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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. Pasque les "esprits" n'existent pas. Notre conscience dépend juste de l'activité electro-chimique de notre cerveau, donc quand ont meurt , le cerveau aussi , plus d'activité electrique , donc la reticulée qui est le centre de la conscience s'arrete et c'est tout. quand on meurt c'est pour de bon, "l'ame" n'existe pas , on a juste un corps avec un cerveau qui en fait partit et qui meurt avec ce corps: Ps: ce sujet "la vie après la mort" à déjà été posté et j'y est déjà repondu de la même façon Je sais que j'ai parfois ce défaut aussi. Mais quand tu veux parler d'une de tes croyances, plutôt que de l'affirmer comme une vérité absolue, tu devrais commencer par dire : "Personnellement, je crois que ...." C'est un peu plus respectueux pour les croyances des autres et pour l'esprit scientifique, que je pense tu veux défendre, de pas affirmer ses croyances personnelles comme des vérités. Ou alors le temps n'a été ou est, que pour donner naissance à la matière car sans lui ,point d'évenements matériels ,on pourrait même en déduire que la volonté de création vient "avant" la volonté d'en définir l'instant créatif ,le temps. Pour ceux qui n'aime pas trop le terme de création , remplacer le par le terme "émergence" . Et le terme "volonté" : par l' "avant" émergence. Je crois qu'effectivement, dans le modèle scientifique du big bang, le temps est apparu en même temps que la matière. é l'instant où les premiers photons se sont transformé en matière et anti-matière. C'est avec l'apparition de la matière que des évènements on pu avoir lieu, et donc, le temps s'écouler. (parce que si absoluement tout est figé, sans mouvement, donc sans rien qui se passe, sans évènement, il n'y a pas de temps). Reste à savoir si c'est le temps qui a donné naissance à la matière ou si c'est la matière qui a donné naissance au temps. Ou si c'est deux éléments décorélés (qui sont sans lien de causalité entre eux) Je crois que dans la génèse, ils disent que le temps est apparu avant la matière. Il a commencé par créer la lumière et la nuit, donc le jour, (premier jour) avant de séparer le ciel de la terre (enfin de l'eau, il me semble) le deuxième. Pour ce qui est de la volonté divine, je me méfie des amalgames qui assimilent Dieu à un être humain. La volonté est quelque chose de temporel, elle est inscrite dans le temps, puisqu'elle est la constatation d'un état, la désaprobation de cet état, et le "courant" qui pousse au changement de cet état. Si Dieu est atemporel, il n'a pas de volontés. On interprète les changements comme issu d'une volonté spécifiques, mais ces "volontés" étaient déjà prévu au départ, "avant" que le temps apparaisse. En gros, si on veux, il n'a eu qu'une seule "volonté", et c'est cette volonté qui a créé le déroulement du temps, par ce "courant" d'évolution. D'ailleur, on parle souvent de LA Volonté divine. Pas des volontés, qui impliquerai qu'il y a eu des défauts, ou des évolutions dans son "jugement". Ce qui me semble incompatible avec la notion de Dieu. Et même, dans une croyance personnelle, je ne considère pas ça comme une volonté, puisqu'il n'y a pas eu de "constatation" avant, (puisque pas d'avant) mais seulement ce "courant" qui est apparu d'emblée. Je n'appelerai donc pas ça une "volonté". Mais c'est une question de vocabulaire. Est-ce que la Volonté, c'est une volonté ? ça change de nature avec la majuscule
  2. heu... tu me pose une colle là... Sandrilicia, Clarisse, Estella, Isabelle, Cécile, Ségolène, Casea... Difficile de dire laquelle j'aime le plus, c'est pour toute des amours très (très) différent. (Puréé, et dire que je me sens dans une période creuse question amour là ..... )
  3. Prend soin de toi tigresse ! Et fait attention, j'ai l'impression que t'as un de mes défauts, tu cherche à comprendre les autres avant de rejeter, et tu cherche à faire évoluer ce qui te plait pas plutôt que de jetter aussi. C'est une grande qualité, mais il faut faire très attention à ce qu'elle ne passe pas avant notre propre bien être. La place de cette qualité, c'est après ton bien être, sinon, c'est pas une qualité et ça peut te pourrir la vie. (et celle de l'autre du même coup) Sinon, tu as raison, parfois les hommes ont des comportements étranges, et ça veux pas dire qu'ils sont foncièrement mauvais. C'est vrai. Puisque visiblement ta décision est prise, je te soutiens ! Va y. ça prouve que t'es vraiment une fille bien. On t'a mis en garde, donc je pense que tu te méfiera, et il aura beaucoup plus de mal à t'embobiner si c'est ça qu'il tentais. C'est le principal. Mais conserve bien cette méfiance un bon moment, et fait le lui savoir. La liberté et l'indépendance, ça empêche pas l'amour (je pense même que c'est le contraire )
  4. Je crois que tu devrais faire un autre topic pour cette question, que je trouve très intéressante d'ailleurs Parce que c'est pas du tout le même sujet, je trouve. (et ça mérite bien un topic à part entière non ?) J'y répondrais quand tu l'aura ouvert. biz tigresse. J'aime bien les questions que tu te pose
  5. Le choix ne se pose pas. On ne choisit pas avant de naitre si on va vivre ou non, et c'est à ce moment là seulement qu'une telle question prendrait un sens. (é propos du choix avant la naissance, j'ai croisé des croyances que je trouve très intéressante qui remettent en cause cette décision ! J'aime bien l'idée !) La vraie question, celle qui a un sens, c'est : Moi qui suis entrains de vivre, est-ce que la vie vaux elle le coup de continuer ? Et ça, c'est une question à laquelle on ne peut pas répondre de manière générale ! Et même de manière particulière d'ailleurs, on est les seul à pouvoir décider. (C'est dur cette solitude parfois ) Je te citerai seulement deux réflexions que j'ai eu par le passé.
  6. Titsta

    Avez-vous peur de mourir ?

