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Tout ce qui a été posté par williams
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Par contre comme nous le voyons tous, rien n'est touché sur le président, les ministres,... qui pourront toujours avoir la retraite seulement 5 ans après alors qu'ils veulent reculer l'age de notre retraite...
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5 accidents de chasses dont 4 morts et 1 blessé en une semaine, le bilan des accidents de chasse, pour la saison 2019-2020, est déjà lourd. - 15/11/2019 : Un homme âgé de 60 ans est mort dans un accident de chasse, en début d'après-midi, en forêt de Moulière, à hauteur du lieu-dit La Roche de Bran, derrière les écuries du même nom, commune de Montamisé (Vienne). - 16/11/2019 : un cueilleur de champignons âgé de 77 ans a été tué en Charente-Maritime, par un chasseur qui l’avait pris pour du gibier car son chien du chasseur aurait aboyé en percevant des mouvements derrière des fourrés alors le chasseur aurait tiré sur ce qu’il croyait être un animal ; - 16/11/2019 : dans la Vienne. un habitant de Loudun est décédé suites à ses blessures après avoir été touché par une balle dans un bois de la Mothe Chandeniers, pendant une partie de chasse ; - 17/11/2019 : dans les Deux-Sèvres, un autre accident de chasse a fait un blessé à Etusson. Un jeune homme de 18 ans a reçu une balle dans la cuisse, par ricochet, et a été transporté vers l’hôpital de Cholet. - 23/11/2019 : Un homme âgé de 59 ans est décédé après avoir été touché par balle à l'abdomen au cours d'une partie de chasse à Viel-Saint-Rémy, dans les Ardennes. En 20 ans les chasseurs ont fait plus de 400 morts
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Avec des vidéos, et non que des textes, qu'on retrouvent sur plusieurs des sites médiatiques importants où les sources sont vérifier alors il y a peu de chance que cela soit fausses. Si non, les vidéos montrant les gilets-jaunes ou les blacks bloc ou les CRS ou des politiciens, etc commettant ou disant des choses qui vont trop loin ou etc alors on ne pourrait plus savoir si c'est juste ou fausse. Donc comment faites vous pour savoir la réalité de ces qui nous est montrait ou écrit ??
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Quand c'est mis sur les sites médiatiques connus comme Le Figaro, l'Express,... ou bien qu'il y a plusieurs vidéos sous différents angles de telle événement ceci veut dire que ce qui est montré est juste. Après il est vrais que sur Facebook,... il faut faire attention car par exemple de vielles vidéos ou etc, sont diffusées pour faire croire des choses fausses. Donc il faut toujours vérifier les sources...
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Non justement si je dis ceci c'est par ce que sur les infos télévisées que je regard le soir sur FR3 et TF1 je n'ai pas vu cette info et voir d'autres. Puis je ne vois pas pourquoi ceci est pour vous un fake alors que c'est la réalité comme la vidéo le montre.
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Vesoul : une sœur catholique refusée par une maison de retraite pour port du voile et de l'habit
williams a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
Pour cette article les médias étouffent ce sujet. -
Vesoul : une sœur catholique refusée par une maison de retraite pour port du voile et de l'habit
williams a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
Ah bon, alors pourquoi dans l'autre cas ce n'est pas pareil et les médias en parlent. -
Pourquoi, pour vous que ce soit un média ou un civil,... il faut faire la différence pour envoyer en plein figure les flash ball ou les grenades lacrymogène,... Car ce média n'est pas le seul blessé en plein visage comme cela a été le cas pour un Gilet-Jaune qui a perdu son oeil pour la même raison alors qu'il parlait calmement, sans des réactions brutales,... comme vous pouvez voir dans la vidéo suivante : https://www.koreus.com/video/gilet-jaune-grenade-lacrymo-tete.html ou aux infos sur le Parisien. Par contre aux infos télévisées ils en n'ont pas parlé. Comme on le voit il y a bp de personnes touchées au visage, les médecins le disent aussi.
