Ocean_noir
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Donc ... vous vous concevez le Mal comme une personnification ; par aspect religieux ou métaphysique?
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Ah oui en effet ! Il s'agit de toi. Ma réponse à ta remarque a fait tellement emoi aussi, même plus que le sujet en lui même du forum. C'est dire à quel point le niveau d'implication est élevé. Et en effet je te prie de m'excuser, trier les réponses constructives des commentaires difficiles a exploités, ça extenue ... Et prendre ton commentaire comme quelques choses de tragique au milieu, de personne qui font de l'humour autour n'est pas évident à analyser comme tel. On est tous libre de dire des choses inutiles, je te l'accorde. Je dis juste que j'apprécie de faire de ma liberté d'expression, quelques choses de moins superflue. A toi de voir. En attendant la prochaine fois au lieu de te critiquer, je t'ignorerais. Ca m'evitera de perdre mon energie. Je vais donc vraiment devoir te poser une question, pour te tirer les verres du nez, au sujet d'un morceau de phrase aussi particulaires que ce que tu m'as sorti ??? Alors que d'autres ont pris le temps de faire au moins un texte pour etre explicite ? J'ai Twitter pour ça ! Merci. Déjà que je t'ai répondu ! Mais aucun souci ; libre a toi de t'exprimer. Ignorer n'a jamais été quelques choses de compliqué à faire.
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Ce qui me semble assez compliqué sur cette conception du Mal est sa structure. Chacun n'en voit qu'une facette ; chacun a sa vérité et son point de vue. Nous nous retrouvons avec un modèle parcellaire qui est a devoir etre composé de plusieurs facette pour comprendre le mal. Peut on convergé vers un modèle unique du Mal ?
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Message pour tout le monde ! Quand je dis "philosophons !" Ca veut pas dire "Bureau des lamentations". Quand tu me balances un message de 5 mots "j'ai vu le Mal" et que tu me dis rien de plus ; que tu ne cherches pas à en discuter alors que c'est le centre même de la discussion, j'estime que ce n'est pas sérieux ! Tu ne prends pas au sérieux le sujet que je propose. T'as le droit a une réponse en adéquation. 5 mots c'est un SMS ! De plus Rapellez vous qu'un poste ca rempli les serveurs et ca pollue ; et donc ca se rentabilise ! J'envoie pas un mail pour dire "oklm". Faites en sorte qu'il serve au moins à faire passer un message claire et complet. (Exemple : celui-ci même ...) Enfin, je m'adresse aux petits chevaliers blancs, qui essayent de se faire remarquer par leurs hypocrites indignations. Si vous avez une opinion aussi peu éclairée de la situation, sachez que votre avis m'indifferencie au plus haut point. Cet un malentendu et je n'ai aucunement voulu blesser quique ce soit. On analyse pas l'état sémantique d'une personne à travers un message, en si peu de mot. L'incident est clos.
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Ca tombe bien ! c'est pas à toi que je posais la question. D'autre pars, y a 2 secondes y a un mec qui faisait de l'humour plus haut (Gouderien) ! Alors, en bonne enfant, je me prête aux diverse jeux de mots ! Et puis un autre qui me dit "le mal c'est le mari de la femel !". Et après ce sont mes messages qu'on accuse de débilité ? Mais ou donc est la caméra caché ??? Je suis parti du principe que tout le reste était sur le même ton ; j'en suis désolé.
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A ce que je sache, je m'adressais pas à vous a ce moment là où j'ai dit "Et alors ? C'était bien ?" J'ai ouvert ce débat pour débattre et philosopher. On me lance une phrase de 3 mots a peine, qui ne construit même pas un avis assez conséquent pour en parler (sans doute même lancé par humour noir) ! J'ose répondre sur ce qui me semble être le même ton parce que j'estime ne pas vouloir trop prendre a coeur les choses, et c'est moi qui le fait traiter de troll ? Vous plaisantez j'espère...
