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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Moi je me demande où les capitalistes iront chercher les terres émergées quand il n'y en aura plus assez pour la population qui s'accroit, où ils iront chercher la bouffe quand on alternera entre sécheresses et inondations, où ils iront chercher l'énergie quand on n'aura plus de gaz, de pétrole ou d'uranium, soit quand les stocks seront épuisés, soit quand on sera en conflit avec ceux qui nous exportent. La gauche propose d'aller chercher l'argent là où il est ; les capitalistes vont chercher les richesses qui appartiennent aux générations futures. Ce sont eux qui proposent de vivre à crédit, pas nous
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Je change de sujets, pendant que tu en mélanges plusieurs. Tu as vécu sur quelle planète pendant les premier mois de 2017 ? Tous les médias et les traitres de la gauche répétaient partout qu'il fallait absolument voter Macron, sinon on aurait Marine. Mélenchon lui-même a laissé entendre qu'il avait voté pour Macron au second tour. Macron n'a jamais été présenté comme aussi infréquentable que Le Pen, sauf par l'extrême droite (ça va de soi) et l'extrême gauche (celle plus à gauche que Méluche) qui dit bonnet blanc et blanc bonnet. Moi-même, si j'annonce déjà que je refuserais de choisir, c'est parce que je refuse plus longtemps l'arnaque du "moi ou le chaos", et que je vois Macron comme un marche-pied pour l'extrême droite. Ensuite, si Mélenchon s'est proposé premier ministre, c'est parce qu'en tant que leader de parti, il est assez naturel qu'il brigue le pouvoir, et qu'après la défaite présidentielle, il veuille prendre sa revanche aux législatives. Tu vas prétendre que les autres n'aspiraient pas à cela ? Moi je prétends que moins la présidentielle sera un plébiscite pour le vainqueur de celle-ci (et ça se mesure en regardant la part d'inscrits qui vote pour le candidat en question au premier tour), plus les perdants pourront espérer prendre la revanche aux législatives. Donc si une candidate ne gagne au second tour (donc pas spécialement sur sa candidature, mais contre l'autre) avec la voix d'un électeur sur 4, rien n'est joué. Enfin, tu le sais, je ne suis pas un défenseur du mode de scrutin actuel, loin s'en faut. Pour quelle raison a-t-il été conçu, sinon pour assurer une très large sur-représentation de quelques partis, et l'élimination d'autres partis ? Pas comme Macron. Lui est beaucoup plus comparable à ses prédécesseurs en fin de mandat. Largement désavoué, mais toujours préféré à l'extrême droite. Ce qui fonde sa stratégie politique : besoin d'une extrême droite au second tour pour être certain de l'emporter. Pas du tout. Je dis que la macronie repose sur de l'opportunisme, et le caractère de l'opportuniste est de sauter du navire avant qu'il ne sombre, et cela pourrait aboutir des désertions. Et ça a commencé. En 2017, j'assume, je m'étais trompé, faisant partie de ceux qui affirmaient que Macron n'avait pas d'ancrage. Or, ce n'est pas l'ancrage qui fait gagner les législatives. Pour Le Pen, c'est différent. Elle peut très bien porter une majorité de ses candidats aux seconds tours, ça oui, mais perdre la plupart d'entre eux. La majorité des Français est de mon bord, donc ? Dans ce cas, c'est un candidat de gauche qui arrivera au second tour et pas Macron. Sûrement, mais un mois sera-t-il suffisant pour permettre aux opportunistes de la droite dure de se faire une place à côté des RN ? Autrement dit, de ceux qui ont passé beaucoup de temps crier contre un prétendu UMPS ? Et ça suffira à gagner 289 circonscriptions ? Et la faible adhésion montrée par la part d'inscrit qui a approuvé Macron en 2017 et qui a entrainé les gilets jaunes serait encore plus importante avec une Le Pen. Le choléra qui proposait rien de d'autre que de poursuivre les politiques menées depuis longtemps en les accentuant. Même quand on apprécie pas une situation, dès lors qu'on la connait, elle effraie moins qu'un changement qui peut promettre les jours meilleurs qu'il veut, il peinera toujours à convaincre. Etrange de te voir l'appeler ainsi à répétitions, toi qui dépenses tant d'énergie à t'attaquer à Mélenchon, soit un de ceux qui propose un modèle qui selon toi est à même de répondre aux aspirations