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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Macron renonce à sa future retraite de président + autres indemnités de 13500€ par mois !
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Fuck Them All dans Politique
et bien si môssieur le président veut des remerciements, il pourra se gratter. -
Macron renonce à sa future retraite de président + autres indemnités de 13500€ par mois !
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Fuck Them All dans Politique
On est censés dire "merci" ? -
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Impossible. C'est l'un ou l'autre. Macron a choisi, moi aussi. Il ne la remboursera jamais. Attention, tu vas te faire traiter de grand méchant communiste
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On te renvoie ton conseil. J'ajouterais juste une majuscule à "histoire", ce qui élimine les Franck Ferrand et autres fabulateurs, cela va de soi.
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Attention à ne pas tomber dans le gouvernement des juges. Leur pouvoir doit rester encadrer. J'avais ouvert un sujet sur la question de l'indépendance de la justice. Le parquet ou ministère public représente une partie lors d'un litige. En plus des parties accusée et plaignante, il représente la société, et doit encourager les juges à appliquer la politique pénale définie par le pouvoir exécutif. Partant de là, je ne pense pas qu'il soit souhaitable qu'il jouisse d'une indépendance comparable à celle du siège. Toutefois, il me paraitrait bon que les magistrats du parquet soient nommés après avis conforme du Conseil supérieur de la Justice, et que ce même Conseil constitue l'unique instance disciplinaire des magistrats. Que la dépendance vis-à-vis du Gouvernement ne devienne pas soumission. Par ailleurs, je propose que ce Chancelier que je propose de créer, ait le pouvoir de saisir un juge d'instruction pour diriger une enquête, de sorte que le parquet n'ait plus l'exclusivité.
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Je ne vois pas ce qu'il y a de complexe. Des personnes aptes à juger des compétences proposent des candidats, l'instance représentant le pouvoir judiciaire émet son avis, la représentation nationale approuve, mais comme toute décision parlementaire, une commission dégrossi le travail en amont, et celui qui est sensé "assurer par son arbitrage le fonctionnement régulier des pouvoirs publics" choisi à la fin.
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Je ne suis pas sûr que nous ayons besoin d'une Cour suprême. C'est peut être pas plus mal de dissocier la Cour constitutionnelle et la Cour de Cassation. Le mode de nomination des membres du Conseil constitutionnel était adapté aux pouvoirs qu'avait le Conseil en 1958, mais ses pouvoirs se sont accrus, surtout depuis la révision de 2008. Il conviendrait en effet (et je n'ai entendu aucun juriste dire le contraire) de revoir ces modes de désignation, à commencer par supprimer les membres de droit que sont les anciens président de la République. Proposition : 1) Les membres sortant de la Cour constitutionnelle, les anciens présidents de la République, les anciens conventionnels (je propose de séparer le pouvoir constituant des autres pouvoirs), le président de la Cour constitutionnelle, le Chancelier (je propose cette nouvelle fonction pour séparer le pouvoir judiciaire de l'exécutif), les magistrats à la Cour des comptes, les magistrats à la Cour de Cassation et les présidents des Cours d'appels peuvent parrainer les candidatures de ceux qui voudraient intégrer la Cour constitutionnelle. 2) Une liste des candidats est établie. L'ordre des candidats sur la liste est fixé par tirage au sort. 3) Le Conseil supérieur de la Justice et une commission parlementaire examinent les premières candidatures et émettent un avis. 4) En séance, le Parlement vote pour approuver ou rejeter les candidatures. Ne sont conservées que celles qui sont approuvées à la majorité des deux tiers (majorité trans-partisane). 5) Par arbitrage, le président de la République nomme les membres de la Cour constitutionnelle parmi les candidatures transmises par le Parlement.
