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Tout ce qui a été posté par Valtesse
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La plus prestigieuse des voies!
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Le péché, c'est moi!
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Ventre-Saint-Gris! Il me suffit de laisser ce pauvre Simplicius livré à lui-même pour que son intellect se mette à régresser! Le voilà parti déverser son venin sur certains topics avec, pour seules références, "l'Agence tout risques" ou "Starwars"! Misère! Il est temps que je reprenne en main son instruction.Sans sa princesse, il est perdu! Bon, laissons de côté ces "muffins faces" et autres glorieux highlanders, pour revenir à nos précédents amours : les "sang-bleu"! Et comme ma sournoiserie n'a d'égale que ma grandeur , je vais te porter le coup fatal avec une femme qui ne te laisse guère indifférent, faible mâle, à savoir "la dernière reine", dont le prénom laissait présager un glorieux destin, j'ai nommé : Victoria, Reine et Impératrice jamais égalée depuis la Rome Antique! Ces misérables anglais peuvent s'enorgueillir de ces femmes qui les ont gouvernés car ce sont les seuls Chefs d'Etat dont ils peuvent retirer une quelconque fierté! En effet, il serait navrant d'oublier que ces buveurs d'eau chaude ont eu, bien souvent, sur le trône, des rois fous, étrangers, dépensiers ou dépravés! Cette Reine épicurienne, qui aimait à lorgner les écossais en kilt, qui était en adoration devant l'Irlande (voilà une anglaise intelligente ), qui buvait son thé arrosé de whisky, qui possédait un talent de danseuse que même le Roi Soleil n'égalait pas, qui chérissait les pauvres plus que les riches, qui était surnommée la "reine républicaine" par son peuple et qui était une passionnée comme on en voit peu, qui aima le prince consort plus que tout, put s'offrir le luxe d'épouser l'homme qu'elle aimait. Elle apprit le métier de reine grâce à Lord Melbourne, doit sa couronne d'impératrice à Disraeli, a reçu de son oncle Leopold l'amour paternel, est redevable auprès du peintre Winterhalter de ses plus beaux portraits, adorait les chiens et son cheval Jacquot, appréciait les plaisirs de l'alcôve et les bals endiablés... Femme de coeur, elle n'hésita pas à entamer son pécule personnel pour venir au secours des Irlandais, lors de la Grande Famine (An Gorta Mor), en 1845. Elle travaille à une bonne entente avec la France...et Louis-Philippe 1er! :p Non, non, il n'y eut rien de lubrique entre eux, je plaisante! L'Exposition Universelle de 1851 rencontre un franc succès. Elle s'engage, auprès de la France et de l'Empire Ottoman, dans la Guerre de Crimée, en 1854. Elle crée la Victoria Cross, qui récompense les soldats méritants. L'extension de l'Empire Colonial anglais fut, sous son règne, à son apogée. De l'ère victorienne découleront une montée en puissance de la classe bourgeoise industrielle ; un conservatisme et un puritanisme extrêmes qui baigneront dans l'air du temps, critiqués par un certain dandy IRLANDAIS , Oscar Wilde (pour se noyer dans les plaisirs de toutes sortes, il est recommandé de se rendre à Paris, ville de tous les vices! :p ) ; un nationalisme poussé mais aussi une croissance économique reluisante (l'Angleterre sera d'ailleurs la première puissance industrielle mondiale). A côté de cela, la classe laborieuse nommée "Working class" connaît une misère inégalée, typiquement anglaise, et dénoncée par Dickens ou Carroll! De cette misère naît la première association internationale des ouvriers. La répugnante loi de 1849 (Les Actes de Navigation) fut abolie pour laisser place au libre-échange. C'est sous son règne que l'on assistera à la passionnante lutte entre évolutionnistes et créationnistes (qu'on jette ces derniers au bûcher! :D ). Cette ère victorienne verra aussi l'entrée éclatante des préraphaélites : Celle que l'on surnomma la grand-mère de l'Europe à cause de sa riche descendance (elle eut 9 enfants et 40 petits-enfants) disséminée dans toutes les familles régnantes du vieux continent, put se targuer d'avoir eu le plus long règne de toute l'histoire de l'Angleterre : 63 ans! Le Palais de Wesminster fut l'une des réussites architecturales de style néogothique flamboyant de l'époque : Le temps est venu pour toi, petit misogyne, de t'agenouiller devant l'Impératrice (et devant moi :p ):
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Mais pense aux joyaux brisés, ayant subi du temps l'irréparable outrage. C'est charité que de lui permettre la burqua ! Et le lifting, qu'en fais-tu ? Certes, c'est plus onéreux, m'enfin! :D Ben mon Plus "fayot" ça va étre dur à trouver! Ma coccinelle est entraînée à flatter sa princesse préférée...et il fait çà bien, reconnaissons-le!
