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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Je n'ai pas dit le contraire. En tout cas pas dans ce sujet là. Politiquement, je pense que c'est de l'abus de pouvoir de balayer l'hypothèse Lucie Castets d'un revers de main. Mais ici je parle juridiquement. J'ai dit qu'un gouvernement démissionnaire qui reste aussi longtemps n'était pas exactement ce qu'on peut appeler un fonctionnement régulier des pouvoirs publics, que s'il a la capacité, d'un point de vue purement juridique, de nommer qui il veut, il doit le faire, ça n'est pas une prérogative à laquelle il est libre de recourir au moment qu'il juge opportun comme peut l'être la dissolution ou le droit de grâce. Quand un gouvernement démissionne, il doit immédiatement chercher à en former un nouveau. Que son rôle d'arbitre le pousse à opérer certaines consultations avant, soit ! je le conçois et je l'approuve. Surtout dans une situation inédite comme celle-ci. Mais factuellement, ce n'est pas ce qu'il a fait, ni depuis la dissolution, ni depuis le résultat du second tour, ni depuis la démission de Gabriel Attal, ni depuis la clôture de la session parlementaire de juillet, ni depuis que le NFP a désigné Lucie Castets. Ça c'est faux, il a saisi un prétexte bidon pour mettre la poussière sous le tapis. Ce que tu dis ne devient vrai qu'à partir d'aujourd'hui. Et ça fait 6 semaines qu'on a voté. Après mon avis (politique, pure intuition strictement personnelle) c'est qu'il a envisagé de nommer un gouvernement NFP en espérant qu'il soit renversé aussi sec et a cherché à gagner un maximum de temps parce que la prochaine session commence en octobre et que d'ici là un tel gouvernement pourrait prendre des décrets comme le blocage des prix ou l'augmentation du SMIC. Si cette hypothèse était fondée, ce serait bien évidemment un abus de pouvoir. Bon, là je spécule. Il n'en reste pas moins que son parfait immobilisme me pousse à émettre des hypothèses sur ce qu'il pense et envisage. Ça, c'est ce qui se passerait avec un gouvernement qui respecterait le débat parlementaire (comme s'y engage Lucie Castets soit dit en passant) Là c'est pas de réforme du tout. Et à partir de janvier ? Pour l'heure, je dirais que oui, probablement. Mais avec Macron il faut s'attendre à tout.
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Nier la responsabilité de l'activité humaine dans ce changement relève du climatoscepticisme. C'est tout sauf une position raisonnable. Le libre échange et le capitalisme c'est pas exactement la même chose. Et c'est surtout pas les mêmes conséquences quand on parle d'échanges au sein d'une micro société de quelques dizaines ou centaines d'individus et quand on arrive à un capitalisme mondialisé avec 8 milliards d'êtres humains. Le capitalisme ne pérennise pas, il creuse nos tombes. Et donc mon discours te paraît aussi ignoble que celui de quelqu'un qui fait le tri entre les êtres humains ?? Je pense que @ouest35 parlait de situation d'instabilité engendrée par le chef d'État lui même. Et effectivement je ne suis pas sûr que ça aie existé depuis 1848.
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La FI oui... Ou ce qu'il en restera. La xénophobie n'est elle pas une forme de racisme ? Jauger les gens selon une ethnie ou une religion supposée ne revient il pas à distinguer des races et à les hiérarchiser ? Le racisme n'est il qu'une xénophobie décomplexée ?
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Pas exactement, non, dans le cadre d'un scrutin uninominal. Lequel a amené les partis de gauche à se répartir les circonscriptions. Donc les verts ont présenté beaucoup moins de candidats que le RN. Donc comparer le nombre d'élus d'un parti qui a présenté peut-être 500 candidats et un autre qui en a présenté peut-être 100, est un parfait non sens. Ils auront leur temps de parole, leurs niches parlementaires, leur droit d'amendement, l'initiative des lois, le droit de voter les lois, de déposer 4 motions de censure par session, le droit de créer des commissions d'enquête parlementaires... Que leur faut il de plus ? Quand on veut des droits pour les uns et pas pour les autres sur des questions ethniques, qu'on passe les trois quarts du temps à balancer des contre vérités pour établir des liens entre islam, immigration et insécurité, il n'y a pas de racisme selon toi ? Et ben c'est super. En attendant le résultat c'est de la misère et une planète de moins en moins habitable. Le projet capitaliste est donc court termiste et démagogique. Moi qui naïvement croyait que c'était le but d'une société démocratique de protéger les faibles... On s'en fout. Il appartient à une ère politique révolue. Il faut juste qu'il le comprenne.