    J'adore !!! +1 !! Je suis impressionné par le nombre de personnes qui ont dit qu'elle n'avait pas peur de la mort dans le vote ! Bien que moi, je n'ai pas peur de la mort. Mais ça modifie tellement profondément notre manière d'être, ça nous apporte une telle paix intérieure, que je n'ai jamais trouvé autours de moi, que j'avais un peu l'impression d'être très seul dans ce cas... Devrais-je me rassurer d'un tel résultat ? Pourtant, les réponses semblent sincère et dénué d'hypocrisie... Pour le fait de mourir, je suis curieux, des sensations que ça provoque, à mon avis plaisante si on a filtré la peur. Mais pas au point d'avoir envie de tester. ça arrivera de toute manière, et à mon avis, plus on sera proche du bonheur, plus on aura vécu, plus ce moment sera intense. (à condition de l'accepter, bien sûr...) Je tiens évidement à mourir conscient, sinon, j'aurai l'impression de gâcher une des expériences les plus intense de la vie... ça serait dommage. Sinon, je n'ai pas peur de la souffrance non plus. Les bourreaux se servent de la peur et non de la souffrance pour faire parler. Le corps est bien fait, dès que la souffrance est trop importante, il nous fait tomber dans les pommes, faut pas croire. Puis je n'ai jamais ressenti de souffrances énormes. J'ai bien eu des membres cassés parfois, mais jamais rien d'insurmontable. Donc je suis curieux. Sans le rechercher non plus, j'aimerai avoir vécu un grosse souffrance un jour, pour pouvoir raisonnablement en parler, ou peut être en avoir peur... Je ne crois pas qu'elle soit telle qu'on la décrit dans les films, parce qu'ils sont fait pour faire peur à des gens qui ne l'ont jamais connus. Je n'ai pas peur non plus de la mort de mes proches, mais c'est un peu parce que j'ai pris l'habitude de l'accepter à chaque instant. On vie plus intensément les relations après ça, et finalement c'est pas plus mal. (c'est même mieux) Mais je précise pour celle là : J'en ai pas peur, ça veux pas dire que je ne la redoute pas.
  7. T'es un peu naïve et c'est touchant, mais c'est tout le contraire. S'il veux coucher avec toi, il te bonimentera sans problème, et te promettra tout ce que tu veux pour obtenir ce qu'il veux lui. (promesse qu'il ne tiendra évidement pas) Si c'est vraiment faire un couple sérieux qu'il veux, il refusera de changer, considérant avec raison que vous devez vous plaire tels que vous êtes. ça, ce serait un type bien, et sérieux. Je suppose aussi que chez vous, on "teste" pas les femmes qu'on dit aimer. On leur fait confiance ou on leur fait pas confiance, point. La femme est sacrée non ? Il me semble que mentir et manipuler quelqu'un, une femme en particulier, et lui dire des obscénités, c'est pas très bien vu. Donc attend un peu avant de le considérer comme de "chez toi", ok ? Il t'a fait un beau discours, et tu préfère lui laisser le bénéfice du doute là dessus, soit, c'est ton droit. Quoi qu'on puisse dire, on l'a jamais vu, on lui a jamais parlé, donc on sait rien de lui. Toi t'en sais un peu plus. Donc dans le doute, moi, je vais te faire confiance. Il était peut être sincère. Par contre, il y a un truc de sûr, c'est que c'est que s'il était sincère, c'est un bon manipulateur !! Parce que ce test, c'est quoi sinon de la manipulation ?!!! Alors franchement, que tu lui laisse le bénéfice du doute, ok. Mais par contre, il faut que tu sois très clair avec lui en lui disant que s'il recommence une seule fois à te tester, ou à te manipuler, tu lui pardonnera pas ! Même s'il est sincère, c'est pas des manières ! Il faut apprendre à te faire respecter ! Et ça c'est très important ! Tu as la mémoire courte, et c'est tout à ton honneur, mais il me semble que tu avais employé des smiley qui pleurent, et t'était choqué par cette histoire. Répond moi franchement, est-ce que tu pense que quelqu'un qui n'hésite pas à faire pleurer une fille, à la choquer et à lui mentir pour obtenir d'elle des informations pour son propre et unique intérêt est quelqu'un de bien ? Parce que c'est ce qu'il a fait : faire passer son intérêt, avant ton bien être !! Alors laisse lui le bénéfice du doute si tu veux, mais sois clair qu'il ne recommence plus jamais un truc pareil ! Autre chose, 5 jours, c'est rien. Et les hommes sont pas les seuls à avoir des pulsions. Faudrait que tu apprenne à te méfier des tiennes Seulement, si les hommes on des pulsions qui peuvent se manifester en bestialité, les pulsions des femmes leur font perdre la tête, et les font tomber amoureuse. Et c'est pas de l'amour, c'est sexuel. Et là, t'es clairement amoureuse. Donc méfie toi de tes fantasmes. De pas prendre pour la réalité ni ce que tu imagine qu'il est, ni ce que tu voudrais qu'il soit. C'est