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Vesoul : une sœur catholique refusée par une maison de retraite pour port du voile et de l'habit
williams a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
Etonnant que ceci on n'en entend pas parler aux infos télévisées,... alors que... -
Oui, et voici la vidéo, " Des policiers se sont-ils fait passer pour des black blocs lors de la manifestation de samedi ? " : Voir d'autres vidéos ici. Sur une autre vidéo de cette scène, on voit ces trois personnes en noir, dont deux encadrent la troisième, qui s’insèrent dans le cordon des forces de l’ordre. On entend des CRS dire «c’est la BAC, c’est la BAC», les laisser passer entre eux, puis on voit un homme à terre être interpellé. Ce n'est pas la première fois que des rumeurs autour de la présence de policiers infiltrés parmi les manifestants enflent sur les réseaux sociaux. L'année dernière déjà, des scènes similaires avaient déjà interpellé le public. Puis aux infos télévisés ils n'ont pas parlé du journaliste français blessé au visage (eh un de plus ! ) lors de la manifestation samedi des gilets jaunes samedi, Place d'Italie à Paris : C'est ainsi que les CRS arrêtent... les blacks bloc, les casseurs !
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Ce matin à la radio, un sondage de Sud-Radio nous dit que pour la question "Est-ce que les Gilets-Jaunes sont des casseurs ??" suite à ce qu'on voit, la réponse est "non" à 80 % des français. Ceci montre qu'ils voient la différence entre "Gilets-Jaunes" et ces "black blocs". Puis ils ont dit que Macron joué avec la français. Par exemple avec les chiffres, lors du nombre de manifestant le gouvernement donne toujours un nombre inférieur aux autres personnes. C'est même pour cela qu'après que le ministre de l'intérieur avait annoncé 106 301 manifestants dans toute la France le 24/11/2018, il est revenu sur son comptage huit jours plus tard en faisant état de 166 000 manifestants. Le syndicat de police France Police - Policiers en colère en dénombrait 750 000 donc on voit la différence ! Ceci n'est qu'une preuve que le gouvernement nous ment, joue sur les chiffres avec les français, etc... Donc il est normale qu'à force qu'il y a tout ce mécontentement des français sur le gouvernement et qu'ils n'ont plus confiance de leurs promesses. Et encore, si on regarde plus autour de nous, on peut voir que c'est pareil et de pire en pire dans les autres pays depuis au moins 1 an pour la même raison !
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Oui je suis d'accord avec toi, mais il faut voir que dans toute cette manifestation il y a les gilets-jaunes qui veulent manifester sans problème et ces groupes de black blocs qui sont ceux qui perturbent tout et profitent des manifestations des Gilets-Jaunes telle comme ils l'ont fait lors d'autres manifestations importantes ! Ce sont ces black blocs les emmerdeurs ! Et comme tu peux voir les médias utilisent rarement l'expression "black blocs" pour tout mettre sur le dos des gilets-jaunes. Donc ne mélangeons pas tout.
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Et ils tapent sur les gilets-Jaunes avant même que commence la manifestation à causes des actions des black blocs. Ces groupes de black blocs sont ceux qui perturbent tout et profitent des manifestations des Gilets-Jaunes qui après ça, cela retombe sur le dos ce ces derniers !
