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Engardin

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Tout ce qui a été posté par Engardin

  1. Engardin

    Sarkozy dormira en prison

    Ou façon Jean Bruce : "Le bizutage de Paul Bismuth"
  2. Engardin

    La pensée positive

    " La pensée ne m'appartient pas mais il m'appartient de penser "... ça veut dire quelque chose; ça ?
  3. Exact ! On attend beaucoup des nouvelles générations : Macron, Bardella, Attal... (Comme quoi "le temps ne fait rien à l'affaire...")
  4. Tu m'as l'air bien au courant ! Est-ce que ce jean de Patmos à qui on devrait l'Apocalypse est aussi l'auteur de l'Evangile de St Jean ? Ou pas ? Par le style on devrait pouvoir en décider ? En tout cas ce 4eme Evangile (très "inspiré") semble avoir été écrit directement en grec... ("èn archai èn o logos kai o logos èn pros ton théon..." etc...) Ou pas ? Et le texte de l'Apocalypse a-t-il aussi été écrit en grec ? C'est pas ses dents !
  5. Voilà ! Carpe diem : le jour de la Carpe ! Muet comme un carpe : qui ne diem rien... Mais n'en pense pas moins... Idée de recette : Une carpe aux câpres !
  6. Engardin

    Ce que j'ai fait

    Reproductions d'amulettes égyptiennes pour un musée archéologique : En haut -- Chaouabti de Sethi 1er -- Œil Oudjat -- Scarabée -- Pilier Djed -- Touhéris (à tête d'hippopotame) En bas : essais de pâte égyptienne.
  7. J'aime bien l'attitude de Hubert Reeves qu'on nous montre de temps en temps et qui a l'air complètement stupéfait ! Confondre à ce point la forme et le fond (ou le sens) le laisse pantois ! Freud disait plus ou moins le contraire en affirmant que le même mot pouvait à l'origine dire une chose et son contraire... En français on a "plus" qui veut dire parfois "plus du tout" et parfois "beaucoup plus" ! Mais je n'irai pas jusqu'à donner raison à Freud... Pour ce qui est de la musique, je la ressens comme une imitation ou une description de mouvement profonds (et généraux ou synthétiques) genre optimisme, énergie, déception, chute, élan, plaisir... etc. pas comme un langage précis. Je pensais justement à ça hier en me repassant la suite 2 pour violoncelle de Bach : SUITE 2 BACH guitare.myr.mp3 et si l'on suit le début sur la partition, (la première page) les choses me semblent évidentes : on commence par monter, par s'élever, comme un désir de vaincre, de grandir : les trois premières notes la, do, mi, un accord parfait puis on réessaie pour mieux reprendre son élan et on remonte : la mesure 2, puis on redescend pour remonter plus haut la mesure 3... alors on redescend pour se calmer : mesure 4.. Ensuite c'est une succession d'essais mais dans les mesures 6, 8, 10 et 12, on se mélange on "savonne ! : on voit qu'on perd pied ! Et qu' on ne pourra pas y arriver ! Alors on repart plus bas, plus facile, moins prétentieux : la mesure 13 ! Etc . Et c'est une suite d'essais de tentative succession d'optimisme de force d'énergie et de déceptions de désespoirs... J'ai mis les son de la guitare qui sont plus jolis et plus net en numérique au lieu du violoncelle qui mélande tout... Ca ne dit rien de précis mais des "états d'âme"... mais ça les dit parfaitement !
  8. Je reconnais que sur le plan moral, on n'a guère avancé ! Chuté ? Non, mais on reste au plus bas niveau. En revanche pour ce qui est des connaissances on a fait du chemin...
  9. Vous avez devant vous le Grand Spécialiste du Mortier ! Bibi ! J'étais sensé être l'intellectuel de mon groupe mortier : C'était donc moi qui devait... "Coincer la bulle" ! On m'avait confié "l'optique" (le petit appareil fixé sur le corps du mortier pour effectuer la visée et que je portais à la ceinture. Bien plus léger que le bipi (le bipied) ou la semelle pour crapahuter )... Ce jour là, à l'exercice (à obus réels !) la visée était simple ! 179°. Mais je ne savais pas pourquoi le curseur restait coincé juste un peu avant... un ou deux degrés, c'était pas grave... Le problème c'est que j'avais pas compris que deux degrés avant c'était en fait 0 degrés au lieu de 179 ! La molette avait fait un tour complet dans le mauvais sens : Je ne me suis trompé que de 180 degrés ! J'étais l'intellectuel, certes, mais genre philosophie ou beaux arts, pas mathématique...
  10. Il y a deux jours je suis sorti du magasin. Sur la marche à ras du sol donc et qui regardait vers l'extérieur : Un rouge gorge ! J'arrivais par derrière lui Et il ne m'a pas vu ! à moins d'un mètre ! Je lui ai parlé ! Je pensais bêtement qu'il était comme apprivoisé... Et qu'il me connaissait ! il a tourné la tête Et m'a vu ! Alors il s'est envolé à tire d'aile ! J'ai pensé : "Le couillon ! si j'avais été un chat, Il était mort !" (Et des chats, il y en a plein dans le quartier !) Il risque de ne pas faire de vieilles plumes !