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Coquine petite coccinelle!
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Le voile n'est seyant que lors d'une danse du ventre car, transparent, il y amène un soupçon de sensualité. Par contre, s'il est destiné à cacher le joyau qu'est la femme, c'est pure hérésie!
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Mais il faut penser à fermer les écoutilles Après le confessionnal, on peut remettre çà aussi tôt C'est bien cela qui fait de la confession tout son intérêt!
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C'est pratique le confessionnal, on en ressort blanchi!
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"La galanterie, c'est l'art de mettre la femme en valeur..."
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Infâme! J'hésite à te jeter dans les flammes putrides du huitième cercle (le dixième bolge, fieffé bonimenteur!) ou du neuvième, réservé aux judas (en particulier les félons anglophiles )!!! Oublie donc ma chère Mary et repais-toi de ce spectacle jouissif par excellence : De ce pauvre homme, nous garderons un vibrant hommage : Vive ce saint homme qui nous débarrassa de la vermine royale anglaise! God save the Catholic Queen of Scotland :
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Vous admettrez, sans coup férir, que vos buveurs d'eau chaude ont un petit "je-ne-sais-quoi" qui fait peine à voir! Le gros rougeot de Churchill : La gourgandine de ce bon à rien de Charly : La Dame de Fer : La "pudding royal family" dans toute sa splendeur : Et voici quelquechose d'un tant soi peu plus classe : The Court Of The Lord
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pourquoi les hommes préfèrent les femmes jeunes (et vice-versa)?
Valtesse a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Oui, c'est pas mal non plus... -
Oh, qui sont mimi les petits!
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Ah, je vous y prend mes petits révolutionnaires, à monter une cabale destinée à ourdir une sédition des plus infâmes contre vos royalistes préférés! Faites allégeance auprès de leurs majestés!
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Un certain monsieur Nohain disait fort justement : "Les ennemis, çà n'existe pas.Ce sont des gens avec qui l'on n'a pas encore déjeuné."