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Ok, donc voici l'article : «Gilets jaunes»: des policiers témoignent 15 NOVEMBRE 2019 PAR PASCALE PASCARIELLO Alors que le bilan des violences policières est dramatique, des policiers ont accepté de revenir pour Mediapart, sous couvert d'anonymat, sur les opérations auxquelles ils ont participé. L’un parle de « guérilla » et soutient qu'« on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs », un autre estime avoir été « instrumentalisé », un troisième adhère au mouvement tandis qu'un dernier s’inquiète de sa suite. C’était le 17 novembre 2018, acte premier des « gilets jaunes ». Touché par un projectile de la police, Richie, 34 ans, perd son œil gauche. Au cours de cette année de mobilisation, on déplore un décès, celui de Zineb Redouane, tandis que 315 autres personnes ont été blessées à la tête, vingt-trois ont été éborgnées, cinq ont perdu une main. Ce bilan dramatique illustre, par des violences policières, la réponse répressive donnée par le président Emmanuel Macron à un mouvement de contestation sociale. Certains policiers adhèrent à la vision véhiculée par l’exécutif et estiment s’être livrés à un combat, une « guérilla » contre des « casseurs ». D’autres, cependant, reprochent au gouvernement de les avoir « instrumentalisés ». Quatre d’entre eux ont accepté de témoigner. Vincent : « Plus les heures passaient, plus la fatigue se faisait entendre. Ils étaient à bout de nerfs et ça transpirait dans leur voix. » Avec 2 200 euros par mois et trois enfants à charge, Vincent, 48 ans, s’est vite retrouvé dans les revendications des gilets jaunes. « Ma femme et mes enfants ont participé au mouvement dès le 17 novembre. On est pris à la gorge. Depuis 2008, on ne part en vacances que chez des amis qui peuvent nous recevoir parce qu’on n’a plus les moyens de louer un camping ou autre », explique ce policier dont l’épouse est caissière « à défaut de pouvoir trouver une place en tant qu’Atsem [agent territorial spécialisé des écoles maternelles – ndlr]. » Brigadier au centre d’information et de commandement (CIC), en province, c’est depuis la salle de commandement qu'il a suivi les manifestations. « Je m’occupe des ordres radio, en présence du préfet, notamment. » Vincent a été marqué par le décalage entre ce qu’il a vu et ce qui en a été relaté dans les médias : « J’ai vécu des samedis où cela se passait plutôt bien sur le terrain et lorsque je rentrais chez moi, le moindre petit accrochage était amplifié et utilisé par le gouvernement pour discréditer le mouvement. » Cependant, l’expérience de ses vingt-cinq années d’ancienneté ne lui a pas permis d’élucider certaines incohérences constatées dans la gestion du maintien de l’ordre. « À plusieurs reprises, alors que des policiers avaient repéré des casseurs et demandaient à les interpeller, en salle de commandement, la hiérarchie leur ordonnait de ne pas le faire », raconte-t-il. Il se rappelle que la même journée, des « pères de famille qui parfois manifestaient pour la première fois » avaient été arrêtés pour un simple port de masque de protection en papier. « Quel est l’objectif recherché de ce laisser-faire ? Est-ce simplement une question de maintien de l’ordre ? En tout cas, j'ai le sentiment que cela a permis de discréditer et de réduire le mouvement à celui de casseurs », estime Vincent. Au fil des samedis, Vincent suit les appels, parfois les cris, lancés sur les ondes par ses collègues. « En les écoutant, on percevait parfois leur peur. Plus les heures passaient, plus la fatigue se faisait entendre. Ils étaient à bout de nerfs et ça transpirait dans leur voix », se souvient-il. Témoin « d’opérations de police plus musclées » ou même de la mobilisation de « jeunes policiers sans expérience et prêts à tout », Vincent recommande à son fils de redoubler d’attention et de ne surtout pas « se confronter » aux forces de l’ordre. « Les jeunes policiers n’ont pas la maturité de penser qu’en face il y a des familles et certains