  11. Moi aussi tout comme notre Totor national j'ai déjà planché sur ce sujet : LES PREMIERS, PREMIERS HOMMES "C'était au temps de la préhistoire Voici deux ou trois cent mille ans....." (Air connu !) Jusqu'à ce jour, les hommes n'étaient pas vraiment des hommes. Ils parlaient peu. A peine quelques monosyllabes par-ci par-là. : Je suis pas content : "Grrrr!" J'ai faim : "Miam !" J'aime la langue de veau : "Miam-Meuh !" Viens avec moi ma jolie : "golo, golo !" Mais tout ça n'est pas très sûr. Le vocabulaire s'arrêtait peut-être à "miam", peut-être même avant et ils se contentaient de moduler des "grrr!" Oui ! C'est plutôt ça ! Exactement ! Le langage se résumait à des "grrr!" de différentes couleurs. Comme les spins des quarks élémentaires. Chaque femme avait son propre nuancier mais tous les hommes étaient hélas déjà tous plus ou moins daltoniens. » « Grrrr…. » voulait dire « je t’aime » et « GRRRR ! », « je te casse la tête ! En gros (=grrrro) tout pour eux restait gris (=grrri). (Quoi qu’avec des nuances!) Vous m'avez bien compris ? La verbalisation n'en était qu'à ses balbutiements et l'homme, notre ancêtre vénéré restait très rustique. Pré-humain pour tout dire... Si vous me passez l'expression. Mais revenons à nos grigris car le temps était gris... Toute la journée, sous une pluie battante, la horde échevelée avait fui, poursuivie par un tigre aux dents de sabre ! Ils avaient traversé les marécages des « Iscles » tous ensemble en s'entraidant, des plus jeunes aux plus vieux, ils avaient couru à perdre haleine d'un bout à l'autre de la grande plaine aux hautes herbes, puis remonté le long d'un cours d'eau « l’Issole » qu’on n’appelait même pas encore « Nissola » et qui serpentait sous les arbres en s'enfonçant dans la forêt... Etc...etc...
  12. Je te ferai remarquer que c'était toi qui avais dit : "L'humain a ce besoin de se raccrocher à quelque chose." Si l'on éprouve le besoin de se raccrocher c'est... qu'on tombe ? Alors moi je dis : "Debout ! les damnés de la terre !..." "...Il n'est pas de sauveur suprême !"... etc. etc. C'est un peu une autre Bible !
  13. C'est vrai que sur la même planète des peuplades vivent encore à l'âge de pierre et d'autres de l'IA... Il y a même des bactéries qui vivent comme il y a 4 milliards d'années !
  14. Si j'ai bien compris (mais c'est pas sûr !) on n'aurait plus besoin de l'énergie noire pour justifier l'expansion de l'univers ? ce serait un minuscule déséquilibre à l'échelle infinitésimale qui en s'additionnant devient une énorme "surpression" à l'échelle comique ? Euh je veux dire coSmique !
  15. "L'humain a ce besoin de se raccrocher à quelque chose." Oui ! Et c'est pas tout : il a besoin de se raccrocher à quelque chose... de faux ? De "bidon" ? Toujours ? C'est le problème qu'on doit se poser... Et si oui, pourquoi ? Il y aurait alors peut-être quelque chose qui ne va pas dans l'esprit humain ? Une inclination particulière et récurrente vers des formes de délire plutôt que vers la réalité... La réalité est-elle trop simple ? Trop facile ? Incapable de saturer les méandres du cerveau ? Peut-être qu'on a trop de temps à tuer ? Platon disait pour inciter à la philosophie : "Ne sommes-nous pas de loisir ?" Au boulot bande de fainéants ! Je blague. Parce que même aux époques difficile où il fallait se battre pour survivre, nous vaillants devancier se ménageaient encore des plages de temps pour vaquer à des délires. Religieux par exemple... Alors c'est peut-être pour se donner de l'importance une fois qu'on a bien compris qu'on est vraiment pas grand chose... et pas pour longtemps...
  16. Oui mais ce qui est pénible c'est que l'on prenne ça, et maintenant encore pour argent comptant ! Même si l'on n'y croit pas on fait comme si... C'est faux ! Alors on passe à autre chose ! La tour de Babel c'est des niaiseries ! Un point c'est tout ! Le langage, les langues c'est le génie polymorphe de l'homme et pas un dictat d'une entité divine ! L'écriture c'est les mésopotamiens et les égyptiens, puis les phéniciens, et les chinois, les indous, les grecs, les araméens, les hébreux, les latins...
  17. Et en vrai c'était quoi ? Quand les Hébreux se sont retrouvés en Mésopotamie vers le 6e siècle avant J-C, à Babylone, ils ont découvert les ziggurats ou ce qu'il en restait et ils ont inventé cette légende... C'est mon interprétation ! Du pipeau ! La ziggurat de Chogha Zanbil, Iran, seconde moitié du IIe millénaire Tentative de reconstitution de la ziggurat d'Ur. ces ziggurats pouvaient avoir jusqu'à 7 étages, je viens de voir... Il n'était pas question pour ceux qui les construisaient d'aller jusqu'au ciel. Il s'agissait d'un pouvoir et d'un puissance bien terrestre Ecore une imposture religieuse... Quant aux langues elles évoluent et se transforment d'elles-mêmes avec le temps... et évoluent différemment quand des groupes issus d'une même communauté restent séparés assez longtemps... Autre imposture ! Je crois que c'est des fainéants qui ont imaginé que le VERBE pouvait être directement créateur sans avoir recours à nos petits bras musclés. Et c'est toujours les mêmes qui dirigent ! Leur astuce c'est que EUX ils ont le verbe, (ils commandent) ; et le bon peuple (NOUS), nous avons les petits bras musclés ! De leur point de vue, c'est... magique ! (ou divin !) Du "notre", moins...
  18. Non ?! T'es sûr ? Pour notre Victor national, il a été pour le Roi, pour l'Empire puis pour la République... C'était un homme de maintenant ! A la Matinik nous, on dit : "d'où vient le web ?"...
  19. Engardin

