Lowy

Ce qui me débecte dans tout ça , c'est que les palestiniens semblent des sous être ou même comme si le conflit ''israélo-palestinien '' , se résumait aux attentats d'hier. Comme si les morts n'avaient d'importance que selon leur appartenance, et que l'humain n'avait en fait aucune mais aucune importance, ''la mode'' des ''condamnations '' inhumaines .

La nuit tombe en Israël-Palestine. Je ne me suis pas encore exprimé pr prendre le temps de réfléchir. Cette journée restera gravée dans les mémoires comme le 11 septembre israélien: surprise totale, faillite des renseignements, sidération, avant une probable surréaction militaire. Vincent Lemire

Si seulement ... (^^) Vous croyez que ''ça'' , c'est de l'esprit? ( en plus, ça vous fais rigoler...)

La tresse est un bon film, qui donne cette vision recul de ce que les femmes affrontent dans leur quotidien, les hommes font partie du monde, partie prenante et incontournable de la création. Le quotidien des femmes ( et d'hommes aussi) dans la misère de notre monde dépasse de loin , de trés loin le scénario. Donc une féminisation académique des mots , un combat? désolée , mais ça ne vaut rien , et cela reste l'avis d'une femme .

Je ''préfère'' l'humanité dans ce qu'elle devrait être mais elle n'est nullement comme je ''l'espère'' et je ne fais aucune différence entre les hommes et les femmes . Je n'aime juste pas ceux qui ''parlent'' en leur nom . Tout autant qu'ils parlent d'amour, de tolérance, de bienveillance-mot magique- je bannirais des langues de l'humanité tellement de mots cons , inutiles , dont beaucoup jouent au lieu d'agir ou simplement ''êtres'' humains.

En l'écrivant, je savais que j'aurais droit à ce genre de remarques. Je n'aime pas la féminisation des mots, j'abhorre même ce genre de mots . Un mot n'est qu'un mot. Le ridicule de s'accrocher à l'inutile... Je suis féministe à ma façon, dans la logique ,non dans le show, (pourtant...). Je n'aime pas le féminisme du show, du bla-bla inutile qui fait genre , une mode comme une autre des ''regardez moi j'existe'', je défends les droits des femmes en faisant mon coléreux ou ma coléreuse (...), grande âme je suis -sur les mots-; dans notre monde , des Femmes ( grand ou petit f....humm...croyez vous que les femmes courageuses qui se battent pour leurs droits humains pensent à ça ? ont besoin de ça? ) chef ou cheffe... la connerie de l'inutile Le combat est autre , et c'est tous les jours , et ailleurs des humains vrais se battent pour ça , dans l'anonymat, sans la fioriture des confettis de ''mots'' à revoir ''à l'académie'' des ''je suis quelqu'un qui pense aux autres...'' facile.

Je voulais que mes doigts de poupée pénètrent dans les touches. Je ne voulais pas effleurer le clavier comme une araignée. Je voulais m’enfoncer, me clouer, me fixer, me pétrifier. Je voulais entrer dans le clavier pour entrer à l’intérieur de la musique pour avoir une patrie. Mais la musique bougeait, se pressait. Quand un refrain reprenait, alors seulement s’animait en moi l’espoir que quelque chose comme une gare s’établirait ; je veux dire : un point de départ ferme et sûr ; un lieu depuis lequel partir, depuis le lieu, vers le lieu, en union et fusion avec le lieu. Mais le refrain était trop bref, de sorte que je ne pouvais pas fonder une gare puisque je n’avais qu’un train un peu sorti des rails, qui se contorsionnait et se distordait. Alors j’abandonnai la musique et ses trahisons parce que la musique était toujours plus haut ou plus bas, mai non au centre, dans le lieu de la rencontre et de la fusion. (Toi qui fus ma seule patrie, où te chercher ? Peut-être dans ce poème que j’écris peu à peu.) Alejandra Pizarnik-Figures du pressentiment.

Synopsis Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l'école. Italie. Giulia travaille dans l'atelier de son père. Lorsqu'il est victime d'un accident, elle découvre que l'entreprise familiale est ruinée. Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu'elle est malade. Trois vies, trois femmes, trois continents. Trois combats à mener. Si elles ne se connaissent pas, Smita, Giulia et Sarah sont liées sans le savoir par ce qu'elles ont de plus intime et de plus singulier. De Laetitia Colombani Avec Kim Raver, Fotinì Peluso, Mia Maelzer Novembre 2023 (Les Amazones...guerrières puissantes, elles menaient plusieurs batailles dont elles sortaient souvent vainqueurs, un mythe, un mystère,...)

Le déni : le refus de la réalité ; La colère : une frustration intense, par exemple un sentiment d’incompréhension ou d’injustice ; Le marchandage : une tentative d’obtenir un sursis en échange d’autre chose ; La dépression : le renoncement et l’indifférence ; L’acceptation : la compréhension et l’appropriation de la réalité. Fausse théorie. On oublie souvent dans ce genre de '' caricature'' émotionnelle que nous sommes totalement différents , que nos ressentis , autant que nos relations aux autres sont quasiment uniques.

J'aurais plus pensé que l'on puisse se soigner d'un burn out en s'isolant dans un couvent...comme quoi, la vision des uns et des autres ...Clichés. L'emprise d'une supérieure: le harcèlement à mille et un costumes. Je lirais bien ''Métamorphose''...