veulent de l’action à tout prix, c’est dangereux », précise-t-il. Le brigadier regrette que le gouvernement ait autant instrumentalisé les forces de l’ordre pour « faire taire ce mouvement », sans qu’il n’y « ait de réaction de la part des policiers qui ont suivi sans rien dire ». Sébastien : « Mon fils m’a dit : “Papa, je suis un gilet jaune et toi un facho.” » Policier depuis vingt ans, Sébastien appartient à une compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) dans le Sud de la France. « Je suis un peu un CRS de commissariat, résume-t-il. Au quotidien, je m’occupe des violences urbaines et de la sécurisation des stades pendant les matchs. » Sur les manifestations des gilets jaunes, à la tête d’une vingtaine de policiers, « tout a vite dégénéré », confie-t-il. « Le troisième samedi, le 1er décembre, nous avons ramassé et nous nous sommes retrouvés encerclés. La peur s’est installée parmi nous sans que personne n’en parle bien sûr. » Sébastien reçoit alors un projectile à l’aine, ce qui lui vaut un arrêt maladie de quinze jours. « Le gouvernement aurait pu répondre rapidement aux revendications des gilets jaunes et éteindre le feu. Il en a décidé autrement. On a été mis en première ligne », regrette-t-il. Malgré ce constat, l’« impact psychologique » et « l’esprit de corps » l’emportent. Sébastien retourne donc sur le terrain comme « un chef d’escadron », dans une « guérilla » pour faire face à un mouvement de « casseurs, de bébêtes et d’antiflics ». Selon lui, la réponse n’a pas été assez forte : « Parfois, on a laissé faire alors qu’il aurait fallu quadriller davantage et faire des barrages. » Loin d’être « un fou de la gâchette », Sébastien précise n’avoir tiré « que quatre fois au LBD pour répliquer à des jets de projectile » et avoir blessé un manifestant à la jambe, « sans regret ». « J’ai reçu des remarques de mes collègues parce que je contrôlais les tirs des policiers sous mon commandement ou que, moi-même, je tirais peu », explique-t-il. « Je n’avais pas vraiment peur de blesser, mais je n’avais surtout pas envie d’être auditionné par l’IGPN. » Lorsqu’on énumère le nombre de manifestants éborgnés ou mutilés, Sébastien reste dubitatif. « Est-on sûr que ce sont bien des LBD ou des grenades qui en sont à l’origine ? », s’interroge-t-il. « On a voulu instrumentaliser l’opinion en parlant de violences policières et en montrant les gilets jaunes éborgnés », déplore-t-il avant d’ajouter « c’est malheureux pour certains manifestants de s’être retrouvés au mauvais endroit au mauvais moment. Mais on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs ». « La police sert un système qui va à l’encontre de la population. » Les attaques contre les policiers l’ont convaincu d’adhérer aux propos de son ministre de l’intérieur Christophe Castaner qui réfute toutes les violences policières. Les « blessures psychiques ou physiques » laissent peu de place à la raison. « Mon fils a eu honte de moi, mon amie m’a quitté, j’ai évité de dire que j’étais policier dans certaines soirées, c’est difficile de philosopher après avoir dû encaisser ces coups », concède-t-il. L’instrumentalisation politique dont il est lui-même victime et qui l’oppose, au fil des samedis aux manifestants, il ne préfère pas en parler. Les boucs émissaires les plus simples sont ceux auxquels il est confronté physiquement. « De héros pendant les attentats, on est devenu des parias. Pendant le mouvement, mon fils m’a dit : “Papa, je suis un gilet jaune et toi un facho”. » Il se souvient du jour d’une compétition de football de son fils aîné, âgé de dix-sept ans. « Je le supportais en criant au bord du terrain, lorsqu’il s’est retourné vers moi en mettant son doigt sur la bouche, me signifiant de me taire, afin que personne ne sache que j’étais son père, moi le flic. Je suis parti m’isoler sur le parking. J’étais anéanti. » Sébastien ne s’est pas porté volontaire pour le maintien de l’ordre de la manifestation des gilets jaunes, le 16 novembre. « J’irai suivre