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Tout ce qui a été posté par Jean-EB
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Ceci étant dit, et n'ayant pas l'intention de gérer les susceptibilités, je considère cette guerre picrocholine close et je tourne la page. Bien à vous, Jean
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Bonjour, Considérons si vous le voulez bien que vous et moi sommes partis du mauvais pied dans cette discussion. On pourrait revenir au sujet qui nous occupe. Bien cordialement, Jean
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Comme vous convoquez un dieu pour des choses aussi triviales je comprends que vous ne puissiez vous passer d’un créateur dans le sujet qui nous occupe.
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Bonjour à tous, bonjour Gouderien. Vous m’avez bougrement donné l’envie de le lire. Un de plus dans l’étagère encombrée. Merci. Jean
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Je vois que l’ironie n’a pas été digérée. Je m’engage à ne plus vous taquiner, un temps, pour éviter l’ulcère.
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Bonjour. Que voulez-vous dire? Comme je ne vois pas bien où mène votre réflexion, je pose la question : voulez-vous signifier que la théorie de l'évolution, initiée en tant que telle par Darwin, ne tient aucun discours sur la disparition des espèces et, ainsi, ne permet aucune mobilisation militante pour freiner l'érosion en cours de la biodiversité? Cordialement, Jean
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J’ai le satisfecit de Répy. Je suis le plus heureux des hommes !
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La démarche scientifique, puisqu'elle doit respecter le principe de réfutabilité notamment, ne peut proposer comme éléments de compréhension du monde physique des entités métaphysiques. Cela ne signifie nullement que ces entités, créatrices si l'on veut, n’existent pas. Cela signifie simplement que ces entités sont inaccessibles par la démarche scientifique. C'est ce qui me fait dire que Richard Dawkins, pour ne citer que lui, est un scientifique passionnant quand il questionne rationnellement le monde physique et propose une réflexion profonde et nouvelle en son temps (The Selfish Gene, The Extended Phenotype), mais sort du contrat scientifique dès lors qu'il prétend à la scientificité de ses arguments contre l'existence de Dieu. Dans la controverse qui l'opposait à Stephen Jay Gould, le célèbre NOMA (Non-Overlapping Magisteria) de ce dernier me paraît être un positionnement épistémologique plus juste et plus humble sur la capacité de la science à dire le monde. Que l'on agrée plutôt ou franchement la position de l'un ou de l'autre, que l'on suive en totalité ou en partie Dawkins ou Gould, que l'on prenne un peu des deux au risque de la contradiction, on arrivera toujours à une critique en forme de mot d'ordre partagé : pas d'intrusion métaphysique dans le domaine de la science. Bien cordialement, Jean
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En français ça donne quoi? Parce-que moi j’essaye une paire de godasses par exemple. En revanche je ne me suis jamais enfilé moi-même. Si vous avez un texte sanskrit traduit en français qui m’enseigne la méthode je suis preneur. Le doigt dans l’cul ne compte pas. Au plaisir comme on dit.
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Et puis d’abord la Terre est plate. C’est le grand Tuser Aryen qui l’a dit. Moi j’ai la Foi.
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Hitler aimait sa chienne. Vous aimez les chiens?! Tiens tiens, comme c’est bizarre... Leo Stauss avait raison.
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C'est évident... l'explosion cambrienne doit tout à l'homme.
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Et avec ça qu’est-ce qui vous permet de tirer des conclusions foutraques (je dis cela sans méchanceté) comme vous le faites?
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Et des livres? Des revues scientifiques? Des conférences?
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Et sinon, qu’avez-vous lu?