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Enfin donc, cher ami, pourquoi irais-je m'épuiser à retranscrire un texte, quand les précieuses vertus du "copié-collé" m'offrent un gain de temps que je peux utiliser à des fins plus profitables ? Et comme le dirait ce sage Anatole France, le travail est quelquechose d'anti-naturel.Seule la paresse est divine! Je me vois fort obligée, pour parer à vos chiffres farfelus, de recourir à la parade du "copié-collé", afin de faire taire votre faconde : "Selon de récents sondages, 51 % des Ecossais et 59 % des Anglais souhaitent l'indépendance de l'Ecosse, autonome depuis 1999. Si le Parti national écossais, en progression dans les sondages, remporte les élections au Parlement écossais en mai 2007, un référendum pourrait être organisé et mettre fin à un mariage vieux de trois siècles. "Le nationalisme écossais fonctionne par vagues", écrit Michael Fry, journaliste et ancien député conservateur écossais, dans Prospect, qui consacre dans son numéro de décembre un grand dossier au débat sur l'indépendance écossaise. Et ledit nationalisme serait plutôt à la hausse, ces temps-ci. Le Parti national écossais (SNP) a dépassé les 25 % de soutien dans les sondages. Selon un récent sondage publié par le Sunday Telegraph, 51 % des Ecossais et 59 % des Anglais souhaitent l'indépendance de l'Ecosse vis-à-vis du Royaume-Uni. L'Ecosse bénéficie depuis 1999 d'un statut d'autonomie, avec son propre Parlement. En 2007, cela fera trois cents ans que l'Ecosse et l'Angleterre sont unies. "Quoi qu'en pensent les ministres à Londres, le problème de l'Ecosse dans l'Union n'est pas réglé, et il va plus loin que l'effervescence occasionnelle due à la surreprésentation des députés écossais au Parlement britannique et à la part de l'Ecosse dans les dépenses publiques", affirme Michael Fry. Le journaliste, ancien partisan de la dévolution (transfert d'une partie des pouvoirs au gouvernement et au Parlement écossais), estime que celle-ci a atteint ses limites. "L'Ecosse bénéficie de beaucoup d'argent public, mais elle ne rattrape pas pour autant la croissance anglaise. Plus les dépenses publiques pour l'Ecosse augmentent, plus le gouvernement britannique peut pointer du doigt le désastre qui découlerait de l'arrêt des subventions ¿ notamment dans le cas d'une sécession. En résumé, tout cet argent vise à entretenir la dépendance de l'Ecosse vis-à-vis du Royaume-Uni", pointe Michael Fry. "On nous impose un régime de subordination provinciale. C'est ce qui a motivé la naissance du nationalisme écossais, et la dévolution n'a rien changé à cela. La seule solution, c'est de s'en débarrasser définitivement. Cela signifie que la nation doit devenir son propre arbitre moral. Cela signifie l'indépendance", appelle Michael Fry. "Si les Ecossais veulent l'indépendance, les Britanniques ne peuvent pas l'empêcher", écrit le chroniqueur Simon Jenkins dans The Guardian. Pour lui, le gouvernement britannique s'accroche à l'Ecosse par simple arithmétique politique. "Le Parti travailliste a désespérément besoin des 40 sièges écossais au Parlement britannique. Alors que l'Union fêtera ses 300 ans en mai, elle semble sur le point de s'écrouler, et la bonne fortune du Parti travailliste avec. La bataille se poursuivra au Parlement écossais, dont les élections auront lieu le 23 mai." Le Parti travailliste tient pour l'instant le Parlement écossais, et la représentation écossaise au Parlement britannique est presque exclusivement travailliste. Cela dit, "l'indépendance ne signifie pas la fin du Royaume-Uni : l'Ecosse et l'Angleterre partageaient un monarque avant 1707, comme le Royaume-Uni et le Canada aujourd'hui. Si l'Europe de l'Est peut réussir la partition, alors le Royaume-Uni le peut aussi", assure l'éditorialiste du quotidien britannique. "Le retrait des subventions britanniques sera dramatique, mais il ne fera pas de mal aux Ecossais de comprendre que l'argent public ne pousse pas dans les arbres. Et l'histoire de l'économie nous apprend que trop d'argent public gâte l'économie", affirme Jenkins. "La partition est la politique à la mode. C'est grâce à la partition que l'Irlande connaît un boom économique, que la Slovaquie revit et que les Etats baltes prospèrent. Le gouvernement britannique l'encourage partout, et la force même en ex-Yougoslavie ou en Irak. Elle a accueilli favorablement l'indépendance du Monténégro. Par quelle hypocrisie Londres peut¿il mépriser l'ambition écossaise ? Si les Ecossais veulent rejeter l'Union, les Anglais devront l'accepter. Les Etats n'ont pas de légitimité sans le consentement de leurs minorités territoriales. Le Royaume-Uni est entré en guerre pour défendre ce principe au Kosovo." "Le quatuor formé par l'Union britannique est discordant", remarque également le Financial Times. "Le manque d'harmonie vient du fait que les Ecossais refusent de jouer les seconds violons derrière les Anglais. En retour, cela alimente le ressentiment des Anglais, conscients du prix qu'ils paient pour préserver l'unisson", écrit le quotidien londonien dans une métaphore musicale. "Il est temps d'envisager de manière dépassionnée des carrières solos", enchaîne le journal économique. "Les travaillistes ne souhaitent évidemment pas perdre leur leadership, menacé de disparaître en cas de départ des députés écossais. Mais ce qui est bon pour le Parti travailliste ne l'est pas forcément pour le Royaume-Uni." Vous vous plaisez à dire que les écossais ont besoin de la Perfide Albion pour survivre, c'est oublier un peu vite le fameux pétrole de la mer du nord qui leur reviendrait de droit si l'Ecosse reprenait son indépendance... Mon cher ami, ton acharnement m'amuse. Je t'invite à un souper digne de ce nom dans une de mes modestes demeures :
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Quand on m'attaque, je peux me défendre ; mais, devant les louanges, je suis sans défense.
