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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Quels faits ?? T'as aucune source ! Tu t'es juste abreuvé des inepties entendue 1500 fois par jour sur cnews et tu instrumentalises un problème grave pour servir ton idéologie immonde. Répugnant !
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Oui. Mais faisant partie des mandants du NFP j'ai quand même ma légitimité à exprimer ce qui me semblerait souhaitable. Et Lucie Castets a dit vouloir instaurer une toute nouvelle pratique du pouvoir qui passe par plus de dialogue avec les partenaires sociaux, moins de rationalisation du parlementarisme. Donc à peu de choses près, ce que j'estime souhaitable et ce qu'elle entend mettre en place, c'est similaire. Si on part du principe que les désaccords sont forcément indépassables et qu'il est par conséquent inutile d'ouvrir le débat, la démocratie est morte. Quand ? De l'autre côté, on a ici des gens de droite qui reprochent au NFP de déjà trahir cette promesse. Lucie Castets n'est pas sotte, elle sait que si elle le fait en une fois ce sera son unique réforme avant que le NFP ne soit balayé. Ce n'est pas ce que j'ai lu dans la presse. Flemme d'aller chercher l'article qui commentait ce sondage, mais il soulignait qu'une grande part des sondés disaient ne pas la connaître ou mal la connaître. De quel projet gouvernemental parle t on avec une majorité aussi relative ? Honnêtement, il faut être abruti pour penser qu'elle serait en capacité de mettre en place tout le programme et rien que le programme. Au fond on ne parle que de quelques priorités, quelques décrets et surtout des relations avec le parlement. Tu comptes les voix avant même le vote. Avant même de savoir sur quoi il s'agit de voter. Comme Macron le fait pour évacuer l'hypothèse Castets alors qu'il n'a pas de solution de rechange. J'ai cru pourtant voir que tu étais d'accord avec Hollande sur ce point ? Sur le SMIC oui en considérant que Lucie Castets est une idiote qui maîtrise autant le jeu des institutions qu'un enfant de 10 ans. Sur les retraites non puisque ce n'est pas une compétence à la discrétion du premier ministre. C'est uniquement en agitant le chiffon rouge Mélenchon qu'ils sont en mesure de l'expliquer. C'est chiant cette manie des gens de droite d'appeler gauche ce qui est de droite. Entre un insoumis qui siegerait potentiellement dans une majorité plurielle et relative et un lepéniste qui risquerait de siéger dans une majorité absolue, celui qui ne choisit pas ou qui choisit le lepéniste n'est assurément pas social démocrate. Sache qu'une centriste comme Yael Braun Pivet (donc à droite par rapport à un social démocrate) qualifie l'insoumise Caroline Fiat de grande républicaine. Cela signifierait que ce gouvernement serait dans la main des lepéniste. Ce serait une union des droites qui ne dirait pas son nom. Une victoire de Zemmour (eric cette fois) en quelque sorte. Moi qui croyais naïvement (ou pas !) que la première mission du macronisme était de faire barrage... Non le chaos ce serait un enlisement de la situation actuelle, des manifestations qui dégénèrent, un shut down et une activation abusive de l'article 16. On ne peut pas écarter cette hypothèse. C'est faux, je n'ai jamais écrit que Macron aurait dû choisir un premier ministre de gauche sous les deux précédentes législatures. J'ai dit qu'il devait apprendre à composer. De 2014 à 2017 je fustigeais ces députés de la majorité qui ne se saisissaient pas de la censure alors qu'ils avaient en face un gouvernement qui trahissait ses engagements. De 2017 à 2022 je fustigeais une majorité plus godillotte et servile que tout ce qu'on avait connu jusque là. Et de 2022 à 2024 le piétinement total du parlement. J'ai écrit aussi que d'autres modes de scrutin auraient donné d'autres résultats. Et en concluait que la légitimité à décider unilatéralement était contestable. En attendant les faits sont là, les français ont massivement rejeté l'hypothèse Bardella lors du second tour. Seulement deux. Pourquoi le choix de ce mot plutôt que "opinion" ou "analyse" ? Le général de Gaulle ne disait il pas dans son discours de Bayeux : "Au chef de l'État la charge d'accorder l'intérêt général quant au choix des hommes avec l'orientation qui se dégage du parlement ; à lui la mission de nommer les ministres, et d'abord bien entendu le premier d'entre eux, qui devra diriger la politique et le travail du gouvernement ". Donc ça ne peut être un gouvernement du bloc libéral qui, ne t'en déplaise, est bien arrivé troisième même en additionnant les voix ensemble aux voix LR. La légitimité est dans les institutions. La seule voie possible est donc de trouver le gouvernement qui réunira le moins une majorité d’opposition contre lui Donc ce qui me paraît être le plus légitime répond à cette exigence. Au fond, tu pars du postulat de départ qu'aucun accord sur aucun sujet n'est possible. Que les programmes des uns et des autres sont immuables et fait pour être appliqués tel quel. Que l'exercice de délibération parlementaire est inutile, voué à l'échec. Alors même que je t'ai donné des exemples d'accords envisageables. Forcément si on ne regarde que ce qui passe au 20h ou sur les chaînes d'info, on ne voit pas Ugo Bernalicis dire qu'il voterait à peu près toutes les mesures proposées par un macroniste pour l'indépendance de la justice. On ne voit pas les amendements sur le budget adoptés aussi bien avec des voix insoumises que modem. On ne voit pas le travail des rapports parlementaires... Un gouvernement NFP qui tend la main au centre et passe un contrat de non censure contre un certain nombre de concessions, je ne vois pas d'option plus souhaitables. Encore une fois, je rappelle qu'environ 3 rescapés du macronisme sur 5 n'ont pas été élus contre la gauche, mais grâce à ses voix.