aussi pour ça qu'en général, je suis contre les gens qui veulent rester vierge jusqu'au mariage. C'est effectivement très beau comme idée, et je suis assez touché par la beauté de ce geste. Mais le problème, c'est que l'abstinence, ça crée des frustrations. Autant chez les hommes que chez les femmes. Et que les frustrations, ça "trouble la vue". Moi je suis un romantique, et je crois dans le mariage, c'est pour ça que pour moi, c'est un vrai engagement. Pas une décision qu'on prend à la légère. C'est pour ça que je veux essayer au moins un an, voir deux, une vraie vie de couple avec une fille avant de la demander en mariage. Et tu vois, mon test est beaucoup plus respectueux, et surtout à double sens. Et je cherche réellement à connaitre la personne profondeur, pas superficiellement. L'effet pervers de la virginité au mariage, c'est qu'elle nous pousse à nous marier sans connaître la personne. Alors à mon avis, tu devrais faire un peu plus attention aux conseils que te donne des filles qui ont déjà testé quelques mecs. Et là, elles te disent toutes "Danger !!" Et pas une seule ne croie a son boniment sur le "test" qu'il t'aurai fait subir. Et je suis parfaitement d'accord avec elles Donc franchement trouve toi quelqu'un d'autre. ça lui apprendra à "tester" ainsi des filles très bien comme toi ! au mépris de leur bien être ! (et du respect qu'on leur doit) !
  8. Je prend quelques lignes pour répondre à ça, parce que ça me semble grave quand même. Ton immame, j'ai surtout l'impression qu'il avait pas de réponse à t'apporter, et pour pas passer pour un ignorant, il t'as "pondu" une réponse genre : faut pas te poser la question sinon tu va en enfer... humm... facile... Je crois surtout qu'il avait peur que son ignorance t'éloigne de la foi. Il manque un peu de courage. Je trouve que c'est important de pas oublier que ça reste des hommes, sensé être sages, certes, mais ils n'ont pas réponse à tout. Et c'est normal. Sinon, heureusement que les religions ne sont pas incompatible avec le questionnement. Ni même avec le doute, en fait. Je crois que c'est surtout ceux qui manquent de foi dans la solidité de leur croyance qui on peur du doute. En réalité, beaucoup de personnes qui pratiquent le "doute" scientifique son croyant. C'est bien la preuve que le doute est pas si dangereux que ça pour la foi. En plus, faut faire la différence entre se poser des question et douter !! Tu "doute" pas de dieu, tu te demande comment il a fait ! Non, là, je trouve qu'il a abusé de répondre ça ! Bref, je vais essayer de te répondre. Mais en fait, je vais pas te donner "une" réponse. Je pense que quand on approche de "Dieu" (ou de la "Vérité" etc... donnons lui le nom qu'on veux) ça deviens difficile de l'exprimer d'une seule manière. Parce que nos paroles, nos histoires, ne peuvent qu'en décrire des facettes, et non la globalité. Chaque religion a ses histoires pour expliquer l'apparition de Dieu, ou du premier dieu (pour les polythéistes). En réalité, c'est la question du commencement. Comment la première "chose" à pu apparaitre. Je pense que chacune est intéressante parce qu'elle révèle une facette de Vérité, une idée intéressante. Et toutes ces idées nous approche de la Vérité (donc de Dieu ) La meilleure réponse que j'ai pu trouver, c'est une que j'ai entendu rapporté d'un prêtre il y a quelques siècles (catholique... ou protestant, mais ça a aucune importance de quelle religion il est, c'est l'idée qui est intéressante). Il a répondu qu'en fait Dieu a créé le temps, que c'est comme ça qu'il est apparu, parce qu'avant, il n'y avait pas de temps, donc pas "d'avant". ça rejoint un peu la pensée moderne du big bang. Le premier instant qui nous est accessible, quand on remonte le temps, pour savoir ce qu'il s'est passé, c'est l'apparition du temps, forcément. Et ce qu'il s'est passé "avant" n'a pas de sens. En fait, c'est un peu aussi la réponse de la science. Pour en venir plus spécifiquement à ta question. Une "création", c'est un avant et un après. Seule les choses temporelles ont une création : Leur "début". Mais uniquement parce qu'ils sont inscrite dans le temps. Et si Dieu existait à l'apparition du temps, (puisque c'est lui qui l'a créé) alors il n'y a pas d'avant, donc pas de "création". C'est une réponse toute bête, mais il fallait y penser : contrairement à tout ce qui est temporel, qui donc est créé, imprimé dans le temps donc avec un début. Dieu n'a pas été "créé". C'est ce qui fait la différence entre Dieu et une pierre, ou un être humain. Il existe en dehors du temps, donc sans "création". Il existe, c'est tout (et ça a pas été prouvé, bien sûr mais on peut raisonnablement y croire tout en restant rationnel, puisque le contraire n'a pas été prouvé non plus !) Tu as un autre exemple d'objet qui existent en dehors du temps, pour aider à te faire comprendre cette notion. Par exemple les vérités mathématiques sont atemporelles. 