(Freud)
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pourquoi les hommes préfèrent les femmes jeunes (et vice-versa)?
Valtesse a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Personnellement, qu'il soit plus jeune ou plus âgé m'est égal : chacun a quelquechose à apporter. -
Prends note, et remercie-moi de ma bonté à veiller à ton instruction : 2007 : l'écosse vers l'indépendance ? L'an prochain, l'écosse va fêter le tricentenaire de l'Acte d'Union, à sa façon samedi 5 mai 2007 - Ronan Blaise Le 1er mai dernier se sont déroulées, à Edimbourg, les commémorations du tricentenaire de l'Acte d'Union anglo-écossais de 1707 : acte juridique fondateur du Royaume-Uni de Grande Bretagne supprimant le Parlement d'écosse. Or, cet anniversaire n'est finalement pas si festif que ça... En effet, on se rappellera que le Parlement écossais a été restauré il y a quelques années : en 1998 (« Scotland Act »), suite à la tenue d'un référendum s'étant déroulé l'année précédente, en 1997. L'écosse ayant alors accédé à un statut d'autonomie sur un certain nombre de compétences (comme la santé, l'éducation ou les questions sociales) pour lesquels les députés « britanniques » de Westminster n'ont désormais plus leur mot à dire. Or, le surlendemain des commémorations du tricentenaire de l'Acte d'Union auront justement précisément lieu des élections législatives pour renouveler les membres du Parlement d'écosse, élu en mai 1999. Des élections lourdes de menaces pour l'avenir d'un Royaume-Uni fondé il y a à peine trois cent ans... Un premier pas vers l'indépendance ? En effet, pour ces prochaines élections, un parti politique est d'ors et déjà très clairement donné vainqueur par les instituts de sondage (avec aujourd'hui plus de 25% des intentions de vote et environ cinq points d'avance sur leurs principaux concurrents...) : c'est le SNP (Scottish National Party), parti nationaliste et séparatiste écossais qui, avec le soutien appuyé de personnalités comme l'acteur Sean Connery, milite ouvertement pour l'indépendance de l'écosse et pour sa sortie du Royaume-uni [1]. Un parti dont la victoire annoncée pourrait alors ouvrir la voie à une éventuelle scission du Royaume-Uni. En effet, leur leader Alex Salmond l'a très clairement promis : si jamais le SNP remporte effectivement les élections et s'il est désigné premier ministre, il soumettra alors dans les cent jours au Parlement d'écosse un projet de loi prévoyant l'organisation d'un référendum sur l'indépendance de l'écosse. Lequel référendum d'autodétermination pourrait donc être organisé autour de la question suivante : « étes-vous d'accord pour que le Parlement écossais négocie un nouvel accord avec le gouvernement britannique afin que l'écosse devienne un état souverain et indépendant ? ». L'indépendance, pourquoi faire ?! Alors, bien entendu, la prochaine victoire électorale des séparatistes écossais n'est actuellement absolument pas acquise d'avance et l'indépendance de l'écosse et sa sortie du Royaume-Uni ne sont sans doute pas pour tout de suite. Mais envisager que l'écosse quitte le Royaume-Uni n'a aujourd'hui plus rien de farfelu. Et, à l'heure actuelle, nombre d'écossais commencent manifestement à se dire que l'indépendance de l'écosse n'est sans doute pas une si mauvaise idée que cela. D'abord parce