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Bayard

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Tout ce qui a été posté par Bayard

  1. Mouais, si vous le pensez...disons que ce n'est pas tout à ma vision des choses. L'homme n'est pas un animal comme les autres selon moi. As-t-on vu un animal s'interroger sur sa présence sur terre ? Il est vrai aussi qu'il a d'autres préoccupations et besoins que ceux de l'homme. Et puis pour tout vous dire, je n'ai pas eu l'occasion de m'entretenir avec un corbeau ou maître renard sur des problèmes métaphysiques qui les envahissaient.
  2. Ne me considérant pas comme une personne intelligente, je ne saurai affirmer quoi que ce soit. Étant par nature spéciale, je dirai que l'homme peut être génial, comme il peut être cruel pour des raisons multiples et diverses. Pulsions, instinct, émotions, contradictions, c'est aussi ce qui fait un homme non ?
  3. Vous êtes d'autant plus excusé, que autant j'ai toujours beaucoup de plaisir à échanger avec des forumeurs capables de reconnaître leurs erreurs et à l'esprit ouvert, autant, il me déplaît de perdre mon temps avec ceux qui veulent avoir raison hic et nunc, même quand on leur prouve qu'ils ont tort. Je n'y vois aucun intérêt. Et par charité, je vous ferai grâce de ne pas revenir sur la vulgarité de votre expression. L'élégance et la courtoisie sont aussi parties prenantes du dialogue...
  4. Lacan a parfaitement raison. Je suis donc sûr que vous saurez suivre cet excellente réflexion. Et ce n'est pas l'ambition d'avoir le dernier mot ou je ne sais quelque rancune qui vous feront dévier de cette conduite....
  5. Ce que vous écrivez, ne tient pas à un système à mettre en place, mais à changer la nature humaine. Je vous souhaite bon courage. D'autant que lorsque certains ont voulu faire le bonheur des peuples malgré eux, cela à conduit au goulag.
  6. Oui, il faut attendre un peu avant d'avoir des précisions sur ces faits. Pour le moment c'est un peu brouillon cette affaire. On en sait pas trop. Mais qu'entendez-vous par extrême droite ? Le RN ? Parce que pour moi ce parti peut parfaitement être considéré comme un courant de pensée de la droite traditionnelle qui se serait séparée des centristes.
  7. Avant d'être aussi affirmatif, lorsque l'on évoque des événements historiques, on commence par les recontextualiser. C'est ainsi que vous auriez repris la semantique qui veut que les nazis, et pas qu'eux, parlaient des Juifs, et les Tziganes en termes de races inférieures. La mauvaise interprétation n'est donc pas de mon fait.
  8. Disons que la mendiante avait beaucoup d'humour et que la retraitée une adepte de Confucius qui préconisait que l'on apprenne au mendiant à pêcher plutôt que de lui donner du poisson pour se nourrir.
  9. C'est le national socialisme qui est traduit en français par l'abréviation nazi dont l'idéologie est une hiérarchisation des races. Le jour où l'on a distribué la connerie, je pence que cette dernière a été parfaitement répartie. Il y en a même qui en ont réclamé une seconde couche.Voila pourquoi on la retrouve chez tous les membres de partis, syndicats, associations, organisations, gouvernements, assemblées, ethnies, etc. Alors pourquoi s'étonner des exemples que vous citez ?
