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Tout ce qui a été posté par konvicted
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Je conçois qu'un enfant puisse s'amuser avec des jouets chiants à mourir. Ce que je ne comprends pas, c'est que ses parents aient l'idée de les lui offrir. Pourquoi s'arrêter sur le jouet aspirateur dans un rayon rempli de boîtes de Lego, de Playmobil et d'hélicoptères télécommandés ? Il n'y a pas d'inversion, la pub n'incitant pas à n'acheter que des poupées pour les garçons et que des petites voitures pour les filles. Elle ne fait qu'arguer que des garçons peuvent s'amuser avec des jouets dits pour filles et réciproquement. Montrer des enfants utiliser des jouets traditionnellement réservés à leur genre n'aurait rien apporté au propos et les publicités ne sont pas vraiment faites pour s'étaler en détails superflus.
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Je trouve ça assez hypocrite de faire passer des tâches pénibles pour des activités ludiques. "T'as vu comme Papa et Maman rechignent à passer l'aspi ? Eh ben, maintenant tu vas pouvoir faire pareil ; amuse-toi bien." À quand le jeu de plateau "apprends à remplir ta déclaration d'impôt" ? Ce n'est absolument pas le sens de mon commentaire, relis-le bien, mais merci d'avoir mordu à l'hameçon. Voilà, c'est exactement ce que je disais. D'où l'intérêt de ne pas arrêter la lecture d'un message après la première phrase... Ben ouais, faudrait pas que Barbie sorte avec une robe froissée. Y a vraiment des types qui ont été payés pour pondre ce slogan ?
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Je suis désolé mais voir ce petit garçon jouer avec un simulacre d'aspirateur, ça me choque... Comment peut-on faire passer cet instrument de torture auditive pour un jouet ? Et qui offrirait ça à son gamin ? Quitte à être un parent indigne, autant lui faire faire des tâches ménagères pour de vrai. Et par leurs vieux, surtout.
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Comme d'habitude, dit-il en soupirant. Et toi ?
Je recycle ma réponse, alors :
Quelqu'un d'autre peut pas le faire ?
https://artfulanxiety.files.wordpress.com/2015/06/pdvd_056.jpg
(Théiachoupe !?)
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De quoi parle-t-on, du changement de sexe admnistratif de M. X pour la mention "neutre", ou de la création d'une nouvelle catégorie où caser les nouveaux-nés sans sexe déterminé ? Dans le premier cas, l'OII n'a pas son mot à dire, mais dans le second, elle ne peut pas avoir moins d'importance dans le débat que l'avis d'un individu isolé.
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Soit. En l'occurrence, je ne parlais pas de l'avis des intéressés, mais de traitement médiatique. L'évidence est que l'étiquette "neutre" est discutable. J'ai déjà indiqué en quoi je trouvais cet artifice douteux, je ne vais pas revenir dessus. D'après qui ? Parce que s'il faut demander aux premiers intéressés, seule une minorité d'entre eux sont favorables à la reconnaissance d'un troisième genre si on en croit le porte-parole de l'Organisation internationale des intersexes (voir l'article mentionné par zera).
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Il me semblait qu'on parlait de l'histoire évolutive de la queue du paon, mais si tu parles d'évolution future ou présente, d'accord. Ce qui compte, c'est de savoir si et les critères de beauté et les caractères dits beaux sont héréditaires. Dans le cas de l'homme, c'est plus que douteux, ce qui, entre autres raisons, rend la comparaison foireuse.
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Ce procès d'anthropocentrisme à l'évocation du gène, qui n'est ni plus ni moins que l'unité de sélection naturelle, est du foutage de gueule. Si les femelles paons choisissent des mâles selon des traits héréditaires, ce sont les gènes codant pour ces traits qui seront transmis à la génération suivante ; c'est comme si elles piochaient directement des gènes ! Évidemment, elles ne le savent pas, tout comme les hommes ayant domestiqué le loup, la vache ou le cheval ne savaient pas que les traits comportementaux pour lesquels ils sélectionnaient des individus pour la reproduction étaient programmés par des gènes ; mais là n'est pas la question. La femelle paon n'a pas plus besoin de connaître la génétique mendélienne pour choisir son partenaire que la terre n'a besoin de connaître la relativité générale pour suivre son orbite. Pour en finir avec cette histoire de beauté du paon, je n'ai rien contre le fait qu'on emploie des notions purement humaines pour décrire des comportements animaux ; c'est pratique et ça ne pose pas de problème du moment qu'on est conscient que ce n'est qu'une façon de parler. Donc que tu parles de beauté dans l'unique cadre de l'évolution de la queue du paon, oui ; mais que tu parles de beauté pour faire un parallèle entre le paon et l'homme, non ! parce qu'alors tu mélanges sens figuré et sens propre.
