Easle
Membre-
Compteur de contenus
4 138 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Easle
-
Le nucléaire, un exemple (entre autre) d'idéologie
Easle a répondu à un(e) sujet de Easle dans Environnement
Où avez-vous lu que je croyais que ce nuage s'était arrêté à la frontière ? Vous n'avez pas saisi l'ironie ? Vous donnez l'exemple de plusieurs énergies que vous présentez comme non désirées, mais par qui ? des champs de panneaux solaires, oui, et ? quel problème ? des barrages hydroélectriques, oui, et ? Des méthaniseurs, oui, et ? Des éoliennes dans votre champ de vision ? plus voyantes que des pilones électriques et les cables qui pendouillent dans le paysage sur des km, vraiment ? Et vous oubliez l'énergie marémotrice, et surtout la géothermie avec une capacité de croissance importante. Les scenarii ne manquent pas pour une énergie renouvelable sans nucléaire. Mais.... il y a les intérêts individuels de ces travailleurs du nucléaire qui ne veulent surtout pas changer de revenus et de métiers, pas avoir à s'adapter, des cadres, lobbyistes, et autres acteurs, plus encore attachés à défendre leur petit poste et ses gros dividendes. L'état, qui aime une énergie plus controlable puisque fortement centralisée (sans jeu de mot). Et ça pour une énergie dont les risques ne sont pas une simple panne, mais des dizaines voire des centaines de milliers de morts, sans compter la pollution de très longue durée des sols, de la faune et de la flore ! Mais le sujet est aussi celui de l'idéologie et de son expression autoritaire, décomplexée dans son mépris ; dans sa suffisance, qui dissimule, nie, censure, de la façon la plus visible et sans vergogne aucune, avec le sourire cynique qui indique que "c'est comme ça" et qu'elle se fout totalement de la face de celles et ceux qui ont un problème avec ça, et prend même plaisir à les ba*ser et le leur faire savoir. -
Le nucléaire, un exemple (entre autre) d'idéologie
Easle a répondu à un(e) sujet de Easle dans Environnement
Ah les défenseurs de l'énergie pure et parfaite, divine, qui font leur catéchisme pour le millions d'année qui vient ! J'adore ! Bien technique, ca permet de relativiser, donc de fait aucun risque supplémentaire. La drogue tue moins que la malbouffe, et bien légalisons toutes les drogues ! Comme c'est logique ! Là, c'est vrai qu'en terme d'âneries ! Ca se pose là ! -
Dragueur , séducteur ou charmeur ?
Easle a répondu à un(e) sujet de PtitAngelina dans Amour et Séduction
Aucune à ma connaissance, basée donc sur une collecte et observations de très nombreuses expériences de vie. Et pas mal de débunkage de discours obliques. Oh, il y a le talent et la capacité à le vendre. La seconde est plus importante dans la réussite que la première, et de loin Et certain-e-s, à qui la reconnaissance et les prix sont venus trop tard les ont même refusé pour cette raison ! Quant aux autres, l'Histoire benne à tour de bras ! Et les bras amoureux les esquive adroitement. -
Ah de toute façon ils n'arriveront déjà pas en master s'ils en parlent, donc !
-
Dragueur , séducteur ou charmeur ?
Easle a répondu à un(e) sujet de PtitAngelina dans Amour et Séduction
Il y a seulement des conditions préalables très fortes : Beauté ou Statut. En dehors de ça, strictement aucune chance. Ici, Musset a tout pour lui, et même bien plus. -
Non, je parlais bien d'affaissement cognitif, et je décrivais les éléments qui le fabrique. Il y a certes, également un biais, mais il est moins cognitif que d'allégeance, souvent en conscience pleine ou relative, même si des justifications peuvent le masquer. Et oui, bien sûr, les financements, les avancées de carrières, etc. nous en sommes émminement d'accord ! Cela commence d'ailleurs dès l'acceptation par cooptation idéologique des sujets de thèses et le fléchage des postes. L'académisme est extrêmement orienté.
