers tout ce qui a une influence observable sur les éléments qui sont déjà considéré comme en faisant partit. C'est un peu une tautologie mais la science est très tautologique. Il faut bien partir de postulat de base qu'on ne remet pas en cause avant de pouvoir construire quoi que ce soit de rationnel. ça a malgré tout l'avantage de définir un ensemble d'élément possédant une cohérence entre eux. • J'appelle "monde matériel" les "objets" (les concepts) composés de matière et d'énergie (respectivement en kg et en joule). Je considère qu'il y a d'autres objets qui dépassent ce simple champ matériel. Il y a d'autres "mondes", non-matériels. Contenant des objets/concept. Mais certains de ces concepts peuvent très bien posséder une composante matérielle. Les mondes ne sont pas nécessairement complètement disjoints les uns les autres. Quelques exemples de mondes : - Le monde onirique. Contenant des rêves, des personnalités, des évènements, des sentiments et sensations. - Le monde des idées... Contenant des idées - Les mondes subjectifs, que j'ai tendance à appeler univers personnels. Ou la Parole de quelqu'un avec un P majuscule, lorsqu'on parle de l'intervention d'un univers dans un autre. (matériel ou subjectif) (la Parole étant en réalité la partie d'un univers subjectif étant entré dans un autre, et faisant donc partie un peu des deux. ) C'est des mondes subjectif, chaque personne ainsi que certaines entités des autres mondes possèdent leur propre univers (personnel justement). Ce sont des exemples, non exhaustifs. Quelques subtilités : • Dans cette définition, les sentiments existent dans l'univers (scientifique), car ils ont une influence parfaitement observable. Mais ils ne font pas partit du champs d'étude de la science, car même si leur conséquences sont observables, ils ne sont pas eux-même observables et mesurables. • Je l'ai précisé les mondes ne sont pas nécessairement disjoints, et des objets d'un monde peuvent très bien avoir des composantes dans un autre. Par exemple, une idée possède une composante dans le monde matériel, sous forme d'énergie, de connexions neurales, d'encre sur un livre... même si la composante matérielle est négligeable dans la modélisation du monde des idées. Les idées font donc partit de l'univers, par leur conséquences observables sur le monde matériel, à travers nos comportements par exemple. Toutefois, une modélisation du monde des idées cherchant à se restreindre à ses composantes matérielles serait très lourde, extrêmement complexe, et totalement inutilisable. Une modélisation scientifique du monde des idées serait lourde, peu pertinente, inutilisable et totalement inefficace. Si la science est assez efficace pour décrire le monde purement matériel mesurable (elle n'est pas la seule appréhension efficace du monde matériel), elle reste par contre un outil complètement inadapté, et souvent une énorme source d'erreur, lorsqu'elle est utilisée pour comprendre ou utiliser efficacement l'univers dans son ensemble. ( Et je parle bien là de l'univers "scientifique", que j'ai décris plus haut. ) Bref. Une des modélisations que j'utilise considère que deux monde se côtoient sans s'échanger, le monde matériel, et le monde des "esprits" (dont le nôtre). Par contre, l'un déforme l'autre et réciproquement, dans les lieux où ont trouve de la complexité. Notre univers physique à une tendance à localement générer de la complexité, par exemple dans un être vivant. Cette complexité à tendance à "regrouper" la "matière" spirituelle, qui peut former des entités plus ou moins "consciente". Le lieu de l'échange s'effectue dans la complexité. Notre cerveau étant un des lieux qui concentre le plus de complexité, dans l'autre monde, notre esprit est puissant. Et se met à posséder de nombreuses propriétés. Comme une volonté par exemple. Alors qu'un espace relativement peu complexe possédera dans le monde correspondant, beaucoup moins de propriété. Cette modélisation me permet d'appréhender différents "esprit" avec différentes caractéristiques plus ou moins "humaines", plus ou moins variées, ou puissantes. Plus ou moins localisé dans le monde matériel, en fonction de la densité de la complexité dans ce lieu. Plus ou moins étendue dans le monde des esprits. (étendu ne signifie pas forcément "puissant", mais plus diffus. Et influençant plus ou moins les autres "esprits"). Un esprits très incarnés est un esprit très localisé. Il peut exister des esprits moins incarnés, comme peuvent l'être