-
Compteur de contenus
61 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par guabrone
-
En quelques sortes oui, enfin je parle plutôt du fait de ne pas connaître Cette envie soit pars l'inconscience ou bien par une conscience qui rejette cette envie
-
Toutes mes excuses alors
-
les conditions de vies du chien
-
c'est vrai que le terme d'équilibre n'est pas très approprié, le terme "présence" le remplacerais mieux
-
Bon, on est tous d'accord pour dire que vivre dans des conditions pareil c'est terrible et la est bien le problème pour nous c'est impossible à vivre car on a connu de meilleurs conditions alors que le chien qui a vécu toutes sa vie comme cela pour lui c'est tout a fait normale et dans cette normalité il trouvera autant de bonheur et de malheurs que nous vivant (pour la plus part) dans de meilleur conditions. Mais cet exemple marche pour tout. Le fait de ne pas savoir que certains ont des choses que l'on a pas et que ces choses les rendent heureux hé bien nous restons aussi heureux qu'eux.
-
Il y a quelque temps, je vous ai demandé quel était le sens de la vie et toutes vos idées se sont rejointent en une seule qui est d'être heureux. Seulement, on rencontre aussi dans la vie l'opposé du bonheur, le malheur ! Et comme tout opposés , il y a normalement un équilibre : s'il n'y a plus l'un, il n'y a plus l'autre. Il y a des gentils et des méchants, mais s'il n'y a plus de gentils, alors il n'y a plus de méchants. Mais est-ce que pour le bonheur et le malheur, cela est pareil ? Faut-il du malheur pour qu'il y est du bonheur?
-
magnifiques regards , pour ma part ce sont les yeux de chacun qui m'intéressent le plus
-
mais rien n'est pas rien, tu es a la fois -0 et +0
-
-
La naïveté : entre innocence et responsabilité morale
guabrone a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
La naïveté existe vraiment et est aussi une escuse qu'on s'invente pour justifier nos actes de manière consciente ou inconsciente. La société devrait traiter la responsabilité morale envers les individus "naïfs" comme un individu quand bien même il y est assez de preuve permettant de terminer que l'individu est réellement naïf car les conséquences des actes de l'individu reste les mêmes et celui-ci doit dans tout les cas assumer ses actions. La naïveté doit donc être sanctionné comme la méchanceté -
Je partage tout à fait ton avis, lorsque l'on connait les causes de notre comportement cela ne suffit pas à les changer, on essaye de changer pendant une semaine puis on retombe et on culpabilise ( peut être pas jusqu'à renforcer ses comportement nuisible). Seulement je ne dis pas que connaitre les causes (de ses comportement ) sont inefficaces mais insuffisantes . Des insuffisances pouvant être néfastes à moins qu'elles soient accompagnées de mesdames motivation et discipline. Madame motivation elle doit être la des le matin pour nous rappeler pourquoi on se bat, pourquoi on veut changer, qu'on a envie de changer et que c'est maintenant qu'il faut le faire. Malheureusement madame motivation ce fatigue vite alors madame discipline est la pour la remplacer dans ses heures de repos et nous pousse à continuer notre progression, à respecter nos engagement, à être ordonné même si on en a pas envie. Ensemble, elles constituent la clé ouvrant la porte vers le changement, le bonheur. Sinon il est vrai qu'il impossible de réellement ce connaitre , on se dit qu'on est gentil parce qu'on pense avoir fait de bonnes actions, on se dit ambitieux car on a des projets qui nous embles extrêmement difficiles. Seulement est ce la vérité? Sommes nous réellement tel que nous le pensons ? Impossible à réellement déterminé si notre réalité de qui on est est exacte ou fausse . Par exemple un homme peut se considérer bon en participant à l'extermination d'un peuple pour défendre son peuple, la plupart d'entre vous penserez l'inverse mais il est persuader que sa réalité de qui il est est la vérité tout comme vous. La seul manière alors de savoir qui on est réellement c'est de confronter toutes les idées de qui on est à ceux qui pensent nous connaitre et que lorsque celles-ci ce coïncides , cela veut dire que ces réalité sur qui on est forment un tout , la vérité de qui nous sommes.
-
On aime un peu tout humanisé alors pourquoi pas les fourmis
-
Effectivement tu as raison C'est ça ! Une société parfaite mais malheureusement l'homme ne peut pas la reproduire.
-
Guabrone jette une pierre sur Passiflore difficile mais pas impossible!