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À mon avis si. À mon avis nommer quelqu'un d'autre ne justifie pas une procédure en destitution, mais une censure. La procédure en destitution se justifierait de mon point de vue s'il n'y avait pas de nomination rapidement maintenant. Mais bref. C'est toujours hasardeux de résumer des millions de volontés individuelles en une volonté collective. Certes. Mais comment y couper ? Factuellement les libéraux sont arrivés 3e à l'issue du premier tour, ce qui indique un souhait d'alternance exprimé par une majorité d'électeurs. Factuellement toujours, les nationalistes ont été nettement battus dans la grande majorité des circonscriptions où ils étaient qualifiés au second tour. Auxquelles s'ajoutent les circonscriptions où ils n'étaient pas qualifiés. Les urnes n'ont pas appelé un gouvernement de gauche, 9 millions de voix sur 50 millions d'inscrits, ce n'est pas exactement une victoire. Mais elles ont rejeté les deux autres alternatives et la gauche se faufile en tête. Elle est donc, à mon sens, plus légitime à essayer de construire, non une coalition (ça me paraît impossible), mais un contrat de non censure.
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Déjà sur la politique générale, un compromis peut être trouvé sur la hiérarchisation des priorités. Comme je l'ai évoqué plus haut, on retrouve un certain nombre de points dans le pacte d'action de Gabriel Attal qui recoupent le programme du NFP comme la taxation des rachats d'actions et des super profits. Sur le retraite, nous en avions déjà parlé au début de l'été, je pense souhaitable de trouver d'abord un accord avec les partenaires sociaux (syndicats et patronat) pour atteindre deux objectifs : revenir à 62 ans pour l'âge légal et ramener le budget à l'équilibre puis soumettre l'accord à un débat parlementaire puis à référendum. Sur les sujets de société libéraux et gauchistes étaient globalement d'accord pour aller plus loin que la loi Leonetti sur la fin de vie. Sur les institutions, le projet de loi déposé par madame Belloubet avant les gilets jaunes comprenait de nombreux points avec lesquels la gauche est globalement d'accord même si ça n'est pas la VIème république. Plus tard sur l'indépendance de la justice, Ugo Bernalicis, président insoumis de la commission d'enquête dédiée avait déclaré qu'il voterait à peu près toutes les propositions formulées par le rapporteur macroniste de cette commission. Sur le SMIC c'est du domaine réglementaire, mais effectivement le mettre à 1600 nets tout de suite, c'est la censure immédiate. Mais oui, il y a là encore des compromis à trouver sur le calendrier (ça peut être des coup de pouce réguliers de quelques dizaines d'euros plutôt qu'une hausse brutale) et sur les contreparties. Quand tu dis que Zemmour la juge peu souhaitable, tu parles bien de Michael et non Éric ? Parce que les opinions du second m'indiffèrent. Par contre celles du premier m'intéressent plus. Et lui que c'est le SMIC à 1600 tout de suite qui n'est pas souhaitable car il amènerait immédiatement des centaines de salariés au salaire plancher et à un gel qui les rendrait perdants en quelques années. Mais il n'est pas du tout hostile aux 1600 euros en trois ans. Bref, si chacun pensait un peu plus à l'intérêt des français qu'à ses ambitions, je suis certain que le dialogue serait renoué et constructif. Ça c'est le déficit de notoriété. Tout à fait. À l'Assemblée, les députés Ensemble (dont 3/5 environ ont été élus grâce aux voix de la gauche) feraient alliance avec l'extrême droite pour faire tomber la gauche a priori. Mais (je l'espère, du moins) sans être capable de s'entendre sur une alternative. C'est vrai que les députés NUPES ont compté sur les voix de l'extrême droite pour essayer de faire tomber Elisabeth Borne puis Attal. Toutefois il y a là trois différences : 1) ce gouvernement Castets serait censuré non sur sa politique mais sur une étiquette qu'on lui colle. Fallacieusement d'ailleurs. Quand j'entends qu'elle serait sous la coupe de Mélenchon, c'est parfaitement stupide, avec 193 députés seulement pour la soutenir elle serait plutôt dépendante de la centaine de centristes qui pourraient la censurer au moindre faux pas. D'ailleurs l'esprit de la responsabilité politique continue du gouvernement devant l'Assemblée c'est d'empêcher les abus de pouvoir ou d'imposer un respect des engagements. Là ce serait une censure de pur empêchement. 