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Bonjour, vous avez lu quoi sur l’évolution biologique? Je demande car, quand elle est compréhensible, chaque phrase que vous écrivez est à peu près fausse sous le rapport des connaissances acquises aujourd’hui. Cordialement, Jean
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Bon et bien la discussion étant bien avancée, et comme je me suis absenté trop longtemps, je relève ce qui me parait le plus saugrenu. Avec la science et ses limites vous enfoncez des portes ouvertes. Bien sûr que la science est limitée, ne serait-ce que par sa propre sphère d'autonomie. J'entends par là que la science est un ensemble de connaissances acquises sur des objets d'étude naturels (par opposition ici à surnaturel, non pas à artificiel), par une méthode expérimentale fondée sur des faits observables et la formulation d'hypothèses testables. On peut développer amplement cette définition mais ce noyau dur, cette définition minimale, fonde la connaissance moderne et est aujourd'hui universelle. Cette universalité, et là j'en viens à ma "sphère d'autonomie", n'est pourtant pas synonyme de totalité. Elle ne saurait fonder des hommes et des sociétés unidimensionnels entièrement édifiés sur la science seule. Ce n'est que dystopie pure et simple, pour l'instant. A l'échelle du collectif, de ce qui est commun aux sociétés des hommes, la rationalité scientifique aujourd'hui ne règle pas l'ensemble des rapports sociaux. Pour ne prendre que deux exemples : le politique conserve sa sphère d'autonomie et les liens affectifs, une constante anthropologique, ne sont pas ordonnés par le savoir scientifique. J'en viens ainsi à la deuxième phrase de la citation. Je l'interprète peut-être mal mais il semble que vous y établissez une dichotomie assez stricte qui scinde, en quelque sorte, l'humanité en deux types humains. Ceux qui, je cite, "mettent la foi en des choses moins rationnelles mais plus fiables comme par exemple, l’amour d’un conjoint, une amitié sincère etc." et que vous comprenez davantage. Mais qui sont les autres, ceux qui n'ont pas cette foi d'après vous ? Avec votre laïus, tel qu'il est formulé, on conclut logiquement qu'ils sont ceux qui "[mettent] toute [leur] foi en la science". Mais cette catégorisation excluante n’existe pas. On n'est pas de ceux-ci ou de ceux-là. Rien n'empêche d'être les deux. Ce sont là des catégories qui ne sont pas du même ordre, sauf à dire qu'un scientifique authentique dévaluera toujours plus l'amitié à mesure qu'il comprend rationnellement le monde qui l'entoure. Si ce type humain existe c'est bien à mon insu et je déclare, en paraphrasant un réactionnaire célèbre, ne l'avoir jamais croisé. Aussi, passons sur la plus grande fiabilité "des choses moins rationnelles" puisqu'on ne sait pas ici à l'aune de quoi une telle fiabilité est évaluée. Bon j'ai encore à dire mais gageons que nous y reviendrons.
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Le terme « cherry picking » est à la mode car ce qu’il définit l’est aussi. La preuve. Les maladies incurables ne sont incurables que dans le contexte d’une histoire médicale toujours en train de s’écrire. Je veux signifier par là que les progrès de la médecine ne cessent de redonner bonne santé à des personnes autrefois atteintes de maladies réputées incurables. Vous parlez du cancer au singulier pour pouvoir dire « voyez il est toujours là ». C’est oublier qu’il faudrait en parler au pluriel pour montrer que, avec la médecine moderne, l’on guérit de certains aujourd’hui alors que l’on en mourrait hier. Quant à votre sarcasme sur un prétendu doctorat sur des « pâtes de canard », outre le fait de passer pour une nouille, il ne vous honore pas en tant qu’argumentum ad personam. Jean
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On a là un bel exemple de biais de confirmation, avec ce que les anglo-saxons appellent le cherry picking. Une définition ici : cherry picking Dans une argumentation portant sur des faits de science ce procédé est au mieux spécieux au pire malhonnête. Il est toujours inapproprié.
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Vous commencez ainsi : En quelques messages on en est là : Le camouflage était trop grossier pour tenir longtemps. Jean
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Je vais dans votre sens cheuwing. Je m’attendais à discuter de physique quantique, pour m’instruire essentiellement, et l’initiateur du sujet nous inflige une logorrhée adolescente à base de « c’est moi le plus fort toi t’es nul ». Passons
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Dès le départ j’etais sceptique sur vos connaissances élémentaires en matière de physique des particules élémentaires. Jean
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Au moins vous nous faites rire. Et votre CV évolue : informaticien en carton mais véritable humoriste. Si vous êtes toujours au chômage lancez-vous dans le one man show. Vous serez le premier de la scène française à être coté en bourse. Et ça, désolé pour vous, mais ce n’est pas de la prospective à deux balles mais bien une solide certitude acquise hic et nunc, comme on dit. Jean
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Oui. Vos sources. Elles manquent cruellement. Et ce n’est pas faute de vous les avoir déjà demandées. Vous les jugez fiables. Les vieux dinos veulent aussi leur voix au chapitre en matière de jugement. Jean
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épixès, je n’aurais su mieux dire que vous dans votre dernier message. J’aurais même aimé le dire pour en appeler à un peu d’humilité chez nous tous. Mais soit, aucune querelle de priorité, vous avez le premier mené rondement l’affaire. Jean