Lowy

Mais le truc c'est que la susceptibilité n'est pas modulable, elle ''est'' that's it. Et que cela prends à ce fameux ''quart de tour''. La susceptibilité ne s'opère pas de la même façon envers x ou y. Peut être même que y dira pire que x mais que la tolérance sera là - bizarrement- est ce vis à vis de ceux qu'on apprécie ou que c'est par rapport à quelqu'un qui nous gonfle pour n raisons. Est ce des accusations dégueulasses ou la réalité? Il faut dire que les autres subissent aussi les susceptibles donc les autres sont parfois obligés de se plier à un caractère - quand c'est récurent, hésiter à dire ci ou ça ou encore subir la lave du volcan.

@bcbg parle du susceptible , non pas de celui ou de ce qui provoque sa susceptibilité. (cela peut être une situation, ou même un non dit) Pourquoi parler ''d'émetteur'' / ''récepteur'' , chosifier des êtres? Pas évident que celui qui blesse le fasse sciemment. Le susceptible peut aussi ''justifier'' son ressenti alors que la susceptibilité est autre que celle qu'il exprime. Cela n'a rien à voir avec la susceptibilité.

Il y'a de cela mais cela peut aussi être une personne sensible dont la sensibilité s'exprime par une forme d'auto défense, qui rejoint votre définition ci dessous:

Comment pouvez vous savoir si une personne est susceptible ou non avant de la fréquenter. Caractère de daube... L'agressivité des termes , et la ''catégorisation'' des êtres...cela relève de quel complexe? Des oeufs et des pierres: votre monde? . Il est bien simplifié.

Vous posez la question et vous y répondez.

Une évidence .

Autant pour l'émetteur que pour le récepteur. Les mots expriment nos émotions et nos pensées , c'est une part de nous mêmes. Il peuvent aussi juste véhiculer ce que l'on choisit de transmettre de nous mêmes , pas l'entièreté de ce que nous sommes. Communiquer est ce partage qui rapproche les êtres humains normalement, ça permet de les découvrir, un moyen de partager ce que nous sommes aussi ... (long débat à ce sujet)

Pas ce que pense l'autre de nous, mais si l'autre sait qui nous sommes. Non.

Ce n'est pas toujours voulu. Le susceptible réagit parfois de façon incontrôlée, ce n'est pas volontaire. J'ai lu quelque part que ces traits de caractère pouvait venir de la période de gestation de l'embryon qui est une éponge des émotions de la mère.

Justifier les mauvais mots des autres, n'est pas une bonne manière de faire non plus.

''gommer les émotions de la communication'' : utopique oui, modérer ses émotion: leur dire ok vous êtes là mais les autres n'ont pas forcément à les subir ou les supporter, se mettre à la place de l'autre: réduit de beaucoup notre susceptibilité, Réguler son ressenti: professionnellement ou en société Exprimer ses émotions sans les laisser exploser face à une personne importante pour nous ; ce qui est plus difficile, parce que face à une personne proche et importante, on a tendance à ne pas vouloir se censurer, tout dire, pour mieux se faire comprendre, malheureusement 'le susceptible'' explose souvent en volcan , ce qui parasite la communication à l'instant t mais qui dit proche et important , dis que la tolérence reste là...Et je suppose qu'une forme de rodage émotionnel s'opère comme a dit @Gouderien le temps, l'âge peut être et @Mite_Railleuse que choisir un moyen (voulu ou déclic spontané) fera que le volcan se transforme...

Elle peut être péjorative mais pas forcément. ''c'est rien, t'es susceptible'' ...ce n'est pas forcément ''c'est pas grave ce que tu ressens, je m'en fous et surtout c'est ta faute.'' Ce qui est grave c'est le constat de la '' susceptibilité'': le classement , la catégorisation, et c'est ce qui blesse le plus je pense. La communication ne se ferme que si on décide qu'elle le soit. Bien au contraire, ce genre de situation pourrait être le déclencheur d'une remise en question des concernés.

Le contexte aussi, le moment choisi, l'humeur de l'autre...Parfois juste le sujet ou le mot qu'il ne faut pas et l'autre n'est pas forcément conscient du dégât qu'il peut causer... Tout le monde peut être blessé par de mauvais mots , mais le susceptible à ce truc en trop , qui monte trop rapidement. Parfois la suceptibilité est juste encaissée , parfois elle se couple à de l'égocentrisme , croyant que les autres doivent se plier à ses humeurs, lire dans ses pensées ou vivre ses émotions, comme si le monde devait être à l'écoute, là cela devient une pathologie.

Connerie : (sous entendue ici) = mots de travers exprès ou pas, paroles déplacées qui peuvent blesser. La sagesse atteinte peut être. ''j’ai trouvé un pare-feu, l’autodérision. '' donc c'est voulu d'une certaine manière.

Against the clock...ôOh...^^

Peut être que les gens ont peur que la maison soit hantée...

Oui aussi...

Il y'a des gens qui ne s'énervent jamais, faible degré de susceptibilité, ils s'en foutent de tout peut être , ou peut être qu'il sont au dessus de la petitesse...passivité ou les grandes âmes? Et puis il y'a des quart de tours , tempêtes ambulantes , soupe au lait... Et les aigris de la remise en question , qui doivent toujours avoir raison, la négation ne doit pas exister face à eux, un majuscule faible égo...

Défaut ...revers d'un caractère ou simple caractéristique qui se déclenche face à la connerie / lucidité brut des autres; Est ce léger à porter ou cela rumine dans la démesure de l'égo... L'êtes vous, l'avez vous été , qu'en avez vous compris ou appris...