konvicted

C'est sûr, l'anonymat n'est assuré que si des gens qui ne commentent pas votent au préalable. Ah, cette idée de sondage est bien partie, comme je le craignais, par s'avérer une dépense d'énergie inutile. Enfin, ne soyons pas trop défaitistes, je pourrai dire ça dans quelques jours quand il en sera au même point. Toujours est-il que tu as certainement lu plus de poésie que moi qui lis uniquement, et écoute surtout, Brassens - quoique je commence tout de même à lire d'autres amateurs, ainsi que le topic dédié à Baudelaire. Enfin bref, ce n'est pas bien important puisque de toute façon, je n'exige pas l'avis d'un spécialiste. Ton humilité t'honore mais... non rien en fait, je ne trouve pas à cette phrase. Ton humilité t'honore, point. L'histoire de 10, c'était juste une blague, hein ! Tu peux ne mettre que 9. :p

Ça dépend, tu regardes Arte - en dehors de Debout et Midi les zouzous, évidemment - ou Des chiffes et des lettres ?

Non, tu tiens le cliché à l'envers, les arabes sont des voleurs mais les voleurs ne sont pas tous arabes !

Laisse-moi deviner, tu ne portes pas de lunettes, toi ? Pensez-vous que les intellos à lunettes ne le sont plus quand ils passent aux lentilles ?

Merci. Ce n'est pourtant pas compliqué, il suffit de cocher 10 et de cliquer sur "Voter !". :p Si tu entends par là que tu n'as pas d'idée quant à quelle note donner, soit ; mais si tu t'estimes mal placé pour voter ou quoi que ce soit dans le genre, je t'arrête tout de suite. Premièrement, tu en sais probablement plus que moi en poésie et tu es par conséquent mieux placé pour l'évaluer que je ne le suis pour l'écrire. Deuxièmement, si je voudrais des notes, c'est pour avoir une meilleure idée de comment mes textes sont perçus comme, vu qu'il y a une énorme différence entre le nombre de visites et le nombre de membres qui laissent un commentaire, j'ai l'espoir, peut-être naïf, que certains qui lisent sans commenter prendraient la peine de noter. Je pense en particulier à ceux qui n'aimeraient pas mais n'oseraient pas l'indiquer, alors que je ne demande qu'à faire mieux et que je suis ouvert à toute critique constructive. Bref, que n'importe qui ayant lu le poème se sente libre de le noter en son âme et conscience ! Cela dit, je ne te force évidemment pas à voter, surtout que tu es mon plus fidèle commentateur, je t'en remercie d'ailleurs. :)

Petit aparté, je vais intégrer à chaque poème à partir de maintenant, du moins s'il y a suffisamment d'avis pour que ça ait un intérêt quelconque, un sondage pour vous demander de lui donner une note sur 10. Ledit sondage est anonyme, alors n'hésitez pas à noter comme bon vous semble. Le sujet de ce poème étant relativement grave, je précise que bien qu'écrit à la première personne, une fois n'est pas coutume, il n'est pas inspiré de ma vie. Hier quand je serai heureux Monsieur Swatch, je ne vous félicite pas, Car j'ai beau reculer la petite aiguille Depuis probablement des jours et des nuits, Ma montre ne ramène pas du trépas Celle-là qui l'échangea contre mon cœur, Subtilement, sans que je m'en aperçusse ; Puis, me faisant tomber de mon cumulus, Rejoignit la mort comme un cambrioleur Quitte à pas de loup le lieu de son forfait Quand, alors que disparaissent leurs valises De sous leurs yeux, ces gens-là qu'il dévalise Restent sagement dans les bras de Morphée. Monsieur Swatch, je vous le demande à genoux, Persuadé que c'est de votre ressort, Faites réparer mon unique trésor, Envoyez tous vos techniciens sur le coup, Mettez fin à ce silence assourdissant Des doux souvenirs me tenant compagnie ; Avec pour réconfort cette litanie : "Dieu, faites-en un succès retentissant", Ma montre rendue, mi confiant mi peureux, Je reprendrai la molette entre les doigts La tournerai et la tournerai vers moi Jusqu'à vivre hier quand je serai heureux.

epmd71 me dit de vous dire que vous pourrez le trouver sur la plage de Blackpool, à quelques dizaines de kilomètres de Manchester.

La pudeur n'est pas tant dans les vêtements que dans le regard. Si ça te dérange de voir ce que tu perçois comme indécent, il ne tient qu'à toi de ne pas regarder.

Marre des papillons mites. Non seulement ils ont la sottise de rentrer dans ma chambre mais en plus, ils ont le toupet de voler juste à ma portée. Si seulement ils étaient un peu plus vifs, ils pourraient se permettre de me narguer et je n'aurais pas à me laver les mains aussi souvent !

J'imagine que tu ne croyais pas si bien dire. 32-62

Je ne vois pas pourquoi ça ne passerait pas en tout cas. Tiens, voilà une liste des objets interdits en cabine par Air France. J'imagine que c'est la même pour toutes les compagnies.

Salut, Perso, on ne m'a pas fait chier avec ma trousse toute entière, et y'avait un compas dedans - mais ça je crois que c'est passé parce qu'ils ne l'ont pas vu. Le livre et les jeux de cartes, ça passe sans problème. Au passage, tu me rappelles une blague :

J'imagine que parmi les malotrus qui utilisent cet argument, il y a des parents sûrement naïfs - ou alors qui savent leur enfant pervers - qui croient vraiment que leurs enfants risquent d'être choqués et des hypocrites, parents ou non, qui sont eux-mêmes choqués mais préfèrent parler au nom des enfants - comme c'est généreux de leur part. Mia Adaxo ou comment chipoter sur le chipotage. N'entends-tu pas ce bruit ? C'est le bac à sable qui t'appelle !

Mais ils ne s'en souviennent pas. Je t'accorde cependant que ce ne sont probablement pas les enfants qui sont choqués de voir des nichons à la plage.

Tu me fais penser à une magnifique chanson de Brassens - c'est un pléonasme. ♪♪ Dans l'eau de la claire fontaine, Elle se baignait toute nue. Une saute de vent soudaine Jeta ses habits dans les nues. En détresse, elle me fit signe Pour la vêtir, d'aller chercher, Des monceaux de feuilles de vigne, Fleurs de lis ou fleurs d'oranger. Avec des pétales de rose, Un bout de corsage lui fis. La belle n'était pas bien grosse, Une seule rose a suffi. ♪♪ Brassens - Dans l'eau de la claire fontaine

[mode Homer] A l'alcool ! La cause et la solution à tous nos problèmes ! [/mode Homer] Merci pour ton commentaire. Jedino ou moi ?

Les basketteuses françaises ont fini par s'imposer, 71-68. Elles reviennent de loin.

"L'argent qu'on possède est l'instrument de la liberté, celui qu'on pourchasse est celui de la servitude." Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions

Ah, je croyais que ce smiley servait juste à faire pitié - faut dire qu'il est sacrément moche. Les smileys ne font pas l'ironie.

Je viens encore de recevoir une visite dont je me serais bien passé. C'est décidé, demain je m'achète du sel et de la bière. Mais la bière, ce sera pour moi.

Le mal est déjà fait.

J'imagine, oui, mais j'insinuais que c'est la lecture forcée de livres ennuyants qui t'aurait poussé à te poser ces questions.