1+1 = 2, c'est une vérité qui n'est pas inscrite dans le temps. C'est pas vrai depuis un certain temps et faux avant. ça a toujours été vrai, même si on se place avant l'invention des nombres par les humains dans le temps. Donc on a inventé les nombres pour écrire cette vérité. Mais la vérité elle même qui est représenté, elle n'a pas été "inventé", elle n'a pas été "créé". Elle a toujours existé. Dieu, c'est un peu pareil. On a inventé un mot pour en parler. Et ça depuis peu dans l'échelle de la création de l'Univers. Et on a certainement inventé cette notion pour toutes les raison que les "anti-religieux" ici présent on dite, parce qu'on avait besoin de se rassurer, de s'explique le monde etc... Un peu comme pour les nombres, on les a inventer pour faciliter le commerce. Mais sa Vérité, contenu dans cette notion, elle n'a pas été "créé", elle a toujours existé. Une autre réponse que j'ai trouvé intéressante, c'est le fait que Dieu est indissociable de l'univers. Qu'il se trouve dans chaque choses, dans chaque mouvement, dans chaque être, dans chaque volonté, dans chaque idée. C'est une idée très proche de celle de l'islam si je ne me trompe. Je me trompe peut être, je connais mal cette religion, mais je crois qu'elle dit que tout est fait par la volonté de Dieu. Chaque acte, chaque geste, chaque mouvement, représente la volonté de Dieu. Que c'est ça qu'il a "créé", le monde. L'univers. Tout en fait. Et que chaque chose, donc, contient Dieu, si tu veux. L'univers, c'est là où il se trouve, où il s'exprime. Donc en fait, c'est en créant l'univers qu'il s'est créé. "En même temps". Ce qui est logique quand on y pense. Puisque Dieu, c'est le "créateur". Donc tant qu'il n'a rien créé, il n'existe pas encore C'est en créant qu'il apparait. Il est la "vibration" qui fait apparaitre le monde. (le "Verbe", je crois qu'on dit, dans la genèse.) Bon, c'est deux réponses, chacune étant à mon avis une parcelle de vérité. é mon avis, il doit certainement y en avoir d'autres. (J'ai tendance à me dire qu'en matière de religion, on en sait encore moins qu'en matière de science, et tout les scientifiques s'accordent pour dire qu'on sait très très peu de choses.)
  9. Je pense que dans ce monde, tout acte, tout évènement possède autant de bien que de mal. Les actes d'hitler ont eu pour conséquence la création de l'ONU, une conscience accrue de l'humanité sur les dégâts que peut provoquer la haine et le racisme... Sans lui, je suis à peu près sûr qu'on ne lutterai pas à ce point contre le racisme. On n'aurait aussi pas vraiment eu conscience qu'il faut une force militaire pour préserver la paix, et qu'un pays trop pacifique est à la merci du premier dictateur venu. C'est grâce à lui aussi qu'on a pu voir (se souvenir) à quel point la défenses des libertés individuelles sont importante. Sans compter non plus toute une réflection sur notre humanité, et sur le choix entre un monde qui supprime les plus faible et un monde qui les préserve et les aides. (Là aussi rappelé, ces questions était à la source de l'esprit de la chevalerie, et initié par les plus anciennes religions.) On peut considérer ça comme des erreurs de l'humanité, les erreurs ne sont ni mauvaises ni bonnes, elles font mal, mais on peu apprendre grâce à elles, et en tirer beaucoup de bien. Dans ces conditions, ça n'est pas nos actes en tant que tels qui sont bons ou mauvais, mais uniquement nos intentions. Et dans un certains sens, quand on a assimilé ce fait, que tout acte, toutes choses possède autant de bien que de mal, qu'est-ce qu'on s'en fiche des intentions de celui qui les faits ? Je crois que la seule chose qui compte, qui existe réellement, ça n'est pas le bien ou le mal, c'est le bonheur et le malheur. C'est à dire des choses qui s'approchent plus de nos sensations, de nos ressentis que de concepts abstraits. La souffrance existe. Le plaisir aussi. Plutôt que de départager le monde, les évènements et nos actions en "bien" et en "mal" je trouve beaucoup plus pertinent de les analyser en "qui ça fait souffrir, à qui ça fait plaisir". Ou, en prenant une vision à plus long terme, qu'est-ce que ça permettra comme plaisir à venir, ou comme souffrance à venir. Là aussi, je pense que le bonheur et le malheur sont toujours très liés, que l'un ne va pas sans l'autre. Mais au moins, on ne s'y perd pas comme entre le bien et le mal. On se reconnecte à quelque chose qui existe véritablement : ce qu'on ressent !
  10. Titsta

