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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Si tu regardes mon échange avec @Easle tu verras que non. Mais je suis vraiment en train d'essayer de convaincre quelqu'un qui ne doute pas que nos institutions fonctionnent on ne peut mieux ?
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Je crois que Philippe Poutou a plus de chances.
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Je mets l'aide soignant et le chirurgien dans le même sac des travailleurs. Les scop qui marchent bien ça existe, et les sociétés anonymes qui se cassent la gueule et licencient à tours de bras aussi. Pour défendre une réforme qu'on sait aussi injuste, impopulaire, absurde et inutile devant des parlementaires chauffés à blanc, il faut avoir du courage, c'est certain. Le plus gros lâche dans toute l'histoire s'appelle Laurent Wauquiez.
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Les Fralib, c'est un échec ? Et puis ne viens pas me la jouer : des catastrophes industrielles dans le monde capitaliste, ce n'est pas rare. Au fond, ça sert à quoi un patron ? Le travailleur est trop débile pour organiser son travail ? Et bien initié par l'exécutif, délibéré par le Parlement, avec les conseils d'anciens élus, d'universitaires et de citoyens tirés au sort et conclu par référendum. Si, bien sûr. Ai je dit le contraire ? Je parlais ici de mon côté personnel. Je ne ferai pas partie de ces 40%. Ils ne sont ni synonymes ni antonymes. Sauf peut-être pour les royalistes et les anarchistes. Moi non plus, tu me paraphrases, là Le référendum d'initiative citoyenne ? Je suis pour si entre l'initiative et le référendum, il y a une étape de délibération. Peut-être que si la réforme institutionnelle était mise à l'ordre du jour, ce genre de dispositifs pourrait être ajouté. Oui, ben après il y a la règle et l'usage qui en est fait. En 2019 ou 2020, lors de la première tentative de réforme des retraites, Dominique Rousseau défendait le recours au 49.3 qu'il fustige aujourd'hui. Il y a d'autres explications qu'un simple volte face. Un contexte politique et social différent, par exemple. Une réforme qui rende leurs places au premier ministre et au parlement, qui instaure des outils d'intervention directe des citoyens, qui garantisse un peu plus d'indépendance de la Justice. Je pense qu'on peut trouver une majorité là dessus et au Parlement, et dans l'opinion. Les mêmes qui s'insurgent contre des tags ou des coupures de courant se félicitent d'un pouvoir qui attaque physiquement l'opposition ? Et encore un pas de franchis vers le despotisme. Il est pourtant clair qu'avoir appartenu au parti socialiste n'est pas un gage de gaucherie.
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À part sur deux ou trois sujets de société, la macronie c'est la droite de droite qui rassemble un centre qui n'est ni de gauche ni de gauche, des gens droite qui n'avaient adhéré à un parti de gauche que par opportunisme et des gens de droite qui ont compris que le gouvernement Valls menait très exactement leur politique. Pradié est tout ce qu'il reste un peu du gaullisme, courant qui n'est pas si favorable que ça à la mondialisation et au capitalisme effréné. Et puis c'est quelqu'un que j'ai découvert il y a cinq ans lorsqu'il portait un amendement que les macronistes ont rejeté comme un seul homme, engendrant un joli coup de gueule du camarade Ruffin. Si, en autogestion. Parce qu'ils n'ont jamais eu vocation à prédire les résultats électoraux ? Dans un sondage, il faut se méfier de la formulation de la question, avoir conscience de la marge d'erreur, mais quand une série de sondages donne la même tendance, c'est qu'ils ne doivent pas être loin de la réalité, à quelques points près.