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Il nomme les autres aussi, même si ce n'est pas cette fois un pouvoir propre.
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Oui. Il fait tout pour convaincre Macron de balayer toute la gauche. Un homme "providentiel" qui critique la Vème... Il n'est pas de Sauveur suprême, ni dieu, ni césar, ni tribun
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J'ai déjà répondu 200 fois. Oui ou non y a t il eu un front républicain anti FN au second tour ? Il ne s'agit pas de la.FI mais de l'ensemble de la gauche. Je ne sais pas ce qu'en pensent les autres électeurs de gauche, mais pour moi le front de gauche puis la FI était une alternative plus volontariste que le PS et moi aussi les clins d'oeil à l'islam politique, les outrances, le coup d'éclat permanent, la posture mégalo bonapartiste de Meluche je m'en lasse aussi. Mais c'est hors sujet, Lucie Castets n'est pas issue de la FI. Pas dirigée, non. Les européennes montrent que la domination de la FI sur la gauche, c'est fini. Sauf évidemment pour le clan Mélenchon. Mais ce que tu dis signifie que peu importe les concessions, que ce soit sur le programme ou les relations entre gouvernement et parlement, c'est l'étiquette de certains ministres qui disqualifie le gouvernement ? Qu'on ne vienne pas me dire après ça que la FI se distingue mieux que les autres pour mettre le bordel. Ils sont juste moins fins. La possibilité d'avoir des alternances est pourtant la seule contrepartie au gouvernement d'un camp contre les autres. Si in fine le centre a toujours raison, à quoi bon voter ? Décrétons le parti unique, ça ira plus vite. Vous répétez qu'il faut tenir compte du vote FN, et c'est très nouveau, carrément en leur laissant des places au gouvernement alors qu'un front anti FN clair et implacable s'est exprimé dans les urnes, et la seule présence d'éléments perçus comme plus radicaux dans un gouvernement, malgré toutes les concessions possibles, rend l'ensemble illégitime ? Absurde. Surtout que tout ce que je demande c'est qu'on laisse les gauche essayer de convaincre au centre. Même ça, ce si peu, juste une réunion, vous ne voulez pas en entendre parler. C'est de l'autoritarisme.
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C'est la raison pour laquelle je ne suis pas choqué qu'on ait attendu la fin de la session parlementaire de plein droit qui suivait les élections. Depuis ? Ah, non, l'urgence du mois de mai n'en est plus une. Ce temps aurait dû être consacré à des consultations pour amener les uns et les autres à s'entendre sur des compromis. Elles commencent demain, c'est très tardif. Trop. Et quelque chose me dit que ce n'est pas exactement l'objet des discussions de demain. S'il tombe ? Et bien il gère les affaires courantes pendant que le chef de l'État consulte les représentations de la motion de censure, et rapidement après on a un autre gouvernement. Au bout d'un moment, soit on trouve une sortie par le haut (réforme des institutions par exemple), soit on a une autre dissolution dans quelques mois. Je n'ai jamais dit que le régime parlementaire était parfait.
