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Pirlouit2017

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Tout ce qui a été posté par Pirlouit2017

  1. Comme vous avez modifié votre message et insistez désormais sur la notion de classe moyenne, je rebondis. POur vous, l'alpha et l'oméga civilisationnel se situe-t-il du côté de la classe moyenne ? C'est donc à dire, classiquement les commerçants, les bourgeois au sens premier, désormais davantage les différents cadres du salariat. Quelle place pour toutes les marges qui constituèrent constamment les poils à gratter concourant à la diversité et à la profondeur humaines, chez lesquels le succès financier ou "l'inclusion" n'étaient guère à l'ordre du jour ? Gogol, interdit d'avoir descendance ?
  2. J'en déduis que Jean-Jacques Rousseau aurait dû se voir interdire de procréer. C'est cela ?
  3. La délinquance semble anecdotique du côté des Franciscains. La version présentée plus haut est très protestante, reposant sur la prédestination manifestée par la richesse matérielle, lorsque la Tradition grecque puis chrétienne insiste davantage sur l'enrichissement de l'Esprit. La génétique ne permet guère d'expliquer pourquoi des familles possédantes finissent par compter des membres intellectuellement dégénérés, alors que des intelligences émergent de classes bien plus inférieures. Camus n'avait rien à envier aux héritiers de telle ou telle star US, se gobergeant avec le fric de papa chanteur ou grand-papa acteur. L'Histoire humaine se caractérise plutôt par une perpétuelle perméabilité des strates sociales, dans un sens ascendant comme déclinant. Prétendre fixer des règles eugénistes conduirait tout droit à l'appauvrissement génétique et, in fine, dégénérescence irréversible de l'espèce.
  4. En ce cas, il faut pousser la logique jusqu'au bout : dépister dès l'enfance et adolescence et placer en internement ceux qui entreraient dans les critères. Avec tous les risques de totalitarisme induit par le flou intégral des notions proposées par la "science" psychiatrique. Mais peut-on expliquer qu'un adulte est suffisamment conscient pour disposer du droit de vote, répondre de ses différentes obligations civiles, fiscales et même éventuellement de conscription, avant que de postuler qu'en cas de crime, il devient subitement "non lucide" ? L'excuse est un peu facile. Surtout de la part de quelqu'un qui n'a pas été retrouvé errant, hagard, sur la voie publique en brandissant un couteau ensanglanté, mais d'une personne qui a sciemment cherché à masquer son crime, jusqu'à jouer les acteurs devant les caméras de TV. Doit-on considérer que 12 millions de personnes sont susceptibles d'assassiner par "effacement de la lucidité" ? C'est ce que je disais plus haut, ce serait transformer la Société en asile d'aliénés.
  5. La vie d'une femme a toujours été considérée comme primant sur celle de l'homme car elle-même porteuse de vie. Il est moins grave, dans une Société, qu'il y ait un déficit numérique d'hommes que de femmes. Le souci de toute civilisation promise à autre chose que l'immédiat effondrement a toujours été de protéger ses femmes des attaques. A l'époque médiévale de notre Chrétienté latine, pourtant si caricaturé, le viol, même d'une prostituée, était passible de la peine de mort. Une maladie mentale qui occulte toute capacité de discernement concerne une ultra minorité de la population, qui en principe a déjà fait l'objet d'un placement en hôpital psychiatrique. Généraliser cette explication dès qu'il y a crime conduirait à deux conséquences : - renoncer à tout système de responsabilité pénale ; - placer la majeure part de la population en hôpital psychiatrique, en subodorant une instabilité effaçant toute conscience. Doit-on militer pour la transformation de la Société en asile d'aliénés ? Ou peut-on postuler qu'un homme se caractérise par son sens des responsabilités ?
  6. Ils sont responsables de s'être mis dans un état pareil, en refusant de se soucier des conséquences pour les autres. Refuser de sombrer dans l'alcoolisme est ouvert à tout esprit. Pour peu qu'il développe le souci de la maîtrise de soi. Est-ce qu'abdiquer par avance tout contrôle constitue une circonstance atténuante ? C'est plutôt un facteur aggravant de responsabilité.