d'une majorité de Français. Etrange aussi, toi qui affirmais que le centre droit était depuis à peu près toujours assez largement majoritaire dans notre pays. Tout dépend de ce qu'on appelle "gagner les législatives" alors. Si avoir plus de sièges que lors de la mandature précédente, t'appelles ça "gagner", ok, ils le peuvent. Avoir au moins 289 députés, je n'y crois pas un instant. Mélenchon peut envisager au mieux une coalition avec le reste de la gauche, et faire une semi-cohabitation. Mais où te positionnes-tu ? T'es quand même culotté de traiter de diffamateur celui qui te crois sympathisant de l'extrême droite avec de tels propos. Comme quoi, on peut tomber d'accord
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Maintenant, comme on ne produit plus grand chose, ça revient moins cher... mais comme on a beaucoup de chômage, et que c'est ça qui ampute une grosse part du pouvoir d'achat moyen, au final, seules les classes aisées, riches, et opulentes en profitent vraiment. Sans parler du côté moral : acheter par cher à des esclavagistes, bof bof
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C'est peut-être vrai sur le côté études, encore qu'aujourd'hui bien des jeunes sont orientés vers l'apprentissage à 16 ans parce que la famille ne peut pas les entretenir plus longtemps et préfère les voir gagner des sous pour aider à faire bouillir la marmite. Sur le logement, c'est totalement faux. Aujourd'hui, un jeune met les deux tiers de ses revenus pour une chambre de bonne de 9m² et attend encore des mois pour que le proprio fasse le nécessaire à la moindre fuite d'eau. Pour le marché du travail, moi j'alterne les période d'activité très réduites où je mange des pâtes toutes les semaines et où je puise dans l'épargne avec celles d'activité soutenue. Une année je travaillais 50 heures par semaine pour moins de 2000€, que des contrats précaires, 5 employeurs, des journées qui commençaient à 5h30 et finissaient à 20h. Et quand on veut mettre du beurre dans les épinards (ou un peu de fromage dans les pâtes), on fait des missions volontaires en contrat d'engagement éducatif, soit des journées de 8h à minuit payées moins de 40€ chacune. Aujourd'hui, le marché du travail, c'est bien pour ceux qui ont les bons diplômes. Les autres doivent faire des missions uber payées à la course, ayant tous les inconvénients du salariats et tous ceux du patronat. Nous, on est entré sur le marché du travail quand la crise éclatait et que vous commenciez à toucher vos retraites. Là encore, je n'ose comparer les vôtres à celles auxquelles on pourra prétendre, nous. Toujours est-il que mon propos initial n'était pas "c'était mieux avant", ni une jalousie. J'observe simplement que la question environnementale semble désintéresser une part conséquente de la génération boomers. Parce que la croissance dont vous avez bénéficié est tirée d'une sur-exploitation des ressources naturelles. Même sans penser à mal, c'est un fait : vous avez vécu à crédit sur les générations qui vous suivent. Sur les nouvelles technologies, nous aussi. Je vois plus barbe black & wight briguer le poste M. Larcher.
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Je sais que pour vous, macronistes, c'est très arrangeant d'accréditer l'extrême droite pour effacer le reste du spectre politique. "There is no alternative" est toujours le crédo des néo-libéraux. L'extrême droite suscite un rejet massif et inconditionnel d'une très nette majorité de Français. Si elle venait à gagner la présidentielle, ce serait par accident, par la nullité de ses adversaires. Gagner la présidentielle ET les législatives est impossible pour elle. Ou alors donne moi les 289 circonscriptions susceptibles d'élire ses candidats. Ce que montre l'expérience passée ne saurait se traduire en règle immuable. Il n'y a que les imbéciles pour y croire, et les malhonnêtes pour l'affirmer. Plus facile à admettre quand on a bénéficié des 30 glorieuses que quand on se demande si c'est une bonne idée de procréer. L'économie, le droit, la sociologie, les sciences de l'éducation sont tout autant des disciplines universitaires. Si on va jusqu'au bout de cette logique, supprimons toute élection et désignons les politiciens sur concours. Argument bidon, pour tenter de légitimer l'irresponsabilité du capitalisme sauvage.