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De ma connaissance, un animal ignore tout de la notion de Mal. Il me paraît donc évident de dire que même si l'Homme fait le Mal, il ne le fait jamais comme but premier, mais comme moyen pour parvenir a une fin ; une fin des fois sombrement dissimulée. Faire du Mal a quelqu'un, viendrait certainement en moi taire ma part de sensibilité envers quoi j'éprouvais de l'estime et de la valeur jadis. Vouloir faire du Mal a quelqu'un peut générer de la satisfaction en premier lieu, a l'idée de vouloir le faire ... mais ensuite que ce passe-t-il ? C'est le vide qui s'installe. D'aucun pretend que ce vide s'explique par le fait que le Mal ne possède pas d'essence, contrairement au Bien (Paul Ricoeur). L'Homme peut-il vraiment se construire a partir de quelques choses qui n'a pas d'essence ?
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Élaborez ! Un exemple actuel peut-être ? Je note que vous digérez fort Mal l'humour. Alors ... je n'ai pas très bien saisi votre argumentation qui semblait toutefois fort subtile.
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Et alors ? C'était Bien ?
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Je vois qu'on l'a Mal pris ! Dans ce cas, je prendrais mon Mal en patience ! C'est un moindre Mal ! Je ne peux pas vous prouver que le Mal peut se suffire a lui même; mais je peux vous prouvez que le Bien par contre le peut. Le Bien, a la différence du Mal, se manifeste par un discours cohérent, que le Mal ne possède pas. Le Bien peut donc exister sans le Mal. Mais il est curieux de voir que cette relation de réciprocité n'existe pas dans l'autre sens.
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Un jour, un certain Karol Vojtila a dit la chose suivante : " Laissez le Mal seul, et il finira par se dévoré lui même." Un monde qui fonctionne Mal, subsiste pas, a la différence d'un monde Bien, qui lui, fonctionne durablement. Êtes vous vraiment sûr que le Bien et le Mal ne peuvent exister séparément ? La drogue soulage aussi ...
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Définissez moi le Mal, autre que par "c'est le contraire du Bien" ou "gnggngnng Le Mal c'est relatif". Soyez de grands philosophes !!!
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L'éthique ; une invention contrenature
Ocean_noir a répondu à un(e) sujet de Ocean_noir dans Philosophie
Pour le coup ... j'aurais dis que c'est la moral qui est quelques chose de personnelle ; elle est le résultat de la superposition de "l'Ethique" et des intérêts personnels de la population qui souhaite edicter cette morale. Mais a la différence de l'Ethique, la Morale raisonne vis a vis d'un référentiel. L'Ethique se rapproche plus d'un concepte absolu et parfait : Un peu comme la notion "justice" ou même les "mathématiques", que l'Homme interprète respectivement comme "La Loi" ou "les nombres" (par exemple). Je suis parfaitement d'accord qu'il n'y a nul besoin d'être célèbre pour effectuer ces monstruosité. Et c'est bien parce que la cas se généralise aux gens modestes et riches, que la question justement se pose ; l'Ethique, bien que vitale, est-elle quelque chose qui ne pousserait pas, l'Homme, à aller à l'encontre de notre Nature ? -
Nietchsz disait que notre monde fut jadis gouverné par une moral "aristocratique" qui élevait au sommet "le meilleur" par opposition au plus "mauvais". Elle fût cependant renversé par un autre système nommé, moral du "ressenti", qui élevait au sommet celui qui faisait "le bien" par opposition a celui qui fait "le mal". Aujourd'hui, mon intime impression, est que l'Homme est à cheval entre les 2. Nous pouvons très bien être catholique, et rechercher la gloire en tant que jeune joueur de foot talentueux ! Il est agréable d'être le meilleur aux yeux de ses pairs. Mais il est également, prudent de rester moralement "bon", aux yeux des autres de peur que l'opprobre ne s'abattent sur nous. Nous alternons constamment entre la quête de l'accomplissement personnel, avec celle lié au maintien du Bien. Et parfois, il semble que la gloire et la célébrité finissent par devenir si forte, qu'elle laisse la nature humaine profonde s'exprimer. Exemple : viol de femme par les célébrité, pedophilie Mickael Jackson, Vladimir Poutine, Hitler, etc ... L'Homme, qui devient trop puissant, finit toujours par nature, à se croire supérieur aux principes éthiques. Est-il dans notre nature d'être éthique ? L'Homme du 21ème siecle ne se retrouve-t-il pas finalement a devoir jouer un double rôle, qui finira indeniablement par l'amener a se contredire ?