que l'actuelle majorité parlementaire « Labour-LibDem » qui siège aujourd'hui à Edimbourg depuis mai 1999 n'a visiblement plus assez de soutien populaire pour s'y maintenir. Ensuite parce que les Conservateurs ne représentent pas aujourd'hui en écosse une alternative crédible. Enfin parce que les électeurs écossais semblent aujourd'hui prêts à franchir le pas et à porter le SNP aux affaires. Une résurgence indépendantiste que l'on peut également expliquer par le pétrole : le SNP affirmant que 90% du pétrole de la mer du nord aujourd'hui exploité par des firmes britanniques appartenait à l'écosse (et que les revenus qui en étaient aujourd'hui tirés devaient alors revenir aux écossais...). Une manne pétrolière aujourd'hui évaluée (en se fondant sur des prévisions optimistes quant à l'évolution du cours du pétrole...) à environ 270 milliards d'euros d'ici à dix ans : une manne pétrolière qui viendrait apporter une crédibilité nouvelle aux projets économiques et sociaux du SNP. L'indépendance : quelles conséquences ? Cette indépendance, en tout cas, aujourd'hui plus de 50% des écossais (dans une enquête commandée, en cette fin novembre dernier, par l'Institut YouGov à la demande du SNP) et près de 60% des Anglais (dans une enquête récemment réalisée par « The Sunday Telegraf ») semblent y être aujourd'hui favorables. De plus, les Anglais ne sont finalement pas si mécontents que cela à la perspective de ne plus voir dans l'avenir leurs lois « anglaises » être votées par une majorité renforcée par des députés écossais... Précisément alors que le Parlement de Westminster n'a absolument plus son mot à dire sur certaines questions ne relevant plus, depuis 1998, que du Parlement autonome d'Edimbourg. Une indépendance écossaise qui pourrait alors, en tout cas, avoir des conséquences catastrophiques pour le parti travailliste actuellement aux affaires au Royaume-uni. Puisque l'indépendance de l'écosse lui ferait ainsi perdre une quarantaine de députés sans lesquels l'actuelle majorité n'est absolument pas viable (et serait bien incapable de faire passer ses projets législatifs). Mais une indépendance écossaise qui pourrait avoir des conséquences positives pour l'Angleterre... et pour l'Europe. Puisque cette indépendance permettrait enfin à l'Angleterre de prendre la mesure de sa vraie place dans le monde plutôt que de se reposer, comme aujourd'hui encore, sur les lauriers fanés d'une époque impériale décidément à jamais révolue... A la tienne et à celle de ta reine!
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LA France a besoin d'une nouvelle révolution ?
Valtesse a répondu à un(e) sujet de hayaaa dans International
Une nouvelle révolution...et puis quoi encore??? La Révolution de 1789 a non seulement été fomentée par la classe bourgeoise, mais elle le fut aussi par ces satanés anglais (et oui, encore eux!)! Un bain de sang inutile qui fait honte à la France! Nous nous passerons donc d'une deuxième boucherie et, si problème à régler il y a, nous trouverons moyen de les régler, je le souhaite, de manière civilisée. Par contre, nous spollier nos jours fériés, même s'ils célèbrent des sollenités à caractère religieux, est un scandale. -
Donc j'ai raison!
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Ben moi, je préfère le chocolat suisse...