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Le Pen ne peut gagner la présidentielle que si l'abstention est massive. Jamais elle ne réunira plus 12 millions de voix, soit 25% du corps électoral. Imagine tu un instant que tout est joué lorsqu'un "vainqueur" gagne contre l'autre mais sans les suffrages de 75% des électeurs ? Tout sera à rejouer aux législatives. Elle peut gagner des sièges, former un groupe, mais gagner, avec un mode de scrutin majoritaire uninominal à deux tours une majorité absolue des suffrages dans une majorité absolue de circonscriptions, c'est tout simplement impossible. Qui, en février 2016, imaginait que Macron serait le 7ème président de la Vème République ? Si à ce jour l'union de la gauche est mal partie, elle n'est pas encore impossible. Si elle a lieu, le candidat qui la représentera peut parfaitement envisager une qualification au second tour. Personne ne conteste que la révolution industrielle a aboutit à des émissions de gaz à effet de serre jamais vu (les courbes coïncident), ni que les gaz à effet de serre entrainent un réchauffement. On est en train de prendre le chemin qu'a emprunté Vénus. Je veux bien remettre en question les solutions, mais pas l'objectif. Quelles alternatives proposez-vous ? Bien sûr que si c'en est un, et c'est le seul qui soit responsable. Avec le capitalisme sauvage, les générations humaines à venir sont comptés sur les doigts.
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Marion Maréchal a plus vocation à s'allier avec des Eric Ciotti qu'avec Benoit Hamon
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Même lui-même n'apparait pas dans la Constitution Je ne crois pas que le mot "guerre" soit si adapté. Ma théorie, c'est qu'il a recouru au lexique martial parce que ce genre de situations accroit la confiance des gouvernés vis-à-vis des gouvernants. C'est le choc et l'effroi ressentis après les attentats de 2015 qui ont permis à François Hollande de retrouver un semblant de crédibilité. Bon, là ça n'a pas marché... Bref, la liberté ne peut être comprimée trop longtemps pour cause sanitaire. Les entraves à celle-ci créent d'autres problèmes qui pourraient finir par devenir plus graves que le mal qu'on cherche à soigner par là.
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Je présage une candidate d'extrême droite au second tour de la présidentielle à venir, et son échec à ce second tour. Je ne crois pas qu'elle puisse réunir plus de 12 millions de voix, soit au grand maximum 1/4 des suffrages des inscrits. Quant bien même, elle gagnerait, ce ne pourrait être qu'avec une abstention massive et elle perdrait les législatives qui suivraient, donc on aurait une cohabitation. Bref, voter Le Pen, c'est faire gagner son adversaire quel qu'il soit. Maintenant, pour l'emploi, on peut envisager plein de pistes : 1) Baisser le temps de travail Les années qui ont produit le plus d'emplois ne sont pas les 30 glorieuses, mais les années qui ont suivi l'instauration des 35 heures. Sans croissance, c'est la seule méthode qui ait fait ses preuves. De plus, la robotisation a permis de produire plus avec moins de temps de travail, donc l'évolution du marché du travail de ces dernières années justifie une telle piste. On peut l'organiser de plusieurs façons, en permettant aux gens de partir en retraite plus tôt, en créant une 6ème semaine de congés payés, en créant un droit à une sabbatique après quelques années de travail (tous les 15 ans par exemple), ou en baissant la durée légale de travail hebdomadaire. 2) Relocaliser la production industrielle Cela nécessite de restaurer un certain protectionnisme, en taxant les produits issus du dumping monétaire, fiscal, social et environnemental. Les débats sur la "TVA sociale" et le protectionnisme européen m'ont conduit à tirer la conclusion que, pour ne pas impacter le pouvoir d'achat des plus précaires, cela doit être accompagné d'une suppression de la TVA. Ainsi, les produits conçus chez nous verront leurs prix baissés grâce à cette taxe en moins, et ceux produits à l'étranger seront légèrement plus chers, donc moins compétitifs. Pour lutter contre le dumping intra-européen, il va falloir aller progressivement vers une harmonisation d'un certain nombre de normes. Par exemple, instaurer un salaire minimum partout, au moins équivalent à 50% du salaire moyen médian national et revu régulièrement à la hausse en fonction de l'inflation et de la croissance. 3) Créer des emplois publics Si l'emploi doit plus être une conséquence de ces politiques qu'un objectif, je me permets de rappeler que le plus gros plan social jamais organisé le fut par l'équipe de Sarkozy et sa politique du 1 sur 2. Aujourd'hui, un trop grand nombre de territoires sont désertés par les services publics. Est-il normal d'exiger des contributions à des citoyens sans leur assurer les services qu'ils financent ? Enfin, je me permets de rappeler que le droit à l'emploi est constitutionnellement garanti depuis 1946, mais n'a jamais été effectif. Je suis donc pour que l'Etat soit employeur dernier ressort des chômeurs de longue durée qui le souhaitent. 