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Je ne saisis pas bien où se situe ta contradiction au propos de shyiro. Si comme lui on part du principe que les femelles choisissent les mâles sur des critères esthétiques, même si les mâles les plus "beaux" ont une plus courte espérance de vie, le fait d'être préféré aux autres mâles peut très bien leur conférer un plus grand succès reproductif (ou au contraire un moindre succès reproductif, ça dépend, il faudrait une analyse quantitative pour trancher). Il est évidemment impropre de parler de beauté dans le choix de la femelle paon, mais c'est l'hypothèse qui est erronée, ou plus exactement mal formulée, pas sa conclusion : la sélection sexuelle peut faire d'un handicap pour la survie un avantage sélectif.
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Aussi nécessaire ce débat soit-il, toutes les façons de le provoquer ne se valent pas. Pourquoi ne pas braquer les projecteurs sur le recours fréquent à la chirurgie plutôt que sur l'absence de reconnaissance d'un sexe neutre ? Appeler un intersexué monsieur ou madame serait-il donc plus choquant que de charcuter un gosse pour lui fabriquer un sexe ? Par ailleurs, le fait d'inscrire sur les papiers d'un intersexué qu'il n'est ni homme ni femme est des plus discutables ; après dix pages dessus, c'est une évidence. Quitte à régler le problème administratif, la solution de proscrire la mention du sexe serait bien plus cohérente avec la critique de la binarité M/F et ne ferait pas de distinction entre intersexués et non-intersexués. Oui, une mauvaise réponse ! Oui, c'est un tout autre son de cloche que ce que l'article du Monde nous propose. Merci d'apporter de l'eau à mon moulin :
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Tu veux aussi des violons et une photo de chat triste pour mieux nous tirer une larme ou a-t-on le droit de ne pas se ranger à l'avis de M. X sans être taxé d'insensible ? Tu tutoies et vouvoies zenalpha dans la même ligne ? Certes, mais il n'est pas dit qu'il fasse réfléchir de manière productive. Pendant qu'on se demande Et si on créait une nouvelle case où mettre la minorité de la minorité asexuée qu'on n'arrive pas à rentrer de force dans une des deux cases préexistantes ?, on réduit un problème existentiel à un problème administratif, certes bien plus simple, et on ne remet pas en cause l'importance accordée à ces cases, bien au contraire.
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Tu fais exprès de ne pas comprendre ou quoi ? Et ? Ceux préférant la beauté à d'autres critères se reproduisent-ils plus que les autres ? Leurs critères de beauté sont-ils héréditaires ?
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Femme à micro-pénis dans le cas de M. X. Je ne sais pas exactement à qui s'adresse la question, mais en ce qui me concerne, je n'ai rien à proposer. Pour cause : Toute tentative de définition serait une tautologie. En conséquence, la solution serait d'ôter toute mention du sexe dans les procédures et documents administratifs. (J'ai du mal à imaginer que tous les malheurs d'un individu né sans sexe soient dus à la présence d'un "M" ou d'un "F" arbitraire sur sa carte d'identité, mais bon, je ne vois non plus l'intérêt de la mention du sexe.)