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L'homme spirituel n'est pas un humaniste
Ocean_noir a répondu à un(e) sujet de Wave1 dans Philosophie
Bon pour le coup, même en état allé voir ce que disait Heidegger, j'ai absolument pas compris le concepte d'ouverture sur le monde : le concepte est un peu ésotérique avec un lexique ... fort perturbant. -
L'homme spirituel n'est pas un humaniste
Ocean_noir a répondu à un(e) sujet de Wave1 dans Philosophie
Je n'ai pas compris la partie que vous dites "concidéré dans son entiereté et instincts". Donnez un exemple de ce genre de vision dans la vie de tout les jours, et une vision différente que les gens peuvent avoir de l'Homme. -
Celle-là peut être remis en cause... Le terme "je suis" se différencie avec le terme "je deviens". Or si l'on devient, on n'est pas ! Car nous sommes dans une continuelle dynamique de changement d'état. Seule les choses statiques, fixées dans le temps, peuvent prétendre a être. L'Homme quant à lui, peut prétendre dire "j'étais" ou "je serai" .... mais jamais je suis. Nous ne sommes pas "des être" ; nous sommes des "devenants"
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Le discours des sans voix de l'Abbé Pierre peut apporter une réponse qui sied parfaitement a ta question; " Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette, laissant les assiettes des autres vides, et qui ayant tout, disent avec une bonne figure, une bonne conscience, nous, nous qui avons tout on est pour la paix. Je sais que je dois leur crier à ceux-là, les premiers violents, les provocateurs de toute violence c’est vous. Et quand le soir dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits-enfants, avec votre bonne conscience; au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d’inconscients que n’en aura jamais le désespéré qui a pris les armes pour essayer de sortir de son désespoir."
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L'homme spirituel n'est pas un humaniste
Ocean_noir a répondu à un(e) sujet de Wave1 dans Philosophie
Je suis allé me precipité sur les multiples definitions que Google donne de l'humanisme : " Attitude philosophique qui tient l'humain pour la valeur suprême et revendique pour chaque humain la possibilité d'épanouir librement son humanité, ses facultés proprement humaines." Techniquement, si la spiritualité permet a des être humains de s'épanouir, alors en quoi rentre-t-elle en contradiction avec la définition de l'humanisme ? Vous semblez également associé d'emblée que les explications spirituelles nous éloignent de la définition même de ce qu'est l'Homme... Cela reste a prouvé ^^ tout comme l'inexistence de Dieu. Mon souci est que vous partez d'un principe dogmatique qui semble issu uniquement de votre ressenti. Je serai bien un tyran de vous interdir cette liberté, mais je ne suis pas sûr de pouvoir valider cela comme un argument valable ^_^' .... -
Tu sais ... comme personne n'est revenu d'entre les morts pour nous dire si il regrettait ou pas son choix altruiste, on aura toujours un doute sur le fait de savoir s'il n'y a pas un changement de paradigme quand le pas est franchi. Un sacrifice, c'est aussi un grand saut dans le vide, qui atteste plus de la Foi que de la certitude, sur les repercussions qu'il pourrait avoir. Un sacrifice devient donc plus que matériel et spirituel, mais aussi parfois de principe. Mais ... rien ne te dis à posteriori qu'on puisse ne pas avoir le seum de s'être trompé de cause ou de logique, mdrr...