  7. Nous sommes d'accord sur l'essentiel. Et si je peux comprendre que "sexe faible" vous paraisse ambigu, "Beau Sexe" relève du pur compliment. Pour l'aspect "clan des Siciliens", que je décline à la mode corse pour ma part, c'est beaucoup plus simple que vous ne pensez. Car c'est considérer que le sort de l'un des siens ne relève pas de la statistique des assurances mais représente une personne que vous pouvez apprécier plus ou moins mais qui de toute façon, étant de votre sang, mérite mieux que d'être lardé de coups de poignards, d'avoir la figure enfoncée sous les coups de poing ou la tachée écrasée par la strangulation dans les affres affreux de l'étouffement. C'est une réaction concrète, en constatant que la justice ne joue plus son rôle de régulateur sociale, en permettant à ses acteurs d'ériger l'irresponsabilité en système de défense. Quand vous avez comme plaidoirie, "expertise" ou, bien pire, membres du jury et de la formation de jugement des personnes qui pensent comme Savonarol ou Roger-LOcoco que l'assassin de votre fille, de votre sœur ou de la cousine avec qui vous jouiez gosse, a entendu la Vierge lui disant que transformer un corps en poupée de chiffon était une expérience badine, et que cela débouchera non sur une condamnation (il y a peu encore à la peine capitale) pour expiation mais sur un "traitement" et que la vie suit son cours pour le meurtrier, vous prenez acte qu'il appartient à la famille "d'enseigner" la crapule sur la notion de responsabilité. Pour se motiver, pas besoin d'intense spéculation philosophique. Lorsque les thuriféraires du dingue vous parlent "poussée psychotique", "adrénaline", bref "expérience extatique", vous pouvez vous contenter d'observer le visage cassé, le corps démembré ou toute autre marque des circonstances ayant entraîné la mort et voir, rageur, que celle que vous connaissiez pourrit dans une boite, parce qu'un salopard a décidé de "jouer" en la privant des années de vie qu'elle pouvait encore espérer.
  8. Serais-tu en train de nous expliquer que la responsabilité n'existe pas et que la majeure part de la Société est bonne pour l'asile ? Sauf à considérer que tu es toi même bon pour les électrochocs, cette vision à la Docteur Knock est un non-sens absolu. Je ne souscris aucunement aux délires psychologistes qui cherchent sans cesse à porter au pinacle la déresponsabilisation et la paresse à refuser de se maîtriser. Chacun peut avoir ses petites manies. Tu es libre de craindre le gaz et de vérifier si le bouton est bien tourné. A partir du moment où cela vire à l'idée fixe et que tu entres en transe si tu ne peux effectuer cette vérification pour la quinzième fois dans la journée, soit tu es bon pour l'internement, soit tu te mens à toi même et en te bottant tes propres fesses tu recouvreras tes capacités intellectuelles. L'esprit commande. S'abriter derrière l'ultra minorité démente pour refuser de se contrôler et proclamer un droit à la maladie mentale relève de l'absurde le plus consommé. Au passage, tout système judiciaire repose sur la responsabilité. C'est le socle de toute Société viable.
  9. Ce qui n'est pas faux en revanche est que le monde de la Tradition considère que l'indéniable plus grande faiblesse physique et la possible fragilité psychologique ne peuvent valablement être reprochées aux femmes, en développant l'illogisme mortifère qu'il conviendrait d'en exciper pour justifier leur meurtre. La Tradition postule que l'incompréhension et même le désarroi que peut ressentir un homme face à une femme ne l'autorise jamais à lui porter atteinte. Il lui est commandé de prendre sur lui. C'est cet impératif qui est oublié de beaucoup de Modernes : prendre ses responsabilités, se tenir ! Quoi qu'il advienne !