-
Hans Blix, Directeur général de l'AIEA (Agence Internationale de POUR l'Energie Nucléaire), 19 novembre 1986 (7 mois après la catastrophe de TCHERNOBYL, avec des faits biens connus alors de ces 'autorités') : Premièrement, il y a une organisation internationnale qui fonctionne bien. Deuxièmement, Tchernobyl n'a pas été le pire accident de l'histoire. Trosièmement, les résultats en matière de sureté nucléaire sont bons. Quatrièmement, l'énergie nucléaire est fiable, et économique. Cinquièmement, le problème des déchets nucléaire est gérable. https://www.radiofrance.fr/franceculture/grille-programmes Une pure et simple censure des rapports, un déni en occident autant qu'en urss, avec pour la France, le fameux arrêt du nuage radioactif à la frontière. Les médias fonctionnent alors main dans la main avec les pouvoirs publics de tous horizons. Encore 40 ans plus tard, en 2005, les agences, telle l'IRNS, se basent sur les chiffres soviétiques de quelques dizaines de morts sur les premières semaines/mois, et moins de 200 au final, tout comme un magazine américain comme Forbes (on l'imagine bien), lorsqu'un rapport anglais en 2005 tourne autour de 30 000 à 60 000 et que Greenpeace estime près de 90 000 morts en 2005, pour d'autres 200 000 entre 90 et 2004 et d'autres encore en progression (cancers).https://www.liberation.fr/checknews/2019/06/22/l-accident-nucleaire-de-tchernobyl-n-a-t-il-fait-que-130-morts_1731784/ Ce sont 600 000 soldats russes qui ont été mis à contribution pour déblayer, à raison de quelques minutes seulement chacun de présence sur le site, les déchets, A LA MAIN, puis ensabler le réacteur n4. Et il n'y aurait eu ainsi que que moins de 200 morts ? L'économie, les postes juteux, les emplois, etc, imposent une chape de plomb sur les faits qui aurait permi de sceller 1000 centrales 100 fois plus grosses et dangereuses que Tchernobyl, tellement ce chape-ci est étanche, à base d'instillation de doutes sur les chiffres, sur les pollutions, etc. avec un soupçon de rappel à l'ordre concernant le "complotisme" qui neutralise toute critique de cette fabrication du plombage médiatico-politique. Et donc il suffit aux humains d'un discours simpliste, n'admettant aucune question, énnoncé dans un beau costume, depuis un statut autoritaire, faisant autorité, pour que RIEN ne puisse entraver la marche du progrès. Evidemment je sais ce que va en dire au moins un intervenant (non, non, je ne le dirais pas, il l'exposera lui-même, c'est certain ), mais les autres ?
-
Ahah.... Sauf que justement, ce qui m'amuse sur ce terrain , et qui fait que je suis parfois et sans soucis seul ou presque, c'est que je sais sur quelle méthode et quels faits je m'appuie ! Et que j'admire le dogme qui y rend imperméable, strictement, et sans aucun arguments factuels autre que des cas isolés, singuliers, sans intérêt "scientifique" (et beaucoup d'intérêts personnels et collectifs) En science on doit pouvoir remettre en cause presque tout. Je dis presque car le soleil est une sphère de gaz et la terre est ronde, comme la lune ou mars. etc.
-
Un érudit est à peu près tout SAUF un esprit scientifique. C'est même la plupart du temps un être saturé de connaissances vides, inertes qui encombrent les voies de circulation qui permettrait de faire des liens puissant, explicatifs, entre des données vives. Trop, comme trop peu de matière fige la méthode. Et alors SI, un communiste ou un capitaliste (libéral) sont le fruit d'un pur entre-soi, dogmatique au dernier degré ! Ce sont des religieux dont le discours est comique tant il est aisé, rapide, bourré d'évidences et de réductions. Je mets un bémol : quelqu'un de sûr "de sa méthode", plus que de lui en soi.
-
Ne confondez-vous pas science et recherche ? Nombre de chercheurs n'ont de scientifique que le nom générique, abusif, du fait d'un doctorat. En réalité un esprit scientifique n'est pas obligatoirement chercheur et vice-versa. Il y a même une certaine tendance à l'indépendance entre ces termes à force de diplomisation facilitée dans des champs scientifiques très spécialisés ne demandant aucune connaissance sur l'histoire des sciences, la philosophie des sciences, voire même sur l'épistémologie, mais simplement une faculté de travail et d'apprentissage digne d'une simple IA ou presque. Un esprit scientifique se base avant tout sur une importante culture générale qui permet le recul, les mécanismes d'appréciation relationnelles de synthèse etc. La plupart des chercheurs et chercheuses contemporain-e-s en sont fortement dépourvu, surtout au départ de leur carrière. Ils sont hyper-spécialisé-e-s et à côté sont des humains banals qui ont suivi l'inflation d'activité : relations amicales, amoureuses, mails, sms, réseaux sociaux multiples, informations et autres photos de chats, stories, fakes news, fact checking, jeux sur portable, jeux sur console, sport, sorties, famille, etc. etc. Ils sont saturés d'affaissement cognitif dont ils peuvent d'autant mieux se justifier qu'ils sont des supposés "scientifiques" pour les quelques heures par jour qu'ils passent à faire une activité intellectuelle spécialisée au point de ne presque rien comprendre parfois aux branches voisinnes. Un esprit scientifique est presque antinomique à cette situation de fait. Et il y a donc un dogmatisme, mais plus scientiste (croire en la résolution de tout par la science - à terme -) que scientifique. Au religieux au sens ou le dogme est une forme de religiosité (au sens premier de lien social mythifié sur un projet commun utopique, idéel). Lorsqu'une philosophie ou une politique (très souvent le cas) est dogmatique, c'est une religion à mon sens.