mon fils au foot. Après nous avoir éloignés, le mouvement a fini par nous rapprocher. Je ne veux pas perdre ça », conclut-il. Jérôme : « Aujourd’hui, la police sert un système qui va à l’encontre de la population et sert des intérêts privés. » Il y a quatorze ans, Jérôme est entré dans la police avec l’envie d’être au service des citoyens, de protéger « la veuve et l’orphelin » et de mener des enquêtes. « Je voulais aussi connaître cette institution dont l’image au sein de ma famille était davantage celle d’une police répressive que protectrice », précise-t-il. Avant le mouvement, Jérôme se pose déjà un certain nombre de questions notamment sur les conditions de travail et le manque d’effectif. « Lorsque les gilets jaunes ont commencé à manifester, je n’ai pas vraiment adhéré à leur revendication contre la hausse du prix de l’essence, je ne me sens pas concerné, explique-t-il. Ce qui m’a touché en revanche dans le mouvement, c’est la répression qui a été mise en place contre lui. En tant que policier, j’ai eu la sensation que le gouvernement en a eu peur et en réponse a tout fait pour faire peur à son tour et faire taire la contestation sociale. » Son service, la brigade de traitement judiciaire en temps réel (BTJTR), est dédié aux affaires de flagrant délit. Lorsqu’une personne est arrêtée et conduite au commissariat, c’est en tant qu’officier de police judiciaire qu’il décide de la placer ou pas en garde à vue. La garde à vue est en théorie prévue lorsqu’il y a des raisons de penser qu’une personne « a commis ou tenté de commettre un crime ou un délit ». Elle doit être justifiée par l’un des six motifs prévus par la loi. Or, depuis le début des manifestations des gilets jaunes, « les consignes sont les suivantes : “placer systématiquement les gilets jaunes arrêtés en garde à vue”. Il s’agit souvent d’arrestations préventives », précise Jérôme. Comme nous le relations (à lire ici), à Paris, les instructions de la direction de la police ont, effectivement, été de placer systématiquement en garde à vue. « La justice, avec le procureur, comme la police, a reçu des instructions politiques dans ce sens », précise Jérôme. Le 12 janvier une note signée de Rémy Heitz, procureur de la République de Paris, intitulée « Permanence gilets jaunes », visait à réprimer le mouvement (à lire ici). Il y était demandé de maintenir en garde à vue des gilets jaunes contre lesquels aucune charge n’a pu être retenue, les empêchant ainsi de manifester. Les consignes de la préfecture de police de Paris, demandant le placement systématique en garde à vue, relèvent de la même logique. « Cela m’a fait penser à l’esprit de croisade : “Tuez-les tous et Dieu reconnaîtra les siens !” Là, c’était : “Mettez-les tous en garde à vue et le procureur les poursuivra ou pas”. » Cet officier constate alors que « les règles ne sont plus respectées ». Lors d’une interpellation, les policiers doivent dresser des procès-verbaux pour y apporter notamment les motifs et les circonstances. Mais, « là, les agents qui arrêtaient des gilets jaunes remplissaient des “fiches de mise à disposition” dans lesquelles étaient déjà préremplies des infractions et ils n’avaient plus qu’à cocher une case. C’était des interpellations massives ». La plupart du temps, les manifestants ramenés au commissariat « n’étaient pas des “casseurs” mais des personnes venues de province et prises à la sortie du train ou en marge de la manifestation. Leur délit ? Avoir porté des casques de bricolage ou de simples pancartes, jugés comme des armes ». Témoin des violences de ses collègues, Jérôme se souvient surtout « d’un homme en sang, arrêté pour “rébellion” ». « En l’auditionnant, il m’a expliqué s’être mis à genoux devant les policiers, les mains derrière la tête et là avoir reçu des coups. J’ai vu beaucoup de personnes défoncées par des policiers et alors qu’elles étaient victimes, on tentait de les faire passer pour des mis en cause. » Mais Jérôme ne répond pas aux instructions. « Lorsque je ne