  10. Elle n'est pas soumise au sens de ne pas être un véritable sujet de droit. Elle bénéficie d'un régime accru de protection. Au point de considérer que toute atteinte envers elle est plus grave qu'à l'encontre d'un homme. Sa vie est considérée comme plus précieuse. Aucune Société classique n'exigerait que les femmes aillent combattre au front et s'exposer à recevoir des coups mortels. Cela n'empêche absolument pas que la Tradition l'assimile aussi à la Souveraineté. Qu'est-ce d'autre que la Dame dans toute la littérature arthurienne et chez Dante ? Quant au caractère vindicatif et implacable, outre les vendette qu'elles savent prêcher, c'est oublier toutes les femmes à poigne qui surent jusqu'à gouverner le vaisseau de l'Etat. Catherine de Médicis savait l'être.
  11. C'est une égalité des droits au sein d'une Société dans laquelle même la bourgeoisie n'arrive plus à extraire la femme de la nécessité d'être plongée dans la dureté du monde professionnel. L'entité économique de base est de moins en moins celle de l'exploitation familiale, au profit d'un salariat extérieur. Cela ne contredit en rien qu'à l'intérieur de la famille et surtout du couple, la Femme possède l'entière prérogative de réclamer la protection et la considération. Ce qui devrait, de manière certes plus diffuse et superficielle, être la règle dans l'ensemble du monde extérieur se trouve particulièrement renforcé dans le couple.
  12. Dans le monde duquel je suis issu, c'est le courage qui est respecté. Le type d'1m60 sec et nerveux qui a le cran de défier celui 20 cm plus grand a non seulement une chance de l'emporter mais, même en cas de défaite, gagnera le respect de tous, parce qu'il s'est justement conduit en mec en affrontant qui de droit et non en se défoulant sur ce qui ne risquait pas de s'opposer, pour calmer ses frustrations. Dans le monde de la Tradition, la Femme est le Graal. Elle peut certes devenir un fruit amer mais ça ne donne pas le droit de la mettre dans un casse-noix ou de taper dessus à coups de marteau. Dans les films français de l'époque de Gabin ou de Ventura, je n'ai pas souvenance que cela ait été un personnage autre que de crapule qui aurait giflé, encore moins étranglé. Les personnages positifs répliquaient par le Verbe et acceptaient même de se retirer s'ils devenaient trop indésirables pour la belle. C'était plus la valeur aristocratique qui était mise à l'honneur. Foutaise absolue ! L'adrénaline n'a pas absolument pas pour effet d'annihiler tout jugement au point de violer les interdits moraux catégoriques. Ou alors on en viendra bientôt à justifier le parricide pour un ado qui n'aurait pas su garder ses nerfs parce que son père lui reprochait vertement d'avoir loupé le bac français. La déresponsabilisation n'est pas et ne sera jamais un modèle civilisationnel autre que de complète décadence !
  13. Vous savez très bien que pour toute la Tradition, la notion de sexe faible recouvre essentiellement l'acception physique. Aucun homme honnête n'a jamais nié l'existence de courage et même de fougue chez des femmes qui, en tout temps, ont constitué les inspiratrices des exploits guerriers et les soutiens les plus fermes en cas de crise grave. Si l'on désignait la Reine comme régente, c'était bien parce qu'on jugeait que les femmes étaient particulièrement enclines à défendre leur héritage et leur lignée. En revanche, toute la galanterie s'est construite autour de la conception que la femme, partant avec un handicap de masse musculaire, de solidité osseuse et de composition hormonale, n'avait pas à être placée dans des conditions de trop grande épreuve physique et encore moins de combat. C'est la raison de la peur que le Beau sexe peut inspirer à certains. Ne pouvoir rivaliser que par l'esprit, en laissant les mains au vestiaire (ou à la chambre à coucher mais c'est un registre autre). Un homme mouché par un autre aura le recours de le défier physiquement. C'est absolument interdit à l'encontre d'une femme, sauf à être particulièrement vil et couard. La galanterie oblige donc l'homme à encore préférer être ridiculisé en restant muet voire giflé s'il n'a aucun répondant ou n'a pas su anticiper le geste, qu'à faire preuve de l'immense lâcheté qui est de cogner une femme. Je conclue ce propos en ajoutant que dans le monde de la Tradition, qui se retrouve encore heureusement dans certaines de nos provinces dont celle de ma famille, le moindre escogriffe qui se serait amusé à se "détendre" en tapant sur son épouse jusqu'à la tuer, même si cette dernière avait été la dernière des trainées, n'aurait pas eu comme réponse un procès mais des membres masculins de la famille de ladite épouse qui lui auraient montré ce que signifiait recevoir des coups jusqu'à ce mort s'ensuive.