2) cette fois, pas de dissolution possible avant plusieurs mois, donc obligation de trouver un gouvernement alternatif pour la même assemblée. 3) globalement, députés ensemble et nfp ont été élus par les mêmes électeurs et on pourrait attendre d'eux qu'ils essaient de travailler en bonne intelligence. Je voulais dire unanime pour ces 56%. Mais pour l'Assemblée, tu as raison. Certains arguent qu'un gouvernement de droite aurait une plus grande majorité. Certes, mais elle resterait toute relative avec encore plus de 289 députés hostiles. Donc soit une scission arrive au sein d'un bloc ou deux et alors les cartes seront rebattues. Soit le bloc arrivé en tête assure le pouvoir exécutif et compose largement avec un deuxième bloc sur les réformes. Soit c'est le chaos pendant un an. Et rien ne dit que la situation serait plus claire avec de nouvelles élections. Évidemment la deuxième hypothèse est ma préférée.
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Je ne suis pas d'accord avec toi, Lucie Castets a, à de multiples reprises, expliqué que le programme avait été construit pour être appliqué en situation de majorité absolue. Elle a annoncé que des concessions seront faites. Le programme ne serait qu'une base de travail. Chercher des majorités de projets, c'est composer avec ses adversaires. Il y a sûrement un jeu de dupes tout de même. Probablement que le PS a accepté un programme qu'il savait inapplicable en l'état et probablement que le clan Mélenchon va crier à la traîtrise si un gouvernement dont il sont absents tend la main aux rescapés du macronisme. Et probablement que Attal sait qu'un gouvernement moins à droite que lui devrait logiquement lui succéder, et que son annonce de censure immédiate d'un gouvernement de gauche, c'est de la com' du même niveau que le "tout le programme, rien que le programme" que Mélenchon sortait au lendemain des élections (et qu'il ne dit plus d'ailleurs). (Au fait, un chiffre ça se torture, et on lui fait dire ce qu'on veut. 56%... Donc des gens qui n'ont pas voté NFP sont favorables au gouvernement NFP sinon on serait entre 60 et 73. Et ces 56% sont ils unanimes sur une proposition alternative ? Mon petit doigt me dit que non et qu'ils ne peuvent être considérés comme un bloc mais une addition peu rigoureuse.) En fait chacun défend sa chapelle, voire son ambition perso. Chacun sait que le sens des responsabilités doit le conduire à mettre de l'eau dans son vin, mais que son avenir politique s'en retrouverait compromis. Bref, je regarde ce pathétique spectacle avec désolation... Et je me demande si des gens tirés au sort ne seraient pas plus responsables. Ça signifie qu'un projet de loi déposé sur le bureau d'une assemblée serait issu du programme du NFP mais que le texte adopté serait le fruit d'un compromis avec le centre.
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C'est précisément pour ces raisons que des beaufs leadent LFI Ce commentaire est la preuve de ta médiocrité. On t'avance des arguments économiques, tu n'as que l'insulte et le dénigrement en réponse. Mais c'est ton droit de dénigrer le keynésianisme et de vouloir une austérité qui passe par un cadeau fiscal énorme aux jeunes riches.
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Oui. Après il faut que les recettes couvrent les dépenses courantes, mais s'endetter pour faire face à des situations de crise et pour investir est souhaitable. Pour le reste, des politiques comme les eurobonds ou un rachat partiel par la BCE permettraient de retrouve de l'oxygène. A contrario une politique d'austérité nous emmènerait dans le mur. Les grecs en ont déjà fait les frais.
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C'est le droit qui s'applique. Le gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation. C'est tout. Et si un gouvernement veut prendre des décisions ahurissantes comme supprimer l'IR pour les jeunes riches, ou faire une économie de quelques millions dont la conséquence sera un coût de quelques milliards, si c'est validé d'une façon ou d'une autre par le parlement, c'est ça qui s'applique. Et pourtant ce n'est pas faute de lui avoir rappelé que l'État est éternel, a la capacité de lever l'impôt ou qu'un euro dépensé peut, dans certaines conditions, générer deux euros de recette...
