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Tout ce qui a été posté par ashaku
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Au cas où il y ait un problème avec le lien, je joins le document .docx à ce post. Il faut faudra posséder le logiciel ad hoc pour le consulter après téléchargement. Ce que vous savez déjà.docx
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L'amour, c'est l'oubli de soi-même. (si je puis me permettre de m'immiscer) J'ai un pavé pour backup ma proposition mais j'ai cru comprendre que la densité était requise :)
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Je m'exprime souvent par assertions et j'utilise souvent le présent de vérité générale. Il ne faut pas y voir de l'arrogance mais un souci de clarté. En formulant mes pensées comme des affirmations, il est plus aisé pour mon interlocuteur de cibler précisément où je me trompe lorsque nos points de vue divergent.
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justifier l'usage d'un quota d'un point de vue éthique
ashaku a répondu à un(e) sujet de carrrrr dans Philosophie
Je pense que ChatGPT ou autre serait un bon compagnon de travail pour trouver des références autour d'un sujet. Attention, il le serait moins pour aider à démontrer que l'introduction de quota est issue de valeur éthique ou qu'elle a des effets positifs. -
Bonjour à tous, je suis nouveau sur ce forum et je souhaiterais vous soumettre un corpus de 12 pages (4600 mots) autour du thème de l'existence. Ma tentative de réponse à la question posée sur ce fil. Vous trouverez ce corpus dans le document lié ici Je reporte ici des mentions initiales du document pour vous donner une idée : Il y a un préambule qui vous met en garde : c'est un peu long, très abstrait, peu utile et probablement faux. Mais si cela ne vous rebute pas trop, je serais heureux de lire vos remarques et profiter de l'intelligence collective pour élaguer ma bêtise de quelques branches. J'ai choisi de placer la conclusion en premier, histoire de dire d'entrée de jeu ce que je pense. Le reste est une construction qui se veut rationnelle pour parvenir à cette conclusion. "Traité de philosophie métaphysique : ruminations existentielles sur la nature de la réalité, Tome 1" serait un titre idéal pour en décrire le contenu mais personne au monde ne voudrait lire ça. De plus, le titre d'un texte ne devrait pas parler du texte mais de son lecteur potentiel, j'ai donc choisi pour titre "Ce que vous savez déjà". Ainsi, le document vous dit : "ne m'en voulez pas si vous êtes déçus de n'avoir rien appris à la fin" "je vais aborder des sujets si profonds que sans vous connaitre je sais qu'ils vous concernent" "je sert à affuter une arme que vous avez déjà choisi d'utiliser"
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J'utilisais "singer" pour dire "imiter un comportement intelligent sans être doué d'intelligence soi-même". C'est le cas des premières IA, comme les ennemis simulés dans les jeux vidéos par exemple. Je pense comme vous, et d'autres, que l'on peut faire un rapprochement entre humain et IA dans le sens où il y a un apprentissage avant d'être efficace. Pour la crainte de l'IA, notez bien que je dit qu'elle est normale vis à vis de la singularité et j'explique cette normalité par le sens de la survie. Une forme de vie plus évoluée fait disparaitre les formes moins évoluées, nous l'avons vu avec Néandertal par exemple. Un singularité porte le potentiel de notre extinction, avouez qu'il y a de quoi se faire des cheveux ! Mais la singularité n'est que théorie pour l'instant et aujourd'hui on peut sereinement dire que ce scénario est impossible. Cependant, je ne connais pas l'avenir, ce scénario deviendra peut être possible demain.
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"Supérieur" est un rapport entre 2 choses. Les 2 choses considérées ici sont l'humain et sa conscience d'un coté, la machine et le code informatique "évolué" des LLM de l'autre. "Supérieur" demande aussi à s'appliquer à un trait particulier, on est pas supérieur en tout, seulement sur des points précis. Par exemple, je vous suis supérieur en nombre de lettres dans le pseudo mais vous m'êtes supérieur en nombre de jours passés sur le forum. Ceci étant dit, la machine est supérieure à l'humain en terme de capacité de calcul depuis au moins 40 ans. Cela lui permet de simuler des règles logiques et singer l'intelligence avec efficacité. Deep Blue a battu Kasparov aux échecs en 97 avec uniquement de la puissance de calcul. Mais AlphaGo a battu le champion du monde de Go 20 ans plus tard, non pas uniquement par le calcul mais par l'application d'un modèle intelligent, le fameux réseau neuronal. Cette avancée-là montre la potentielle supériorité de la machine non pas à faire des calculs mais à prendre des décisions. Pourquoi cela doit gêner l'humain ? Par survie déjà. Une IA rogue dont les décisions stratégiques sont supérieures aux capacités humaines a le pouvoir de provoquer la fin du vivant organique. Par fierté ensuite, en devenant capable de trouver des solutions originales l'IA vient toucher un domaine qui était jusque là la prérogative des humains seuls. Ce dernier point est à mitiger, à ma connaissance, les joueurs de Go et d’échecs sont ravis d'avoir un outil qui peut sans cesse leur montrer de meilleurs coups que ceux qu'ils connaissent déjà. Pour conclure, je dirais qu'il est normal de redouter ce que les théoriciens appellent une singularité, une IA qui se mettrait à jouer pour elle même au lieu d'obéir à ses constructeurs. Et là autant le dire clairement : c'est de la science fiction. Toutes les IA les plus raffinées, produisant les résultats les plus spectaculaires ont été entrainées spécifiquement à une tâche. Aucune n'a encore le don de raisonner de façon générale sur n'importe quel sujet, de comprendre son environnement par lecture directe ou d'agir concrètement sur la matière. Pour rendre l'image tangible, imaginez un robot violoniste qui pourrait reproduire une sonate de Mozart. L'effet est spectaculaire, la machine rattrape l'humain, etc. Mais enlevez lui son violon et son archer, remplacez les par un saucisson et un couteau et regardez le découper des tranches en reproduisant sa série de mouvements pré-programmés. Entre 2 fous rire, vous constaterez qu'il n'y a pas de danger. Actuellement, la singularité est une frontière inatteignable et l'IA n'est encore que le reflet du génie humain. La preuve que nous commençons à décrypter le mécanisme de la pensée pour le reconstruire de façon primitive.
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Bonjour, Je trouve le sujet intéressant, pour le traiter il convient de s'entendre sur la définition de "exister". Par exemple, lorsque vous dites "l'organisme que nous sommes n'existait pas", de quoi parle-t-on ? Les atomes qui constituent notre corps physique pré-existaient à notre naissance, ils ne font que se ré-arranger en un corps humain le temps de notre vie avant d'aller constituer une autre entité après notre mort. Pour la partie "esprit" en revanche, on ne peut pas s'appuyer sur les expériences scientifiques et les lois physiques qui donnent des certitudes. En ce qui me concerne, cet aspect relève de la croyance personnelle quant à l'origine, l'usage, la forme ou l'éventuel report de l'esprit d'un corps à un autre. Mon opinion personnelle est qu'il n'existe qu'une seule chose, que tout ce dont nous faisons l’expérience ou sommes témoins n'est qu'un reflet de cette chose, lorsqu'on la regarde sous un angle différent. Dans cette optique, il n'existe qu'un esprit, partagé par tous les êtres doués de conscience. Si on accepte ce point de vue, que l'on considère volontiers que vous et moi sommes la même personne, oui l'existence et les vies humaines s'enchainent sans interruption. Et c'est bien le même esprit qui anime les corps de Jules César, Elon Musk, ou tout autre être conscient.