un personnage de roman, un proche mort, un esprit, un "ange", un "dieu" personnel, une entreprise... qui sont beaucoup moins localisé. Mais qui ont une influence sur le monde réel et physique à travers la complexité qui les manifestes dans notre monde. Cette modélisation, et la plupart des concepts que j'ai pu développer pour formaliser le monde des "esprits" (leur différentes propriétés, leur différentes façon d'interagir entre eux, ou avec le monde physique) me permet d'appréhender beaucoup plus facilement les comportements complexes. Que ce soit dans la compréhension de l'économie. Ou dans la psychologie. Par exemple en psychologie, cette modélisation est très utile pour comprendre l'importance et l'influence que peuvent avoir certains comportement rituels (habituels) ou certains mots que nous utilisons dans nos phrases ou dans nos pensées (discourt intérieur). Certains mots sont des entités puissantes, possédant une présence importante dans le langage et dans la culture. Prononcer une phrase est une invocation d'un certains nombres d'entité-mot. Qui peuvent se mettre à influencer très fortement notre esprit. Si nous ne concevons pas ces mots comme des entités à part entière, possédant leur propre logique, parfois leur propre volonté, et si nous ne concevons pas le fait de les utiliser comme étant des invocations de ces entités, nous pouvons très facilement nous retrouver sous leur pouvoir. Et ce, par notre propre appel, et ce même contre notre volonté. Un exemple. Parler de rupture dans un couple, même si elle n'est qu'humoristique, ou sans même que cette éventualité semble possible, invoque cette entité dans l'univers de notre couple. Si elle est invoquée trop de fois, (par exemple par un discourt intérieur soutenue), elle sera invoquée de façon de plus en plus puissante, et finira par provoquer sont influence propre sur notre relation. Influence qui pourra même dépasser notre libre arbitre et notre volonté propre. Nous pouvons aussi invoquer des "personnages" pour nous guider, ou nous assister. Qu'il s'agisse de modèle à suivre ou de rôle à adopter. Jouer un personnage c'est invoquer son entité dans notre monde, et la laisser plus ou moins nous "posséder". Ce que nous faisons très souvent inconsciemment lorsque nous acceptons de jouer un rôle. Ce personnage est "invoqué" et fini par prendre le contrôle de nous même, parfois au delà de notre volonté si nous n'avons pas conscience de cette entités et de son pouvoir. Énormément de technique de manipulation nous poussent à nous faire invoquer un rôle, une entité, qui va peu à peu prendre une possession plus ou moins importante de notre esprit. Reconnaître leur existence nous environnant, et leur pouvoir, nous permet justement d'être plus conscient, plus libre. De les manier plus facilement sans en devenir esclaves. De faire attention à ne pas nous oublier, à ne pas négliger des petits détails qui pourront avoir de grosses conséquences. C'est à ça que sert une bonne modélisation. Celle que j'utilise est, dans ce cas, une modélisation utile et pratique. Après, je ne dis pas que c'est "Vrai", je dis que c'est une modélisation qui se révèle être très simple et efficace. Et qui, à force d'être maniée, devient très concrète. Permet d'appréhender, de comprendre et de manier plus efficacement beaucoup de choses. C'est malheureusement une façon de penser assez inaccessibles aux pseudo-scientifiques extrêmement rationalistes. Mais ça n'est pas un hasard. Dans nos sociétés "occidentales", nous somme fortement endoctrinés pour devenir et rester des esclaves techniciens toute notre vie. Très serviables, très puissant sur le monde matérialiste ( donc très "productif" ), mais incapable d'appréhender les mécanismes réels de l'univers, à commencer par celui des groupes humains. Endoctrinement qui vise de façon très perceptible à réduire notre pouvoir sur le monde qui nous entoure, à nous rendre très faible devant les manipulations "affectives" de la publicité et des médias, et à réduire très fortement notre capacité à faire bouger les choses sur le plan politique ou économique par exemple. Le plus "ironique" c'est que les raisons invoquées par les pseudo-scientifiques pour ne surtout pas approcher les concepts non-rationnels, sont justement qu'ils auraient servit à utiliser et endoctriner la population en diminuant leur capacité de perception et de raisonnement. Et pourtant, ils pratiquent en permanence une auto-libotomisation matérialiste, qui réduit très précisément avec les mêmes mécanismes leur capacité de perception et de raisonnement, et aboutis exactement à ce qu'ils veulent éviter. Bon, désolé pour le pavé Je n'ai pas l'habitude de raconter tout ça. :/ -
