Aller au contenu

Ocean_noir

Membre
  • Compteur de contenus

    211
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Ocean_noir

  1. Comme vous le savez, en France, les procès (sauf s’ils concernent des mineurs) sont publics. Aussi ai-je assisté à une affaire des plus banales dont le présumé coupable, à peine âgé de 21 ans, était accusé de rares actes de violence dans une rixe qui avait, disons-le franchement, mal tourné pour l'autre individu en face. Lors d'une boîte de nuit, 2 personnes, après un différend, se sont en effet livrées à des coups violents. Et l'un d'eux, très amoché (beaucoup plus que l'autre), a fini par porter plainte, poussé visiblement par ses proches souhaitant réclamer justice. À la séance du rendu du verdict, le juge lui demanda s’il souhaitait s’exprimer une dernière fois, pour une condamnation qui semblait certaine. Ce dernier, malgré son jeune âge, prit la parole avec une éloquence qui, à titre personnel, m'a réellement marqué : "Madame la présidente, messieurs les avocats, chers auditeurs, ... Voilà qu'on arrive au terme de ce jugement auquel pas un jour ne passe, depuis cet événement, sans que je n'y songe. Et malgré cela, il reste aujourd'hui pour moi tant d'interrogations que je me pose à la suite de ce procès auquel je ne parviens à répondre. À commencer par celle de la légitimité que vous avez de juger cette affaire, vous tous, sur laquelle, malgré le rôle que vous prétendez avoir et les informations dont vous disposez, vous ne tenez ni les tenants, ni les aboutissants de celle-ci. Je vous vois en effet, madame la présidente, ainsi que vos collègues, vous tenir sur un promontoire, plus élevé que celui duquel je vous parle, comme si votre position était douée d'une prise de hauteur innée sur la situation de tout un chacun ; une situation à laquelle vous n'avez ni assisté, ni par laquelle vous avez été éprouvée comme j'ai pu l'être. Et tous les experts qui ont défilé sous vos yeux, exposant leurs curieuses théories probabilistes sur les scénarios du déroulement des actes, ainsi que les témoins qui ont accepté de faire part de leur point de vue sur la situation, restent cependant lacunaires et sans recours face aux réels rouages qui ont amené à ce résultat déplorable, mais néanmoins celui que j'ai jugé être le meilleur choix dont je disposais sous la main. Cet homme, ici présent, après m'avoir poussé d'une plate-forme sur laquelle je dansais — et de laquelle j'ai effectué une chute qui aurait pu me blesser (et sur laquelle d'autres personnes se sont blessées) — s'en est pris à moi physiquement. Son prétexte, comme vous le savez tous : j’aurais attenté à l'intégrité physique de sa sœur, qui était aussi sur la plate-forme et a participé à la montée en tension (provoquée !) du conflit qui a été à l'origine de la mêlée. Ce que vous disent les personnes qui étaient sur la plate-forme reste cependant assez unanime. J'étais ferme dans mes propos où j'ai essayé de l'interpeller à deux reprises, et durant la troisième où j'ai tenté de la faire descendre au vu du danger qu'elle nous faisait courir, par son égoïsme. J'ai eu même la décence de ne pas répondre à ce geste de violence, et de m'abstenir à la suite de ma chute. À la place, ne souhaitant pas quitter la boîte de nuit sur une note négative, je suis allé prendre un verre et recharger mes batteries sociales pour profiter d'une fin de soirée apaisée. Et alors que j'étais parti dans le fumoir, où chaque personne avec qui je discutais partageait ouvertement mon point de vue sur cette situation, ce dernier a fait irruption, avec des menaces telles que : "Je vais te casser la gueule ! Pour qui tu te prends pour toucher à ma sœur, sale pédale !" Il s'est approché de moi et, avant de me saisir par le col, m'a dit les mots suivants : "On s'attaque aux femmes, petite salope ? Je vais t'enculer, fils de pute." Il s'est jeté sur moi, dans le noir, moi étant contre un mur, entouré de personnes et n'ayant nul échappatoire, et aucune personne de la justice pour garantir mes droits et me protéger. J'ai disposé, madame la présidente, de trois secondes pour déterminer mon avenir. Un avenir dans lequel j'étais perdant, quelle qu'en aurait été l'issue : finir à l'hôpital et ruiner à jamais ma santé, ou finir en procès et ruiner mes perspectives professionnelles. Je ne vous parle même pas de l'impact que cet événement a eu sur ma famille et ma vie sociale... Et je ne comprends pas, madame la présidente, comment vous pouvez avoir la prétention de juger ce qu'aucun homme en trois secondes ne serait capable de faire ou d'accepter. La vérité, madame la présidente, c'est que j'étais seul maître responsable de ma situation et de mon destin. Non la justice sociale. Seul moi pouvais déterminer mon avenir durant ce bref instant. Non la justice sociale. Seul moi pouvais prendre les dispositions que j'estimais nécessaires, qu'importe leur cruauté, pour survivre et assurer que, demain, un homme qui est un collègue pour certains, un ami pour d'autres, un frère, un fiancé ou même un fils, serait de retour sain et sauf. Non la justice sociale !!! J'ai mis hors d'état de nuire celui qui attentait à ma vie, jusqu'à réduire à zéro les probabilités qu'il puisse réitérer un jour des menaces à mon égard. Je l'ai battu jusqu'à ce qu'il en perde la connaissance, comme vous en connaissez aujourd'hui les faits. Mais ma justice a été la seule à me préserver ce soir-là, des droits dont vous étiez responsables de m'assurer. Et pour avoir effectué cette tâche qui vous revient, aujourd'hui, je me dois d'en payer le prix ?! La seule chose que je vois et qui est à juger aujourd'hui est l'impuissance du système, qui ne sait pas reconnaître son humilité face à ses erreurs, ou face à son incapacité à traiter des événements qui le dépassent. Et qui dénie sa faute en se réfugiant derrière le vulgaire prétexte que "nul ne doit rendre justice soi-même". Si certaines personnes sont amenées à le penser, c'est peut-être que leur vision théorique n'a jamais été éprouvée par les distorsions de la réalité. C'est pourquoi, madame la présidente, avant que vous ne prononciez le verdict, pensez à la conséquence de ce à quoi vous participerez ou non. Car la décision que vous prenez est décisive, à toute échelle de ce que nous allons croire du système et de la confiance que nous y placerons. Souhaitez-vous contribuer à un système inflexible et fort, mais donnant naissance à des monstres, victimes de jugements se rajoutant à leur expérience terrible, qui ne croiront plus jamais en vous et votre capacité à assumer votre rôle ? Ou souhaitez-vous participer à un système plus flexible, mais qui apporte de l'espoir et ce sentiment de sécurité qui ne nous oblige pas à avoir les mains liées dans le dos, face aux dangers qui peuvent nous surprendre à n'importe quel moment dans notre vie, mais desquels notre volonté forte reste la même : en sortir plus fort et meilleur ? L'homme se forge tous les jours par empirisme, face à l'inédit. Et il ne devrait pas être reproché de le faire. Sinon ..., nous nous rendons coupables d'ouvrir une porte déversant un fléau sur sa vie : celui de la fatalité, qui décide de son sort, et non plus la liberté que nous garantit la vraie justice." Le verdict tomba : un an de prison avec sursis. L'application classique de la loi a-t-elle réellement sa place dans de telles circonstances ?
  2. Ocean_noir