-
ce n'est pas à moi qu'il faut t'expliquer mais au père ayant sombrer dans l'alcool, à la mère la mère pleurant chaque jour pour son enfant et à la sœur n'ayant plus que pour but de venger sa sœur que tu as sauvagement assassiner. Déposer une fleur sur la tombe de tes victimes serait une belle preuve d'honneur et respect envers elles et leurs familles est je pense un bon commencement
-
dsl mais c'est complètement faux, pour ceux qui connaissent, Bernard Werber explique dans son livre "les secrets des fourmis"( que je recommande d'ailleurs) l'une de ses expérience prouvant l'intelligence des fourmis, l'expérience la voici: Dans un bocal, il a placé à l'intérieur du miel, juste au dessus, il a place un socle perforer en son centre dans le quel était placer un long bâton bouchant l'entrer. Une fois ces préparations faites, il dépose une fourmis rousse dans le bocal et le referme puis observe la fourmis. Celle-ci attiré par le miel, se trouvant en dessous d'elle, va pincer le bâton avec ses mandibule et le soulève mais manque de pot le bâton et trop long elle ne parvient pas à l'enlever alors quelques jours passes et elle ne parvient toujours pas jusqu'au jour ou elle a l'ingénieuse idée de coincé son abdomen dans le peut d'espace que laisser le trou et pinça de nouveau le bâton avec ces mandibules et le fit coulisser entre la paroi du trou et son abdomen j'jusqu'à faire sortir le bâton du trou et se jeta sur le miel. Nous pouvons donc conclure de cette expérience que les fourmis peuvent répondre à des problèmes complexe lentement mais surement je suis tout à fait d'accord avec toi sauf sur un point ! les fourmis qui pique on les tuent pas malgré le mal fait
-
oui effectivement tu as raison, il n'y a pas de noblesse , de bourgeois, de mariage arrangé etc mais il y a une reine et ses sujets
-
C'est vrai mais le principe reste le même, il faut servir le dirigeant bien qu'une mère a sûrement plus d'autorité qu'un dirigeant étranger et je sais de quoi je parle
-
Désolé mais bien que cela soit bénéfique pour le progrès social il peut aussi être bénéfique pour le détruire puisque le simple fait qu'un petit groupe de fourmis se battent pour des droits quels non pas cela va créer des divisions des révolte pouvant soit entraîner un renouveau ou la destruction. Mais pour le moment tant que les fourmis ne ce plaigne pas de leur situation alors pas besoin de CGT Pas de problème
-
Oui je suis d'accord avec toi sur le point biologique mais sur le point métaphorique c'est faux
-
Il semblerait que vous ayez mal compris ma conclusion, je ne dis pas que les fourmis sont individus mais qu'au contraire elles forment un individu
-
Pour commencer, les fourmis sont pour moi des créatures fascinantes. Ces petits êtres intelligents à six pattes vivant en unes société similaire à la notre est d'ailleurs la chose qui m'intéresse le plus chez elles mais on y trouve chez ces fourmis aussi bien des points communs que des points opposés avec nous et c'est ces oppositions qui vont nous intéresser pour répondre à notre question: "Une fourmis est-elle un individu ?" Dit comme ça, c'est plutôt choquant voir absurde puisque bien sur, une fourmis est doté d'un cerveau, d'un cœur et d'une ribambelles d'autre organes faisant d'elle un être vivant, on voit ça au collège, cependant si on va un peut plus loin sur le fonctionnement d'une fourmis, il est plus difficile de qualifier cette insecte d'individu, je m'explique: Une fourmis est un insecte vivant en communauté avec d'autres fourmis dans une fourmilière. Dans cette cité, la fourmis à un rôle comme celui ouvrière s'occupant des larves , de la reine, de la construction de fourmilière et s'aventurant et combattant pour la cité , ou d'un garde défendant la cité , ou d' un prince ou d'une princesse destinés à l'accouplement afin de fonder d'autres cités, ou bien même d'être la reine, la dirigeante de la cité. Cette hiérarchie des cités des fourmis correspond parfaitement au système de monarchie absolue des humains (les ouvrières étant les sujets du royaume, les gardes les soldats du royaumes…). Seulement, cette société existe chez les fourmis depuis des milliers d'années et ce avant l'apparition même de l'homme, pourtant, elle n'a connu aucun changement, mais pourquoi? Pourquoi il n'y a eu aucun changement? He bien parce que leur système monarchique est tout simplement parfait. Dans une fourmilière il n'y pas de groupes religieux ou ethniques , il n'y a pas d'opprimés ni de révoltés , pas d'inégalités, pas d'opposés à leur société et surtout il n'y a pas plusieurs mais un seul but dans la tête de chacune de ses petites bêtes qui est la survie de leur cité et ce même si cela leur coute leur vie, ça leur est égale( les fourmis peuvent ressentir des émotions positives et négatives mais ont moins de raisons de recevoir des émotions négatives ou positives que l'homme par exemple, grâce au fonctionnement de leur société et aussi sur le fait qu'elles ne ressentent pas toutes le émotions et la douleur mais il y a encore débat à se sujet ) . Pour nous, c'est tout bonnement impossible, nous avons tous des idées différentes malgré le fait que l'on vive dans une même société, des groupes se forment, des inégalités s'agrandissent, des buts s'opposent, la division se créé la révolte apparait, nous nous faisons la guerre dans notre propre maison . Par contre, cette société parfaite des fourmis, bien que différente à celle des humains, peut être comparé à un être vivant quelconque; l'animal à en lui une multitude de cellules travaillant autant les unes que les autres ne ce révoltant pas, ne ce divisant pas et ayant toutes pour but de maintenir l'animale en vie et pouvant ce donner la mort pour cela . Nous pouvons donc conclure qu'une fourmilière à un système plus que similaire à celui d'un être vivant, d'un individu. Alors faudrait il reproduire une société comme celle-ci ? Tel est la question.