Le monde parallèle entre la foi et la science
Titsta a répondu à un(e) sujet de Fistone dans Religion et Culte
ça dépend sous quelle forme Sous une forme physique, non. C'est une question de modélisation de l'univers. Je parlais surtout de la brèche ouverte par la physique quantique dans beaucoup de mur infranchissable de l'ancienne science. Et du fait que par la remise en causes de nos concepts classiques, la physique devenait un vecteur de l'imagination créatrice. Ce que je pense être une très bonne chose, de manière générale. Le monde concret dans lequel nous vivons dépend très fortement des modélisations que nous choisissons. Des choses qui nous semblent extrêmement concrète, comme le travail, l'argent, un contrat, un emplois... ou même le plaisir, ne sont pas plus concrète que Dieu, ou des entités spirituelles. Ces choses qui nous semblent concrètes n'ont d'existences dans le monde physique qu'à travers leur impacts sur nos comportements. À travers l'importance que nous leur donnons dans les modélisations que nous utilisons. L'argent, même s'il n'a aucune réalité physique, est un concept utile. Le fait qu'on le considère comme quelque chose de très concret, n'est dû qu'à notre utilisation courante de ce concept. De son importance pour nous. Je ne suis pas apte à juger pour tout le monde, ni de l'utilité, ni de l'importance que peux avoir les concepts de djins ou d'entités spirituelles. Pour ma part, certaines modélisation que j'utilise intègre, en toute compatibilité avec les modèles scientifiques, des entités spirituelles qui me sont très utiles, et qui me sont dans un sens très concrètes, même si je ne les mélanges pas avec le monde "physique". C'est ce que font la plupart des personnes sérieuses et pas que "matérialistes". -
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Titsta a répondu à un(e) sujet de Fistone dans Religion et Culte
Disons que ça a énormément ouvert la porte des possibles. Déjà en cassant le déterminisme (enfin, en remettant en cause la nécessité du déterminisme. Reléguant au stade de croyance quelque chose qui était auparavant un postulat nécessaire. ) Ensuite tout simplement parce que c'est un domaine rempli d'inconnu. Et dont les rares choses connues remettent en cause énormément des principes macroscopiques habituels. Et casse un très grands nombres de murs que la science jugeait infranchissable auparavant. Une chose est certaine. Plus l'imagination sera fertile, plus nous seront capable d'appréhender le monde, et d'offrir de nouvelles modélisation plus performantes. -
Ce qui compte pour quelqu'un, c'est précisément une aspiration. Les gens ont aussi tous envie que les femmes gagnent la même chose que les hommes à travail égal. C'est une belle aspiration, ça n'en fait pas une réalité pour autant. Précisément parce qu'il y a des composantes culturelle complexe en jeu. Qui vont jusqu'au fait que les promotions sont favorisé par des comportements qui sont dans notre culture principalement masculins, et beaucoup moins présent chez les femmes. Il existe malgré toutes nos aspirations consciente un paquets de mécanismes culturels semblables. Qui sont discret, mais tellement prégnant dans la société car tellement intégré à nos comportements "normaux" et "naturel", qu'ils ont au final un impact très important. C'est ce dont je parle ici. Précisément pour les rendre conscient. Et précisément aussi parce que nos aspirations y sont contraire. De surcroit, à force d'en parler, je me demande si la très forte volonté de "faire plaisir" à l'autre, que tu souligne, et non de se faire plaisir n'est pas aussi une forme d'auto-castration. De négation de nos propres besoins, de nos propres envies. Transformer un acte de désir et de plaisir forcément égoïste en un "service" rendu à l'autre. Et tu devrait quand même bien voir que revendiquer un égoïsme, donc NOTRE plaisir, est très mal vu dans notre société. Mais je suis quand même assez d'accord avec tes constatations. Dans la sphère intime, il n'y a à mon avis pas tant d'exploitation ou de domination de l'un sur l'autre. Un peu comme autrefois d'ailleurs, à l'époque sois disant "néfaste" ou les femmes et les hommes avaient un travail réservé en fonction de leur genre, Je ne pense pas que dans l'intimité des couples, les femmes