    pour ou contre la peine de mort

    ça fait longtemps que j'ai pas écris sur un sujet comme ça ^^ Moi, je suis contre pour plein de raisons, qui ont déjà été évoquées ici. Mais il y en a une que je n'ai pas vu. C'est qu'on ne pense pas aux évolutions de la loi. Parce que la loi n'est pas immuable, elle évolue avec le temps. Autoriser la peine de mort pour certains crimes, c'est grandement faciliter la tâche de ceux qui voudront l'appliquer pour des crimes moins importants. Il s'agirait alors d'un simple "durcissement" de la justice, bien plus facile à obtenir, qu'instaurer la peine de mort dans un pays où elle est interdite. Il ne suffit pas d'être pour ou contre la peine de mort pour certain cas, il faut aussi un minimum prendre en compte les évolutions que ça implique. Autoriser la peine de mort pour certains crimes, c'est se rapprocher de l'autorisation de la peine de mort pour tous les crimes. C'est se rapprocher de la peine de mort distribuée de manière sommaire et arbitraire. La civilisation est fragile, il faudrait que certains n'oublient pas qu'il ne faut que quelques années à un pays pour devenir une dictature sanguinaire.
  11. Titsta

    Masturbation chez les 2 sexes

    Y plus de fille qui ne se masturbent pas que de mecs. Maintenant, c'est déjà difficile pour un mec pour le dire, alors j'imagine que les filles vont encore moins en parler. Je crois aussi qu'une fille qui a vraiment envie de baiser à moins de difficulté qu'un mec, ce qui fait que certaines amies m'ont déjà dit : mais pourquoi tu te trouve pas plutôt une copine ! c'est meilleur ! (bin tien !! j'y avais jamais pensé dis donc ! ) Après, en nombre de masturbation je crois que ça doit se valoir, parce que les filles qui le font doivent le faire un peu plus, et un peu plus longtemps que les mecs ^^ En tout cas, pour mes copines, c'est le cas. (J'en connais même une qui fait des concours sur msn... y a une étoile qui s'ajoute à son nom à chaque orgasme... bah elle gagne toujours mdr )
  12. Moi j'en connais une avec jésus et saint-pierre jouant au ping pong. Jésus dit à saint-pierre : "attend, je vais te montrer un truc que m'a montré Yanic Noha !!!, tu vas voir c'est terrible. Saint-pierre : mais c'était un jouer de tenis, pas de ping pong ! Jésus : ata, je vais te montrer. Il prend sa raquette, fait un service style tenis et la balle va plonger directement dans la piscine. Saint-pierre : bah voilà, je te l'avait dis que c'était un joueur de ténis, pas de ping pong. Puis il plonge et va chercher la balle, et ils recommencent leur ping pong. Mais jésus insiste : tu va voir, je l'ai mal fait mais je recommence. et re-paf, la balle dans la piscine. Saint pierre il râle un peu, mais (c'est un saint) retourne chercher la balle. Là jésus s'y remet ! : ata là j'ai pris le truc, tu va voir c'est super. Et re-re-paf, dans la piscine. Là Saint pierre râle un bon coup, et jésus dis : ok cette fois, c'est moi qui vais la chercher. évidement, comme c'est jésus, il marche sur l'eau, se penche pour prendre la balle et reviens, pas mouillé du tout. Un voisin qui assiste à la scène, complètement interloqué va trouvé saint pierre : Mais ! mais !! votre ami là, il se prendrait pas pour jésus !!?? Et Saint pierre lui répond : Non ! pour Yanic Noha !
  13. vi, je la connaissait, mais ça fait super longtemps que je l'avais pas entendu :snif: Elle est bonne ^^
  14. zut, je me suis absenté trop longtemps, pourtant je trouvais ces questions très intéressantes... Que se passe-t-il si au final, on accepte ses doutes et qu'on les partage avec la personne concernée ? De par mon expérience, je sais que cela ne détruit pas toujours la relation, mais comment savoir, au final ce que l'on ressent vraiment ? Car la frontière est floue, cela a été dit. Je pense que cela peut renforcer les liens entre les deux personnes. Dés lors, est-ce qu'on s'engage dans un début de relation amoureuse, ou renforce-t-on son amitié ? Je n'ai pas de réponses (et ce n'est pas faute d'en vouloir), mais ceci ne dépendrait-il pas des personnes, des cas et .. au final de la véracité de nos sentiments ? Pour revenir à la question, j'ai des amies pour lesquelles je n'ai ni désir ni sentiments amoureux. Je les connais depuis plus de 5 ans maintenant et ça se passe très bien. Certes, je ne cacherai pas avoir eu du désir parfois, mais être tombé amoureux ? Non, je ne pense pas. Ce que je sais de par mon expérience, c'est que si on veux savoir ce qu'on ressent vraiement, faut surtout pas se prendre la tête dessu. C'est pas nos actes et nos sensations qu'on sait ce qu'on ressent, certainement pas par les mots et définition qu'on essaye de coller dessu. Les mots amitié / amour etc... sont très pratiques pour décrire des relations superficielles. Mais dès qu'on creuse un peu au fond de ce qu'on ressent, ou des que les relations sont un peu plus complice, tout se melle point de vu mot. Il faut savoir quitter ce besoin de nous faire rentrer dans des étiquettes de comportement. Passé un certain cap, une relation n'est rien d'autre que ce qu'elle est : une relation particulière. é part. Tout essai pour la faire rentrer dans des cases ne peut que la rendre plus superficielle ou la détruire. C'est pas toujours évident d'avoir des relations sans cases pour les décrires. Mais dans le pire des cas, si on a vraiement besoin d'en mettre une, la case "c'est spécial" fonctionne bien. (du genre, entre elle et moi "c'est spécial") Parce qu'en réalité, pourquoi se prendre la tête pour savoir si ce qu'on ressent est une amitié ou de l'amour ? Quel est l'intéret ? Mieux pouvoir la décrire aux autres ? Et si c'est pour décider de nos comportement, il faut apprendre à décider de nos comportement en fonction de nos envies réciproques, et non pas en fonction des mots qui servent à décrire la relation. Encore une fois, dès qu'on creuse un peu au fond de ce qu'on ressent, ou quand on sort des "sentiers battuts" où les définitions sont bien cadrées, les sentiments se mèlent. Je préfère personnellement utiliser des mots décrivant des sensations, comme désir, plaisir, complicité, affection, etc... Que des mots sensés décrire des relations (et tout ce qu'il faut faire ou ne pas faire) comme amitié, ou amour. De toute manière, je pense que nos sentiments sont vivant par nature, ils bougent, ils évoluent. Parfois d'une minute sur l'autre. Donc forcément, les mots "uniques" ne peuvent pas être adaptés pour les décrire. (ça me rappelle une phrase que j'avais écrit plus jeune : les sentiments sont des annimaux sauvages qui ne survivent pas longtemps à la captivité des mots) ça dépend des relations. C'est toujours très compliqué de faire évoluer les mots avec lesquels