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Le saviez vous ? Le cout du social en France est égal au budget militaire des U.S.A
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans France
Rémunérer le travail, c'est rémunérer le mérite ; dépenser dans le social, c'est subvenir aux besoins. Qui s'engraisse illégitimement sur le dos des autres ? Pas ceux qui galèrent avec le RSA, mais les capitalistes qui sucent le sang des entreprises ! L'Etat n'a de raison d'exister que pour protéger tout le monde à commencer par les plus faibles -
Le saviez vous ? Le cout du social en France est égal au budget militaire des U.S.A
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans France
Et après une rapide recherche, on voit, sans surprise, qu'il n'y a rien de comparable : Les Etats Unis -dépensent plus de 600 000 000 000 de dollars en 2016 dans leur budget défense ; La France dépense en 2019, 488 000 000 000 d'euros en 2017 dans la sécurité sociale. https://www.legifrance.gouv.fr/eli/loi/2018/12/22/CPAX1824950L/jo/texte https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_dépenses_militaires -
Le saviez vous ? Le cout du social en France est égal au budget militaire des U.S.A
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans France
1) Pas une seule source 2) Pas de date 3) Manipulation douteuse des chiffres 4) On n'a aucune idée de ce qui rentre dans le "coût social" 5) Part du principe qu'un 1 dollar = 1 euro Bref, ça pue l'intox. Au delà de ça, quant bien même tu démontres que la France fait mieux qu'un autre pays, cela ne justifie pas la casse de l'Etat, des services publics et de notre protection sociale. -
Sûrement pas, ce serait contraire au principe de séparation des pouvoirs. Pour moi, dans un Etat unitaire décentralisé, les territoires ont vocation à être représentés au sein d'une assemblée uniquement consultative, aux côtés des autres corps intermédiaires (une évolution du CESE). Pas compris. Le ---mien--s, ---il --fait -----ça Du coup, je suis contre le sénat, mais pour une chambre haute dont j'ai déjà donné les objectifs. Pas tout compris, seulement je suis très clairement hostile au fédéralisme, comme je l'ai précédemment expliqué, et d'ailleurs vous sembliez d'accord. Y a-t-il des pays fédéraux qui ont un régime monocaméral ? J'ai dit pour ma part que j'étais pour le bicamérisme. Pas compris. C'est pas l'objet des réformes de 2016 et 2017 contre lesquelles je me suis battu ? Toujours des questions, des questions, pas de contexte, pas d'analyse, pas de constats, pas de problématiques, pas d'objectfs, pas de ligne philosophique, pas d'argumentation.
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J'assume le biais idéologique, fondé sur les Lumières notamment, et particulièrement Rousseau. Je ne souhaiterais en aucun cas que les institutions bloquent un gouvernement conservateur, si la ligne politique de ce gouvernement correspond aux souhaits des Français. Mais il me semble anti-démocratique que l'inverse s'applique, et c'est à peu près ce qui se passe en ce moment. Parmi les ancêtres du sénat, on trouve le conseil des anciens du Directoire, ou la chambre des pairs de la Restauration. Plus près de nous, vous n'ignorez sûrement pas que lorsque la IIIème République est née, c'est (paradoxalement pourrait-on dire) une majorité royaliste qui s'est dégagée des urnes. Le conflit entre légitimistes et orléanistes a abouti à l'acceptation d'une république qui n'aurait dû être que temporaire. La création d'une chambre dont les membres seraient désignés de façon à ce que cette chambre soit remplie de "gens de bien", fut une concession accordée à cette majorité royaliste. Et cette chambre existe toujours. Et encore une fois, elle est un empêchement, ou du moins un frein à l'application du principe démocratique selon lequel "une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures". Ainsi, c'est votre droit le plus strict d'estimer que l'inertie est une vertu, mais reconnaissez que cette position que vous prenez est tout autant que la mienne, l'aboutissement de principes philosophiques, donc partiale et idéologique. Vous savez que le scrutin à deux degrés favorise, plus encore que le scrutin à un degré, la désignation d'élus socialement favorisés. Il est un intermédiaire entre le suffrage universel et le suffrage censitaire que je devine dans vos aspirations. Que les aspirations de la chambre basse soient tempérée par une chambre haute, encore une fois, cela me semble sain. Cela permet d'avoir un autre regard sur les lois et les politiques publiques, et constitue un contre-pouvoir qui me paraît essentiel. Du reste, je dois reconnaitre une moindre discipline des sénateurs quant aux consignes de votes des partis. En effet, à l'assemblée l'article de la Constitution mentionnant "tout mandat impératif est nul" n'est dans les faits pas respecté. Toujours est il que vous n'objectez aucun contre-argument à quelques uns des vices du sénat que je dénonce. Sur la question du fédéralisme et de la décentralisation, je ne vois pas de problème à ce que des unités régionales se créent pour autant qu'elle ne se substituent pas à l'unité nationale. Que le budget et le champ de compétences des régions ou autres échelons soit revu à la hausse n'est pas non plus un problème, si on me dit clairement quelles compétences ces échelons devraient se voir déléguer. Mais ce budget doit provenir, pour une part importante, de dotations de l'Etat, et pour une autre part d'impôts dont la nature et l'assiette doivent être déterminés par l'Etat, et dont les collectivités doivent rester libres de fixer le taux. Sans cela, c'est un pas vers le fédéralisme, et tous les vices qu'il présente et que j'ai précédemment dénoncés.