constatais pas d’infraction avérée, je ne faisais rien et je laissais libres les personnes. » Ses refus de placer systématiquement les manifestants interpellés en garde à vue lui vaudront, de la part de sa hiérarchie, un rappel oral des directives. « Il ne pouvait pas grand-chose contre moi parce qu’il n’y a pas assez d’officiers de police judiciaire. Mais, après, le procureur peut toujours, en jouant sur les textes, décider de la garde à vue. » Le mouvement des gilets jaunes « a amplifié des conditions de travail merdiques où l’on devait faire toujours plus avec toujours moins », précise Jérôme. Mais surtout, il le convainc de quitter la police. « Je n’ai pas voulu être le jouet d’une politique répressive, liberticide et élitiste, contre la population, en somme. » Selon cet officier, le « mépris que Macron a envers le peuple s’est retrouvé, par mimétisme, au sein de la police : la hiérarchie a méprisé le flicard du terrain ». Jérôme n’a plus supporté le discours selon lequel pour ne pas avoir de problème, il ne fallait pas manifester. Inacceptable également la stigmatisation des gilets jaunes en « casseurs » afin de légitimer la répression policière et le déni des violences commises à leur encontre. « Aujourd’hui, la police sert un système qui va à l’encontre de la population et sert des intérêts privés. Le problème est que les policiers font corps, et en pensant défendre leurs intérêts, ils soutiennent une institution qui les détruit », déplore-t-il avant de constater qu’il en sort encore plus « radicalisé contre la police qu’en y entrant ». Aujourd’hui, il a quitté la police et suit une formation. « J’ai renoncé à une place confortable, pour un avenir plus incertain. Pour mes collègues, je peux être vu comme un traître. Je sais que je ne suis pas le seul à me poser ces questions et j’aimerais que plus de policiers fassent le pas et ouvrent les yeux, mais je ne me fais pas trop d’illusions », conclut-il. Stéphane : « Le contact physique avec les manifestants peut se terminer par un drame. » Stéphane, 50 ans, a été mobilisé avec son unité de CRS, tous les samedis, en province ou à Paris. « Je suis épuisé, explique-t-il. Depuis les attentats de 2015, nous sommes mobilisables sur tous les fronts et nous avons d’ailleurs reçu une formation antiterroriste. Je travaille en moyenne 15 heures par jour et je suis en déplacement 15 jours par mois. » Avec vingt et un ans d’ancienneté, et 2 000 euros de salaire, Stéphane ne se plaint pas. « Sur les ronds-points, j’ai discuté avec des gilets jaunes qui n’avaient que 700 euros par mois. J’ai très vite compris le malaise et cela avant même que ne débute le mouvement. » Ce CRS qui a fait en sorte que ses collègues n’utilisent pas leur LBD fait certainement exception. « La compagnie à laquelle j’appartiens n’est d’ailleurs pas impliquée dans des enquêtes, précise-t-il. Certaines unités de CRS le sont, je ne vais pas le nier. » La compagnie de Saint-Étienne, notamment, en fait partie. Cinq de ses CRS sont impliqués dans la mort de Zineb Redouane, 80 ans, décédée après avoir reçu un tir de grenade lacrymogène dans son appartement, lors des manifestations des gilets jaunes, le 1er décembre 2018 à Marseille (à lire ici). Préférant le terme de « violences illégitimes » à celui de violences policières, Stéphane estime néanmoins qu’il y a parfois « une disproportion des moyens utilisés. Mais ce discours est inaudible. Cette réalité ne peut être reconnue par l’exécutif compte tenu des tensions qui existent actuellement au sein de la police, dont il a besoin évidemment pour faire face aux gilets jaunes qui ne sont pas prêts de s’arrêter ». Exténué, Stéphane est également préoccupé par l’évolution du maintien de l’ordre qu’il a constatée au cours de cette année de mobilisation des gilets jaunes. « Certains samedis, en province, c’était du grand n’importe quoi. On a dû souvent faire face à des policiers de la BAC qui sortaient de nos rangs et qui faisaient du saute-dessus comme dans les cités, en tirant