Axo lotl

C est pourtant vous qui n'arrêtez pas de parler de la relation comme une inégalité. Je crois qu'une vraie relation c'est exactement l'inverse c'est une égalité parfaite.

Du tout, vous avez très mal lu entre les lignes. Toujours cette relation domination soumission, vous avez vraiment besoin de ça pour être amoureux. Dominer l'autre ?

Si mais c'est à classer dans les relations pathologiques, donc certains diront que ce n'est pas vraiment de l'amour.

J ajouterais que pour les formations diplômante type master, 5 ans, on vit avec quoi parce pôle emploi il paye pas les formations. Alors soit il y a le DIF disons 3000€ très insuffisant pour vivre 5 ans en supposant que la formation est gratis, certaines coûtent dans les 5000€. Donc se reconvertir sur des métiers comme directeur, architecte, médecin pourquoi pas, il faut du pognon beaucoup beaucoup de pognon et pas de chance les chômeurs vont en avoir encore moins. Mais bon ils pourront réclamer le RSA et en échange servir de main d'oeuvre pas chere dans des tâches de merdes dont personne ne veut.

Que de grands mots. HS en plus. Il est question de confiance en l'amour donc de relation. Donc de l'autre. Hors vous parlez de vous, de vos connaissances, de vos idéaux de vous, et encore de vous et de relations idéalisées. Elle est où la réalité, la relation, la vraie, celle qui se vit, se ressent, fait éprouver des émotions, mets en branle les sens, mets parfois en danger tout ce petit édifice bien construit de la vie.

Seul vous avez accès aux mystères de la connaissance. Ça doit être dur d'être une élite tout seul sur son piédestal de perfection. Tant mieux pour vous, les morts vous tiennent compagnie. Moi je préfère les vivants, j'apprends plus des êtres humains en les écoutant.

Il vaut mieux lire moins les morts et côtoyer plus de vivants.

Vous ressentez mal.

Mes envies et besoins ne sont pas les vôtres. Mais je vous remercie pour la politesse.

Super. Je vous souhaite tout le bonheur du monde.

Je trouve le côté "sombre" plus intéressant, je trouve que c'est dans ces recoins de l'âme, protégés, cachés, que réside l'essence même d'une personne, ce qui ne peut être montré, expliqué qu'à très peu de personne, voir peut être qu'une seule., la seule qui pourra la comprendre, l'accepter, ne pas en avoir peur, peut être même l'aimer Aimer la lumière, c'est facile, c'est plaisant. Aimer l'ombre, c'est une autre histoire. La confiance réside en cela, pouvoir montrer ce qu il y a de pire en nous et être aimer aussi pour ça. Donner à l'autre les armes pour nous achever en sachant qu on ne risque rien.

Si vous n'avez pas ce besoin là, n'en parlons pas. Parlez nous donc de vos besoins et de vos envies.

Vous oubliez un besoin de se détruire, de se faire du mal, de s'avillir, qui va à l'encontre de l'instinct de survie.

N'avoir jamais été aimé rend fou.

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ok

ok

un peu de nostalgie ce sioir ce bon vieux rocky III

Un numéro de téléphone, un exemplaire de La Peau de chagrin et un briquet de la Légion étrangère. C’est tout ce qui est retrouvé sur le cadavre d’un homme abandonné dans un bassin du jardin des Tuileries. Alors qu’il piétine déjà dans une enquête sur la disparition de trois jeunes femmes, le commandant Julien Delestran est chargé de l’affaire. Le numéro de téléphone est sa première piste : c’est celui du CNAOP, l’organisme permettant aux enfants nés « sous X » de retrouver leurs parents biologiques. Mais tandis que le commandant essaie d’avancer sur cette nouvelle enquête, la précédente se rappelle à lui quand sa hiérarchie lui adjoint l’aide d’une psychologue. Tout d’abord sceptique face à cette « ingérence », Delestran est bien obligé de reconnaître que Claire Ribot sait mettre au jour la vérité aussi bien que le plus fin des limiers. Et qu’elle ne sera pas de trop pour sonder, avec son groupe, les tréfonds de l’âme humaine… Chimiste de formation, Jean-François Pasques est capitaine de police. Après une quinzaine d’années à Paris, notamment à la Section Criminelle de la 1ère DPJ, il travaille désormais à Nantes en Sécurité Publique. La police satisfait son appétit de curiosité humaine, et Fils de personne met en scène ces personnages hauts en couleurs auxquels il est confronté quotidiennement dans son métier.

oui, une femme magnifique, un regard, une voix, une bouche. Tout chez elle est beau, ses gestes, son regard, son sourire. je ne résiste jamais, elle a quelque chose de tellement touchant

On peut retrouver sur la 5, le film de sydney pollack

tu as raison, mais l'intime sur un forum c'est impossible me semble-t-il. L'intime c'est un truc qui se partage avec des gens en qui on peut avoir confiance. Alors on peut oublier en écrivant sur un fil qu'on est lu par bien plus que ceux qu'on apprécie et que n'importe quand, voir quand on s'y attend pas, on se prend notre intime dans la gueule. Le truc c'est que partager ses failles, ses blessures, c'est donner l'arme pour se faire abattre. et pourtant, parfois je me dis que ça ferait du bien de tout raconter, de se libérer des blessures, du pire. mais pas sur non plus que tout le monde puisse recevoir les blessures des autres, ou en est envie non plus. nous sommes tous si différents. certains veulent des réponses à leur failles révélées, d'autres non, certains pensent que toutes blessures appellent une consolation, une solution, des conseils, d'autres sont juste pênées. j'aimerais pouvoir te dire que sur un fil comme celui là, on peut poser ses valises, se libérer, mais je crois qu'il faudrait être fou pour le faire.

L'agent fédéral Ethan Burke reprend conscience, seul et blessé, en pleine rue à Wayward Pines, petite bourgade tranquille de l'Idaho. Partiellement amnésique, il se sou- vient être à la recherche de deux autres agents mystérieusement disparus dans la région. Il se rend vite compte qu'il n'a plus de papiers, ni de téléphone et, en dépit de ses efforts, il ne parvient à joindre ni sa femme, ni son supérieur, ni personne du monde extérieur. Il y a vraiment quelque chose de bizarre à Wayward Pines, comme chez ses habitants. Lorsqu'Ethan découvre le cadavre horriblement mutilé de l'un des agents qu'il recherchait, l'étrangeté cède la place à un danger mortel. C'est maintenant sûr, il y a quelque chose de pourri à Wayward Pines. Né à même le sol d’un mobil-home au fin fond des Appalaches d’une jeune toxicomane et d’un père trop tôt disparu, Demon Copperhead est le digne héritier d’un célèbre personnage de Charles Dickens. De services sociaux défaillants en familles d’accueil véreuses, de tribunaux pour mineurs au cercle infernal de l’addiction, le garçon va être confronté aux pires épreuves et au mépris de la société à l’égard des plus démunis. Pourtant, à chacune des étapes de sa tragique épopée, c’est son instinct de survie qui triomphe. Demon saura-t-il devenir le héros de sa propre existence ?