étaient réellement plus "dominée" que les hommes. Je pense qu'effectivement, l'impact de cette culture s'effectue bien plus dans la sphère sociale (et professionnelle). Au sein de l'intimité d'un couple déjà construit les problèmes ne se posent plus trop. Il me semble d'ailleurs qu'une fois en couple intime et relativement stable, la consommation de porno est bien moindre. (toujours existante, mais bien moindre) Quand on trouvera "beau" un homme entrain d'avoir un orgasme. Quand on en mettra dans les publicités sans en rire, je serai d'accord avec toi. Quand on arrêtera de traiter les femmes de salopes lorsqu'elles montrent socialement qu'elles essayent de faire plaisir aux hommes (et pas forcément à leur mec en couple), alors qu'on ne traite absolument pas de salaud un mec qui essaye de faire plaisir aux femmes avec qui il peut coucher, je serai d'accord avec toi. Tu n'a dénié aucun des exemples que j'ai apporté. Pas un seul. Je suis d'accord qu'effectivement, au sein d'un couple (et encore, pas forcément de tous) "l'équilibre" est atteins (et encore, n'est-ce pas un "idéal" là aussi... je pense que oui). Mais dans le comportement social auquel nous somme soumis, je suis désolé, mais c'est très très loin d'être le cas. Si ce n'est dans les vœux pieux de tout le monde. (et encore... ) Notre comportement sexuel n'est pas déterminé uniquement que par notre partenaire. Le fait qu'il/elle ne nous pose aucune pression ne signifie pas que nous n'en subissons aucune. D'ailleurs, à y réfléchir, la nature étant injuste, les hommes prennent leur plaisir plus rapidement que les femmes. Aussi glorieux soit la défense de la valeur qui prône le "partage du plaisir", autant ramener cette injustice naturelle à une justice de fait signifie bien que la charge de cet effort porte sur l'homme. Qui doit bien, de fait, prendre sur lui de se retenir pour ne pas frustrer sa demoiselle de son plaisir. Ce qui est "juste" n'est pas forcément naturel. (rarement d'ailleurs) Cette justice dans le plaisir ne peut donc pas être réalisée sans contraindre l'homme. ( après, je ne dis pas qu'il ne faut pas le contraindre. Mais la moindre des choses serait de reconnaître qu'il y a bel et bien une contrainte. ) Mais bon, je suis d'accord pour admettre que dans les couples relativement idéaux, et peut être répandus (maintenant j'ai un doute, d'ailleurs... ^^ ), cette charge du partenaire est très légère. Comparée aux pressions sociales. Je fais partit du monde. Autant je n'aime pas la généralisation, autant je ne pense pas que mes expériences soient si "exceptionnelles" que ça. Grand bien t'en fasse que tu t'épanouisses dans ton couple, accepte que la réalité n'est pas toujours exactement pour tous ce que toi tu vis. Non, ça n'est pas une réalité établie. La preuve, ça ne cesse d'être répétée, comme je te l'ai déjà fait remarqué. Mais purré, tu peux arrêter de rapporter tout à toi et à tes échanges intimes ? >_< Je te parle de la valorisation du plaisir et de la recherche du plaisir dans notre culture... Arrête un peu de me parler de ta/tes copines. C'est pas elles qui font les pubs, la morale de la société, les comportements de tous les "donneurs de conseils", ou les moralisateurs qui traitent de salopes ou de salaud tel ou tel autre... Le déni de réalité se fait dans le déni que les autres puissent ne pas vivre la même chose que toi, ou dans le fait que la société existe et à une influence sur tes désir AU DELA du comportement de ta copine.
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Ocytocine, as tu lu la phrase d'après ? Et un peu plus loin, je parle bien d'idéologie dominante, auquel nous sommes tous soumis, homme ou femme. Donc clairement d'un phénomène culturel. J'ai même souligné que personne ne s'en rendait bien compte. Ce qui signifie qu'il s'agit d'un phénomène grandement inconscient (mais pas pour autant insignifiant et sans conséquences, au contraire), pas volontaire, mais très prégnant et répandu. Je maintiens, je n'ai jamais considéré ou dis qu'il y avait deux camps les femmes d'un côté, les hommes de l'autre. Et que les femmes oppressaient les hommes. Je n'ai jamais pensé une telle chose. Mais bon tu illustres bien le décalage entre la réalité de ce que je raconte et vos envies sadiques de vous construire un "méchant" pour lui taper dessus, pour un comportement ou des avis imaginaires qu'il n'a jamais tenu. As tu conscience aussi que tu troll un sujet, en ramenant un message qui n'a rien à voir avec le propos ?
