Elisa*

Comme je te comprends !

Ben non… elle a remplacé le chocolat chaud par le Chouchen, donc elle veut bien copiner en toute amitié !

Mauvaise !

Coquinette va, tu veux nous le saouler ?!

Z’êtes choupy tous les deux !

Pardon mais c’est drôle, la façon dont tu le dis mais moi c’est à peu près pareil… même la tête, mon cerveau semble congelé, insupportable !

Ben non pour la Mite, le pire c’est le chaud ?!

J’ai l’image de l’étoile…

Pour moi, c’est le froid à glagla ! J’aime pas… Mais parce que j’arrive à bien supporter les grosses tempées. Dans la logique, quand on a froid, on devrait pouvoir se couvrir ac un max de vêtements éventuellement tandis que lorsque l’on a chaud, y a un moment où l’on n’est plus présentable -au taff notamment- si on enlève tout ! Et même à oilpé, on peut encore transpirer, suffoquer de chaleur. Invivable pour certain.ne.s !

Ma grand-mère disait pour que je retienne : « on va chez le médecin et au bordel ! »

Constat aberrant auquel je refuse de me résoudre comme pratiquement nous toutes ! Nous n’avons pas à supporter, nous soumettre aux comportements inadaptés, aux déviances de certains… *Soupir*

Perso, je me suis érodée ac les discussions stériles que j’ai pu avoir sur les deux autres topics portant sur des thématiques proches et que je n’ai pas eu l’intelligence d’arrêter. Donc je préfère ne pas poursuivre pour ce topic. C’est compliqué de se rejoindre, il existe des sujets comme celui-ci qui au lieu de nous unir, auraient tendance à plutôt nous éloigner. C’est regrettable mais c’est ainsi que je le ressens.

Et bien c’est une sacrée chance !

Je te/vous rejoins totalement à toi,@Beebeeet d’autres… vraiment ras-le-bol ! Même d’en parler, je trouve cela à la fois stérile et épuisant comme s’il fallait en plus quelque part justifier… pour ma part, stop !

Oui les anciens médecins généralistes avaient vraiment cet état d’esprit de prendre soin de leurs patients. Tous ces bons médecins de famille qui ne s’économisaient pas, ac des journées/soirées à rallonges pour certains, toujours dispo, à l’écoute, cherchant à aider, soigner faute de pouvoir guérir parfois. Tiens pour une fois, ça m’arrache la bouche… je vais dire que ça, c’était bien mieux avant !

C’est affaire de goût… moi je fonctionne à l’instinct, au coup de cœur sans distinction, sans trop de réflexion : cela suscite une émotion en moi ou pas. Ça peut être un texte hyper travaillé, structuré , abouti comme juste trois, quatre mots faisant sens je ne sais pourquoi, me touchant simplement. J’aime aussi pas mal l’impro dans un texte, sorti des tripes juste comme ça. Ce me semble moins possible dans l’instantanéité dans un poème qui demande une préparation à moins d’être très très doué.

Et en plus, va trouver un généraliste pas trop loin de chez toi, qui t’accepte dans sa patientèle et qui cerise sur le gâteau, prenne vraiment le temps pour la consultation et les explications éventuelles… cela devient une denrée rare. Le plus souvent, c’est expédié ! Alors 50 balles pour simplement qu’il t’oriente car le 3/4 du temps c’est ce qu’ils font, sans te soulager un peu en te prescrivant des analyses. Bof !

A mon sens, parfois l’ego de l’artiste prend trop de place, pouvant même tomber dans la mégalomanie. L’on se fiche totalement de l’avis de l’observateur. Seul le côté contemplatif, admiratif intéresse et le business, un peu quand même hein pour certains.

Je précisais simplement que cela pouvait s’envenimer… Sous l’impulsion de Marlène Schiappa, Secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, le gouvernement travaille actuellement sur un projet de loi qui prévoit d’introduire une nouvelle infraction pénale spécifique au harcèlement de rue : l’outrage sexiste. On a dès lors l’impression que le droit actuel ne prévoit rien contre ces propos et actes dégradants. Pourtant, le droit n’est pas si déficient face à ce problème. En pratique, ces faits de harcèlement de rue peuvent constituer trois infractions : l’injure à caractère sexiste, le harcèlement sexuel et l’agression sexuelle. L’injure sexiste : L’injure se définit comme une « expression outrageante, termes de mépris ou invective (…) »2. L’injure est une atteinte élémentaire à la dignité de la personne. Lorsque l’injure est proférée envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre, il s’agit d’une injure à caractère sexiste. Donc mesdames, quand vous êtes insultées de « sale pute » ou de « salope » dans la rue, sachez qu’il s’agit d’une infraction pénale pour laquelle les auteurs encourent jusqu’à 1 an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. ICI

Mais c’est un début… d’une part, le harcèlement de rue commence par des insultes, de l’insistance et d’autre part, cela peut s’envenimer. Je ne fais aucune comparaison et ne souhaite pas en rajouter mais n’accepte pas que l’on minimise, banalise comme tu le fais en te référant à des cas plus lourds, graves.

Ah ben ça change tout… cool de se faire insulter !

« Pour une femme » sur Arte A la mort de sa mère, Anne, une jeune femme, ressort des cartons contenant des photos et des lettres appartenant à ses parents. Elle se plonge dans ses trouvailles et, de fil en aiguille, fait une découverte étonnante. Sur un cliché, se tient un homme, mystérieux, son oncle Jean, que ses parents, Michel et Lena, ont hébergé après la guerre. Jean, frère de Michel, menait des actions secrètes. En se plongeant dans l'histoire de sa famille, Anne lève le voile sur le grand amour vécu par sa mère. Cet épisode bref a chamboulé les relations familiales. Anne commence à faire le point sur ses origines... Joli film de Diane Kurys ac de très bons acteurs ! Un Benoît Magimel vraiment touchant…

Mais je me suis exprimée…

J’ai pas dit que c’était génial mais qu’au niveau pédagogique… pour les ados, l’expérience pouvait être intéressante pour les sensibiliser. Et alors ?! On a aussi le droit d’amener un autre point de vue que le tien ou bien ?! Qui t’empêche de poser des questions ?