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D'où la nécessité d'un nouveau pacte démocratique. De ne pas laisser l'ultra droite s'imposer ni aider l'extrême droite arriver au pouvoir, c'est être radicalisé ? Au PS, Boris Vallaud me semble crédible. Et des gens comme Ugo Bernalicis ou Aurélie Trouvé à la FI ne sont pas dans l'outrance. Mais globalement, je te rejoins. Parce que la IIIème et la IIème n'étaient pas des régimes d'assemblée. On pourrait remonter à la Ière sous la Convention sinon, mais ce serait une comparaison sans aucun sens. Ne restait que la IVème. Mais du coup, la RFA est une dictature selon toi ? Je me projetais au delà. La majorité actuelle est surtout une mise en minorité qui n'a résisté que parce que les oppositions manquaient de crédibilité d'une part, parce que le calendrier électoral étouffe la campagne législative et demobilise ceux qui n'ont pas voté pour le vainqueur de la présidentielle et parce que la guerre en Ukraine a engendré un choc, encourageant nombre d'électeurs à préférer miser sur la continuité. La "majorité" a un permis de gouverner légal, mais pas politique. Faire pression, oui, je suis entièrement d'accord. À voir jusqu'à quel point... Quand l'Assemblée le demande. Sinon, c'est un plébiscite et ça devient une dangereuse perversion. Là encore, il y a un juste milieu entre le gouvernement de la foule et faire comme si la contestation n'existait pas tout en malmènent le Parlement à ce point. Mais là, à mon avis, la réponse ne se trouve pas tellement dans la loi fondamentale. Donc le retour à la IVème. Là encore, entre le régime d'assemblée et une rationalisation brutale du parlementarisme qui mène à sa totale marginalisation, il y a un juste milieu. Suspendre ce projet de loi me semble en effet un préalable à toute discussion et démarche d'apaisement. Après virer Borne, pourquoi pas, mais on met qui à la place ? On sait qu'une dissolution serait un suicide politique et que Macron ne le fera pas. D'ailleurs je suis à peu près certain que contrairement à ce qu'ils prétendent, aucun opposant ne veut la place à cette heure. Pour ça que je propose une solution qui me semble gagnante pour tout le monde : suspension de la réforme des retraites, mise à l'ordre du jour de la réforme institutionnelle, gestion des affaires courantes par le gouvernement et qu'on laisse travailler les parlementaires pour les autres réformes.
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Pas moi. Un candidat d'ultra droite, je voterai toujours contre lui. Entre un Modem et un RN, je choisis le Modem. Avec un LR... Si c'est un néolibéral ou un extrême droiteux, pas la peine. Un Pradié, en revanche, pourquoi pas sur un 2nd tour.
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Si les votes de @PASCOU sont bien connus sur ce forum (et d'ailleurs, droite extrême et non ultra), jamais il n'a tenu de propos raciste. Il est pour moi un adversaire avec qui la discussion est possible, comme l'es Jacquie chez les centristes. Et puis en ce qui me concerne, je n'ai pas l'impression que nous soyons en parfaite symbiose, car une des pistes que j'avançais pour trouver des sous pour les caisses de retraite était la régularisation immédiate de tous les travailleurs sans papiers. Et c'est là que je me retrouve en symbiose avec toi, Juliette, Anatole et Soisig : il n'y a pas de majorité alternative.
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Mais bien sûr. Je vais en enfer si je n'adresse pas mes prières quotidiennes à Sa Sainteté Roux-de-Bézieux, qui a l'immense générosité de créer du travail... Sans salariés, pas de profit. Sans demande, pas d'activité économique. Sans salaires, pas de demande.
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Ben le President ne peut pas parler devant une seule chambre. Et puis il l'a fait pour se vanter de sa merveilleuse politique, en prononçant ce qui avait des airs de politique générale (montrant ainsi le mépris qu'il a pour le premier ministre), dans un exercice quasi masturbatoire ; il peut y prendre la parole pour présenter des pistes d'assouplissement de sa façon de régner en vue de résoudre une crise politique qui est en train de s'enliser et qui risque d'emporter la Vème.
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À la Nation ? À 13h ? Il va parler aux retraités. S'il avait voulu envoyer le signal comme quoi le Parlement compte, il se serait exprimé devant le Congrès.
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Deux meilleures années de retraite qui deviennent les deux pires années d'activité. Et ce n'est pas seulement un refus de travailler plus, la question est aussi de savoir pourquoi ? Parce que le gouvernement a d'autres priorités budgétaires : faire de nouveaux cadeaux fiscaux au patronat. C'est ça que les deux années de galère supplémentaires doivent payer. Et deux années pour qui ? Pour ceux qui triment le plus, les premiers de corvée, ceux qui ont tenu le pays à bout de bras pendant la crise sanitaire. Ceux qui étaient déjà dans un état de malheur au travail, qui voient les collègues démissionner les uns après les autres... Il fallait commencer par s'interroger sur le sens du travail aujourd'hui, les tâches débiles qu'on demande de plus en plus aux une et aux autres... Et l'inflation qui couronne le tout, cette idée que le travail ne paie plus. À cela s'ajoute un refus catégorique du gouvernement de négocier quoi que ce soit, un contournement du parlement sans précédent, et des mensonges. Et quand on sait que la légitimité électorale de Macron et de la "majorité" fait défaut... Ces manifestations, et leur radicalisation n'ont rien d'étonnant. Elles étaient largement prévisibles. Elles étaient même déjà prédites.