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Je maintiens. Nous parlons d'un message auquel me répondait TheBlackCat. Cites moi donc dans ce message, (ou même n'importe où sur ce fil) où est-ce que j'ai pu attribuer aux femmes ce rôle de castratrice ? J'ai parfois, sur d'autres sujet, montré en quoi certaines réponses et certains comportement de certains intervenants (ou intervenante) était castrateur. Sujets sur lesquels j'ai d'ailleurs toujours précisé qu'il s'agissait d'une culture (donc de la société dans son ensemble), que les deux sexes étaient concerné, ce qui a fait se marrer pas mal d'incultes qui ne s'imaginait pas qu'on disait "castrer" autant pour les mâle que les femelles. Non, je confirme. Vous avez érigé un personnage que je ne suis pas, et vous ne voulez pas en démordre. Même devant l'évidence que je ne suis pas ce personnage que vous avez inventé. Mais bon, vous avez probablement besoin de "monstres", au point de vous en inventer, même quand vous n'en avez pas.
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PS @ The Black Cat J'ai édité mon message, car je le trouvais trop agressif. Mais tu l'as vu et répondu avant, désolé. Concernant notre recherche du plaisir. Oui. Un mec qui recherche du plaisir physique est clairement dévalorisé. Encore plus s'il recherche des nanas apte à lui donner ce plaisir. Je suis d'accord sur l'évolution de la préoccupation du plaisir féminin, et sur la chute de la seule préoccupation de la recherche du plaisir masculin. Ceci s'est effectivement fait en dévalorisant la recherche du plaisir masculin, et en valorisant la recherche du plaisir féminin depuis près d'un siècle. Cependant, je te trouve excessif à considérer que ta vision idyllique de ce que devrait être la culture sois réellement la culture générale actuelle. Il y a toujours un décalage entre ce que pensent les gens de ce qu'il faudrait, et la réalité de la culture. Il y a toujours un énorme décalage entre les intentions pieuses de chacun, et la réalité de la situation. J'accepte l'argument que tu expose, disant qu'aujourd'hui, on parle du plaisir comme d'une recherche partagée. Mais ça n'empêche que la culture à une énorme inertie, et qu'une multitude de valeurs et de comportement dans notre société font que nous somme encore majoritairement dans une dévalorisation du plaisir masculin, et de sa recherche. Les choses vont probablement aller dans le bon sens dans les décennies qui viennent. Le dire est une chose. Le faire de façon naturelle, et ne plus avoir besoin de le dire, une autre. Et moi je te parle de la réalité de notre culture, pas de nos intentions. Quelque part, si on y réfléchi bien, que tout le monde dise qu'il faudrait le faire prouve plutôt que la réalité est bien que ça n'est pas le cas. :D libéralisation oui :D mais pas libération. Et ça fait toute la différence. La société dans les années 60 a vécu une libération sexuelle (mis en parallèle d'ailleurs avec une critique violente de la société de consommation. ) Aujourd'hui, et depuis plus de 30 ans, c'est exactement le contraire, on réprime toutes les évolutions de la libération sexuelle... ( Principalement à cause du sida d'ailleurs. ) En parallèle avec une marchandisation, ce qui peut te donner l'illusion d'une libération. Mais elle se trouve surtout dans les films et série, pas du tout dans la réalité. Pire, les "libérations" sexuelles des jeunes d'aujourd'hui me semble bien plus motivée par la volonté d'"être normal" (càd comme dans les films et séries) et par une volonté de consommation, de "nombre", que par une recherche du plaisir et de la qualité de la relation. ça n'est pas le plaisir et sa recherche qui est valorisée. C'est la consommation. Et je pourrai te reprocher : Déni de réalité. Mélange des opinions sur notre culture, et de la réalité de cette culture et des comportements. (de l'idéal et de la réalité en fait). Les opinions des gens sont intéressantes pour percevoir ce que pourrait être l'évolution à l'avenir. Si tout le monde souhaite quelque chose, il y a de forte chance pour que ça évolue dans ce sens. Mais seul les faits et les comportements actuels comptent pour ce qui est de l'observation d'une culture. Mais tu sais, rien que le fait que ça dérange d'exprimer l'idée que les hommes pourraient être dévalorisé sexuellement, est aussi clairement une preuve de la castration de la société ou de la dévalorisation de leur recherche du plaisir. Alors que je verrai assez mal une femme être attaquée si elle osait exprimer l'idée que les femmes pourraient être dévalorisée sexuellement. Or si "l'égalité" était vraiment effectuée comme tu le sous entend, tu l'attaquerai tout autant que moi actuellement. Personnellement, j'en doute très fortement.