-
En une douce soirée d’été, une fête se déroulaient dans une cité d’Europe de l’Est , les habitants déambulaient, s’esclaffaient, dansaient, chantaient dans les rues. Parmi cette cohue, en face d'une vitrine de boulangerie, se tenait un jeune homme n'ayant pas dépassé la vingtaine et dévorant entre ses mains décharnées un sandwich qu'il venait d'acheter. Il se voyait accoutré d'un pantalon effiloché datant du siècle dernier, de chaussures en cuir ayant l'air des plus fatiguées, d'un veston élimé dont le col et les revers se montraient décorés à leurs extrémités d'une couture argentée qui semblait s’effriter Ses poches paraissaient toutes usées et particulièrement celle sur la poitrine qui était légèrement décousue sur un coté dévoilant un mouchoir bruni et une montre à gousset dont les aiguilles demeuraient en gréve. Sous son veston ne se trouvait qu'une piteuse chemise blanche qui se dépourvait de boutons de manchette. L’une des seules choses pouvant bien sauver son apparence se révélait etre son chapeau Fedora : belles courbures, larges bords, ruban noir des plus charmant dans lequel il avait glissé une petite photo représentant une famille nombreuse sur laquelle on pouvait voir un petit garçon, il avait le visage creux et maladif de son père et les magnifiques yeux bleues de sa mère. On reconnaissait ces mêmes traits sur notre homme au sandwich mais celui-ci arborait en plus une moustache pinceau magnifiquement taillée qui embellisait ainsi son visage. Par ailleurs, il avait un fâcheux tic : il scrutait nerveusement la foule. Ses mains tremblantes compressaient son repas, il transpirait, son visage palissait et sa respiration s'emportait. Soudain, un bruit de moteur ce fit entendre et la foule s'en réjouissait. Ce son provenait de six voitures qui, la foule les bloquant, durent s'arreter devant la boulengerie. Dans l’une d’elle se tenait debout un bel homme dont le manteau, d’un splendide bleu ciel, se décorait de nombreuses médailles, de boutons en or massif , d'un col serré et de manches retroussées d'un rouge vif se voyant rehaussées de quelques touches de coutures dorées. A sa ceinture se trouvait un sabre d'une beauté époustouflante, dont le manche en ivoire et le fourreau orné d'or en jetaient. Aussi, ce riche personnage, qui en plus d'avoir agrémenté son visage joufflu et serein d'une moustache en brosse, disposait, pour coiffe, un chapeau militaire et de plumes de paon vertes qui l'accomodaient. Il avait pour compagne une gente dame portant une toilette violette et dont les traits du visage paraissaient doux et délicats. Elle était parées de toutes sortes de bijoux, ses mains fines se montraient couvertes de gants en soie et sa resplendissante tenue s'accompagnait d'un énorme chapeau à plumes des plus coûteux. Lorsque notre jeune homme les vit , il laissa tomber son sandwich, ses yeux se fixèrent sur eux . Sur son visage crispé couvert de sueurs froides, on pouvai lire une haine profonde ainsi qu’une grande confusion qui s’opérait en lui, on pouvait même entendre son cœur s'emballer. Tout à coup, de sa poche de pantalon, il sortit un pistolet et pointa l'arme en direction du couple les mains tremblantes et l'esprit vacillant, il ignorait encore ce qu’il s’apprêtait à faire, mais il le fit. Deux coups de feu retentirent. La foule déguerpit en hurlant, la femme, touchée à l'abdomen, moura sur le coup et s’écroula violemment sur le sol, l’homme, touché à la gorge, n'eut pas le privilège d'une mort rapide ; ll suffoquait tout en essayant d'interrompre l’hémorragie mais il finit par se vider de son sang. Sur la magnifique robe, de la dame, le sang se répandit tel une rivière, une rivière de peur, de colère, de haine, de destruction,de pleurs, de maladies, de famines, de souffrances, de morts, … la rivière de l'homme, celle de la guerre !
-
Tout a fait d'accord, les fourmis sont intelligente mais leur doté le savoir de compter est quelque peut exagérer, les fourmis disposent de nombreux savoir parfois similaires aux notre Seulement ce savoir doit leur être utile. Celui de compter l'est il ? Pour moi je n'en vois pas l'utilité mis a part
-
Ce texte n'est pas mal du tout! Bon qu'il ne traite que de choses des plus ordinaires, l'histoire reste entrainante et le fait que tu mélange le language soutenue et familier est troublant au premier regard mais je l'aime bien. Aussi, le personnage de la "folle" est intriguant seulement nous ne parvenons pas à cerner le personnage, c'est flou ,qui est elle, de quoi pense t'elle du personnage principal, pourquoi elle agit de la sorte a la fin de l'histoire... Bref, raconter l'histoire du point de vue de la fille serait dès plus intéressant.Voici ma pensée de l'avenue d'enhot.