    Philosophie

    Je découvrais pour la première fois, à mes 11 ans, un mot qui allait réellement me passionner (...). Et que mon arriére grand mère allait définir par cette simple phrase : "La philosophie, c'est l'éternelle question"
  3. L'égo, est ce qui permet à la personne de s'identifier par sa pensée. Et par définition, il ne pourra jamais être objectif, sans quoi nous serions incapable de définir les axiomes de nos propres valeures morales, que tu sembles traiter comme un biais cognitifs. David Hume disait à ce sujet, que si on utilisait uniquement que sa raison et l'absence d'avis subjectif (tel que l'égo), alors nous serions capable de tout justifier, y compris l'injustifiable, aboutissant au plus grand paradoxe de la logique. Et cette réflexion est rejoins quelques siècles plus tard par le théorème de Gödel. A vrai dire, pour conclure à cela, je ne pense pas que l'homme soit en quête d'objectivité. Et si toutefois il l'est alors il est en quête d'une réponse à une question impossible. Car l'unique manière d'être objectif est d'être omniscient, au même titre qu'une présupposée entité qui aurait créer cet univers... autant essayer de répondre tout de suite à la question "Dieu existe-t-il ?". Et ça tu n'es pas prêt de le découvrir. En ma qualité d'agnostique, je te répondrais simplement ... que tu cours après l'horizon ! Et que les réelles questions qui doivent t'intéresser et qui peuvent faire grandir ta réflexion, sont ailleurs. Tu as déjà beaucoup matière à réfléchir, avec ce qu'il y a sous tes yeux. Que savons-nous finalement de la cohérence ? La Vie de l'Homme n'est peut être après tout, pas à juger sur la logique de ses actions, mais sur l'authenticité et l'harmonie de la trace qu'il laisse derrière lui.
  4. Ocean_noir