4) Investir plus dans la formation professionnelle Et plus intelligemment ? Je connais mal la question, mais je crois qu'on ne peut passer à côté dans une politique de l'emploi. 5) Interdire les licenciements boursiers Quand une entreprise va mal au point de justifier un plan social, l'effort doit être partagé. Il me parait inconcevable que les actionnaires d'une entreprise en difficulté sacrifient des centaines d'emplois et maintiennent, voire augmentent leurs dividendes. 6) Favoriser le chômage partiel L'Allemagne, je crois, l'a beaucoup fait. L'idée est de ne maintenir les salariés qu'à temps partiel pendant quelques temps, le temps d'écouler les stocks. Parallèlement, la collectivité leur paie la quasi-totalité de leur salaire et finance une formation professionnelle afin de permettre à ce personnel de s'adapter aux mutations du marché. A la sortie, les emplois sont maintenus, et la production de l'entreprise correspond à la demande. 7) Investir dans la transition écologique C'est dans ce secteur qu'on peut envisager une politique de relance keynésienne. Nous sommes loin, très loin de l'équilibre et de l'harmonie. Plutôt que de nous bassiner à longueur de temps avec une dette qui est un faux problème, c'est bien le réchauffement climatique et ses conséquences, la disparition d'espèces, la montée des eaux, l'épuisement des ressources naturelles et la pollution des eaux qui menace les générations futures... et désormais des générations déjà nées. Construction de logements, de voies de chemin de fer, creusement de canaux, isolation thermique, conversion de l'agriculture intensive, etc. Les chantiers sont colossaux. J'oublie certainement beaucoup de pistes, mais je crois tenir là les principales. Je pense que tu aurais pu écrire "comme j'ai écrit plus haut"
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En même temps, c'est parce que dans le monde d'avant on éternuait dans sa main sans la laver après. Encore plus dégueu Un virus qui n'est grave que dans 5% des cas se propage, contrairement aux virus plus dangereux, qui eux, soit mutent pour devenir bénins, soit disparaissent. Dixit ma tante épidémiologiste. On peut trouver les mesures de restrictions de liberté nécessaires pour lutter contre l'épidémie (je crois que ça l'est ; d'ailleurs je pense qu'il aurait fallu fermer les écoles la semaine de rentrée de janvier, rétablir la limite kilométrique des déplacements et confiner pendant les vacances qui arrivent), mais ces mesures, même utiles, restent liberticides, oppressantes pour beaucoup (on commence à voir des conséquences psychologiques désastreuses) et ne peuvent s'éterniser. Sans aller dans le sens de ceux qui demandent qu'on ne fasse rien, je ne peux rester sourd aux malaise naissant.
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Je ne suis pas juriste, mais je ne pense pas. N'importe quel citoyen, quel que soit son sexe, son âge, son ethnie, son origine, sa nationalité, son orientation sexuelle, sa couleur de peau, sa taille, sa profession, ou sa pointure, dès lors qu'il serait vacciné, aurait droit d'échapper au PCR. Là dessus, je partage
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Je t'invite à poser la même question aux réseaux conspi Aurais-tu peur d'être influencé ? C'est une hypothèse, on devient complotiste si on l'affirme de façon péremptoire sans preuve satisfaisante
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Regarder Hold up pour s'informer, c'est pas un peu comme lire Asterix pour se faire un cours d'histoire ? Ah, non, même Asterix est mieux documenté.
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Certains métiers sont inaccessibles à ceux qui ne sont pas à jour de leurs vaccins obligatoires. Des professions au contact du public. Parce que se vacciner, c'est éviter de chopper une maladie... et de la refiler à tout le monde. Peut-être parce qu'aujourd'hui on a 2 millions de vaccinés sur 67 millions, que tous les indicateurs se dégradent et qu'on annule des soins pour pouvoir prendre en charge les covidés ?
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J'ai la même démarche que @Répy, et je n'ai donc pas vu la vidéo. Ce que je sais de C. d'Ornellas me fait penser que j'ai de meilleurs choses à faire sur un quart d'heure que de l'écouter. Aujourd'hui, on demande aux gens qui passent une frontière de se faire violer la narine ; je ne vois pas pourquoi infliger cette désagréable expérience à des gens, qui, semble-t-il ne devraient pas être susceptibles d'être porteurs du virus.