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Ton objection est ridicule, évidemment que les femelles ne jugent pas de la qualité des gènes des mâles, il n'est même pas question de choix conscient ; elles "choisissent" les mâles comme si elles cherchaient à maximiser leurs chances d'avoir une progéniture prolifique. Et ce que je dis, c'est que ce n'est pas un hasard : c'est parce qu'un tel "choix" leur confère un avantage sélectif que la sélection naturelle l'a favorisé. Je l'ai déjà expliqué rapidement mais je peux le faire plus lentement. Imaginons une population de paons dont les femelles ont une probabilité 0 < p < 1 de ne choisir que les mâles avec les queues les plus élaborées pour s'accoupler et une probabilité 1-p d'accepter n'importe quel mâle pour partenaire (soit parce qu'une fraction p d'entre elles font tout le temps le choix de la queue la plus élaborée, soit parce qu'elles ont toutes une probabilité p de faire ce choix*). Si les mâles avec les queues les plus sophistiquées sont aussi les mieux taillés pour la survie (comme le suggère l'étude à laquelle je faisais référence), les petits des femelles s'étant accouplées avec auront plus de chances de survivre que les petits des autres femelles. Donc les femelles de la nouvelle génération auront une probabilité q > p de ne choisir que les mâles avec les queues les plus élaborées. Et celles de la génération d'après, une probabilité encore plus grande, etc. C'est un raisonnement simpliste et il y a sans doute d'autres hypothèses possibles pour expliquer l'évolution de la queue du paon, mais ce que je veux dire, c'est qu'il est tout à fait arbitraire de recourir à des notions purement humaines comme la beauté pour expliquer des comportements chez d'autres animaux. *Eh oui, c'est possible même si elles ne savent pas calculer des probabilités dans leur petite tête ! Par exemple, cette publication de Brockmann et Dawkins relate le cas de guêpes fouisseuses qui creusent un nouveau nid 3 fois sur 5 et en empruntent un déjà existant 2 fois sur 5, mais personne ne prétend que les guêpes sont capables de prendre consciemment des décisions probabilistes.
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C'est pire que subjectif, c'est anthropocentriste. Rien ne nous permet d'affirmer qu'il s'agisse d'un choix conscient ou qu'il y ait une quelconque légitimité à parler de préférence esthétique chez le paon. Par ailleurs, dire que les mâles ont été sélectionnés pour avoir des queues que tu trouves belles, c'est aussi dire que les femelles ont été sélectionnées pour "choisir" des mâles avec de telles queues (en supposant que ce "choix" est sous contrôle génétique). Autrement dit, les femelles tendant à "choisir" les mâles aux queues les plus exubérantes ont laissé plus de copies de leur(s) "gène(s) de" sélection des mâles que celles "choisissant" les mâles aux queues les plus modestes, et les ont petit à petit surpassées en nombre. Ça me paraît très difficile à expliquer si ce "choix" est esthétique, mais tout à fait cohérent si la queue du mâle est pour la femelle un indicateur de la qualité de ses gènes. T'as vu la queue que je me traîne ? Et pourtant, j'ai survécu jusqu'ici ; j'ai trop des gènes de compét'. À propos, cette étude établit une corrélation quasiment linéaire entre le nombre d'ocelles sur la traîne du papa paon et les chances de survie de ses poussins, ce qui tend à montrer que le choix de la femelle paon est bien sous contrôle génétique et est bien une sorte d'estimation de la viabilité du patrimoine génétique des prétendants.
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Autre dénomination ou non, le problème n'est pas dans le vocabulaire mais dans le fait-même de discriminer le sexe dans le langage. Le sexe neutre ne se définit que relativement aux masculin et féminin ; cette catégorisation par défaut ne reconnaît donc pas les individus pour ce qu'ils sont, mais bien pour ce qu'ils ne sont pas. C'est la biologie qui l'a fait hors-norme. Il paraît que c'est même une raison valable pour porter la mention "hors-norme" sur ses papiers. La réponse est dans ta question.
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Le diminutif -chen requiert l'emploi du neutre, quel que soit le genre du mot de base ; idem avec -lein qu'on retrouve dans Fräulein qui veut dire Mademoiselle. En dehors de cela, on dit der Junge, der Mann, die Frau ; il y a bien une correspondance entre le genre de l'individu et le genre du mot qui le désigne, comme en français. La différence, c'est que, comme l'a rappelé Simplicius, le masculin a une double casquette et joue aussi le rôle de neutre en français. Il y a pourtant bien une binarité masculin/féminin en anglais. Certes, les mots ne sont en général ni l'un ni l'autre, mais les pronoms personnels sont bien genrés. En anglais comme en français ou en allemand, on ne parle jamais d'une personne sans identifier son genre ; et il n'y a pas d'alternative neutre à he et she. Ou si, c'est le masculin he, comme en français. Du moins ça l'a été, ça l'est de moins en moins parce que ce "generic he", jugé sexiste par beaucoup, est supplanté par le "singular they", qui est toutefois loin de faire l'unanimité parmi les linguistes, ou par d'autres contournements comme le fait de préciser systématiquement "he or she", l'emploi du pronom "one", etc. (voir cet article).