    Le narcissisme

    Je me permet de revenir à la question de départ, car j'arrive bien trop tard pour lire les myriades de réponses déjà écrites. Le narcissisme pour moi est un mérite. Si tu veux avoir légitimité dans ta prétention, relève les défis où peu succèdent ! Et, à contrario, n'estime pas avoir droit à des traitements de faveurs, là où tu n'as pas encore fait tes peuvent. J'ajouteraient que ce qui séparent le narcissisme raisonnable, de celui qui est démesuré, se traduit par une double prise de conscience : "Si aujourd'hui tu es le meilleur et que tu as droit à toute la fierté, demain tu peux te faire dépasser à tout moment. Car il ne faut pas perdre de vue, que même si tu exceptionnel, tout etre humain à une aptitude de pouvoir le devenir."
  5. Pouvez vous rendre plus explicite le liens avec le sujet du topic ?...
  6. Ah si si tkt ! Merci de biiieeeeenn l'avoir souligné
  7. Ne vous est il jamais arrivé de, parfois, être déçu de son prochain lors de son choix ? Qu'il ai privilégier ses intérêt personnels, plutôt que les principes humanistes qui vous liaient ? Et à vous même, n'avez vous jamais fait un jour entorse à vos propres valeurs ? Et c'est pourtant bien ici qu'un sentiment mauvais, de déception s'il s'agit d'autrui, ou de remord s'il s'agit de vous même, pourraient vous envahir. Nous avons tous une morale relative, allez vous me dire ... Mais il n'en demeure pas moins vrai que, la plupart de nous, meme dans notre diversité absolue, sommes constitués approximativement, des mêmes restrictions qui appellent à préserver ce que nous appelons "humanité", "dignité", ou ne sais-je ... Et c'est pourtant peut-être, cette nature humaine, si hier nous étions des héros, peut parfois nous pousser à devenir les monstres de demains ! Qui d'entre nous auraient été collaborateurs sois Vichy, et qui auraient été résistant ? Il me paraît de se fait intéressant de se poser la question, quand les intérêts submergent nos principes éthiques ? Et est il possible réellement de pouvoir poser un jugement sur l'Homme, lorsque celui-ci est si éprouvé, entre PRINCIPES et INTÉRÊTS, que la place de moralité pourraient être questionné sur sa propre pertinence ? Je vous propose de me donner votre avis ! Philosophons ! Votre vision, m'importe
  8. Il va falloir que vous développiez un peu plus car je ne risque pas de faire grand chose avec cela. Est ce le Dieu Biblique ? Un autre concepte de Dieu ? Que fait il ? Qu'est ce qui le caractérise ?
  9. Et quelles propriétés aurait cette entité, dénommée Dieu ? Serai-ce le Dieu de la Bible ?
  10. Ocean_noir