  10. Je suis désolé, mais si vous voulez donner quelque crédit à ce que vous écrivez, encore faut-il que vous soyez précis et que vous utilisiez ces qualificatifs mieux à propos. Mais ce n'est que mon avis. Après tout vous avez parfaitement le droit d'attribuer vos "compliments" à qui vous voulez. Le GUD, devenu, si je comprends bien, BASTION SOCIAL, inspiré du mouvement italien CasaPound, représente quelques dizaines de membres. C'est une organisation identitaire, nationaliste et anti libérale. En quoi est-elle fasciste ? Qu'elle ne soit pas très fréquentable, je veux bien vous l'accorder. Qu'elle soit nazie, c'est abuser du langage. Vous évoquer le RN, en quoi est-il nazi et fasciste ? Vous vous payez de mots relatifs à une idéologie. Pas de faits. Le RN n'appelle pas au coup d'Etat que je sache. Il respecte les institutions. Il a recours au vote démocratique. Qu'il soit pour la préférence nationale et pour la patrie ne fait pas de lui un parti fasciste et raciste. Combien de pays maîtrisent l'entrée de leur territoire, ça fait d'eux des pays racistes et fascistes ? Je ne veux pas me faire l'avocat du RN, mais il est bon d'appeler un chat un chat de temps en temps. Et je peux vous assurer que si MLP dit un jour qu'il pleut, alors qu'il tombe des trombes d'eau, je serais alors de l'avis de MLP. Il faut arrêter de sacrifier à la semantique ideologique et son catéchisme complètement dépassé. C'est à mon sens contreproductif. Pour le reste, je relègue cela au folklore et ça ne m'inquiète absolument pas. La peste brune n'existe que dans l'esprit perturbé d'un Castaner ou d'un Darmanin. A mon avis, il faut éviter de vulgariser les termes du vocabulaire. Le cas échéant, lorsque le loup entrera dans la Bergerie, personne ne voudra plus y croire. Les mots doivent avoir un sens. Referez-vous à la phrase de Camus que j,ai cité plus haut dans un message sur le sujet que j'adresse à un forum dur de bonne compagnie.
  11. Au-delà des faits, et phenomelogiste de nature, je m'attache surtout à l'expérience. Or l'expérience et l'association d'idée qui me vient à l'esprit lorsque l'on évoque le mot nazi, c'est ceux qui adhéraient à l'idéologie du genocide racial que l'on a connu lors de la seconde guerre mondiale. Le GUD n'a jamais prôné ce genre de chose. Maintenant, que le GUD ait disparu, on ne le pleurera pas. Mais il faut le faire remarquer au forum eux qui l'a évoqué comme un premier danger de racisme et de fascisme. Quand je lui réponds, combien de divinisions, c'est par ironie, sachant que cette nporganisation a vécu. Par ailleurs, je ne comprends pas bien le lien que vous faite avec la révolution. Que vous évoquiez cette dernière à propos des gilets jaunes, pourquoi pas ? Mais avec le GUD, j'avoue que cela m'échappe. Aujourd'hui, je ne vois aucune organisation, sans avoir recours à l'abus de langage, qui défend sérieusement des thèses nazies, pas même fascistes. Camus disait, à juste titre, "mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde."
  12. Ah oui ? Ainsi le GUD serait en mesure de faire un coup d'Etat ? Rappelez- moi, le GUD combien de divisions ? Et en plus se seraient des neo-nazis ? Mais êtes-vous sûr de connaître la définition du nazisme ? Pour le moins, comme vous dites la liste n'est pas exhaustive, c'est le moins que l'on puisse dire. Vous n'êtes pas capable de me citez une autre organisation. M'informer ? Vous plaisantez j'espère. Avec un prof tel que vous, je n'en ai plus besoin. Néo-nazi... les mots ont un sens, même pour vous.
  13. Auriez-vous la gentillesse de me dire qui sont ces neo-nazis et ces fascistes français qui veulent faire un coup d'Etat ? Parce que moi, on ne me dit pas tout. Merci pour votre réponse
  14. Il n'en demeure pas moins que comparaison n'est pas raison, surtout lorsque l'on veut échapper au carcan idéologique et rester autant que faire ce peut plus ou moins objectif.
  15. Difficile de parler de soldes, alors que les présidents n'ont pas été confrontés aux mêmes événements et aux mêmes crises.
  16. Je me permets de immiscé dans votre discussion, mais je pense que vous joué sur les mots pour appuyer votre thèse.Quand on évoque la déportation des juifs, on ne pense pas immédiatement au tourisme, mais aux camps de concentration. Et que je sache Israël n'a jamais été un goulag. Votre sémantique conduit selon moi au négationnisme. Vous devriez être plus prudent. Par contre ce dont je suis sûr c'est que le transfert de populations (et pour éviter tout amalgame on parlera plutôt de transfert et non de déportation) pour repeupler une région sans le consentement de ces populations, est bien entendu un drame. Maintenant, rien n'excuse le goulag, comme d'ailleurs les camps de rééducation d'une opposition politique.