ont décrivait nos relations. Parce que souvent les relations sont basé dessus. Plus pour certains que pour d'autres d'ailleur. ça dépend un peu des personnalités. Certains sont complètement enfermé dans leur définition, et ne peuvent pas en sortir. D'autres peuvent jongler avec les mots et "réadapter" facilement les définitions au fil des évolutions de leurs sentiments. C'est un peu en rapport avec l'importance de la "normalité" de la relation pour la personne je crois. De toute manière, je crois qu'une relation ne peux pas se passer de complicité, donc plutôt que de tourner cette évolution comme une demande mieux vaux jouer sur la complicité pour aboutir à ce qu'on veux, et en créer l'envie chez l'autre. Par expérience, je pense aussi que c'est beaucoup plus facile de changer les définitions des relations a postériori. Du genre : "Finalement, je crois qu'on était amoureux"... mais après qu'on ai couché ensemble Les définitions doivent suivre les actes, jamais les précéder ! Surtout s'il y a un risque que l'autre ai pas la mêmes définitions. C'est plus facile et moins risqué aussi de faire passer pour un dérapage quelque chose si ça se passe mal. ça permet de l'effacer et de l'oublier. Alors qu'un changement de définition, c'est beaucoup difficile à "réparer" et oublier après.
  15. Pas de problème pour ma part pour la blague. ^^ Je ne connaissait pas le solipsisme. Faut-il vivre dans l'illusion ? Si tout n'est qu'illusion, nous vivons nécessairement dans l'illusion. Il n'y a pas de "choix" à faire là dedans. Je crois que la folie, c'est plutôt quand on n'arrive pas a passer la marche entre les deux et qu'on se casse la figure. Je ne vie pas comme si le monde n'était pas une illusion. (je vie comme si le monde était une illusion) D'ailleurs, le terme illusion perd son sens s'il n'y a que ça qui existe. J'ai choisi de laisser continuer le monde/mon imagination tel qu'il était avant cette "prise de conscience". Et je manie avec prudence mes "pouvoirs" sur le monde. Je vie maintenant dans mon monde, complètement et je n'en suis que plus heureux, puisque c'est moi qui détermine ma réalité (donc l'importance des choses qui s'y passent) Mais je ne souhaite pas que les autres disparaissent de mon monde, je n'ai pas envie d'être seul, donc je continue de "croire" en leur existence. Puisque ça n'est qu'une question de croyance en fait. Aucune preuve tangible ne pouvant être apporté de votre existences. (ce qui me fait marrer d'ailleurs quand certains considèrent que s'occuper de choses qu'on ne peut pas prouver n'a aucun intérêt... s'ils savaient que rien ne peut être prouvé, pas même leur existence, ils feraient une tête ! mdr !!! )
  16. Bon, de toute les "réponses" je remarques quand même un sentiment unanime, même entre croyant et non croyant : il a foiré son coup. Maintenant, je nous trouve sévère avec Dieu. J'ai tendance à croire, même si ça semble difficile, que nous vivons effectivement dans le meilleur des mondes. Et non pas pour la raison que je donnais quand j'étais petit ( il n'y en a qu'un seul, donc nous vivons forcément dans le meilleur des mondes) Je pense qu'on vie réellement au paradis, et que tout ce qu'on imagine se réalise. Nous vivons dans le meilleur des mondes car c'est nous qui le créons à l'image qu'on souhaite qu'il ai. En réalité, je pense même que nous somme dieu, que nous avons créé le monde, mais que nous avons oublié notre divinité lors de cette création. (en fait, c'est pas ma croyance actuelle, c'est une "religion" que j'avais inventé quand j'étais petit) Je m'explique : Mettons que nous somme dieu. (hypothèse bien sûr) Rien n'existe, nous somme dans le néan, comme quand bastien entre dans le livre dans l'histoire sans fin. Puis nous souhaitons quelque chose. une sensation : la vue. et nous créons la lumière, (et l'obscurité par la même) Le froid et le chaud... Et petit à petit, plus nous imaginons, plus nous créons, et plus notre univers se complexifie, plus notre esprit s'éveille et se complexifie aussi. Car l'univers, c'est tout ce que nous percevons avec notre intellect, tout ce que nous imaginons. L'univers est en nous car c'est nous qui le créons. Après avoir inventé toute sorte de sensations, nous nous inventons un corps. La frontière entre nous et le reste du monde. On commence à exister en tant qu'individu. C'est là qu'on oubli notre divinité. Que c'est nous et nous seul qui créeont le monde qui nous entoure, puisqu'on s'en est coupé. On a imaginé/créé un monde extérieur. Et on se retrouve seul. Alors on crée les autres. pour ne pas être seul. On crèe quelque chose qui nous apporte de la chaleur pour combler la sensation de froid qu'on avait inventé, de la nourriture pour combler la sensation de faim qu'on avait inventé etc... Et plus notre esprit crée de chose, plus le monde se complexifie, plus notre esprit qui conçoit ces choses deviens complexe. Cet autre qui nous apportait chaleur, nourriture, on va en faire plusieurs qu'on va appeler mère, ou père... etc et ainsi de suite. Notre univers était d'abords une pièce, puis nous avons inventé ce qu'il y a derrière. Puis dehors. Puis nous avons inventé des régions (mer/montagne/tous les paysages) Puis même des pays, des économies... Des planètes et des galaxies... Tout est sortie de notre imagination. Et comme ça, nous avons créé le monde qui nous entoure actuellement. Nous avons inventé des choses de plus en plus complexe, des situations, des fonctionnements de plus en plus complexe, au fur et à mesure que notre esprit devenait de plus en plus complexe et "intelligent". Ainsi, dans cette "religion", on trouve une réponse à ta question. Dieu/nous, a créé le monde pour s'en différentier, pour exister. (le monde est créé quand on invente sa frontière entre nous et lui. Quand nous commençons à nous définir. à nous dire : "ça, c'est nous" en nous attrapant le pied. et ça c'est pas nous quand on attrape l'objet chaud à côté de nous) Puis Dieu/nous, avons créé les autres pour ne pas être seul dans ce monde. CQFD
  17. y'a pas vraiment de bonne ou de mauvaise réponse, enfin si y'a une mauvaise, un psychopathe aurait répondu que c'était pour revoir le mec qu'elle avait rencontré au premier enterrement. Enfin, c'est surtout suposer que c'est un psycopathe complètement con. Parce que rien ne prouve que le type ai la moindre raison de revenir par cette action, s'il a été rencontré au hasars dans le cimetière ! Après tout, claquer dans ses mains pourrait avoir autant d'impact que de tuer sa s¿ur... J'suis pas d'accord avec les déductions de ce test !!! Un psycopathe, c'est pas nécessairement quelqu'un d'idiot et qui n'a aucune notion des causes et des conséquences.
  18. Titsta