    Le doute raisonnable

    Telle est la question ! Quand franchissons nous les frontières du scepticisme absolue ? Un Homme est allé pousser à fond ce principe jusqu'à tomber sur la phrase qu'il a fait de lui sa renommée : "Je pense donc je suis" (René Descartes). Est-il raisonnable de faire ce qu'a fait Descartes ? Oui et non ! Oui car il a permis de démontrer que la frontière de notre conscience s'arrête a l'endroit de ce qu'elle perçoit et se représente. Aller au delà de cette limite, n'a plus aucun sens, puisque douter de quelque choses que l'on ne perçoit pas est absurde ! Et non, car en même temps, il ne se base uniquement que sur ses sens. Combien de fois nos biais cognitifs nous ont ils fait des defauts dans notre vie ? C'est pourquoi pour moi il est utile de concidérer par un modèle incomplet, mais toutefois pragmatique ce qu'est notre conscience (afin de savoir comment définir la frontière qui sépare le doute raisonnable du doute absolue) ; La Conscience est la chose qui se construit de ce qu'elle perçoit par des représentation cohérente, et s'aggrandit de ce dont elle s'interroge. Nous mettons en doute notre perception, quand un modèle nous semble incomplet, se révèle ne pas être concluant ou s'avère etre contradictoire jusqu'à même remettre en question notre structure. Nous pouvons donc qualifier de raisonnable tout doutes qui, cherchent a vérifier une hypothèse au vue de l'acquisition de nouvelles d'informations sures ET qui rentreraient en contradiction avec le modèle etablis. La véracité de cette source d'information doit se faire par des marqueurs, impossible à falcifier, qui permettent de conclure nécessairement et suffisamment la véracité de la source d'information. Sinon, il faut trouver d'autres indicateurs viables, sans quoi le doute ne peut etre raisonnables. Exemple : Pour savoir si mon système nerveux pyramidale de mes jambes fonctionne, il faut faire les teste nerveux du marteau ainsi que celui du signe de Hoffman soit validés. Il est en effet quasi impossible de falsifier le reflexe myotatiques des nerfs. Et si cela a été fait, alors il est facilement possible de le verifier. En résumé nous pouvons douter raisonnablement et indefiniment tant que nos informations sont sûres. Sans quoi, il serai raisonnablement douteux de commencer à douter déraisonnablement. J'espère avoir été assez claire et mas trop brouillon. Mais sujet très intéressant
  11. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    De ce point de vue, nuire aux organisations terroristes serait mauvais ? Rabaisser les personnes mal honnêtes et malintentionnées au profit des personnes droites, et méritantes ? Et en quoi accepter la mort est il mal ? Je vous réponds dès que je peux ; j'élabore mon commentaire
  12. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Un certain Paul Ricoeur a dit un jour : "Le Mal, c'est ce qu'on finit par combattre une fois qu'on a renoncé a le comprendre". Raisonner le Mal donne le sentiment de rendre notre pensée abjecte ! A l'inverse la questio qui se pose serai plutôt "savons nous réellement discerner le Bien du Mal" ? Toi par exemple ? Sur quel critère objectif te bases-tu ?
  13. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Le point que tu soulève est franchement super intéressant. Et ... très souvent, le mal le plus générique part de l'inconscience (ou l'ignorance). Chose en fait très spectaculaire et contre intuitive ; le Mal, comme l'essence même de la culpabilité en societé, prends tout de même ses sources dans l'innocense, et l'inconscience de ce qu'est le bien. Avec de telle informations, comment pouvons nous nous plaindre que le Mal existe, puisque nous avons besoin de passer par la pour construire le Bien ?
  14. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Alors ... ce qui m'embête dans cette définition c'est que j'ai le sentiment de tourner en rond. Le Bien c'est ce le sens de la bonne direction, et la bonne direction c'est le sens du Bien. On tombe sur un système d'argumentation un peu axiomatique ^_^'. Tu penses donc que le Bien ne s'explique que par lui même? (Comme la conception de Dieu par exemple) Vois tu le Bien comme une composante elementaire ou plutot comme un assemblage architecturisé d'idées complexes ?
  15. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Vous me reprochez le manque d'epaisseur intellectuel de mon message initiale, qui avait pour vocation d'être concis, provocateur et lancer un challenge pour toute la communauté, et non d'exposer un quelconque raisonnement ! Comparons ce qui est comparable. Tout d'abord au sein de cette communauté, nous n'avons pas tous le même niveau de philosophie indeniablement, et je voulais que le plus de personne puisse sentir que ce topic leur etait accessible. Même moi, des fois je ne comprends pas tout sur certains sujet et je sais combien ca peut être décourageant. Je cherche à eviter cela aux autres. J'ajouterais qu' il n'y a pas non plus matière a faire une introduction grandilocante sur une question aussi simple ( ce qui est suffisant puisque la réponsea