  17. Qu'il me soit permis avant tout de refuser ce terme de "forumeur activiste". Forumeur libre me conviendrait mieux. Si j'étais provocateur, je dirai que le capitalisme a supprimé bien des famines de par le monde, même si ces dernières n'ont pas complètement disparues, pour des raisons autres que le système économique en question. Peut-on en dire autant du communisme par exemple ? Mais comme l'a souligné un des forumeurs ici, le capitalisme a bien évolué. il ne s'embarrasse même plus d'une vitrine qui soit satisfaisante pour l'esprit. Il s'est financiarisé et entré dans un anonymat nébuleux, au point que même ses acteurs ont du mal à déterminer l'origine des fonds et leur localisation. Un clic sur un ordinateur suffit à transférer des milliards qui vont faire le tour de la planète en arrosant par-ci par-là ceux qui sont parties prenantes du système. Je crains que le capitalisme, au sens marxiste du terme est vécu. Reste le libéralisme et la mondialisation qui restent des systèmes un peu effrayants, parce que monstrueux et loin d'être suffisamment maîtrisables et dont on n'a pas encore mesuré, n'ayant pas assez de recul pour ça, les avantages et les dégâts éventuels. Bien entendu, et comme il se doit d'aucuns ont déjà listé, tous les dégâts. Malheureusement beaucoup d'entre nous ne seront pas là pour le bilan final. Autre question récurrente, est-ce cette économie se tournera vers l'écologie ? Elle le fera si cette dernière est porteuse de promesses en termes de production et d'emplois comme on nous le serine et surtout si tous les pays l'acceptent, ce qui n'est pas gagné. Si les débouchés sont inexistants en termes mondiaux, cela ne se fera pas quelque soit l'éminence du danger. L'homme est ainsi fait que l'immédiat le soucie plus que l'incertitude de l'avenir. Mon ressenti c'est que ce bilan sera lourd à supporter pour les plus défavorisés, qui eux n'ont pas le temps d'attendre. Enfin faisons confiance au génie humain pour réguler tout cela. Et puis la grande question qui se pose déjà c'est de savoir si cette économie libérale, financiarisée et interpénétrée, annulera l'entité nation ? Et l'aspect culturel n'est pas des moindres.
  18. Je constate que votre vision des choses n'est pas du tout la mienne. Mais comme je considère que je ne dispose pas de la vérité, une et entière, il me faut entendre toutes les opinions et les respecter.
  19. Ah oui ? Que nous ne l'ayons donc pas fait jusqu'à présent ce choix si c'était si facile ? Vous l'aurez compris, je n'interprète pas la loi de la même façon que vous. L'article que vous citez et que je connais très bien, ne contredit en rien ce que j'exprimais dans mon message. Il évoque le consentement à l'impôt. Non la possibilité de ne pas reconnaître et ne pas rembourser les les dettes faites par leurs représentants. Quant à se servir de l'épargne des Français pour que l'Etat s'autofinance, d'abord il faudrait avoir les moyens d'en garantir les taux et ensuite que cela se fasse avec le consentement des épargnants. C'est possible. La dette de certains pays comme le Japon est entièrement japonaise. En France je crois que l'épargne représente 100 milliards, plus que les Allemands. Le problème, c'est que l'épargne grossit lorsque les gens n'ont pas confiance dans la politique menée dans leur pays et lorsque l'économie semble instable. En l'occurrence, je ne sais pas si les conditions actuelles sont propices à rediriger l'épargne des Français dans le renflouement de la dépense publique. Je n'ai pas trop d'avis là-dessus.