Sit down for dinner...

Critique du Point ( quoique personnellement, la critique ne m'influence aucunement, parfois même ''une mauvaise critique'' me donne l'envie de découvrir un film et parfois j'en suis positivement surprise...) ''travesti ensanglanté, déguisé en Marilyn Monroe, regard hagard, perruque blonde de travers et rimmel qui coule. Qui est cet homme ? Pourquoi conduit-il un camion dans lequel il transporte une meute de chiens ? Ses seuls amis ? Des « bébés », avoue au policier qui l'interroge celui qui se prénomme Doug. Comment en est-il arrivé là ? À une psychologue (Jojo T. Gibbs), il raconte sa vie, qui est un cauchemar éveillé. Celui d'un enfant martyr jeté aux chiens par son père, qui l'enferme dans une cage jour et nuit. Fou de colère et de haine, il va même jusqu'à lui tirer dessus, lui logeant une balle dans la colonne vertébrale. Adulte, paralysé des jambes, il est devenu ce rebelle en fauteuil roulant qui croit en Dieu, chante « La Foule » et « Je ne regrette rien » de Piaf dans un cabaret transformiste, et vit de larcins à la tête de son gang canin. Dans Dogman, Luc Besson donne à son personnage ce qu'il faut de souffrance, de cynisme et de panache. Proche par moments du Joker incarné par Joaquim Phoenix, il est charmeur ou effrayant, suscite une sorte de malaise mais est toujours attachant. Fidèle à son style lyrique, le réalisateur multiplie les images chocs et les retours en arrière, oscille entre l'action et l'émotion, filme de près son acteur, présent dans tous les plans. https://www.lepoint.fr/culture/faut-il-voir-dogman-le-nouveau-film-de-luc-besson-27-09-2023-2537180_3.php#11 J'aimerais bien voir Joachim Phpenix et Caleb Landry Jones partager une affiche... Un bon film est un film qui nous fait réfléchir, au delà des images. Un bon acteur est celui qui nous offre son rôle comme une source d'émotions, de réflexions, se mettre à sa place et surtout -Peut être- comprendre le personnage...et le retrouver dans cette humanité saccagée...

Oui

? Et à ceux qui n'apprécient pas un sujet, un auteur, un pseudo etc... le forum est grand , vous pourrez vous y perdre au lieu de ''faire vos intéressants'' à deux balles... Quoique sans aucune importance. Le monde ne tournant pas autour de vous. Ooh....

C'était drôle et sympa l'année passée. On dirait que ça remonte à plus longtemps... Boycott pour le 2. Voir le sujet de sa phobie n fois décliné c flippant. ( Courage @Mite_Railleuse).

Synopsis Enfant, Douglas a été abusé par un père violent qui l'a ensuite jeté aux chiens. Mais au lieu de l'attaquer, ces derniers l'ont protégé et ils sont devenus ses alliés. Devenu adulte, encore traumatisé et menant une vie de marginal avec ses chiens, Douglas sombre peu à peu dans une folie meurtrière. De Luc Besson Avec Caleb Landry Jones, Jojo T. Gibbs, Christopher Denham (...)

''La foule croit qu'elle sait et comprend tout ; et plus elle est sotte, plus ses horizons lui semblent vastes''. Anton Tchekhov

Je pense que non, mieux se sentir, être libre vaut bien des 0 en moins, mais...l'appréhension de ne pas savoir faire peut être ou de l'inconnu...

Le même domaine d'activité ou complètement différent?

Synopsis Ce film aborde le thème d'une expérience qui a été réellement essayée en 1971 à Stanford par le professeur Philip Zimbardo dite « expérience de Stanford ». Un scientifique enferme vingt volontaires pour une expérience sur une étude du comportement dans l'univers carcéral. Une partie sont les « gardiens », d'autres les « prisonniers ». Mais au fur et à mesure des jours passés, l'expérience est hors de contrôle, la situation se dégradant dangereusement. De: Paul Scheuring Avec: Adrien Brody, Forest Whitaker 2010

Je ne sais pas si je suis dans le contexte voulu du topic: A cet instant, je pense à un film ''l'expérience'', si je me souviens bien , des gens de divers horizons passent un casting et sont enfermés dans une sorte de prison , les personnalités se découvrent , au fur et à mesure que le temps passe, la promiscuité, l'anonymat, le huis clos, la liberté de sévir parfois... Je me pose souvent cette question et ce film me revient souvent en tête : jusqu'où les gens peuvent aller , pas seulement au niveau d'un forum, mais dans le quotidien, sans un mécanisme régulateur, quand leurs intérêts se trouvent en danger, quand aucune règle ne s'impose, est ce une sorte de ''lâcher prise de ce que nous sommes vraiment, ou les gens jouent à ce qu'il croient mieux ou encore , le syndrome de l'enfant battu ...ou le mouvement du troupeau ...ou encore un besoin d'exister , d'être reconnu aux dépends des autres ( désolée si je semble HS, mais je n'arrête pas de penser à ça ) , nos identités ''sociales'' sont elles si tronquées, et se formalisent -elles qu'en fonction de ce qui nous arrange à un instant t ....

Avez vous déjà essayé ? Mauvaise expérience? le pourquoi de cette reconversion?