Engardin

Et pourquoi pas l'inverse : je veux être comme tu a décidé que je sois ?

Oh c'était pas la peine on avait bien compris la première fois ! Tu as une mentalité digne du XIXe siècle ! (Je dis ça pour te "chambrer" ! )

Si je te comprends bien être bon en affaire c'est faire du mal à autrui sans sourciller ? Et limite par Plaisir ? JE LE NOTE ! Remarque Trump, je le vois mal pleurer !!! Et il a fait six fois faillite... Si c'est ça être bon en affaire... Notez la subtilité ou plutôt la malice de mon argument ! C'est de la pure sophistique ! Du fait que Trump qui ne pleure pas a fait faillite, je vous incite à penser que pour être bon en affaire, il est nécessaire a contrario de pleurer ! Pas mal non ? Putain il est fort ce Bla... cet Engardin !

Avec toutes ces doubles négations, je ne sais plus ce que ça veut dire ! Une chose ou son contraire ? "tant qu'une femme est perçue comme faible les choses ne changeront pas" ou "tant qu'une femme n'est pas perçue comme faible les choses ne changeront pas." C'est aussi ce que j'avais compris !

Je n'ai qu'un mot : MAGNIFIQUE !

Me voilà rassuré ! C'est mes hormones Pas mon urée ! Diu-rétique Question éthique ! Et ma teste Ô Stérone ! Quelle peste ! à Sylvester... Stallone j'préfère Sharon Stone ! (ça vous étonnes ?) Tant que ça dure, Je me pleins pas ! Zéro bromure Mais du vin au repas ! Là je me carapate : Un pro ça s' tâte Pas !...

Ouais, mais un HOMME ça pleure pas ! Moi j'ai une psychologie assez simple... Par exemple j'aime bien quand ça brille ! Ou quand ça a de belles couleurs... Ma psychologie reste instinctive et au pire ne sort pas des sentiers battus...

L'homme qui pleure ! Tiens c'est pas une peinture de Picasso ça ! Il n'a peint que "la femme qui pleure" ! Eh ? C'est de moi que je parle ! Et je suis un Homme !... "Je suis un homme, je suis un homme quoi de plus naturel en somme..." Et je m'en veux quand je pleure ! je m'en veux ! Je me dis "mais que t'es con !" (Je n'hésite pas à m'apostropher en privé !) Et je me dis "t'es con" parce que le plus souvent c'est pour quelque chose qui objectivement ne le mérite pas ! Mais je n'ai pas le temps d'en débattre, de dire ça oui, ça le mérite, ça non : ça me vient tout seul, et ça me prend d'un coup à l'improviste ! Ca me saute à la gorge et ça me la noue... Ainsi quand je lis "la rentrée du troupeau" de Daudet, la fin me fait toujours pleurer : et c'est absurde ! Il n'y a vraiment pas de quoi. J'essaie de m'analyser : les chiens qui ne vont boire et manger que lorsque tous les moutons sont bien rentrés dans la bergerie... Ca vous fait pleurer ça, vous ? Moi non ! Euh, non : moi oui ! C'est pourtant juste sympa... presque amusant... Et moi, ce trait plutôt marrant me fait pleurer ! D'habitude, ce qui m'émeut le plus fort c'est par rapport "au père". (Vous pensez que j'y ai déjà réfléchi : je m'analyse !) Dans les films par exemple. Le souvenir, le fait de rester digne, fidèle par rapport "au père" et en respect avec ce qu'il a pu être... C'est le plus souvent là que je craque ! Alors pourquoi cette histoire de Chiens ? Et surtout la toute fin : "Un pays noir où il y a des loups..." Je la vois venir la phrase, je m'y attends, je me méfie... Et soudain... je m'étouffe, les mots ne sortent plus... 'Un... pays... noir...... ......" Je fonds en larmes ! Et je le savais ! Et je savais que ça allait venir ! Et en même temps que je pleure, je me dis : il n'y a vraiment pas de quoi ! Alors je voudrais faire comme si je ne pleurais pas. Et je continue !... Je me dis peut-être que ceux qui m'écoutent ne vont pas s'en rendre compte ? Tu parles ! Tous mes mots sont hachés, mâchouillés ! Quasiment incompréhensibles ! Et je me dis : "Non ! tu ne pleures pas !" (Quand je m'applique j'emploie la double négation !) Le sens est clair, les chiens contrairement à moi, eux, ne craquent pas, par sens du DEVOIR ! Ils ne relâchent pas leur attention n'acceptent pas de se détendre tant que leur travail n'est pas terminé. C'est ça ? Non ! Ce qui déclenche la crise, ce n'est pas le sens... ce qui me submerge, c'est "UN PAYS NOIR OU IL Y A DES LOUPS !" Et je m'en fous complètement des loups ! Les loups, c'est pas mon problème ! Certes... Vous me direz peut-être que ce texte était le texte préféré de mon père ?... C'est pas faux ! Et il le connaissait par cœur ! Au point que le plus souvent quand il écrivait quelque chose, il commençait pour s'amuser et pour le plaisir par : "Il faut vous dire qu'en Provence..." Subséquemment, je crois que dès le départ, je devais déjà pleurer, mais c'était pas visible et je ne le savais pas ! Comme une photo toute blanche avant qu'on la trempe dans le liquide révélateur ! Et c'est "le pays noir des loups" le liquide révélateur... C'est Mé-CA-NI-QUE ! Je crois que ce texte me plait parce qu'il me fait pleurer ! Un jour je vais l'enregistrer ce texte avec ma tronche en gros plan, pour voir la crise monter... monter... Je sais déjà que je vais essayer de me retenir, me retenir... mais que ça va venir quand même ! Et je boirai ma ridiculiTUDE jusqu'à la lie !

