InstantEternité

Vous me faites peur quand même ! Heureusement que dans 50 ans je serai déjà parti et sans avoir laissé de traces...

Vous m'en apprenez des choses... je ne savais pas que le Mossad utilisait des F-16 et des missiles Jéricho pour ses missions.

Et que fait le "Mossad" (le tout-puissant) ? Comment ça se fait que quelqu'un comme Yitzhak Rabin se fait assassiner et que ces frappes ciblées soit disant n'arrivent pas à atteindre un seul des dirigeants du Hamas à Gaza ? Arrêtez de vous moquez de nous ! -> Les faucons Israéliens ont tout intérêt à ce que le Hamas existe et qu'il contrôle la bande de Gaza !

Elle a de l'imagination Bjork. Elle a bien choisi son métier (d'artiste)

Effectivement c'est une histoire incroyable de haine et de vengeance etc. etc. Veut mieux la fermer et s'occuper d'autre chose (sérieusement !)

La solution à deux Etats on n'en veut pas non plus que je sache...

La Palestine ? Un pays ?? Non mais... vous habitez sur quelle planète vous ???

J'ai mal lu ou vous êtes inconsciente de ce que vous écrivez là...

"une fin" / "un point de départ" : C'est le concept de l'éternel retour du même ! Vous feriez un bon Nietzschéen si vous le souhaitiez... (même si je n'aime pas dire "être Nietzschéen" car cela va à l'encontre de la philosophie de Nietzsche qui nous invite à n'adhérer à aucune idéologie/religion/dogme et donc même pas la sienne, dans le sens où on en ferait une sorte de religion...)

...avec le temps on n'aime plus. C'est cruel mais c'est souvent vrai malheureusement. @Blaquière: Un peu d'amor fati mon cher !

Je vois là un air du centre Georges Pompidou de Paris ... Ce n'est pas si décalé que ça en fin de compte ça reste dans l'air du temps !

Vous ne seriez pas vous aussi une adepte de la physique quantique par hasard ?! C'est une chose qui effectivement me dépassent...

Bravo! J'ai particulièrement aimé celui-ci, j'appellerai cela un égocentrisme positif

Vous adhérez à ma conception du temps ! J'en suis ravi Effectivement, le temps emporte notre conscience avec lui là où bon lui semble et nous sommes que de simples spectateurs. Par contre "C'est toujours soi que l'on regarde", il faut que je réfléchisse là-dessus, je ne sais pas vraiment...

Je ne sais pas si vous faites exprès de faire allusion à Nietzsche et hitler dans un même discours mais c'est très malsain en tout cas...

Non, il était simplement trop en avance sur son temps. Il a dit lui même d'ailleurs, que ses idées seront comprises pas avant une centaine d'années.

C'est fou comme c'est beau ce qui est dit là (franchement). Mais bizarrement en regardant l'art grecque que Nietzsche appréciait tant, je vois bien l'application de cette phrase dans la littérature grecque mais pas du tout ou très très peu dans les sculptures grecques par exemples...

Je vais vous dire, j'ai ma théorie là-dessus : Nietzsche n'a jamais sombré dans la folie ! Il faisait semblant. Pourquoi ? Parce qu'il en avait marre des gens comme vous qui ne le comprenait pas et que lui parce qu'il était amoureux de l'humanité (et voilà son crime !) il en souffrait tellement que finalement il fini par jeté l'éponge. D'ailleurs, ni les médecins de son époque ni ceux d'aujourd’hui ne savent pas exactement de quoi il est devenu "fou". De plus, il a passé ces 10 dernières années de sa vie tranquillement sur son lit de son appartement en bonne santé physique ! On dit qu'il était en meilleur santé physique à partir du moment où il a sombré dans la folie qu'avant sa chute.

... Et je ne dis plus rien car vous êtes vraiment lourd (si ce n'est du trolling).

Vous êtes dans un relation complexe d'amour-haine avec Nietzsche j'en suis certain ! Autrement sur ce que vous avancez là, Nietzsche vous a déjà répondu : Ce n'est pas parce qu'il n'avait pas la clé de délivrance à ses propres douleurs qu'il n'avait pas la clé de salut à beaucoup de nos maux nous autres humains !

"Il y a toujours un peu de folie dans l'amour mais il y a toujours un peu de raison dans la folie." Je suis presque d'accord sauf pour la fin. Je vais être encore plus cynique que toi et non en même temps (!) : Un compagnon de route tu as tout intérêt à ce qu'il reste en bonne santé et qu'il ne jette pas l'éponge avant d'être arrivé à un "checkpoint" du moins ! Donc ce n'est pas que "on en a un peu rien à faire de l'autre !". En même temps tu parles de l'amour mais tu oublies la notion essentielle de l'amitié : Pour moi à 37 ans, j'ai compris une chose : Dans un couple l'amitié est plus importante que l'amour. En tout cas c'est ma vision des choses, ça permet de moins souffrir et d'être plus stable. Tu as parfaitement raison : Tu sais comment j'ai commencé à m'intéresser à Nietzsche ? C'est lorsque j'ai vu cette citation : "L'amour ne veut pas la durée, il veut l'instant et l'éternité" (tu le remarqueras aussi dans mon pseudo !). L'amour veut l'instant car au début d'une relation ce sont des moments inoubliables et comme dirait-on gravés à jamais dans notre esprit. Il veut aussi l'éternité dans le sens comme tu le soulignes l'amour transforme notre esprit notre vie à tout jamais (pour l'éternité). Par contre comme on le sait ça ne dure que quelques temps... L'amour fou avec quelqu'un de totalement différent est une maladie ! L'amour fou avec son double parfait est quelque chose de très rare sinon anti-démocratique et très dangereux !