trouver est suffisament compliquée). Egalement, si je n'ai pas developpé pour le moment mon point de vue, c'est pour laisser les gens librement répondre à cette question, et ainsi essayer d'explorer leurs idées par eux même et leur expérience, sans que je ne les influence. Je n'aime pas lancer un topic qui porte une question ouverte, mais qui commence hypocritement par un pavé "moi je pense !" ; ... rien de plus écrasant comme première approche pour les autres Et j'y trouve une grande satisfaction à voir comment chacun est profondément différent dans sa manière de percevoir les choses. Aussi, je ferai remarqué que personne ne m'a demandé jusqu'à là mon avis. D'où le fait que je ne propose pas mon point de vue. Demande le moi avant de me reprocher n'avoir aucun atome de reflexion sur le sujet ; j'ai même 3 approches différentes sur la question si tu veux savoir... Mais peut-être que ca les gens s'en foutent... y a tu pensé ? Pour finir, je n'ai specialement l'envie de répondre intelligemment à des gens qui ont posté des réponses qui ne sont pas dans l'esprit de la problématique initiale ... voir completement hors sujet.
  16. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Mais qu'est ce que la bonne direction ? Comment la distinguer de la mauvaise ? Et qu'est ce que le négatif ? Quand on ne peut le distinguer du positif ? Il y a des termes à définir, sinon nous avons aucun referentiels de discussion.
  17. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Effectivement ! On le voit parfaitement en ces temps de paix et de prospérité, notamment au moyen Orient ! Aaaaah Israaaeel ! Havre de paisibilité ! Ou les armes ont quitté les rivages paradisiaque. Oooh et la fameuse coalition pacifique Russo-Ukrainienne, commerce fleurissant, et relation diplomatique au plus haut . Pourquoi faire la guerre après tout ? La paix est tellement plus belle ! Alalalah ! Sacré univers alternif ! C'est à se demander quand même pourquoi, chez nous ils prérèrent se tapper dessus, plutôt que de discuter !
  18. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Il y a un dicton qui dit "Il est plus facile de détruire que de construire". Faire le Mal est à la portée de tout le monde. Mais faire le Bien ... beaucoup moins. On compte tous sur toi du coup !
  19. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Mais ... de cette logique, comment dabs ce cas la classons nous le actions de moindre Mal pour un grand Bien ? Par exemple, apprendre en école preparatoire sont des periodes peu agreables, voir même terriblement éprouvante, mais qui ont quand même pour finalité un Bien sur le long terme. Je classe où ce genre d'action dans ce modèle que vous me proposez ?
  20. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Donc ... la passion, le travail ... serait des notions liés au mal si j'en crois la définition que tu en donnes
  21. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Tu souleves un sujet je trouve intéressant, en te resignant a donner une definition au Mal ? Si le Bien peut être certe vaste, il reste beaucoup plus difficile à faire, que le Mal qui est, lui, facile a commette. On se rend compte a ce moment là, a quel point le Mal se définit par une immensité qui lui est caracteristique, aussi bien par sa taille que par les multiples formes qu'il peut prendre. Comment définir, finalement, quelques choses, tel que le Mal, si informe qu'il finit par échapper à toute définition propre ?
  22. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    Alors, on va aborder ce point de vue, en supposant qu'il soit de l'ordre de la certitude (pour le besoins du raisonnement). Pourtant le Bien nous accorde la liberté; chose qui est concidéré comme étant Bien pour l'Homme. Mais si le créateur n'as pas créer le Mal et uniquement que le Bien, alors pourquoi le Bien, permet par le biais de la liberté, d'emprunter une voie alternative qui n'est pas dans les plans du créateur, tel que le Mal (puisque celui-ci est censé être un système "incompatible" par rapport à ce pour quoi l'Homme fut conçu) ? Pourquoi également, si le Mal est censé être un étranger complet a la création cu créateur, le Mal adhère-t-il si cohéremment, aux comportement de l'Homme ? Le Mal se fait il plus séduisant pour l'Homme ? Où est-ce l'Homme qui n'est finalement pas si etrangé à la mecanique du Mal, bien que leur conception chacune isolée, l'une de l'autre ?
  23. Ocean_noir

    Qu'est ce que le Mal ?

    En effet je comprends ; il y a une vision du mal selon sa propre Moral. Et du coup une vision du Mal, qui se présente comme un ennemi de nos propres intérêts. Rien de plus personnel et de plus subjectif que les intérêt de chacun. Mais il y a plus large que la Moral personnelle de chacun. Il y a aussi l'Ethique, qui par Nature est bien plus large que la notion de Moral, puisqu'elle se veut universelle. La moral n'étant que le résultat de la supersposition de nos intérêt à l'éthique. De ce fait, n'y a t il pas une notion existante de Mal plus "universel", puisqu'il existe une idée du Bien qui se veut, elle, universelle ?
×