Calme toi ! Les deux guignols sont des névrosés furieux et Macron un névrosé mou... Mais donne lui les pleins pouvoirs, je ne jurerais de rien...

Pareil ! Ces singes qui sautent partout dans les remakes c'est débile... C'est vrai que le premier varie un peu du roman, mais la fin avec la découverte de la Statue de la Liberté a été une trouvaille assez géniale !...

En tout cas c'est les dernières théories à la mode ! Moi un de mes préférés c'est le premier "planète des singes" ! c'est sûr que ça a vieilli... mais Pierre Boulle était français en plus !

Bien sûr... Mais ce matin j'ai entendu à la télé qu'ils parlaient d'un film sur la chirurgie esthétique ratée... Ca m'a fait rire et du coup j'ai pensé à ce qui se fait ailleurs. Et en Amérique surtout... puisqu' on est inondé par le cinéma américain. c'est pas tellement les sujets des films américains que j'ai cités -ils sont assez indigents- mais plutôt le côté spectacle et fabrication des films. Le travail des caméras... Ils sont professionnels et surtout ils bossent ! Ils cherchent... essaient... Dans les films français ce qui m'énerve, c'est... un plan fixe, la caméra scotchée ! qui filme quelques gus qui discutent autour d'une table ! Je caricature à peine. les autres, souvent même si l'histoire est idiote, au moins on est subjugué, fasciné par le simple travail, l'invention de l'image... Ce que je vais dire est peut-être un peu court, mais au moins les types, ils bossent... Ca me fait penser aux BD genre Bibi Fricotin ! On raconte une histoire au lieu de la montrer... de la faire vivre... mais c'est pas systématique on en voit qui essaient un peu des trucs... C'est peut-être aussi le milieu fermé qui mène à ça... les copains des copains... les fils et filles d'un tel... Et les places sont chères... L'efficacité, la réussite ne sont pas tellement favorisée...

Avec une parte en négatif c'est bien aussi...