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Je ne retiens pas cet argument. Ce n'est pas une question de langue, c'est une question d'emploi de celle-ci. Les articles 2 et 3 que je cite sont des principes généraux qui donnent donc nécessairement lieu à interprétation face à un cas concret. Il est d'ailleurs fréquent que les juges (constitutionnels, administratifs et judiciaires) soient amenés à interpréter des textes. Ces deux articles ne sont pas la pour décorer. Ils cadrent tout ce qui suit. Et j'explique la raison pour laquelle elle n'y est pas. Parce qu'à l'opposé de la IVème République, la nomination d'un gouvernement dans la Vème n'est pas soumis à un vote d'investiture. Ce vote impliquait la notion de gouvernement démissionnaire dans la Constitution car il fallait garantir la continuité de l'État. Aujourd'hui, cette notion n'y apparaît pas. C'est le Conseil d'État qui a interprété pour reconnaître la légalité d'un certain nombre de décrets pris par un gouvernement démissionnaire. Les auteurs de la Vème n'ont pas envisagé qu'un président invoque un argument fallacieux pour reporter à l'excès cette nomination. Et toi même tu interprètes pour estimer qu'un gouvernement démissionnaire de deux mois n'est pas contraire au principe de continuité de l'État ni au principe selon lequel toute autorité émane du Peuple. L'article 8 doit donc être interprété non seulement comme un pouvoir, mais aussi comme une obligation. Non, je souhaiterais évidemment qu'il nomme Lucie Castets, mais pour appuyer cela j'invoque d'autres arguments. Ceux que j'avance là ne poussent aucunement à nommer unetelle plutôt qu'untel. Ils poussent à sortir de cette situation au plus vite, qui ne peut être qu'une situation transitoire. Poussons à l'excès : imaginons que Macron ou un de ses successeurs n'attende pas un ou deux mois mais douze. Dirais-tu qu'il n'y a là aucun abus de pouvoir ? Aucune tendance monarchique ? Aucune négation du scrutin ? Aucune entrave au principe de continuité de l'État ? À celui de la nécessaire légitimité démocratique d'une autorité ? Tu vois bien que cette situation n'est pas normale, et ne peut durer indéfiniment. La limite de temps est donc à déterminer en fonction de la situation politique qui implique ici de prendre quelques jours de plus pour procéder à des consultations et arbitrages, mais, factuellement, ce temps n'a pas été utilisé à ces fins. Non, c'est faux, des jurisprudences, il y en a en tous domaines, y compris constitutionnel. Non, là c'est de l'abus, c'est négliger nombre de principes généraux de la Constitution. Je n'en connais pas dans la classe politique française. Je vois un seul bloc fondamentalement autoritariste, et des tendances à monarchistes chez macron et ses derniers soutiens. Ce n'est pas mon propos même si je pense qu'il surestime ses capacités intellectuelles... Mais c'est un autre débat. Ta dernière phrase est triplement outrancière. Parce que tu me donnes des positions plus radicales que ce qu'elles sont. Parce que tu interprètes mon propos qui n'est pas ici de dire qu'il doit nommer madame Castets, mais nommer quelqu'un tout court. Parce que tu donnes à celui dont tu prétends qu'il serait mon maitre à penser des positions ignobles qui ne sont pas non plus les siennes. Pour faire dévier le débat par la provocation ? Ce serait du trollage. Et je trouve honteux de défendre des excès de pouvoir, et des dérives autoritaires, en diffamant. Même Louis XVI était plus démocrate que toi. Avais tu besoin d'apporter une nouvelle preuve de ton fanatisme, de tes tendances monarchistes, et de ton inconséquence ?
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L'article 2 de la Construction dispose que le principe de la république est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. L'article 3 dispose que la souveraineté revient au peuple, qu'aucune section ni individu ne peut s'en attribuer l'exercice et l'article 3 de la DDHC que nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'émane expressément de la Nation. Par conséquent, un gouvernement démissionnaire ne peut rester en fonction trop longtemps. Aucune limite de temps n'est inscrite, c'est vrai, mais comme toute norme, l'interprétation de ces articles doit conduire à nommer un nouveau gouvernement dès que possible. Par ailleurs, cette situation donne une marge de manœuvre nécessairement plus importante au président, ce qui va à contre sens de l'idée qu'une personne ne peut s'approprier à elle seule la souveraineté. L'article 5 charge le président de garantir la continuité de l'État, et en faisant grandir chaque jour le risque de shut down, il ne répond pas à cette charge qui lui incombe. Le même article le charge de veiller au fonctionnement régulier des pouvoirs publics, or, un gouvernement démissionnaire n'est pas, par construction, un fonctionnement régulier. Laisser duree cette situation va à l'encontre de cette obligation. L'article 8 enfin, le charge de nommer un gouvernement. Et là, l'analyse historique explique pourquoi il n'y a pas de délai. Parce que c'est un pouvoir propre du président. l'Assemblée a le pouvoir de renverser le gouvernement, certes, mais il ne s'agit pas pour autant d'une investiture contrairement à ce que prévoyait la constitution de 1946. Nul besoin, donc, de tergiverser éternellement. Que la situation particulière dans laquelle nous sommes amène à attendre que passe la session parlementaire de plein droit qui suit les élections, à procéder à des consultations, ou à estimer que la mission d'arbitrage du président s'interprète comme lui donnant le droit de se donner un délai, est totalement légitime. Mais force est de constater qu'il a laissé passer 7 semaines avant de consulter officiellement, en invoquant un prétexte complètement fallacieux. Cela a désormais assez duré.