    Souvenir, souvenir...

    Il a évolué : il a commencé sur une Vespa et a fini sur une Harley-Davidson... iL ETAIT BIEN SYMPATHIQUE CE GAMIN ! Propre, bien rasé !... Souveni-Hir souveni-Hir !
  20. Engardin

    Quand j'écris...

    Une idée qui m'a traversé l'esprit parfois, quand je relis un truc que j'ai écrit sur un ancien souvenir... "Tiens je me souvenais de ça ? je n'en serais plus capable !" comme si le fait de l'avoir dit m'en avait débarrassé ! Comme si on rangeait un vieux moi (au moins en partie) dans une boite et que ça laisse la place à un nouveau moi... un autre moi... C'est presque un espoir ! Mais peut-être une illusion... Ou peut-être simplement le travail de sape du temps qui passe...
  21. Engardin

    Souvenir, souvenir...

    Bon, ben maintenant il faudrait peut-être penser à aller dormir ! Bonne nuit les petits !
  22. Engardin

    Souvenir, souvenir...

    Je suis scandalisé par ces vandales qui détruisent tout ! Ecris ! écris ! écris tout ! Moi c'est aussi pour ça que j'écris. En tout cas tu as dû me comprendre quand je disais "quand j'écris "
  23. Un souvenir, c'est une scène. Une scène d'une pièce de théâtre : Unité de lieu, de temps, d'action... Mais seulement une scène. Avec souvent ses personnages... Et nous en spectateur ahuri. Mais tout le reste de la pièce s'est effacé ! L'instant d'avant, l'instant d'après, pourquoi on était là ?... Plus rien ! Comme ces sondes que l'on fait dans les grosses roues de gruyère ! On la taraude, on l'extrait, on la tâte, renifle Juste un extrait. Et puis on la réenfonce dans la tome. Ni vu ni connu ! Mais non ! La sonde elle retourne dans la pièce de fromage ! Un souvenir c'est rien qu'une sonde isolée ! Comme une cheminée de fée alors plutôt... Vous voyez ces formations géologiques ? Avec souvent un gros rocher en guise de chapeau ? Voilà c'est ça un souvenir ! Tout le reste autour s'est évanoui. Le temps, le vent; la pluie, l'érosion... Et il ne reste que ce roc de souvenir et sa racine, la cheminée, qui le relie à nous. Ou à un temps, un espace dans une autre dimension. Tout autour, tout le reste, maintenant, c'est le vide. ... Et puis il y a ces souvenirs accrochés à une photo... Ce sont des souvenirs reconstruits, réinventés par la photo. De faux souvenirs le plus souvent. On croit se souvenir et c'est comme si on se souvenait. Mais là, la cheminée c'est juste la photo. Elle n'est reliée qu'à elle. Je me souviens... J'étais tout petit... On m'a montré une photo. Et sans doute que je parlais à peine... Et qu'on devait me croire un peu débile... Puisqu'on m'a demandé : -- Tu reconnais qui c'est sur cette photo ? Moi : -- Bê oui ! C'est Papa et Maman ! -- Et à quoi tu les reconnais ? -- A la porte qui y'a derrière ! Combien de fois on me l'a racontée cette histoire ? Ca faisait rire tout le monde. Mais je suis encore prêt à me justifier ! En tout cas je me souviens bien de la porte...
  24. Engardin

    Quand j'écris...

    Mais c'est exactement ce que j'ai dit !
  25. Engardin

    Quand j'écris...

    Il a disparu aussi ! Je' reconnais que c'était pas clair ! mais l'idée c'était de transformé le réel en théorique ou intellectuel... c'est toujours mieux que rien ? Ou pas ?
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