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Le Sénat, cette chambre qui a toujours été de droite (à l'exception d'une parenthèse de trois ans, mais où il s'agissait d'une gauche d'un rose bien pâlichon). Vous voyez de la sagesse chez lui, moi je le vois troller. Il a été institué pour mettre des bâtons dans les roues des gouvernements potentiellement progressistes. C'est la raison de son existence. N'était-ce pas lui qui avait bloqué le droit de vote des femmes ? Je ne vois pas du tout en quoi en il représenterait une "réalité". C'est une maison de retraite pour politiciens épuisés, plus capables de se faire élire au suffrage universel. Et on apprend en ce moment qu'il s'octroie lui-même des privilèges grotesques, notamment sur les retraites (s'il n'y avait que cela). Je ne suis pas favorable pour autant au monocamérisme. L'existence d'une chambre haute me semble un contre-pouvoir indispensable, surtout si on veut sur-représenter la majorité à la chambre basse pour motif de stabilité. Mais le sénat ne remplit pas correctement cette mission. Lorsque sa majorité est différente de celle de la chambre basse, il va faire de l'obstruction, ralentir l'adoption de textes, et comme l'assemblée sait qu'elle peut avoir le dernier mot en ce qui concerne les lois ordinaires, elle peut s'opposer frontalement au sénat, ne tenir aucun compte de ses propositions. Pour ce qui est des lois organiques et lois constitutionnelles, c'est encore pire, car là, le sénat est tout aussi puissant que l'assemblée, et peut empêcher l'application du principe selon lequel "une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures" (principe qui n'a certes pas de valeur juridique, mais que tout démocrate devrait reconnaitre). Et, si la majorité est de la même couleur politique dans les deux chambres, il ne constitue plus du tout un contre-pouvoir. Il faudrait un "bicamérisme rationalisé". Je suis favorable à une chambre haute constituée de citoyens tirés au sort, qui n'aurait pas l'initiative des lois ordinaires, qui n'en voterait pas non plus les termes, mais qui pourrait dans un premier temps être consultée pour faire part de ses avis et propositions, dans un second temps demander une nouvelle délibération sur tout ou partie du texte, puis une fois le texte adopté par la chambre basse, il serait soumis à l'approbation des deux assemblées réunies en Représentation Nationale. Je dois avouer que sur votre deuxième paragraphe, je peine à vous comprendre autant que je peine à comprendre certaines contributions de Mig72.
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Je voulais répondre à Francelibre qui dit que l'abstention est un moyen de ne pas se faire avoir. Je réponds qu'effectivement, seul un tyran pourrait envisager de gouverner s'il est élu par 3 millions d'électeurs sur 50 millions. Donc, en effet, si nous nous abstenons massivement, nous pouvons contrecarrer les plans d'un candidat, même s'il est élu. En revanche, individuellement, le fait de s'abstenir ne protège en rien contre les politiques menées.
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Il faudrait qu'elle soit bien massive pour annihiler leurs pouvoirs. Je me contente de la pratiquer au second tour lorsque les finalistes ne me plaisent pas. En attendant, j'ai beau ne pas avoir voté Macron, je subis sa politique.
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Tu me diras comment tu fais.
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On a au moins le droit choisir notre violeur. Et puis, peut-être qu'il y en a qui nous offrirait autre chose.
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Le problème est double. D'abord, il n'existe aucun moyen pour le citoyen d'intervenir directement dans la politique. Sa Souveraineté ne peut qu'être déléguée à des gens qui appliquent leur programme si ça leur chante. Ensuite, l'élection du président au suffrage universel, combiné à son pouvoir propre et quasi discrétionnaire de dissoudre l'assemblée et au mode de scrutin majoritaire aux législatives engendrent un système politique pyramidal qui lui confère pratiquement tous les pouvoirs. Finalement, une majorité relative désigne un homme qui décidera pratiquement tout seul d'un programme politique, sans qu'il n'existe de véritable contre-pouvoir.
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Ce qui signifie ? Je doute fort que l'Ile de France puisse être autosuffisante. La question est de savoir quelles compétences sont déléguées à quelles échelons. Mais cela nous éloigne bien de la question du parrainage des candidats aux élections présidentielles.