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Je suis d'accord avec lui. La dette n'est pas un problème. Aujourd'hui, à court terme, les taux d'intérêts sont négatifs, et restent faibles sur des termes un peu plus longs. Il faut parvenir à maintenir cette situation, et donc ne pas effacer les dettes ni trop aggraver les déficits. Pour les dettes qui nous coûtent, ne pourrait-il pas être envisageable de les faire racheter par la banque centrale et appliquer un taux d'intérêt de l'ordre de -0,5%, afin de créer une ardoise magique ? Après il faut s'interroger sur les dépenses : investissements, services publics et solidarité et les recettes : quels impôts ? Ceux-ci doivent idéalement couvrir les dépenses de fonctionnement et les intérêts de la dette. Sachant que les politiques d'austérité compriment l'économie et peuvent donc être contre-productives. On notera aussi l'absurdité de brader les machines à cash telles que nos autoroutes ou la Française des jeux... Augmenter les dépenses est envisageable si on augmente les recettes. Commençons par supprimer les innombrables niches fiscales qui nous privent de dizaines de milliards pour des effets trop limités, attaquons nous à la fraude et à l'exil fiscal, taxons les transactions financières, réformons l'impôt sur le revenu pour faire contribuer les plus riches à la hauteur de leurs moyens et et appliquons une taxe exceptionnelle sur les profiteurs de la crise.
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A commencer par la macronie : https://www.bastamag.net/Les-assistes-de-la-France-d-en-haut-Observatoire-des-inegalites-niches-fiscales-reduction-impot?fbclid=IwAR3p9rzGUbQcsRG6XaEIvC36l2UYM5pdhSvQR56qrD00K1eScSPqf5yB4ns En allant chercher l'argent là où il est ?
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https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/dissolution-de-la-mission-parlementaire-sur-la-gestion-de-la-crise-la-democratie-baillonnee?fbclid=IwAR1IkQaTdwxeG7naI1Uz6PmluY9FJoeAbkRtakjXTWNyQZ1pM_6pMrw1WZw
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Un descendant d'immigré est donc un envahisseur ?
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On dirait que la France fait honte à certains Français qui préfèreraient être Hongrois ou Autrichiens...
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Non, je regarde les chiffres.https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/les-chiffres-incontestables-sur-l-immigration-830084.html
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je n'ai pas spécialement de problème avec ça. La question est de savoir ce qu'est une immigration maitrisée. Pour l'extrême droite c'est < 10 000 personnes pour un pays qui compte près 68 millions d'habitants. Pour moi on commence par s'émouvoir du nombre de noyés en Méditerranée chaque année
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Bonsoir beltégeuse je me doute que des Italiens sont fiers d'être Italiens (en même temps, ça vote volontiers pour la droite dure dans ce pays). Mais là n'est pas la question. Je comprends qu'on aime un pays, avec son histoire, ses valeurs, ses traditions, ses coutumes, ses paysages, sa gastronomie, ses moeurs... Je comprends aussi parfaitement qu'on soit plus à l'aise avec des gens qui partagent les mêmes codes sociaux (j'aurais beaucoup de mal dans un pays où on sépare les hommes et les femmes et où on ne sert à manger à ces dernières que les restes de ces messieurs)... Pas de souci là dessus. Mais je ne tire pas de fierté particulière à être de nationalité française. Je n'en tire pas plus de honte non plus, soit dit en passant. Mais sans grand orgueil, ma fierté je la tire de ce que j'accomplis ou de mes qualités. Comme je peux me trouver honteux lorsque j'échoue quelque part ou lorsque mon comportement est mauvais. Mais de la fierté de la nationalité, ça, je n'arrive pas à comprendre
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je n'ai jamais compris comment on pouvait être fier de sa nationalité. Cela signifie que d'autres nationalités doivent faire honte ?
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On croit rêver : c'est vous qui résumez le débat à immigration = insécurité où toute recherche d'explication poussée, de phénomène sociologique, de nuance est immédiatement rejetée par la fachosphère en "bien pensanse" ! Les gouvernements d'extrême droite ont-ils mis fin à l'insécurité là où ils sévissent ? Sûrement pas ! Non, les libéraux. Nous on demande la régularisation de tous les travailleurs sans papiers.