n’importe comment avec leur LBD. Et après, c’était à nous, CRS, en première ligne, de recevoir la colère des manifestants », raconte-t-il. Plus inquiétantes, sont, selon lui, les instructions du nouveau préfet de police de Paris Didier Lallement « d’aller au contact des manifestants ». Stéphane regrette que « les Brav-M [brigades de répression de l’action violente motorisées – ndlr] qui ne sont pas rompues au maintien de l’ordre (aient) été rétablies ». Ces pelotons reprennent le modèle des voltigeurs, unités de policiers en moto qui avaient été interdites depuis le décès de Malik Oussekine le 6 décembre 1986. « J’ai peur aujourd’hui de ce cercle vicieux de la violence, concède-t-il. Recourir à des policiers qui ne sont pas formés au maintien de l’ordre, c’est jouer avec le feu. J’espère que le ministère de l’intérieur a conscience que le contact physique avec les manifestants peut se terminer par un drame, un décès. »
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Lisez ceci, et vous comprendrais se que le gouvernement tente de nous faire
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Déclin des oiseaux dans les campagnes françaises
williams a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
Oui mai si on compare entre se qui est fait dans le bon sens pour conserver l'environnement puis entre se qui n'est pas fait pour ceci ou qui est fait et qui a des conséquences opposées, là on peut voir aussi les choses ! -
- 06/11/2019 : Un chasseur de 74 ans est décédé, lors d’une battue au sanglier sur la commune de Souel, dans le Tarn. Selon le procureur de la république d'Albi, Alain Berthomieu, deux chasseurs ont tiré au moment du drame. L’un a visé le sanglier, l’autre a touché la victime d’une balle perdue. L’un des chasseurs a quitté les lieux après l’accident, avant l’intervention des gendarmes. - 03/11/2019 : Un conducteur et sa passagère circulaient en voiture dans la forêt du Poinçonnet, près de Châteauroux (Indre), lorsqu'une balle a touché le véhicule. Elle a brisé une vitre avant de traverser la voiture au niveau des appuie-tête, puis s'est logée dans la carrosserie intérieure. - 01/11/2019 : en Haute-Garonne, un sanglier traqué par des chasseurs a ravage le jardin d'une septuagénaire. Les chiens du chasseur sont rentrés dans la propriété privée où jouaient des enfants. Voir la vidéo ici. - 27/10/2019 : Un septuagénaire originaire de St Priest-la-Marche dans le sud du Cher a perdu la vie au Chatelet (18) - 26/10/2019 : Un chasseur a été tué par un autre chasseur lors d’une battue aux sangliers en Ariège à Varilhes ; - 20/10/2019 : Un enfant de 12 ans a été blessé par arme à feu, alors qu’il accompagnait des proches à la chasse. Blessé au pied, il a été héliporté à Lille. -11/10/2019 : Sur l’A4, une voiture a été touchée par une balle perdue. Une balle de chasse, d’un calibre de 7 mm, que le garagiste a retrouvée dans la garniture intérieure de la voiture.
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Déclin des oiseaux dans les campagnes françaises
williams a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
T'as qu'à voir cela comme tu veux, mais une chose qui est sûr c'est que tes petits enfants ou bien leurs petits enfants ne verront plus une faune et flore aussi riches que nos parents quand on voit ce que l'homme détruit. Par exemple un gouvernement français qui autorise le piégeage à la glu de centaines de milliers d’oiseaux alors que ces 15 dernières années les oiseaux ont bien diminué (45 % de diminution des chardonnerets élégants,...) et à une vitesse plus rapide que ce qu'on à vu jusqu'à maintenant sans que phénomène particulier intervient ça montre que les gouvernements ne se préoccupent pas de l'environnement. Ou bien encore autoriser la chasse à des oiseaux en voit d'extinction depuis 40 ans comme le grand tétras (coq de bruyère), la perdrix grise et la perdrix rouge (En 20 ans, nous avons perdu 80 % des perdrix grises et 90 % des rouges ),... cela montre aussi se que je dis. -
Lisez ceci.