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Il n'y a pas d'abus de pouvoir de la part d'Attal car ces lettres n'ont aucune portée normative. Le problème n'est pas ce que fait Attal, c'est ce que ne fait pas Macron. Ça fait un mois et demi qu'on a voté et Macron ne respecte pas ses obligations. C'est son devoir de nommer un premier ministre, d'assurer la continuité de l'État et de veiller au bon fonctionnement des institutions, donc de nommer rapidement un gouvernement. Macron apparemment. Mais qui n'a pas la capacité de s'auto saisir.
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En quoi ? Et ils sont représentés. Je parle du programme, tu me parles de personnes. Un programme qui propose des droits selon des conditions de papiers et des papiers sur des conditions ethniques est fondamentalement raciste. Jusqu'à très récemment, dénoncer le racisme de l'extrême droite faisait l'unanimité de l'extrême gauche à l'UMP. N'importe quoi. Pour la gauche, et bien largement au delà de la FI, les logiques capitalistes sont conduites uniquement par des recherches de profits personnels à court terme quitte à piller les ressources naturelles, à rendre la planète inhabitable d'ici quelques décennies, à créer et entretenir la précarité de ceux qui travaillent... Considérer comme aussi dangereuse l'idée de demander aux nantis de contribuer un peu plus pour éduquer nos enfants et soigner nos malades dans de bonnes conditions qu'un programme intrinsèquement raciste est affligeant. Il n'y a que pour eux que tu avances cet argument. Ils sont représentés, avec tous les pouvoirs qu'offrent la constitution de deux groupes parlementaires dans une majorité très relative. Jamais il ne t'est venu à l'idée de dire que tous ceux qui n'avaient pas voté Macron en 2017 ou en 2022 devaient avoir voix au chapitre. Tu deviens parlementariste ou tu t'es radicalisée ?
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C'est faux, c'est juste que pour une raison qui m'échappe tu fermes les yeux sur le résultat du second tour. Je ne comprends pas la question.
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Dans Libé, une tribune de Jérémy Afane Jacquart, avocat, qui avance des arguments posant les bases légales sur lesquelles pourrait s'appuyer une procédure de destitution. Des arguments assez différents de ceux du clan Mélenchon qui interprète pour sa part la constitution pour contraindre Macron à nommer Lucie Castets et personne d'autre. M. Afane Jacquart retient les dispositions des articles 2 et 5 de la Constitution que, selon lui, Macron viole par sa posture d'attente, en tardant excessivement à nommer un gouvernement et en laissant la gestion des affaires courantes à un gouvernement devenu illégitime. Il argue que la notion d'affaires courantes ne relève pas du droit constitutionnel, mais administratif et qu'en ce sens, la Constitution oblige le président à nommer un premier ministre. Quitte à ce qu'il soit rapidement renversé.