  14. 1) La légitime défense, c'est balancer un coup de poing à un malabar qui tente de te frapper ou répondre par des tirs à un canardage. Ca n'est pas serrer le kiki de plus faible que soit jusqu'à "découvrir" qu'étrangler ça tue et qu'une femme n'est pas un mannequin pour leçon d'anatomie ou de médecine légale. 2) Imposer le respect nécessite de soi-même incarner l'autorité. Ce qui passe notamment par le contrôle de soi et une rigueur morale suffisante qui permette de considérer comme allant de soi qu'une démonstration martiale ne s'effectue qu'à l'encontre d'un autre mec à peu près en forme, à armes égales, dans une notion de duel, et pas contre quelqu'un qui a perdu d'avance par absence de masse musculaire. La lâcheté et l'irresponsabilité n'étant pas des vertus masculines, aucune femme ne sera susceptible d'accepter la hiérarchie d'un tel anti-modèle. 3) Face à une situation de réelle hystérie, il appartient à l'homme de savoir graduer les semonces, de la réplique cinglante à la réelle gueulante et jusqu'au blocage des mains d'une femme qui aurait versé dans une démence suffisante pour constituer un danger pour elle-même. Ca ne va certes pas jusqu'aux coups et blessures et à la mort. Car un homme demeure toujours libre de quitter une maîtresse qui serait incontrôlable mais pas de la détruire physiquement. 4) Faut-il rappeler les règles classiques de la galanterie la plus élémentaire, qui font qu'au grand jamais on n'est en droit de frapper une femme ? C'est un interdit moral et culturel de tout notre Occident depuis au moins les Celtes. Une femme, ça s'aime, ça se protège, à la rigueur ça se quitte si c'est une virago, mais ça ne s'assassine pas. Et un homme, pour mériter ce titre, a un impératif d'entière responsabilité de ses actes.
  15. La Société humaine étant fondée sur la conception morale du libre arbitre, encourager la déresponsabilisation par des notions confinant à la démence de la "perte de contrôle" constitue une impasse civilisationnelle. Sauf à vouloir expliquer que la plupart de nos contemporains sont irresponsables et donc bons pour l'asile psychiatrique. Ce qui établirait une évolution sociale à l'envers. Toute intelligence est en mesure de garder un contrôle de soi qui soit suffisant pour ne pas verser dans le crime gratuit. Ou alors on renonce à tout système pénal et donc à tout ordre social.
  16. La question devient : a-t-on le droit d'être "hors de contrôle" face à des êtres incapables d'opposer une défense ? La réponse est non ! Et elle ne souffre pas d'exception autre qu'une bien improbable légitime défense, qui se doit d'être de surcroît proportionnée. On peine à ranger la strangulation jusqu'à ce que mort s'ensuive dans la catégorie de riposte en guise de légitime défense. Toutes les Sociétés classiques condamnent l'assassinat et qualifient de particulièrement ignoble ceux commis à l'encontre de personnes physiquement vulnérables, à savoir les femmes, les enfants et les vieillards. Et toutes les Sociétés classiques frappent d'infamie le meurtre à l'intérieur d'une famille. Je me répète : pour un classique, ce procès ne s'apparenterait plus qu'à une formalité rituelle et le seul sujet ne concernerait plus guère que le devenir de l'âme de celui qui n'a plus guère autre chose à attendre que l'expiation.