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Julie Graziani, interrogée hier sur LCI, après qu’Emmanuel Macron a été vivement pris à parti par deux femmes au sujet de leurs difficultés financières, elle s'est exclamée : « je ne connais pas le parcours de cette dame mais a-t-elle fait de bonnes études ? (…) et puis au smic, il ne faut peut-être pas divorcer dans ces cas-là ». Une formule qui était provocatrice et blessante pour les intéressées
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Déclin des oiseaux dans les campagnes françaises
williams a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
Tu exagères et tu ne vois les choses que sous un certain angle Avant, l'homme perturber aussi la faune et flore mais pas dans la même ampleur que maintenant car regardes l'homos sapiens,... n'émettaient pas des produits chimiques comme maintenant, etc donc il y avait une sacrée différence par rapport à nous sur leurs influences sur l'environnement. Aucun être vivant n'influence, ne pollue,... autant notre planète que nous quand tu vois tout se que fait l'homme de l'espace jusqu'au fond marin et sur toutes les latitudes et longitudes. Si non, cites nous le ou les êtres vivants qui vont plus loin que l'homme ?? Puis les autres êtres vivants n'utilisent pas de technologies (chimie,...) qui polluent tout (atmosphère, nappe phréatique, cours d'eau, océans...) donc les autres êtres vivants ne bouleversent pas l'environnement comme l'homme se qui montre qu'on va trop loin. Tout ceci est la raison pour laquelle qu'il est normal de juger l'influence de l'homme contrairement à se que tu dis, car il faut voir la réalité c'est à dire jusqu’où on va ! -
Déclin des oiseaux dans les campagnes françaises
williams a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
Ce n'est pas comparable, car elle a évolué d'elle-même et n'a pas était perturber par l'homme comme c'est le cas actuellement et d'une façon importante, donc elle avait su s'équilibrer, etc. Mais maintenant l'homme va trop loins ! Ne mélangeons pas les choses. Puis si vous auriez raison, cela ne serrait pas une excuse pour continue à éliminer des êtres vivants et a rendre malades et êtres humains -
Déclin des oiseaux dans les campagnes françaises
williams a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
Il a pourtant était prouvé que les pesticides sont un danger sur la santé des êtres vivants comme je l'ai dit avec des preuves : - Comme ici où les animaux d'une famille sont morts et la fille est tombée gravement malade et la mère commence aussi à l'être depuis que le fermier a traité le champs à coté de leur maison. - Ou, le 15/05/2014 : En Haute-Gironde (33) 23 écoliers et une institutrice tombent malades en même temps après un traitement de la vignes. Pour que tout ceci arrive en même temps cela ne peut pas être une coïncidence et montre que ces produits sont mauvais pour la santé ; - Ou encore, le 21/09/2016 : Des anciens salariés de Triskalia dont 28 salariés en tout consultent la médecine du travail et quatre d’entre eux découvrent petit à petit qu’ils sont gravement contaminés par des insecticides, dont l’un, le Nuvan Total, est interdit d’usage pour sa dangerosité. - Voir même, le 15/02/2018 : Dans une école et huit résidences du Médoc 11 et 21 résidus de pesticides dont quatre interdits ont étaient retrouvés. Pourtant Les maisons sont situées à une distance des vignes allant de 5 à 500 m, l’école primaire est quant à elle située à 50 mètres des vignes, dont elle est séparée par des habitations. Puis dans une étude publiée le 13 septembre 2019 dans la revue Science, une équipe de recherche canadienne apporte la preuve expérimentale que ces pesticides, dont on connaît déjà la toxicité pour les insectes pollinisateurs, peuvent également affecter de façon directe la santé et le comportement d’oiseaux migrateurs qui est le sujet d'ici. Ces divers exemples, et voir d'autres, montrent que ces produits ne sont pas bons pour la santé de l'environnement dont les oiseaux, les insectes... et nous tous aussi, si non il n'y aurait pas de personnes et d'animaux qui auraient des problèmes suite à ces pesticides comme les analyses l'ont montré ainsi qu'au moment même le problème a eu lieu à chaque fois. -
Déclin des oiseaux dans les campagnes françaises
williams a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
Pour le danger des pesticides sur tout êtres vivants vous avez ici un post sur le forum avec des exemples prouvant tout ceci. -
Déclin des oiseaux dans les campagnes françaises
williams a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
La majeur partie des êtres vivants sont indispensables pour la vie sur Terre, car à force le déséquilibre augmente se qui entraîne plus de problème. Par exemple la Pie-grièche à poitrine rose était un oiseau qui mangeait des insectes nuisibles comme le doryphores,... et donc elle était utile pour les agriculteurs qui se plein souvent des insectes et préfèrent utiliser les pesticides alors que la nature peut le faire si on ne la détruit pas, ou bien de certaines façons qui n'influencent pas l'écologie, etc. En détruisant la faune et flore l'homme se détruit !