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Je répondais à une attaque personnelle, nuance. Déjà, si tu pouvais réfléchir à ma mentalité plutôt que de me calquer des préjugés et la mentalité d'autres personnes, ça serait pas mal. J'ai vraiment l'impression que vous ne répondez à rien de ce que j'écris. Que vous inventez un imbécile dont vous avez l'habitude, et ce qu'il aurait pu répondre, ou vouloir. Et que vous luttez contre cet imbécile, en répondant à des arguments inventé qu'il aurait pu vouloir exprimer. Mais par contre, rien sur ce que je raconte, moi. C'est super énervant. Surtout que je fais des efforts pour argumenter réellement, et expliquer réellement mon point de vu. Est-ce que vous pourriez partir sur ce que je raconte moi. Et pas sur ce que pourraient dire ou penser les imbéciles que vous auriez pu croiser avant. Merci. Bref... Je parle de la Société et de son influence sur les gens. Pas de comment tu (ou je) vie ta sexualité avec tes copines, de est-ce que tu éprouves du plaisir ou non (j'en ai rien à battre d'ailleurs, sérieusement... >_<), ou de comment tu devrais prendre du plaisir… WTF :gurp: Où as-tu vu dans mes propos quoi que ce soit qui parlait de comment tu devrais prendre ton pied avec les nanas ? >_< Je parles de questions politiques, de notre société, et surtout de la culture dans laquelle on baigne. Pas de si tu t'envois en l'air ou non. Dans notre société, dans notre culture, le plaisir masculin et sa recherche est dévalorisée. Alors que le plaisir féminin et sa recherche est valorisée. Je peux, et je t'ai sortit nombre d'exemples illustrant ce propos, où la recherche du plaisir féminin est encensée et montré comme "beau", "précieux", "légitime" etc... Et le plaisir masculin dévalorisé, ridiculisé. Mais autre exemple caractéristique : Les femmes qui vont rechercher ce qu'il faut pour faire plaisir à un homme vont se retrouvée confrontée à une dévalorisation (traitée de salope, de prostituée...), pas par tous, mais tu va avoir systématiquement une bonne partie de réactions de ce genre. Alors qu'un homme qui recherche ce qu'il faut pour faire plaisir à une femme ne va jamais être traité de salaud, au contraire. ( C'est encore un exemple... je peux t'en sortir des centaines ) Alors pour éviter qu'on ne m'attribue encore des conneries que je n'ai jamais dites, (parce que je vous vois venir >_<) NON, je ne dis pas qu'on devrait traiter les mecs de salaud quand ils recherchent à faire plaisir à une femme. Je constate sans aucun jugement que cette différence de traitement manifeste clairement d'une culture qui valorise le plaisir féminin, et dévalorise le plaisir masculin. Et ce que je pense, c'est que d'être confronté en permanence à une culture à une influence sur la façon dont on va se comporter dans notre recherche du plaisir. Je ne dis pas que les hommes n'arrivent pas à prendre leur pied quand même, je dis qu'ils sont soumis à des influences de la société. Et que ce sont ces précisément ces influences qui conditionnent, par contre-réaction, les thèmes et les "valeurs" (anti-valeur) les plus courantes que nous retrouvons dans la pornographie. Que ces "anti-valeur", contre lesquelles veux lutter le type qui a pondu ce sujet, prennent donc leur source dans la société elle-même. Et pas dans les pornos, qui n'en sont que la conséquence. ( Donc que les supprimer n'y changerai rien, voir pire aggraverai la chose en supprimant la soupape. ) C'est ça ce que j'expose. Merci de ne pas m'assimiler à un imbécile qui dis "les femmes sont des salopes qui cherchent le pouvoir et feraient mieux de rester à la cuisine" >_< Si tu veux réfuter mon idée... essaye de me montrer que nous vivons dans une culture où le plaisir féminin n'est pas plus valorisée (ou moins valorisé) que le plaisir masculin. Ou à la limite, essaye de me montrer que notre culture n'a aucune influence sur nos envies ou nos désirs. Je sais pas... essaye de contrer une des positions que je tiens ici. Mais si tu veux que je considère que tes réponses sont intelligente, arrête de me sortir en substance : moi je m'éclate au pieu donc tu as tords >_<