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Sans avoir suivi le débat initialement, je me permet de poser un avis sur le suicide, ayant moi même vécu un parmis ma famille il n'y a pas longtemps ET ayant été moi-même presque suicidaire a la suite d'un faux diagnostic de maladie de charcot (Oui quelle bande d'incompétent !). Oui le suicide est un droit que nous possédons. Mais s'il est inaliénable au droit humain, est il pour autant constamment un choix humaniste ? Si des fois il est un acte de délivrance face a des situations qui nous semblent désespérées, l'acte du suicide reste également un acte qui est de ce fait auto-centré. Il n'est pas à blamer de le pratiquer dans les situations désespérées ; il est d'ailleurs honorable, car tout Homme est libre de choisir sa propre fin. D'ailleurs, dans ce cas assez précis je parlerai d'euthanasie. Néanmoins le suicide, reste un choc pour l'entourage !!! A bien des égards, le départ d'un être cher pour des raisons très souvent inexpliquées (que ce dernier emporte avec lui dans la tombe), ne manque pas de ravager la psychologie des proches. Le bouleversement est tel que l'existence même est une remise en question parfois ! Et qui sait, peut amener également à la dépression avec de longue période de convalescence... voir le suicide lui même ! Bien évidemment, le suicidaire n'y pensera clairement pas. Et d'ailleurs l'esprit du suicidaire n'est gouverné que par une seule idée dans la majorité des cas : l'absurdité de son existence. Encore une fois, chacun défini son existence et son accomplissement comme il l'entend. Il n'en demeure pas moins vrai, que l'Homme dans notre société, en tant qu'animal social, est lié a ses obligations, mais également officieusement à ce contrat sociale que la constitution ne peut stipuler, qu'on appelle plus communément attachement. Rompre un attachement au sein d'un cercle proche (familiale par exemple) peut avoir des répercussions sur la santé des personnes qui ont pour conséquences directe le suicide provoqué par la main du suicidé. Si nous rendons l'acte du suicide, autorisé car de droit naturel, comment toutefois parvenons nous a le rendre légitime, au vu des nombreuses personnes qui étaient là pour nous, et que nous emmenons avec nous dans la tombe et la tristesse ? Les gens n'ont ils également pas le droit de se passer de gestes aussi tristes que ce mal des plus inexplicables ?.
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Difficile à dire ... surtout quand on ne pense plus. Mais si toutefois, il lui était encore possible de le faire, j'ignore totalement comment on se sent une fois qu'on est passé de l'autre côté. On peut très bien se sentir accompli d'avoir accompli un tel devoir de tant de bravoure, comme on peut avoir des regrets de s'être sacrifié pour de la vermine humaine. A bon entendeur
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Faire un sacrifice n'est une forme de courage, que celui qu'on s'apprête a faire s'effectue dans l'abnégation la plus totale. On ne peut sacrifier ce qui ne coûterait pas profondément a notre être et a la possibilité que notre existence n'en subisse les conséquences que nou redoutions. C'est le propre même du sacrifice que de donner ce qui nous accable de donner,... et ce, au nom d'intérêts que nous n'intégrons pas à nos priorités, ni adressé necessairement à notre bien être. A ne pas confondre avec offrande. L'Homme est t il capable d'un tel sacrifice ?
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Vos lectures philosophiques du moment
Ocean_noir a répondu à un(e) sujet de al-flamel dans Philosophie
Je vous présente ce livre qui est un concentré de reference sur des notions philosophique avec thème. Ne fais pas plus 100 pages. Et super intéressant. Il y en a d'autre tel que l'art, le corps, la guerre, la mort, etc ... Pas prise de tête et très sympa. Sinon je suis en en train de décortiqué la genealogique de la moral de Nietchsz. -
D'aucun prétend que C'était une femme brillante