Après il faut savoir ce qu'on cherche dans un couple : si on veut par exemple un compagnon de route ou bien un partenaire tous azimut. Personnellement, dans une relation de couple je me contente du premier (compagnon de route) car je ne veut ni imposer ni qu'on m'impose une certaine vision de la vie ! Et par chance, je me sens tout à fait dans l'air du temps en choisissant simplement "un compagnon de route". -> Ce qui me fait rebondir sur la deuxième partie de votre message : Effectivement c'est à la mode ! Cependant : Je dirais que c'est à double tranchant et il y a un deuxième aspect à cela : Pour ceux qui voient la vie de couple comme je la vois c'est du pain béni ! Car cela me permet de rester moi même, je ne subirai aucune manipulation car je ne cherche à aucun moment une "fusion spirituelle" avec ma partenaire. Donc que ma partenaire soit de la même ethnie ou de la même culture que moi cela n'a pas d'importance. Peut-être on peut parler d'un certain égoïsme mais pour moi il n'y a rien de mal à vouloir rester ce que l'on est : "Deviens ce que tu es" disait notre ami.

Par monologue ici j'entends "le fait de parler dans sa tête lorsqu'on réfléchit". Je pense que vous me comprenez : Toute réflexion profonde nécessite un monologue dans sa propre tête (le fait de parler dans sa tête). Et d'après moi ce monologue est une forme de langage "noble" car dans ce cas précis on ne s'adresse à aucun interlocuteur même imaginaire si ce n'est son moi profond... Voyez-vous : "Ce qui doit d'abord être démontré, n'a que peu de valeur" (Nietzsche) Ici encore, pour lui le fait de faire une démonstration est une forme de vulgarisation par le langage donc une forme médiocre de communication. Le surhomme Nietzschéen est un homme d'instinct mais cela ne veut pas dire que c'est un brut sans cervelle ! Au contraire, je pense que cela vaut dire que justement le surhomme est un génie : les idées lui viennent par instinct sans qu'on sache ni comment ni d'où ses idées lui arrivent (la définition d'un génie). On voit bien qu'en cela il n'existe aucune forme de langage, les idées arrivent en rafale et de manière instinctive. Maintenant il y a quelque chose autre (un peu gênant je dirais !) : Si pour Nietzsche effectivement le fait de communiquer par le langage, au final, est un "péché", c'est qu'il considère que les gens "intelligents" (aristocrates) doivent se comprendre naturellement : Presque par une sorte de "télépathie" et sans besoin d'utiliser le langage !! On retrouve ici ses idées de ce qu'est un aristocrate et l'idée de la hiérarchisation des hommes etc. etc. Mais pour aller un peu plus loin, je me permets d’émettre une hypothèse qui n'engage que moi : Nietzsche malgré ce qu'on en dise était un patriote au fond de lui car effectivement : On a plus une tendance naturelle à pouvoir se faire comprendre par les gens de sa propre "communauté" que par des étrangers. D'où un moindre besoin de démonstration et autre utilisation intempestive du langage au sein d'une communauté. Mais d'un autre côté : On a plus de tendance à "bavarder" avec les gens de sa propre communauté qu'avec des étrangers... Alors je me pose à nouveau la question : était-il réellement un communautariste ? Je pense qu'il était complexé sur cette question et sur tout ce qui touchent au nationalisme et autre tendance patriotiques de son époque.

Je suis d'accord avec vous. Je pense que Nietzsche dans cette citation parle du langage incluant l'écriture. Seulement je voulais partager mon point de vu (un peu parallèle) concernant ce problème : Si le langage (incluant l'écriture) est une manifestation de la volonté de puissance, et à mon avis c'est bien le cas, alors le fait que par le langage celui qui parle/écrit cible un interlocuteur on est dans un cas de force réactive ! Car on a désigné expressément une cible, un interlocuteur. De là je rejoins ce que vous dites : "Il faut faire crédit à "ceux qui pensent" -de façon générale- et se dire a priori qu'ils sont allés plus loin que nous..." car en effet le monologue est la seule forme d'un langage où il n'y a pas de cible ou interlocuteur et clairement le monologue pour moi représente la pensée pure. En résumé : La pensée non vulgarisée est un monologue et une force active ne ciblant aucun interlocuteur. Dès le moment où le monologue trouve un interlocuteur, alors il devient dialogue ou discours et c'est là que on passe à une forme de force réactive qui est donc une forme médiocre de la pensée originelle.

Oui effectivement on ne peut pas tout savoir. Mais j'essaie de m'instruire comme je le peux ! Vaut mieux que je retourne à ma quête du surhomme Nietzschéen, c'est là où je me sens naturellement plus à l'aise