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À un gouvernement de gauche ? Ça ce n'est pas évident. Il n'est pas exclu que le Conseil constitutionnel censure tout ou partie du texte en pointant le recours à un véhicule législatif qui n'est pas destiné à ce type de réforme et une accumulation des procédés pour éviter le débat parlementaire qui conduit à douter de sa sincérité.
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Un régime parlementaire sans ce type d'outils, c'est un régime d'assemblée tel que la France l'a connu sous la IVéme République. Et quelle démocratie serait un régime dans lequel une majorité élue n'aurait aucune marge de manœuvre ? Si on vote pour une majorité qui se retrouve pieds et poings liés, c'est l'immobilisme et la crise politique s'enliserait. Ces outils (domaine de la loi circonscrit, irrecevabilité, vote bloqué, ordonnances, 49.3, procédure accélérée, ordre du jour parlementaire fixé essentiellement par l'exécutif, etc.) ne doivent pas être balayés, mais adoucis. Où ai-je écrit qu'il était légitime à changer la Constitution tout seul ? Il doit le faire dans le respect du droit, via l'article 89 de la Constitution, et si possible en éclairant le législateur constituant avec une convention citoyenne tirée au sort, et finaliser la procédure par un référendum. D'ici là, que le gouvernement gère les affaires courantes et laisse les parlementaires examiner leurs propositions de loi. Je ne vois pas d'autre issue heureuse à cette crise.
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Il n'a jamais appelé à la violence, c'est de la diffamation. C'est vous qui êtes violents et vous ne vous en rendez même pas compte.
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Désolé, mais quand on se fait bombardé de lacrymo et menacer avec des LBD on est logiquement plus prompts à chanter "Police nationale, milice du capital" qu'à dire "merci".
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ça n'est pas dans la logique parlementaire.
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Dans les données que le gouvernement a transmis au COR, l'équilibre est prévu jusqu'à la fin du mandat.
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Toi tu n'es libérale que quand ça t'arrange. Quand ton gouvernement adoré est sur la sellette, les méthodes de l'extrême droite ne dérange plus vraiment. C'est ce qu'on appelle un traître. Ils n'en ont pas. Ah, si, ils veulent rassurer Bruxelles et les agences de notation. Le reste n'est que mensonges. Mais il n'a pas forcément tord non plus.
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Il a dû écouter le mauvais conseiller, celui qui prétend que juste après une élection, on a l'onction du suffrage qui autorise les réformes impopulaires. Sauf qu'en réalité, comme pour les régionales, il n'y a pas eu de campagne pour causes de crises graves, donc prime au sortant. Mais sa Cour a été en grande partie balayée. Pourquoi ? Trop prétentieux comme personnage pour chercher une cause dans sa façon de régner. Et badaboum. Le fameux "en même temps"...
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Mais celui là est nettement plus intelligent que celui qui saturait l'espace médiatique il y a un an. ça reste du calcul politique. Bardella sait que certains LR hésitent car ils risquent de perdre leur siège. Le problème, c'est que ceux qui sont habituellement proches du rassemblement nationaliste, Ciotti en tête, soutenaient la macronie sur les retraites. Alors que Pradié n'a jamais fleurté avec les thèses identitaires. Pas que. Cette réforme est mal ficelée, la sincérité des débats est en cause, on a des absurdités comme une durée de cotisation qui dépend de si vous êtes né l'année n ou n+1 et si vous êtes né l'année n+2 vous cotisé autant que les premiers... Et puis peut être réalisent-ils que le report de l'âge légal est vraiment très injuste et qu'ils proposent l'allongement de la durée de cotisation, qui est un peu moins brutal. Je crois qu'il s'agit surtout de griller le chef qui vient d'être élu pour lui succéder. Et tuer Wauquiez avec.
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Ils rejouent le congrès. Et puis certains savent qu'ils seraient battus en cas de dissolution.
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Aussi. ce que tu dis n'a aucun sens.
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La pension qui leur est versée, c'est ce qui leur a été promis. Personnellement ça me pose un problème. En revanche, une petite augmentation de la CSG pour les retraités dont le niveau de vie atteint un certain niveau me semble juste quand on sait que le niveau de vie moyen du retraité est supérieur au niveau de vie moyen des actifs. Ce serait une partie de la solution. Il y a de nombreuses autres pistes.
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Sauf que je cherche pas à "psychologiser" tes dires