    Que pensez vous du suicide?

    Je crois que c'est la meilleur mort qu'on puisse avoir. Celle qu'on s'est choisie. Maintenant, c'est pas forcément la meilleure vie qu'on se choisie en mourrant trop tôt. Et si mourir, c'est une étape importante de la vie, c'est loin d'être la seule, et c'est pas la principale à mon sens. Je crois qu'il faut se suicider dans la vie, mais uniquement à condition d'être satisfait de sa vie. Si on en est pas satisfait, s'il y a des choses qui ne nous conviennent pas, c'est qu'on a encore à vivre pour changer ces choses. Si on se suicide parce qu'on reffuse de changer les choses, c'est se suicider par flème, ou par découragement. Et il vaux mieux demander de l'aide. Et si on pense qu'on ne peut pas ou qu'on ne pourra plus les changer, c'est qu'il nous reste encore à vivre pour apprendre à nous changer nous même. Là c'est un conseil plus relatif. Reste a savoir si on souhaite ou non continuer a vivre si quelque chose n'est plus possible. Mais je pense que, même si certaines choses ont une fin, la seule chose qu'on doit apprendre dans la vie, c'est a apprécier ce qu'on a vécu. Et je pense qu'on ne peut se suicider sainement que lorsqu'on apprécie ce qu'on a vécu, et que quelque part, on est heureux de l'avoir vécu, et qu'on est content comme ça, sans rien vouloir ajouter de plus à notre vie. Dans toutes les autres situations, c'est qu'on a quelque chose à faire ou a apprendre encore dans notre vie.
  19. Titsta

    votre rôle dans la vie?

    ça me rappelle une phrase de mes pensées ça. "Toi qui vis, n'oublie pas que tu es à la fois l'écrivain et le premier lecteur du livre de ta vie." C'est ça notre rôle, quel que soit nos volonté, quel que soit l'histoire qu'on veux mener ou écrire. On est les écrivains et le premier lecteurs de nos vies. Après, ce que je veux (c'est déjà plus tout à fait mon "rôle") , c'est d'écrire une belle histoire. Riche, réaliste, vivante, pleine de joie et de malheurs. Mais intéressante surtout, et belle.
  20. Titsta

    La volonté suffit-elle ?

    J'avais parlé de la volonté de ne pas être fou aussi Parce que si tu accepte de devenir fou, tu peux très bien t'imaginer que tu te marrie sous 30 degrés celcius au mois de décembre au quebec, sans que pour d'autre personne, tu ai quitté ta chambre à l'asile, où tu es tout seul depuis 10 ans. Non mais ce qu'on veux n'est pas déconnecté du monde dans lequel tu vis ! Tes expériences et tes sensations influent sur ta volonté. Donc naturellement, les volontés seront différentes d'une personne à l'autre. Quand je dis qu'on a toujours ce qu'on veux, je ne dis pas non plus qu'on est libre. Notre volonté peut être conditionnée, et l'est souvent (pour ne pas dire toujours) par le monde dans lequel on vie. Notre société exploserai si elle ne contrôlait pas les volontés de tout le monde ! D'ailleur notre société pourrait être entièrement définie par ses conditionnements sur nos volonté, on ne vole pas parce qu'on ne veux pas avoir à fuir les flics, et certains veulent être flics parce que la société à sû créer cette motivation chez eux (par la rémunération, par la promotion de l'esprit de "justice", d'ordre etc...) Dans le cas de la séduction, un truc que j'ai souvent observé, c'est qu'on ne veux pas seulement "un mec" ou "une nana", on veux aussi rester sois même (ou en partie sois même) ou conserver une certaine estime de sois. et c'est souvent ça qui bloque (maintenant, je dis pas que c'est mal que ça bloque là dessus ) Maintenant, je dois avouer que ma philosophie est conditionné aussi au fait que je considère que tout ce qu'on perçois de la réalité, c'est notre perception de la réalité, et que la seule vérité qu'on peut voir, c'est notre vérité. Parce que d'un point de vu objectif, si on suppose l'existence d'un monde objectif, ça peut être que faux le "on a tout ce qu'on veux dans la vie." Cette philosophie ne tiens totalement qu'avec la folie pour nous faire obtenir les choses qu'on désire vraiment. En fait, c'est un "dans la vie, j'ai tout ce que je veux" à prononcer à voix haute. Parce que l'autre il a pas toujours ce qu'il veux, puisqu'on vit pas toujours dans le même monde que lui, et que s'il devient fou, nous on considèrera qu'il n'a pas ce qu'il veux, alors que lui, si. (je sais pas si c'est clair tout ça ^^ ) Allez, je complique encore : En fait, "on a toujours ce qu'on veux", c'est pas incompatible avec "les autres ont pas toujours ce qu'ils veulent" Mais en fait, elle explique aussi pas mal de folie ma philosophie, c'est pour ça que je l'aime bien et que je trouve qu'elle modélise bien la réalité. (en tout cas la mienne )
  21. Je ne crois pas que l'intelligence et le libre arbitre aille vraiment de paire. Parce que quelqu'un d'"intelligent", il va s'asservir tout seul à la société.
  22. Evidemment Elaïs. Je rejoins Nefer dans son analyse. Je pense que pour pouvoir agir en utilisant son libre arbitre (variante de liberté: hein Elaïs ) il faudrait que l'animal est déjà une intelligence supérieure (je pense). Donc, à mon avis, seul l'espèce humaine et quelque autres ont cette faculté (certains singes, dauphins...). D'un autre côté, on est beaucoup plus doué que les annimaux pour s'astreindre à des tonnes de règles sociales. Qu'on soit différents des autres annimaux, c'est certains, qu'on ai plus de pouvoir qu'eux, c'est probable en tant qu'humanité, en tant qu'individus, c'est moins sûr. Qu'on soit plus libre qu'eux, j'ai de sérieux doutes. C'est sûr, les annimaux ont des comportements moins complexes, donc plus simple (en théorie, je suis pas sûr qu'on ai pas des comportement très simple individuellement si on était coupé du reste de l'humanité), mais ça n'est pas parce qu'on est prévisible qu'on n'est pas libre. Je crois qu'on a dégagé une intelligence de groupe, donc une sorte de libre arbitre de groupe, qui se révèle dans le pouvoir qu'on possède en se basant sur ce groupe (par exemple en utilisant des objets pour lesquels des centaines de personnes ont participé à l'élaboration) Mais individuellement, notre société est trop structuré pour que j'accepte sans hésitation l'idée selon laquelle on serait moins influencé, plus libre que des animaux.
  23. Titsta