  17. En matière criminelle, l'existence d'un cadavre et l'aveu de l'auteur constituent déjà de fortes présomptions qu'on se situe dans un domaine autre que celui de la spéculation philosophique, pour se placer dans celui de la violence la plus crue. Sauf à considérer que l'aveu a été extorqué et que ce procès est une illustration du monde de Kafka.
  18. Le respect ne se gagne-t-il pas aussi en sachant rester homme ? Face à leurs faiblesses, ne convient-il pas demeurer le roc auquel elles peuvent se raccrocher, lorsqu'elles glissent sur la surface instable de leurs lubies du jour ? C'est de protection dont la femme occidentale a besoin.
  19. Ce discours est inaudible ! Ce qui constitue l'essence même du Sexe fort est la notion de responsabilité, qui s'articule notamment dans l'obligation de protéger sa famille, a fortiori sa femme. Absolument aucune excuse ne peut justifier de perdre le contrôle de sa conscience au point d'expédier sa conjointe ad patres. La colère, même extrême, peut toujours se maîtriser, ne serait-ce que par la fuite physique pour s'empêcher de commettre des voies de fait sur quelqu'un musculairement incapable de se défendre efficacement. C'est quand même dingue de chercher à justifier un crime de sang à l'encontre d'une femme, par l'exaltation de l'abandon des vertus masculines.
  20. La seule attitude digne de sa part serait plutôt de plaider coupable, sans en appeler à la moindre cause exonératoire de responsabilité ni circonstance atténuante, et de se préparer à expier. En fait, le procès devient ici une simple formalité. Le seul débat qui existe est celui dans lequel doit se débattre sa conscience, afin de savoir s'il sera en mesure de sauver son âme.
  21. Ce qui est parfaitement normal, dans la mesure où l'on est en droit d'attendre de tout homme une maîtrise de soi suffisante pour ne pas profiter de la supériorité physique que la Nature lui a attribuée afin de rouer de coups voire assassiner une femme. Cet individu est parfaitement indéfendable, quels qu'aient pu être les éventuels vices de sa victime. La maîtrise de soi face au Sexe faible est un impératif moral. Je note plutôt que c'est l'attitude de tels hommes qui apportent de l'eau au moulin des idéologues féministes, qui ont alors toute facilité de pointer du doigt la dangerosité d'un genre qui profite de sa supériorité physique. Dans le monde de la Tradition, il ne bénéficierait d'absolument aucune circonstance atténuante et serait soumis à une exécution infamante.
  22. Nous ne pouvons qu'éprouver une réelle compassion pour cet homme de distinction qui s'apprête à devoir affronter la procédure inquisitoriale du droit pénal français.
  23. Vous voulez dire que toutes vos interventions sur le sujet sont, depuis le début, sans objet ? Etrange confession ! Vous donnez donc raison à @frunobulax Surtout lorsqu'on constate que toutes ces pudeurs sémantiques cessent de devenir impératives à l'égard de la plupart des autres ensembles humains, Russes en tête, pour lesquels l'essentialisation est même vite de mise.
  24. Ce ne sont pas des sophismes. C'est plutôt s'interroger sur l'imperfection et ce qui nous apparaît comme la corruption. Dans une perspective idéale, l'Univers parfait resterait immuable et donc hors du Temps. Or, il semble soumis à des règles de décomposition. Le fer rouille, la roche subit l'érosion et même les étoiles finissent par se transformer. C'est cette corruptibilité qui engendre la notion de Mal. Et lorsqu'on se penche sur cette question, il est possible de spéculer soit sur du polythéisme avec plusieurs principes composites à l'œuvre, soit sur des positions se rapportant assez au manichéisme, avec deux principes antagonistes. Côté chrétien, on arrive vite à Marcion et à l'opposition Dieu d'Amour / démiurge inquiétant.
  25. En effet, la géologie n'était pas l'amie de Darwin. Et tout ce qu'on peut constater est qu'on a eu besoin de jongler avec les unités de mesure pour valider les théories. Si la microévolution a des débuts d'observation, il n'en est pas de même de la macro, qui n'est jamais qu'une spéculation.
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