  20. N'auriez-vous pas séché vos cours d'histoire ? C'est vraiment pas bien ça. Clovis ne s'est pas convertit de force comme vous le prétendez, mais au contraire parce que cela correspondait à l'ambition s'était fixée une dynastie reconnue, remplacer Constantin et surtout las des suppliques de son épouse Clotilde la très catholique burgonde. Sans ce baptême, l'Empire franc n'aurait pas vu le jour et la prospérité de Charlemagne non plus.
  21. Petit détail. Les Barbares sous Clovis ne demandent qu'à s'assimiler à la Rome, c'est à dire l'époque l'Eglise. Urbain II fera tout pour que ces derniers se convertissent. Ça rentre dans le vaste projet de Clovis qui veut reconstruire l'Empire. Les Arabes de Poitiers eux, non seulement ils ne veulent pas s'assimiler et se convertir, mais ils souhaitent imposer leur religion et leur culture.
  22. Bonsoir Jimmy 45, Si je peux vous rejoindre et partiellement sur votre raisonnement, je ne peux évidemment pas accepter votre dernière phrase qui dissocie de facto les Français des responsables politiques qu'ils ont élus pour gouverner le pays. Si tous les peuples faisaient de même, il n'y aurait plus de crédit possible. Plus de confiance, plus de crédit. Chaque nation est responsable de son destin...les dirigeants et leur peuple. C'est en tout cas ainsi que fonctionnent les démocraties. Après on peut ou ne pas être d'accord avec le système et surtout reconnaître que l'on s'est trompé dans notre choix. Mais là c'est une autre affaire. S'agissant de l'incompétence en matière économique de nos politiques, c'est ce que vous écrivez, sachez qu'il existe tout de même une flopée d'économistes à Bercy qui sont très compétents. On ne demande pas à nos politiques de tout connaître, mais de bien s'entourer. Après les décisionnaires font de la politique et font ce qu'ils veulent. S'ils ne suivent pas les conseils donnés, c'est leur problème. Pas celui des hauts fonctionnaires de Bercy. Le problème, c'est qu'avec l'euro il n'est plus question de jouer sur la monnaie. Quant à la politique monétaire, il ne vous aura pas échappé que les pays européens n'en n'ont plus la maîtrise depuis que les pays adhérents ont délégué à la BCE leur autorité. Résultats des courses, les pays sont obligés de recourir aux prêts sur les marchés financiers pour la plus grande satisfaction des banques.
  23. Il ne faut surtout pas que le poids de la dette repose uniquement sur les plus défavorisés. Cela va de soi, en tout cas pour ce qui me concerne. Maintenant sur votre dénigrement des créanciers, je trouve votre réaction un peu irrationnelle. Ces créanciers vous répondront qu'ils n'ont jamais obligé nos dirigeants çà faire appel à eux. C'est un peu simple de faire ensuite reposer l'irresponsabilité de ceux qui nous ont gouverné jusqu'à présent, et cela ne date pas de Macron, sur leur créanciers. Ces derniers vendent du crédit. A nous de le refuser si nous considérons que les intérêts sont trop haut. Si j'ai besoin d'un crédit, c'est un peu la réaction que moi, particulier responsable, adopterais.
  24. 1) On peut voir ainsi les choses. C'est cohérent. 2) vous m'avez lu un peu vite je pense car j'évoque aussi la dette extérieure dans mon message.
  25. Ce système ne peut durer indéfiniment dans la mesure où quand la dette grossi à ce point, donc s'il l'on s'en tient qu'aux intérêts, les montants de ces derniers sont de plus en plus importants ; le pays devient de plus en faible et ses ressources (ses recettes) se font moindres, la confiance des créanciers devient tout aussi moindre. Si par ailleurs les taux d'intérêt, occasionnés par ce manque de confiance augmentaient ne serait-ce que d'un point, alors cela serait le début de la fin. Demander aux Grecs, notamment aux retraités et salariés ce qu'ils en pensent. Ils ont une certaine expérience en ce domaine. Bien entendu, la France n'est pas la Grèce et notre économie peut encore résister. D'autant que, contrairement à la Grèce, nous avons l'un des recouvrement de l'impôt le plus efficace du monde. Mais le scénario peut se produire à des degrés différents.
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