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Je ne sais pas où tu vas chercher dans la constitution qu'une politique d'austérité drastique serait impérative. Donc tu es hors sujet.
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1) t'es hors sujet ici 2) c'est presque inquiétant de voir à quel point un truc qui n'est qu'un nombre écrit sur un bout de papelard te tracasse 3) on en a déjà discuté, je t'ai dit ce qui était à mes yeux une bonne gestion des fonds publics 4) par delà les désaccords parfois profond qu'ils entre eux, les économistes sont unanimes : le parti qui a tes sympathies a le pire des programmes.
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Tu délires complètement.
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Ça n'est pas exactement ce que j'appelle un socialiste... C'est un macroniste qui ne s'est pas encore totalement assumé.
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Je ne sais pas d'où tu sors que ces enfants seraient essentiellement étrangers. Ce n'est pas un sujet sur les obsessions nationalistes. Ce yakafokon du "fermons les frontières et tous les problèmes seront réglés" est totalement débile ! Du reste, le commerce des passeurs n'est qu'une conséquence de la régulation des voies légales de migration. Mais on est là hors sujet. Des logements disponibles il y en a. Et pour en revenir à ces gamins, on ne découvre pas la situation aujourd'hui. Pourtant on ne fait rien. Pourquoi ? Et la situation est réglée... Que serait leur vie dans leur pays d'origine s'ils n'étaient pas venus n'est pas une question que tu te poses. Mais encore une fois ils ne sont pas tous étrangers ! Beaucoup sont bien blancs, bien français et bien chrétiens comme l'extrême droite les aime. Seulement, un homme violent à la maison, une mère qui n'a plus de liens familiaux, ça n'est pas réservés aux ultra méditerranéens !
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2043, plus précisément d'après l'UNICEF +120% en quatre ans 467 d'entre eux n'ont pas 3 ans (+27% en deux ans) Les faits : https://www.francetvinfo.fr/societe/sdf/plus-de-2-000-enfants-dorment-dans-la-rue-en-france-un-nombre-en-hausse-de-120-en-quatre-ans_6750013.html Deux interviews à écouter : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-6h20/l-invite-de-6h20-du-jeudi-29-aout-2024-9538737 https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-question-du-jour/en-france-toujours-plus-d-enfants-a-la-rue-6009006
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@frunobulax est melenchoniste ?
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Mais je t'en prie, rigole. Mais ce serait sympa de ta part de partager cette bonne barre avec nous en nous donnant les grandes lignes de la feuille de route d'un gouvernement EELV/PS/MoDem/EPR/Hor/LR
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Je t'ai déjà répondu sur tous ces points. Ce ne sont pas des contradictions mais des différences de degrés bien plus conciliable que ton hypothèse de parti unique sauce libérale qui devrait ratisser de Ruffin à Retailleau. Je ne réponds même pas sur la fin qui est grotesque. Le choix de Valls qui a fait 5% à la primaire et a mené une politique de droite bif bof...
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Nous voilà rassurés Vive l'illibéralisme, les inégalités qui se creusent et la détestation de l'autre
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Allez sur le site de l'assemblée. Tous les gouvernements qui avaient une majorité absolue ont utilisé le 49.1.
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Si vous voulez jouer sur les mots, "investie" est également mal choisi. C'est sous la IVème que les gouvernements étaient investis ! Hollande reproche à Macron de chercher des prétextes pour ne pas passer la main alors que son camp a perdu les élections. Il rappelle l'esprit des articles 24 et 49 de la constitution.
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Le PS et les verts des extrémistes... C'est vraiment n'importe quoi !
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Apparemment ça faisait épouvantail pour eux et les insoumis se disent prêts à ne pas en faire partie.
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Non je pensais regarder ce critère en s'éloignant de ce que montrent les caméras et en regardant les travaux parlementaires. Bien des rapports sont coécrits par des gens de differentes tendances qui s'intéressent à la France quand les caméras ne sont plus là. Et il y en a plein chez les socialistes, les écologistes, les communistes et les insoumis. T'es fatiguant de considérer par avance que je serais sur la tendance Delga-Mayer-Rossignol-Valls-Hollande-Cazeneuve-Hidalgo.
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Majorité relative = plus forte minorité. Je signale par ailleurs que Charles de Courson aussi parlait régulièrement de la "minorité présidentielle".
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Houla non je ne vais pas jusque là ! J'imaginais plutôt un gouvernement sans insoumis et sans rescapés du macronisme ! Des gens responsables qui auraient montré par le passé leur capacité à travailler avec d'autres personnes ne partageant pas nécessairement leurs idées. Je pense qu'un certain nombre de signes d'ouverture pourrait convaincre les 22 LIOT, et une bonne partie des 105 députés ensemble élus grâce aux voix de la gauche, non pas de soutenir le gouvernement mais de ne pas voter immédiatement la censure