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non, je dis que l'origine de la pédophilie proviens d'une sur-valorisation des enfants et de l'enfance. Tu as deux types de pédophiles. Ceux qui veulent rester enfants, les "infantilisé", de type mikael jackson, et en fréquentent parce qu'ils se sentent plus à l'aise parmi-eux. Sois ceux qui désirent directement la transgression, la destruction de quelque chose qui a de la valeur pour la société. Dans les deux cas, si l'enfance n'était pas sur-valorisé dans nos sociétés, ces psychoses disparaîtraient Oui. J'expose les origines des perversions qu'on retrouve (entre autre) dans la pornographie. Que tu y vois une persécution est la marque très claire d'un fantasme. Un peu comme ceux qui fantasment un petit coquin obsédé sur un psy sérieux en blouse blanche qui leur explique l'origine de certains comportement humains dans les pulsions sexuelles. Non, elle oblige les hommes et les femmes à se comporter en être a-sexuée. D'où la violence des représentation des rapports sexuels dans la pornographie, pour contrer cette castration. Elle changent peut être, mais sont toujours présente. Il est aussi difficile parfois de savoir si l'esprit de conquête des hommes est naturel ou culturel. Mais c'est précisément ce trai spécifique qui font que les femmes progresse moins en carrières. Elle est là la castration. La sexualité, les désirs, les attirances font partit de notre nature, elle sont donc présente en permanence dans nos rapports. MAIS doivent être masquée par l'hypocrisie, sont considéré comme honteuse, comme des irrespect. Le travail représente plus de 90% du lieu de vie, on castre donc les gens 90% de leur temps. Il ne faut pas s'étonner que les quelques pourcent restant compensent à l'excès. Je ne t'ai pas demandé de la boucler. Je t'ai demandé d'arrêter de m'attribuer tes suppositions. Je suis un féministe bien plus attentif que toi aux subtilités de la société. Essaye de conserver un cerveau quand tu lis ce que je raconte. C'est assez énervant à chaque message de lire des interprétation complètement à côté de la plaque, visant surtout à me faire passer pour un macho débile >_< Je parle des causes qui font que les représentations dans le porno sont si violante et dévalorisante. Si certains souhaitent l'interdire, c'est de façon clairement avoué, pour éliminer ces représentation violante et dévalorisante. Je leur signifie seulement qu'ils cachent la conséquence et non la cause réelle de ces dégradations. ça a donc parfaitement sa place dans le sujet. Encore faut il être capable de regarder plus loin que le bout de son nez quand on essaye de parler d'un problème de société.
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Aye, je te pensais plus intelligent. Je n'ai jamais attribué aux femmes ce rôle de castratrice, mais à la société envers sa population (quel qu'elle soit) Je pense aussi qu'il va falloir que je reprécise un point de vocabulaire. La castration représente autant l'a-sexualisation masculine que féminine. Je ne sais pas trop où tu as cherché dans mes propos l'idée que ce sont les femmes qui orchestre la domination masculine. Pour ce qui est de la sur-valorsisation du plaisir féminin, et la sous-valorisation du plaisir masculin. C'est bien possible que tu n'en ai pas conscience, puisqu'il s'agit de la culture dominante, celle qui semble donc totalement naturelle. Je te demande donc de réfléchir un peu. Tous les hommes ne jurent que par le plaisir qu'ils arrivent à donner aux femmes. Même les plus matcho, égoïste etc... Donner du plaisir à une femme est extrêmement valorisée et valorisant. Je connais très peu (et en réalité aucune) femme qui se vante socialement de donner beaucoup de plaisir à un homme. Donner du plaisir à un homme est considéré autant par les hommes que par les femmes comme une marque de soumission, ou de prostitution. "c'est une salope" entendra t'on (en provenance des deux sexes, ce qui marque une culture, et non la domination d'un sexe sur l'autre) C'est un des signes parmi de nombreux, marquant cette sur-valorisation du plaisir féminin dans notre société, et de la dévalorisation du plaisir masculin. Je peux te donner des centaines d'exemples. La publicité y est pour beaucoup aussi. Elle ne cesse de montrer des femmes en extase orgasmique. Alors que montrer un homme en extase orgasmique aura clairement un effet ridicule(montrant son extrême rareté) et dégoutant (montrant sa dévalorisation) J'imagine que la mauvaise foi peut faire nier cette constatation.