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Ça n'a rien à voir. On a d'un côté un parti qui n'a plus aucune conviction sur rien quand il ne s'agit plus d'immigration, de l'autre des différences de degré entre différentes composantes d'une coalition où tous s'accordent à dire qu'il est particulièrement injuste de faire reposer l'intégralité de l'effort sur le travail quand le capital s'empiffre. Quel aveuglement ? Je ne le nie pas, j'affirme seulement que le résultat du second tour les disqualifie pour gouverner. Il n'en reste pas moins qu'elle est la seule à n'avoir pas perdu. Il y a eu un tour anti Macron et un tour anti le pen. In fine la gauche a plus de députés que l'une ou l'autre des deux autres coalitions et la majorité absolue au bureau de l'AN. Pourquoi écrire cette phrase l'indicatif ? Le conditionnel eut été plus approprié. Mouais... Sauf que le programme n'est en rien anti libéral ou anti capitaliste. Il est réformiste, social-démocrate. Cela reviendrait donc à dire que les insoumis se sont ralliés à toutes les thèses du PS ? Que le PCF soutient, que les verts sont nombreux à soutenir que bien des gens comme Arnaud Montebourg ou Jean Michel Baylet ont aussi soutenu. Même Bayrou l'a soutenue. Et ceux qui ne la soutiennent pas sont souvent favorables à plus de représentativité, plus de parlementarisme, plus d'indépendance du premier ministre à l'égard du président de la république, plus de participation citoyenne, plus d'indépendance de la justice. Donc là encore, différences de degré mais pas tous vont dans la même direction.
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https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/la-dette-de-la-ville-de-paris-ne-concerne-t-elle-que-son-budget-d-investissement-et-non-de-fonctionnement-comme-l-affirme-lucie-castets_6643104.html
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Parce que je trouve que parler parti est un parfait non sens. et toi, pourquoi t'acharnes-tu à ne pas les voir? Il n'y a rien à voir. Le seul élément structurant c'est le rejet de l'immigré. Ils sont hyper fluctuants sur tout le reste. À part leur racisme ils n'ont aucune conviction. Idiotie répétée en boucle par l'éditocratie.
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Même additionnées les voix qu'ils obtiennent sont moins nombreuses que le nouveau front populaire. Par ailleurs ils sont partis séparément aux législatives et ton "si..." n'est qu'une hypothèse qui n'est pas à l'ordre du jour. Dans un premier temps le NFP est plus légitime. Dans un second temps, s'il ne parvient pas à convaincre une majorité absolue de ne pas le renverser, il faudra évidemment chercher une majorité alternative. La chercher dès aujourd'hui relève d'une négation du résultat des urnes. Juste une chose... Pourquoi me poser sottement une question à laquelle j'ai déjà dû répondre environ 200 fois ? Non, tu nies le résultat du second tour. Mon argumentaire, c'est que chacun des deux tours a fait l'objet d'un vote contre l'un des blocs et que le NFP parvient ainsi à se faufiler. Le second tour ne laisse aucune place à l'interprétation. Personne n'en veut. Pourquoi t'acharnes tu à les défendre ? T'as voté pour eux ? Non. Elle n'a changé que la devanture. Les memes horreurs sont toujours dans l'arrière boutique. Et tous ceux qui ne votent pas pour elle ont montré qu'ils faisaient front contre elle. Donc populaire... Non.
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Ah donc Macron a la recette de l'argent magique, cette vermine de rmistes à cause de qui les millionnaires ne peuvent même pas être milliardaires... Ta haine du pauvre n'est pas supérieure à la haine de l'étranger des fachos. Et toi donc ! Et ce l'autre qui n'intervient que pour balancer une connerie sur un post qui ne le concerne pas ? Venant de toi, cette remarque est hilarante
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Puisqu'un troll qui n'a rien à dire sur le sujet vient se mêler de ce qui n'est même pas un conflit entre nous... Tu as sûrement voulu écrire LR et non RN, mais j'ai quand même douté puisque par la suite tu agglomères les voix en faveur des fachos et celles en faveur du reste de la droite... Après je ne donnerai pas l'étiquette de centristes à des gens comme Wauquiez qui était très pote avec Ciotti alors que les positions de celui ci étaient déjà d'extrême droite. Ni à Darmanin d'ailleurs qui se prête aussi jeu consistant à courir derrière le Pen.
