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Guillaume_des_CS

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Tout ce qui a été posté par Guillaume_des_CS

  1. Il me semble, cher @Persil-Fleur, qu'en quelques jours j'ai largement abondé dans le sens de ta demande. Ne l'ai-je pas fait ? Figure-toi que je ne l'ai fait que pour toi Pierre ! Où es-tu ? Me trahirais-tu déjà ? Décidément, l'histoire se répéterait-elle à l'infini ? Évidemment non ! Tu n'es pas sans avoir compris la subtilité mathématique (et son incidence "idéologique" ?) qui sépare 12 de 13, n'est-ce pas ?
  2. C'est en effet la SEULE solution @Petit ours. La seule. Il FAUT en parler au CPE ET aux délégués de classe. ET évidemment à tes parents. Et si personne ne fait rien, en reparler ici. Car alors, on pourrait faire une pétition, un manif même ! Tiens, je prépare mon gilet... Cela dit, "chien qui aboie ne mord pas", ne t'inquiète pas plus que nécessaire. Mais c'est toujours mieux de le faire taire car quelquefois, "chien qui aboie s'enrage tout seul" (vieux proverbe kovanien). La violence verbale, c'est aussi de la violence. Et la violence appelle la violence... Le CPE et l'équipe éducative savent comment gérer ce type de situation. Ce sont des professionnels formés (et expérimentés) pour cela (aussi). Tu peux leur faire confiance. Ne reporte pas : parles-en dès demain matin à la première heure. Et cela n'est pas dénoncer : ce n'est pas de la délation ; c'est l'exercice normal de ton droit à la sécurité. En le faisant, tu protèges tout le monde ! Pas seulement toi. [PS : me dirais-tu, par MP, dans quel établissement tu es ?]
  3. Ouf ! Tu me rassures... Un type que j'aime beaucoup... Il est né tout près de chez moi ! (tout près des Clairs Soleils...) Merci de m'y avoir fait pensé.
  4. Pourquoi vouloir "retourner" à quelque chose ? (Besoin de sécurité ?) Pourquoi ne pas au contraire "avancer" vers autre chose ? (et dépasser ce "pseudo-besoin" (?) de sécurité pour inventer l'avenir !? Comme l'ont fait tous les hommes qui ont fait avancer l'humanité ? Et ce ne sont pas les quelques-uns seulement qui sont dans les livres d'histoire...)
  5. Euh... En lisant l'introduction du sujet vous n'auriez pas eu à le deviner... Cela dit, vous ne perturbez rien, au contraire ! N'est-ce pas le sens, le but d'un forum que d'échanger ? "tabula rasa" ? N'est-ce pas un peu risqué ? Ne risques-tu pas de t'isoler complètement, et conséquemment (logiquement, biologiquement parlant)... d'en mourir ? Kovanien lui (et moi) pense qu'on aurait plus de chances à "tout" (y compris nous-même) changer, sans "rien" casser...
  6. Bien sûr que non ! C'est mon côté "provoc" (joueur)... Sincèrement.
  7. Oui, et le reste aussi : Regarde par exemple qui est Preciado, tu comprendras le passage en gras... Pour l'approche sensorielle, regarde "le 5ème sens" de Michel Serres (oublié le vrai titre, mais facile à tracer...) Nan, sérieux, jette un coup d'œil rapide à seulement ces trois-là, et je crois que tu conviendras avec moi qu'on peut regrouper tes deux "types" dans un seul... quelquefois !
  8. à combiner en lui les deux "sortes" dont tu parles dans ton commentaire initial ?
  9. Oui, bon enfin pour l'instant c'est plutôt la lâcheté des humains qui se débarrassent de leurs responsabilités sur des entités supérieures (dieux, gouvernants, multinationales, "tous les autres c...") qui est en train de détruire l'humanité ! Et c'est surtout ceux qui n'y croient pas à leur propre humanité ! Et qui se prennent pour des animaux préhistoriques ? Michel Serres est mort récemment...
  10. Est-ce un raisonnement d'animal ou d'humain ? Parce que moi, qui me sens humain, je ne me sens aucune potentielle "satisfaction meurtrière de mon congénère"... Tu marches sur tes pattes arrières @brooder ?