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Je ne suis pas certain que tu réagissais à ce que j'écrivais, mais je vais le prendre comme tel, car ça me permet de préciser une nuance au cas où. Je ne voulais pas dire que la pornographie était récente, mais qu'à chaque époque, elle est à l'apparence des problèmes de son temps. Et que les névroses qu'on peut y déceler sont générées ailleurs dans la société. Il y a toujours eu des extrêmes à toutes les époques, mais la nôtre donne une place vraiment prédominante à certaines transgressions, qui sont le reflet des valeurs de notre société. Par exemple, la pédophilie est le reflet de la sur-valorisation de l'enfance. Les actes de domination et de soumissions des femmes, le reflet de la sur-valorisation omniprésente du plaisir féminin dans les rapports, et la sous-valorisation du plaisir masculin. Ainsi que l'asservissement des hommes aux femmes dans les échanges courants. Les exhibitions ou les scènes de viols sont le reflet de l'hypocrisie cherchant à nous frustrer sexuellement explicitement à chaque série, film ou publicité, tout en castrant le moindre de nos comportement sexué. etc... etc... Oui. Je trouve qu'une société qui oblige les femmes à se comporter en homme pour pouvoir accéder à un travail en entreprise, ou pour y progresser, n'a pas atteins un niveau de civilisation suffisant pour arriver à intégrer la féminité dans le monde du travail. Quelque chose à y redire ? >_< La négation totale des spécificités et différences naturelles ET culturelles des hommes et des femmes, marque pour moi un déni de réalité flagrant caractéristique d'une civilisation barbare et peu évoluée. Preuve de l'incapacité de notre société à adopter des nuances, et des comportements complexes et "gendrés". Ce déni force les individus à assumer en eux (de façon destructrice, ou du moins très coûteuses émotionellement) l'hypocrisie. Le mensonge sur nous même. Ce qui aboutis à une destruction de ce que nous sommes réellement intérieurement. Et aboutie à la frustration, à la violence, au sadisme ou au masochisme, à l'impuissance, au sentiment de ne pas être respecté, de ne pas être accepté... Violence, frustration, sadisme, masochisme qui se manifestent dans la prostitution et les fantasmes de "sur-puissance" de "bestialité" (cette fois-ci autorisés à s'exprimer), de soumission (donc de respect) etc... La seule solution trouvée pour arriver à intégrer la mixité en entreprise a été de nié la sexualité des individus. : La castration des femmes comme des hommes. La castration est pour moi clairement la marque d'une barbarie. Une civilisation devant être capable de s'adapter aux spécificités de chacun pour pouvoir prétendre à un niveau de civilisation descend. La nôtre prouve la médiocrité de sa culture, dans son incapacité à établir des comportements subtils, qui permettrai à chacun : - d'exprimer sa nature, ses envies ou ses désirs. - De les faire comprendre et accepter par les autres, - D'entrer en relation respectueuse des natures, envies et désirs de l'autre, sans que ça pose de problème. Les civilisations plus évoluées que la nôtre ont adopté un ensemble de savoir-faire et de pratiques culturelles, dans les relations entre les hommes et les femmes, permettant à ces natures de s'exprimer plus librement, de se comprendre, et d'entrer en relations en respectant les spécificités et désirs de chacun. OUI dans ces cultures le respect de la nature des femmes, l'harmonie des relations galante, diminuait les irrespects présent dans la pornographie d'aujourd'hui. Je ne dis pas que la société ne devait pas changer, et les règles de comportement entre les hommes et les femmes devaient s'adapter pour l'émancipation féminine. Mais la destruction culturelle, et la perte de ces cultures et savoir-faire, ont entrainée une telle situation de frustrations, d'incompréhension réciproque que ces névroses se retrouvent dans les abus de la pornographie. La destruction culturelle (de la galanterie et des rapports gendrés) n'a rien apportée aux femmes (ni aux hommes) en terme d'émancipation, car elle leur offrait protection, respect et compréhension réciproques. Qui n'ont pas été remplacée par d'autres pratiques, non castratrices. Arrêtes tes fantasmes de persécution. Vu que je n'ai à aucun moment parlé de ça, ni même pensé à ça, tu es la seule à fantasmer ce genre de choses. (et pour le coup, l'obsession me semble clairement de ton côté) Les pseudo-féministe surprotégée d'aujourd'hui se mettent à voir des "monstres" partout. Tu me fais penser à ces femmes prisent dans leur fantasmes, qui tapent sur un sois disant "gros lourd" qui les a "agressée" parce qu'il leur a demandé l'heure dans la rue.