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Tu réponds encore à côté de la question posée. Pour info, sur l'eau et l'énergie, il ne s'agit que des premiers watts et mètres cubes avec un prix progressif. C'est faire payer ceux qui gaspillent les ressources pour garantir la dignité des gens sobres. Et non, les très fortunés ne gagnent pas leur vie en bossant, bien au contraire. C'est toi qui défends les assistés. Et sinon j'attends toujours de savoir dans quel cul de vache Bruno Lemaire va trouver l'argent pour redresser l'école et l'hôpital tout en réduisant les déficits et en baissant les impôts.
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On en parle de ceux qui veulent baisser les impôts, en même temps réduire le déficit, en même temps redresser les services publics ? Tu ne nous as jamais dit où ils trouvent l'argent ?
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Numériquement, mais politiquement je ne suis pas de ton avis. Le en même temps est essoufflé, alors un en même temps élargi à gauche et à droite n'est pas viable. La politique aussi visiblement. Celui des profiteurs et des opulents. Non Ils sont hyper fluctuants sur tous les sujets. La seule constante, c'est le racisme. Revenir sur les abus et combattre la précarité c'est pas dans leur logiciel. Je pense que vous de gauche un jour par semaine et que ça tombe aujourd'hui.
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Je tente d'interpréter puisque tu entretiens volontairement le flou. Je suis sûr que c'était une faute de frappe que tu as mis le RN dans le centre droit. Mais il a fallu que je te titille, et te signale par deux fois qu'additionner ensemble et le RN est ânerie pour que tu reconnaisses qu'une telle coalition n'a pas de sens. On se retrouve donc avec trois blocs, tous minoritaires et entre lesquels aucun accord de gouvernement n'est possible à moins d'une scission. Le gouvernement doit donc revenir à la plus forte des trois minorités, la seule que les urnes n'ont pas combattu, celle qui a plus de députés que chacune des deux autres, celle qui est majoritaire au bureau de l'Assemblée. Et le pouvoir législatif doit être rendu au parlement qui trouvera des majorités de projets.
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Parce que l'étiquette que se donnent ces députés en rejoignant l'un ou l'autre des groupes parlementaires NFP m'importe davantage que l'étiquetage qu'a fait le ministère de l'intérieur. Parmi les divers gauche, il y a des ex insoumis dont Mélenchon a voulu se débarrasser. Parce qu'ils ont préféré siéger comme non inscrits ou chez LIOT. Tu maintiens donc un appel à une coalition entre fachos et libéraux ? Tu fais déjà semblant de croire qu'il y a une unité et une ligne cohérente au sein du seul bloc ensemble, ou au sein de LR, tu nous inventes maintenant une passerelle naturelle entre les partis qui se faisaient face à la présidentielle et au second tour des législatives dans nombre de circonscriptions... Comme si les votes RN n'étaient pas pour la plupart de l'anti macronisme primaire, comme si les élus ensemble ne devaient pas leurs sièges aux voix de la gauche. Reconnais ton erreur : même en additionnant les voix en faveur d'ensemble et celles en faveur d'un candidat LR (exercice déjà contestable, mais admettons) y a eu moins de voix en faveur du bloc libéral qu'en faveur du bloc de gauche. Et le résultat du second tour est encore plus net : les francais rejettent encore massivement l'extrême droite. Elle l'est relativement, que ça te plaise ou non, sa coalition comporte plus d'élus que les autres et obtient la majorité au bureau de l'Assemblée. Un gouvernement n'a jamais représenté le vote de l'ensemble des français. Il a toujours été l'émanation de la majorité , même relative. Vous nous pondez une règle de nulle part par pur opportunisme. Je le dis, je le reconnais, je l'assume : c'est tirer par les cheveux que de dire que la gauche a gagné, mais elle est seule à n'avoir pas perdu et a réussi à se faufiler entre un vote essentiellement anti Macron au premier tour et un vote essentiellement anti le Pen au second. C'est sans rapport avec le projet de politique générale exécutive qui concerne les réformes d'ordre réglementaire, la gestion de l'administration, la réactivité face aux urgences, la préparation des budgets, les relations avec le Parlement.