  11. Moi j'aime les deux en même temps. Le contraste, le sucré-salé, etc. Et même aussi le tiède quelquefois... Et souvent ils se mélangent tous, c'est traversé de courants... Mais là, dans le cas présent, il faudrait un philosophe qui puisse combiner à lui tout seul les deux portraits antagoniques que nous en fais. Pas simple... Pourtant, quand je pense à certains (Serres, Comte-Sponville, Preciado... etc.?) que j'admire beaucoup, je crois qu'ils y parviennent assez bien (ou y ont réussi de leur vivant)...
  12. je me sens tout petit là... Bravo ! Mais... N'existe-t-il pas des hybrides ? Doit-on forcément être d'un côté ou l'autre ?
  13. Bon, le titre du sujet n'était qu'une amicale provocation pour vous faire cliquer. Merci de vous être prêter au jeu, je sais que vous l'aviez compris ainsi. Le vrai sujet est : Qu'est-ce qu'un-e philosophe ? Doit-on étudier la philosophie pour être philosophe ? Est-ce un professeur ? Un scientifique ? Un coach ? Sert-il à quelque chose dans la société ? Doit-il être engagé ? L'est-il forcément ? Vit-il comme nous ? Mange-t-il comme nous ? Fait-il l'amour comme nous ? Faut-il s'en méfier ?... Etc. etc. Vous aurez compris : je ne suis pas philosophe ! Mais je suis curieux... Je me suis souvent posé toutes ces questions à leur propos et de nombreuses autres, dont une en particulier : pourquoi les philosophes passent-ils-elles l'essentiel de leur vie à parler d'eux ? Je veux dire, bien sûr, de la pensée théorique de leurs congénères, de préférence de ceux qui sont morts depuis longtemps (et qui ne peuvent plus les contredire ?). Bon, j'en conviens, je suis un peu provocateur ; non, voyez-moi plutôt comme "joueur", j'adore jouer ! Étant un tout petit peu entraîné à la démarche scientifique (minusculement), je sais bien qu'elle fonctionne ainsi. Mais la philosophie, mère de toutes les sciences, n'a-t-elle pas le devoir de transgresser ? N'est-il pas temps, face aux défis d'aujourd'hui, de la... libérer ? Peut-elle encore, pouvons-nous encore, nous contenter de l'innovation scientifique (en philosophie) ? L'urgence absolue ne commande-t-elle pas de se risquer à... inventer le futur !? Et à le faire avec une nouvelle philosophie ? Donc à réinventer le philosophe ? Car enfin, ne sont-ce pas les philosophes qui nous ont mené là où nous sommes ?...
  14. Exactement ce que je pense ! (Comme toi donc ?) J'ajouterais seulement que ce postulat permet le premier ( foi en Dieu et qui propose cette opposition Dieu/néant ), quand le premier empêcherait celui-ci...
  15. Non, je ne crois pas qu'on puisse tirer cette conclusion de mon propos. J'ai essayé de décrire un processus plus général ("croyance" me conviendrait mieux que "foi" en l'occurrence) ; ce que je nomme "proposition" un peu plus haut, à savoir le chemin que je parcours quand je passe de la conscience d'être une partie constituante (une entité) d'un être, au désir (besoin ?) de substantialiser cet "être". Je ne crois pas avoir discuté sur une "différence fondamentale entre foi et absence de foi"... Ou alors je le fais implicitement quand je dis : "jusque là, pas de problèmes..." Ce que je confirme. Mais c'est valable pour toute croyance, pas seulement les croyances religieuses. C'est même peut-être encore plus vrai quand on s'aventure sur le terrain de... la science !