    prostitution

    je ne veux pas parler tout seul, j'expose mes idées et ce que je ressens sur le sujet. Mais si toi tu voulais parler autrement que tout seul, tu pourrais débattre pour me dire où je me trompe, accquisser là où tu pense que j'ai raison. Répondre à la question que j'ai posé aussi, éventuellement, à savoir est-ce que tu juge la prostitution comme mauvaise, ou sale par nature ? ça serait intéressant je trouve. Parce que j'ai l'impression que le débat se résume à ceux qui pensent que la prostitution n'est pas sale par nature, contre ceux qui le pensent. En débattant et argumentant en réalité sur tout autre chose, histoire d'éviter le vrai débat et le vrai problème : Est-ce qu'on est libre de faire ce qu'on veux, ou certaines pratiques (comme la prostitution) doivent être interdite parce qu'elles sont "mauvaise" ? On parle de la légalisation de la prostitution, moi je demande pourquoi on l'interdit ? ça me semble une question légitime avant de débattre sur les impacts positifs ou non qu'aurait cette légalisation. Il me semble que si on n'a pas de réponse convaincante à cette question, on devrait la légaliser. Et se doter d'un arsenal juridique et policier adéquat dans le domaine pour lutter contre ce qui nous dérange vraiment.
  24. Titsta

    prostitution

    Je sors cette histoire de religion non pas de ton cas ou de tes dires (te sens pas visé directement) mais parce que je ne suis pas née de la dernière pluie, que je connais un petit peu le monde et que je n'ai pas une langue de bois. La plupart des religions (dans le sens commun, c'est à dire, les grandes églises monothéistes) interdisent et veulent supprimer la prostitution. Au delà d'une intervention directe de la religion, ces religions ont eu une influence considérable sur l'esprit et la morale "laïque" de personnes qui ne sont pas nécessairement croyant, mais de culture "judéo-crétienne" comme on dit. Et dans la culture judéo-crétienne, la prostitution, c'est mal ! Parce que le plaisir, c'est mal, la sexualité, c'est mal, sauf à la limite si c'est bien encadré dans un couple clair et classique (et seulement dans le couple) (Tu remarquera, je vais pas jusqu'à dire pour la reproduction... puisque je parle des non croyants influencé par la morale des religions) La plus grande partie du problème de la légalisation de la prostitution passe par ces considérations morales : "la prostitution, c'est mal" ou c'est "sale" ou c'est "malsain", défendu corps et âme (si j'ose dire) par les religions. Alors qu'en réalité, il n'y a rien de sale ou de mal dans cette pratique par nature. Même si, aujourd'hui, dans l'état actuel des choses (qui je le rappel est l'illégalité) la prostitution est un marché des plus sordide. Mais il ne faut pas confondre l'état actuel des choses, c'est à dire l'esclavagisme, et la nature même de la prostitution.
  25. en fait, je partage assez la définition de l'instinct, c'est un comportement innée. Maintenant, comme les petits ne chassent pas à la naissance, difficile de savoir si c'est un comportement inné ou acquit. Dans ces conditions, un vrai scientifique dirait "je ne sais pas". mais rare sont les scientifiques qui osent dire une telle chose ^^ (rare sont les vrais scientifiques) Après, je pense que l'instinct est lié à des fonctionnement mécaniques et inconscient. Et certainement pas à des fonctionnement où notre comportement doit varier continuellement en fonction des paramètres extérieurs. la chasse nécessite une analyse des sensations, et donc l'intervention de la conscience. Qu'il y ai une part d'instinct non négligeable, dans certains gestes, je veux bien, mais pas dans la totalité de la chasse, ni dans l'agencement général de ces gestes.
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