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Je ne te le fais pas dire. Un jour faudra que tu m'expliques pourquoi tu discutes avec des gens que tu penses systématiquement de mauvaise foi. Quel intérêt ? En attendant, je n'en vois aucun à poursuivre une discussion avec une personne ayant tellement peu de respect pour l'opinion de ses interlocuteurs qu'elle ne sait que les taxer d'hypocrisie. Au déplaisir.
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C'est surtout que j'essaie de trouver une logique quelconque, même bancale, au discours que tu tiens depuis quelques pages. Tu ne fais que répéter ad nauseam que Rémi Gaillard simule un acte sexuel en donnant des coups de bassin, sur le dos d'un type et d'une nana (à 1:26, on va finir par le savoir par cœur), que personne d'autre que toi n'a vus. Alors soit le topic est rempli de fans de Rémi Gaillard d'une mauvaise foi sans nom refusant de voir des agressions sexuelles en en ayant la preuve sous les yeux, soit tu délires et il n'y a aucune agression sexuelle dans ce sketch. Comme la seconde éventualité me semble infiniment plus probable, je me demande pourquoi tu t'entêtes à y voir des attouchements. La seule explication que j'ai trouvée et dans laquelle tu m'as conforté en faisant référence à des vidéos précédentes non pas pour mettre en cause le contenu de la vidéo pour ce qu'il est mais pour jeter l'opprobre sur Gaillard et donc sur "Human World" par ricochet*, c'est que tu n'as aucune objectivité et que le simple fait d'être convaincue que Rémi Gaillard a déjà commis une agression sexuelle en caméra cachée t'empêche de questionner ton interprétation de son nouveau sketch. Je suis tout ouïe si tu en as une meilleure à proposer. (Pas la peine de répondre si c'est pour dire "c'est évident" ou une connerie dans le genre.) *ce qui est précisément ce que les messages que j'ai cités font, ou alors faudra m'expliquer pourquoi tu as fait de multiples références à des vidéos précédentes au lieu de t'en tenir à celle-ci. Non, cet anglicisme était accidentel, mea culpa. Mais persiste à croire que j'ai pu commettre une faute aussi grossière que le verbe "croiver" si ça te chante ; même si c'était le cas, la sagesse voudrait que quelqu'un en faisant trois par post ne la relève pas (tu dois déjà être familière avec l'histoire de l'hôpital et de la charité).
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Tu as fait de multiples références à ses vidéos précédentes : Et comme tu condamnes des coups de bassin qui n'existent pas dans cette vidéo, je suis bien obligé de questionner ta capacité à juger cette vidéo pour ce qu'elle est et non pour qui l'a faite. :( Oui, j'ai voulu joindre le niveau de langue au niveau de ton argumentation pour renforcer la caricature.
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Ce que tu as du mal à comprendre, c'est que personne ici ne défend un type, encore moins à tout prix. Ce n'est pas parce que tu soutiens mordicus que cette vidéo montre des agressions sexuelles sous prétexte que c'est Rémi Gaillard et que "c'est bien connu, c'est un délinquant sexuel, regardez ses vidéos précédentes si vous me croivez pas" que tu peux te permettre d'insinuer qu'on défend son droit à faire "à dada sur mon bidet"* en caméra cachée parce que c'est Rémi Gaillard et pas Tartempion. Tu noteras que je me suis permis de caricaturer légèrement ton discours ; étant donné que tu ne nous proposes pas mieux que des arguments ad odium et autres hallucinations, je me suis dit que c'était de bonne guerre. À te lire, tous ceux que tu as arbitrairement proclamés fans de Rémi Gaillard n'ont aucun scrupule à être de mauvaise foi pour défendre celui qu'ils sont censés supporter, mais toi seule, qui, on l'imagine, n'éprouves évidemment aucun mépris envers le personnage, as une vision objective du sketch. Tu avoueras que c'est fort pratique. *Admire comment je sous-entends l'innocence de ses actes ô combien odieux à travers un vocabulaire enfantin.
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À quel parfum, la glace ?
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Celle-ci m'a surtout l'air inexistante. Parmi les très rares articles que j'ai trouvés à ce sujet, ce qui ressemble le plus à un semblant de critique, c'est ça : À titre de comparaison, à peine 4 jours après sa sortie, la vidéo "Dog" avait droit à cet article. Je suis toutefois reconnaissant envers Fafaluna ; j'aurais probablement raté ce sketch si elle n'avait pas eu la bonté de nous alerter de cette tempête dans son verre d'eau.