  16. MDR ! Et assez d'accord. J'ajouterais seulement qu'il est forcément "bon"... Il n'a pas d'autre choix que d'être solidaire de son semblable (de lui-même en réalité), s'il veut survivre (en tant qu'espèce). Et ce qu'il a accompli jusqu'à aujourd'hui prouve qu'il l'a compris il y a très, très longtemps... C'est juste peut-être que la complexité nous perturbe de plus en plus car nous l'avions à peine imaginée, et nous commençons à peine à la découvrir... En tout cas, merci pour le fou-rire Don Juan
  17. "L'obscurantisme consiste en une lumière d'une telle puissance qu'elle rend aveugle." (Définition kovanienne)
  18. Si j'ai bien compris la question (en plaçant mon petit "et" au bon endroit), et bien que je ne sois pas certain que tu posais vraiment la question, je vais quand même répondre : de mon point de vue, aucune différence. "je" suis au monde et le le monde est en "moi" (attention ! j'ai bien écrit "je" et non "Je", idem pour "moi"..., selon donc les acceptions kovaniennes...) ; je (là, c'est moi qui reprends le contrôle, plus besoin de " ;-), donc je crois que nous sommes, le monde et moi, des entités constituant un "être" (...). La question suivante serait donc de préciser cet "être", l'imaginer, le représenter, etc. Jusque là, en principe : pas trop de problèmes... Mais le(s) problème(s) n'apparaît-il pas quand je veux "donner corps" (substantialiser ?) cet "être" ? Car enfin, quels sont les moyens de cette sustancialisation ? Et quel est forcément la nature de son résultat, sinon pour les moyens des contraintes, et pour la nature un objet tangible qui s'impose comme tel à tous ? Tout à fait d'accord. Ici, difficile pour moi de répondre, puisque jusque là, je n'ai pas accepté/décelé de différence. Mais bon, j'ai bien essayé de montrer à quel moment une différence (selon moi, pour moi...) pourrait apparaître. Or, il me semble que le terme "néant" vient tout à propos étayer ma proposition : n'a-t-il pas une portée "péjorative" ? Désire-t-on le néant ou nous terrifie-t-il au contraire ? Etc. Donc, ta question (celle-ci, la dernière), nous propose-t-elle d'autre choix qu'entre d'un côté un monde avec Dieu et de l'autre le néant ? "Ce" dieu-là ne s'inscrirait-il pas dans "mes moyens" et "ce" néant-là dans mes contraintes (implicite ici puisqu'elle est incluse dans le "résultat"...). Pour un kovanien (moi je ne suis qu'un sympathisant, un apprenti kovanien... je cherche à les comprendre...), je crois pouvoir dire que "l'être" dont je parle plus haut : c'est la vie. Et la vie exclut-elle la possibilité de la croyance (toute croyance) ? Non. Là, pour moi, tout devient plus simple, et je n'ai plus qu'à appliquer les deuxième et quatrième principes kovaniens ("La vie est jouissance" & "Il n'est de jouissance que parfaite") [indissociables des deux autres...] à chaque action, et bien entendu à chaque raisonnement que j'envisage.
  19. "Croyant libre" ? Bien sûr ! C'est juste un oxymore non ? Ah, oui, zut... Si c'est un oxymore, alors la réponse est "bien sûr que non !" Embarras... Remarque, cette réflexion de la part d'un prêtre, c'est plutôt compréhensible. "Prêtre libre", ça, ce ne serait plus un oxymore ; ce serait la mort tout court ! Non, non, pas la mort du prêtre... Plus sérieusement : oui, je crois qu'on peut croire et être libre. Je crois même qu'on ne peut qu'être libre. Donc, croire ou ne pas croire qu'on peut être libre en croyant, au final, pour moi, ce qui est vraiment essentiel, c'est d'être libre.
  20. C'est davantage une intuition qu'un soupçon. Peut-être cette phrase y contribue-t-elle, je ne sais pas. Difficile, naturellement, d'expliquer (rationnaliser !) une intuition. Ce qui est clair à mes yeux, c'est qu'une personne qui aurait la chance (selon moi) d'avoir la foi (en Dieu donc, soyons clair), ne parlerait pas autrement. J'espère ne pas me tromper... (sur cette dernière phrase).
  21. Paradoxalement (apparemment), moi qui suis athée (je ne préjuge pas de vos croyances ou votre foi mais l'envisage), je me sens beaucoup d'affinités avec vous. Et j'y vois-là une confirmation (qu'il reste à démontrer à "grande échelle"...) que le système kovanien (les 4 principes) n'exclut personne !... Mais bien sûr, ce qui nous rassemble premièrement vous et moi, c'est probablement notre "bonne volonté"...
  22. La politique, c'est sûrement cela [aussi] ; mais le politique...? Car c'est avec le politique que se fait la relation avec la citoyenneté je crois... Et bien sûr, je ne pense pas à "l'homme politique"... Tiens, tu me donnes une idée de sujet ;-) Belle journée à toi Don Juan ! Oh, toi, je sens que tu ne vas par tarder à me demander quelque chose...
  23. L'approche que je propose est différente. Elle est systémique. Il importe d'être précis : le système dont je parle est le système sociétal. Le système dont tu parles (me semble-t-il), est un sous-système du système sociétal : c'est le système économique. Bien sûr, je ne considère pas un système comme une "boîte extérieure" mais comme un organisme vivant (!). Et qui plus est, comme un organisme vivant d'une complexité inouïe qu'il nous est encore impossible de décrire !
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