-
Alors, justement, celles et ceux qui ont "besoin", pour lesquelles le conservatisme, le dogme, la pureté idéologique (à gauche, à droite ou ailleurs) sont un besoin, une nécessité, manque simplement d'une éducation critique, d'une capacité réflexive d'autoanalyse. Et ce n'est pas de la stabilité, ou c'est celle du chêne, bien plus stupide en cas de vent puissant, de trouble, de nouvelle donne, que le roseau, bien plus stable car capable de souplesse, sans pour autant se déraciner. L'agressivité et la violence sont le fruit de la rigidité, pas de la stabilité. Mais l'analogie s'arrête là car à trop de souplesse, il n'y a le risque de la disparition en ayant tout accepté, même celle-ci.
-
Pas du tout. Ce que je dis c'est que pour limiter les dogmes, leur nécessité (de reproduction, de libération de temps pour des apprentissages et pour le jeu, le babillage, le vulgaire), il faut soit de la dictature (le stalinisme interdisant les cultes par exemple), mais ce n'est pas efficace, mais à long terme, soit de l'éducation à la critique, de l'éducation critique. Et donc l'éducation, n'est pas relativisable dans sa production d'amélioration. Du moins si elle est véritablement critique, très critique, et pas passage d'un dogme (religieux) à un autre (scientiste).
-
Pour le 1, je ne répondais pas qu'à vous. Il y a cette lecture dans certains commentaires. Pour le 2, Je dis effectivement qu'il n'existe pas d'objectivité sur le réel, donc où voyez-vous que j'imagine un point de vue objectif dans ce que je dis ? Et pour le vivant intelligent, si je le limitais au genre humain, j'aurai justement parlé d"humains". Si j'ai choisis "vivant intelligent", oui, c'est effectivement pour être plus large. Mes mots sont choisis.
-
Juillet créatif - la diversité des cultures
Easle a répondu à un(e) sujet de eriu dans Arts et Artistes
Si c'était vrai, il n'y aurait qu'une seule et unique culture mondiale. Mais ce sont de très beaux, chants, très sédentarisés , spatialisés. Sinon, j'aimerai beaucoup connaître les chants des civilisations disparues d'amérique du sud. Mais nous ne pouvons apprécier que ce qui reste. L'art parietal est fascinant, par les mystères qu'il conserve. -
Mais, et c'est le principe scientifique, il y a, à côté du chemin dictatorial, un chemin éducatif, une amélioration des perceptions, de l'alimentation, du rapport à l'autre, du rapport à notre environnement. Faut-il relativiser l'intérêt d'éduquer à faire du feu, à ne pas tuer ? et ensuite à une myriade d'autres apprentissages, dans une dynamique de rationnalité globale, conséquentialiste ?
-
Il y a deux types d'analyses à mon sens : 1. Le faire pour eux, mais qu'est-ce que cela leur apporte réellement ? Faire leur bonheur contre leur volonté, en imaginant qu'ils en seront reconnaissant quand ils auront atteint notre état ? 2. Le faire pour la société, pour les êtres à venir et l'environnement qui leur permettra d'exister. En comprenant ce que le dogme fait de pernicieux : l'aveuglement face au réel, la tolérance au pire, par la conviction que le réel n'est pas important (après moi le déluge, inch allah, etc.), mais que l'important est dans l'individu et sa relation au monde imaginaire. En soi, il n'y a pas de bien ou de mieux objectif au réel. Mais il y a un mieux ou un bien subjectif au regard humain, au vivant, en particulier au vivant "intelligent", sauf à considéré que l'Individu, conceptuel, est supérieur à la société, à l'ensemble des individus concret.
-
Mais otiens-tu la même réponse à tous les moments de la journée ? et de la semaine, etc. ? Car notre corps change, de même que nos émotions, même dans une journée.