C'est un avis... C'est pas complètement faux. Mais ce prétendu cinéma d'auteur ne fait pas trop rêver. la Nouvelle Vague... je sais pas trop ce qu'il en reste... C'était souvent plus prétentieux qu'autre chose... et ennuyeux...

Les Américains, ils font ... LA GUERRE DES ETOILES... TERMINATOR... INTERSTELAR... GLADIATOR... INDEPENDANCE DAY... Nous en France on fait un film sur la ... CHIRURGIE ESTHETIQUE RATEE... Jules Verne ! Au s'cours !

Moi je trouve qu'il a une jolie figure, un peu d'allure... il aurait dû faire du cinéma, pas de la politique, bête comme il est... Je le verrais bien en prochain James Bond... Avec un bon scénario il pourrait sauver le monde... Contre Trump Finger par exemple... "My name is Laurent ! Laurent Bond !"

Ouais ! Salauds de pauvres !

Pas d'accord du tout ! Individuellement, je suis d'accord qu'on ne vaut peut-être pas plus cher les uns que les autres, mais socialement, c'est plus ça du tout. Là, il y a bel et bien des petits et des grands. Il faut reconnaitre le mépris que les "castes supérieures" portent aux peuples. Je sais que c'est difficile à avaler... On ne veut pas le voir. Et ça commence même très bas...

Est-ce bien nécessaire ? Tout ce qui nous... emmerde. En premier... Tout ! Ca ne s'arrête jamais ! Il n'y a pas de statu quo. Et tout te retombe dessus. La pression est maintenue en permanence. Même pour presque rien... Il est question de faire suer le burnous à perpétuité. Le libéralisme (qui est la liberté pour les déjà plus puissants seulement et tous les "parasites"), VEUT TOUT ! (Mais le communisme tel qu'il a été mis en place ne valait pas mieux !) Rien n'est jamais acquis pour les PETITS. Et les meilleures intentions sont toujours dévoyées. Bien sûr (et encore heureux !) individuellement on est tous logés à la même enseigne et on finit tous de la même façon ! Mais la société est construite et organisée pour favoriser systématiquement une seule et la même "caste pseudo dirigeante" je préfèrerais dire la caste jouisseuse.... C'est un peu pénible ça ces gens qui se croient tellement plus malins que les autres...

Ce matin j'ai pensé un truc qui ma fait rire : "Tout fout le camp : Aujourd'hui, on ne sait même plus être vieux !"

Je dirai que le cri de l'esclave ne dort pas : il continue depuis "3000 ans" à rechercher la JUSTICE ... Pendant que Khéops, lui dort "dans sa gloire"...

C'est intéressant ce que tu dis. dans les sociétés traditionnelles, la violence est souvent très codifiée. Instituée. Et .Souvent suivant le schéma du bouc émissaire. Le pauvre Jésus Christ en aura été l'un des exemples les plus célèbres. Comme les Nazis avec les juifs. Ou maintenant la droite avec les arabes... Il s'agit de bien canaliser les frustrations. C'est aussi ça la violence : une canalisation (bien programmée et artificielle !) des frustrations...

C'est peut-être vrai. Mais je vois plus cette violence comme un exutoire de "l'énergie vitale" inemployée. Le principe de la civilisation qui fait que fans un premier temps cette énergie n'est plus employée immédiatement pour la survie animale, devrait être dans un second temps d'offrir de proposer un emploi positif et non négatif de toutes ces énergies ? Le sport en est un exemple... Mais le sport pour soi pas en tant que supporter !!! Puisque sans être dépensée, l'énergie (du supporter) est comme dans une cocotte minute !

C'est si beau ces souvenirs qui nous tombe dessus ! Merci ! Nous l'instit, Orsini un type génial, nous lisait comme ça "la guerre des boutons" ! Et il remplaçais les gros mots par un sifflement : "Tous les Velrans sont des peigne... FUIT !"