Lowy

La vie est faite de risques.

Ben oui. Tout est dit.

Aussi.

Si on aime son conjoint-conjointe , on ne risquera pas de les faire ''souffrir'' en les trompant .Plutôt trouver solution médicale (? ) à ce souci sexuel. Perdre quelqu'un qu'on trompe...la possession? (Glauque)

Ou bien , il vaut mieux tout dire et partir. (Que cela ait mis autant en colère le sieur, c'est peut être qu'il tenait à vous et sentait le danger de vous perdre ou encore la ''jalousie maladive'' de celui qui veut posséder l'autre. Ce genre de comportement est subjectif et il faut connaitre la personne et le contexte pour juger. )

Quelle effroyable expression ''la régulière''.

C'est bien ''étrange'' tous ces coups d'états qui s'enchainent...

Il faudrait changer ce qui est inutile. Le problème réside dans les ''politiciens '' qui gèrent la France, non pas dans la façon de ''voter''.

Et être libre ce n'est pas avoir un tableau de chasse ou tromper potentiellement (sexuellement j'entends) ou par ennui l'autre . Quand on aime une personne , cela ne veut pas dire en devenir l'esclave ou la propriété . la liberté est là tout le temps et ce n'est pas pour autant que l'on est libre que l'on cumule des aventures , autant rester seul(e) dans ce cas , la vie de couple devient un enchainement et une privation de cette même liberté prônée.

Et le couple qui change, peut décider de couper court à une relation qui ne lui convient plus. Ce n'est pas une condamnation à perpétuité ''être en couple'' .

Vous trouvez ça ridicule , c'est votre ''jugement'' sur ce que vous conceviez.

Je pense que l'on essaye de plus en plus de dénaturer le sens des ''valeurs'' et du sens de certaines choses comme ''vivre ensemble'', personnellement, ça me dépasse que l'on choisisse de vivre avec une personne pour la tromper...

Il y'a autant d'humains que d'histoires de coeur ou d'autres. Et personne ne peut concevoir la vie des autres mais là, je réponds au ''concept'' d'infidélité, tromper une personne et continuer à vivre avec est abject et lâche. Et je ne saurais expliquer '' dans mon jugement'' qu'on puisse en arriver là. Pour le confort d'une vie ? l'habitude? les enfants? ... être infidèle -à mon sens- c'est ne plus rien respecter de la vie commune et c'est déjà être bien malheureux dans cette vie pour en arriver là, et cela doit être bien toxique autant pour celui qui trompe que le trompé.

Le groupe à toujours intérêt quelque part, l'effet de groupe: le côté sauvage: lyncher pour se sentir exister. La lâcheté est souvent par intérêt , soumission, misère humaine... L'homme ''bon et conscient''...Même si ça devrait exister dans notre monde ( il n'est pas si cruel , et je me dis que forcément , il y'a autant d'extrêmes que d'humains, des exceptions... L'état et la société sont corrompus par des hommes . Votre ironie fourchettes relève d'un stupide constat mais bon, j'ai l'habitude des discussions stériles et aux chutes rébarbatives. Pauvre monde.

Mais vous même. Par votre ''êtres complexes....'' et l'ironie était sur vos conciliants propos .

Et surtout se respecter soi même; Si on se marie et que l'on n'aime plus la personne avec qui l'on vit ou que l'on décide d'être avec quelqu'un d'autre, on divorce. Dans infidélité , il y'a trahison et il faudrait être sacrément tordu(e) pour continuer de vivre avec une personne que l'on trompe. Mon jugement assumé sur l'infidélité.

La magie n'est pas en moi. Elle n'est pas dans les gens, elle est dans ce qui se passe entre les gens. Lignes de faille - Nancy Huston

Ma réponse à ta question: Quelque chose d'unique: vrai, entier, incontournable , non pas par défaut: combler un-ou des manques, remplacer....Un palliatif , une sorte d'outil, un moyen... L'amour c'est la complémentarité , ne jamais se lasser...une histoire qui se construit.

Ironie. Je ne crois pas, pour moi la conscience est en chacun de nous. Certains l'étouffent par intérêt ou par usure. Dans les deux cas, elle s'éteint. Une construction culturelle? , aucunement à mon sens, ça serait superficielle. Sommes nous élevés dans l'acquisition de cette ''conscience''? : non, recevons nous une éducation de ''conscience'': non aussi; parfois, je pense même qu'au fil du temps, on essaye de nous apprendre à l'assassiner ( assez glauque comme mécanisme ...) La civilisation c'est quoi? ( question que je me pose à l'instant et je me réponds: l'humain aime bien ce mot, civilisés mais il reste sauvage, et le monde: une jungle).

Le destin sait ce qu'il fait, il est même méticuleux . Le Salaire de la Peur-Georges Arnaud.

Neutre: sans avis, sans parti pris. Le néant: absence absolue. ''Se déclarer neutre revient à affirmer qu'on est étranger à tout parti pris, qu'on ne s'engage ni dans un sens ni dans un autre, l'orientation prise par le cours des choses relevant d'une responsabilité extérieure à soi''. https://www.philolog.fr/la-technique-est-elle-une-activite-neutre/#:~:text=Se déclarer neutre revient à,tout à proclamer son innocence. ''Platon concède que « d’une certaine façon le non-être existe » sans quoi nier serait impossible. Comme le voit Aristote, ce terme, qui ne vaut que pour la pensée, est alors à rapprocher de celui des catégories logiques de privation et de négation. Kant distingue quatre formes de néant ou de rien (Nichts) : il désigne soit tout concept vide sans objet correspondant dans l’expérience (par exemple, Dieu ou la Liberté), soit l’absence d’un attribut déterminé (par exemple, l’ombre, le froid), soit la forme d’une intuition sans représentation possible (par exemple, l’espace pur, sans objet), soit la pure contradiction (comme un cercle carré). Hegel voit pour sa part dans le non-être un équivalent de l’être en tant que tous les deux sont totalement indéterminés. Mais c’est surtout l’existentialisme qui approfondit le sens du terme : le néant, compris comme participe présent au même titre que l’étant, devient chez Heidegger ce par quoi l’étant se manifeste''. https://www.philomag.com/lexique/neant

Peut être et peut être pas.