-
Il y a dans l'analyse psychologique, une envie de découverte anthropologique de mécanismes exposables, si possible simplement, de ce qui se passe dans les cerveaux, dans tout cerveaux, quel qu'il soit. Cette quête de vérité, vraie, est intéressante, mais elle a aussi un but : modifier ! Modifier les cerveaux ? Manipuler les esprits ? Et dans une version qui reconnaît un "Bien", d'un "Mal", les modifier pour le meilleur, dans le sens du "Bien" ? Les explications sociologiques, du mimétisme à la reproduction, aspirent-ils à d'autres objectifs ? Mais par des politiques publiques. Qui veut faire quoi de la connaissance et de la vérité ? Pour quelle vérité ? Est-ce si complexe ou est-ce un processus d'aducation, de formation dès l'enfance de registres de jugement, plus ou moins critiques, de seuil de tolérance à la frustration, de soumission à la compétition, etc. ? Par la suite, les chocs et traumatismes du réel, de l'agressivité en particulier vont asseoir ou ébranler les convictions, les certitudes. Car l'esprit n'est pas solide. d'une part il a besoin des autres, d'un minimum d'autres. Ce qui fait que même des ermites aiment à être visité, à savoir qu'on les connaît, qu'on les admire, à imaginer ce qu'on dira d'eux. D'autre part la somme de connaissance sur laquelle il fonde une stabilité est toujours menacée par la somme de ses ignorances, toujours supérieures. La seule position stable devenant celle de l'impavidité au changement ou face à la connaissance.
-
En quoi est-elle plus "au plus proche de nous même" que celle d'avant ? Les notions d'étapes, d'évolution, de progrès ne sont-elles pas subjectives à la subjection de soi à soi ?
-
"La religion de nos ancêtres nous la gardons, par cette seule raison que nous sommes ainsi élevés et nés. Car si nous fussions nés en un autre pays, nous aurions aussi bien embrassé une autre créance." Montaigne, Les Essais.
-
Juillet créatif - la diversité des cultures
Easle a répondu à un(e) sujet de eriu dans Arts et Artistes
Ok, ok !! -
Juillet créatif - la diversité des cultures
Easle a répondu à un(e) sujet de eriu dans Arts et Artistes
"Bosser" ? S'il n'y a pas de philo dans l'art, ce n'est plus que de l'artisanat (qui pourrait encore ouvrir à réflexion). Et les citations que tu donnes sont éminements philosophiques ! Car tu soulignes fortement la Diversité, très au-delà de la culture préférée. Or c'est en soi une vision spécifique sur la culture, les cultures, non ? C'est la diversité que tu mets en avant, plus que le choix d'une culture ou d'une autre. Ce qui en fait un sujet d'interrogation sur ce qu'est la diversité, entre exotisme et identité, entre fascination et interprétation, etc. Je pose ainsi ma participation car je m'interroge sur le fait d'adopter, de s'approprier d'autres cultures. S'il s'agit d'entrer, progressivement, et sur le temps long dans une autre culture, la profondeur revêt un sens, intime, un choix de vie, sinon, il y a une forme de consommation, d'esthétisation qui manque à mon sens de cette profondeur et qui peut être dommageable pour la / les culture-s en question. Car toutes les cultures sont fascinantes à y regarder de près, mais dans ce qu'elles sont vécues, animées (au sens d'une âme et d'une incarnation), pas en tant que produit culturel, ce qui les dilue, les perd. Ceci est interrogeable. Et de fait, en choisir une plutôt qu'une autre, les choisir toutes ! -
Oh, il roulerait plus encore pour Ensemble ou LR, non ?
-
Non, ce qui fonctionne mal, c'est de traiter tous ceux et toutes celles qui n'ont pas très exactement la même perception et les mêmes éléments de langage que l'extrême gauche comme des fachos, racistes, etc. C'est une traque, une chasse à l'homme à grande échelle, qui sidère et inquiète car dans l'histoire, elle n'est pas nouvelle dans la méthode pour purifier, moraliser, faire régner le "bien" par la scrutation et l'inquisition des consciences, par la supputation des intentions. C'est à dire de faire du réductionnisme idéologique, à visée électoraliste et patisanne. Ce qui produit de la radicalité oppositionnelle de chaque côté. Lorsqu'un Quatennens propose à Ruffin, de son parti, de voter RN parcequ'il ose s'opposer au chef ! Tout est dit.
-
Carte interactive pour connaître la température de votre ville dans 60 ans
Easle a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Environnement
Ah, tu ne comprends pas la végétation comme évoluant vers le second modèle ? Car sinon, la végétation ne change donc pas.
