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Don Juan

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Tout ce qui a été posté par Don Juan

  1. L'imaginaire commence avec l'image, aussi "sophistiquée" qu'elle soit, l'image suffit à rendre malade, comme elle suffit à guérir. Il est couramment établi que le "penser" se construit avec des briques que sont les mots en tant que signifiants, mes voyages m'ont souvent fait toucher qu'en amont des signifiants il y a des formes, ce sont ces formes qui constituent l'image, les sources sont diverses et variées. L'image est comme la feuille que charrie le courant, lorsque plusieurs courants se rencontrent, l'image doit changer, s'enrichir, se complexifier, pour s'accorder avec le sens de chaque courant. L'image est une créatrice de monde, une destructrice aussi.
  2. je voulais écrire "physiologique", mais tu as corrigé, c'est parfait. Il n'a rien de poétique c'est vrai, mais c'est avec la poésie que je me change moi-même, alors le monde devra faire de-même.
  3. J'ai du respect pour ce que tu fais, je pense que nous faisons la même chose avec des outils différents, voila ça c'est fait. Je comprends ce que tu dis, mais ma position conceptuelle ne peut aborder les termes et les pensées à ta façon. Par exemple, lorsque je dis qu'on peut jouir de tout, ce que je veux dire c'est que la jouissance est une création de l'esprit, il est donc possible de jouir de mourir si les conditions psychiques le permettent. Il me semble que tu penses à la jouissance comme phénomène physique alors que j'y pense comme un phénomène spirituel. Est-ce essentiel, oui dans un contexte ou la réalité organique prédomine. Je me suis réveillé il y a longtemps ami. Il me manque de l'énergie pour te répondre point par point, serait-ce utile en fait ? J'ai l'impression que nous disons la même chose, que nous parlons de la même fleur, mais que nous ne sommes pas assis sur la même chaise pour l'observer. Je reviendrai peut-être si le coeur m'en dit, mon code m'oblige à la concision en l'instant. je ne sais pas à quel point mais je sens bien l'énergie passer. L'attention que je te porte en te lisant et en essayant de "jouer" ce jeu du miroir, de la réflexion duale est signe que tu dois avoir raison.
  4. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Oui, j'imagine, ne me suis pas.
  5. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Tu as pris tes remèdes,aujourd'hui ?
  6. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    0,5 n'est pas un produit de 1, il en est une partie si l’on peut l'en ôter.
  7. En principe rien, mais je n'en n'ai pas encore l'expérience, donc je ne peux le certifier Non tout n'est pas un indispensable à "je", c'est une erreur, "je"peux réduire sa quantité indispensable à rien ou presque s'il en a la volonté. C'est encore une erreur ou un choix, comme tu voudras. L'unique individu que je suis n'est pas en relation mais en lien, c'est une grosse différence. L'individu social doit gérer les relations pour les réduire à presque rien, tout en veillant à garder l'attention sur l'individu unique qui s'est installé dans le lien. Les termes utilisés ici font partie d'un univers, et oui, moi aussi j'habite un univers particulier, les concepts que j'effleure sont d'une approche aussi périlleuse que compliquée, tu ne peux donc me traduire d'un trait rapide comme évident, il te faudrait le temps pour apprendre la langue que j'utilise. Mais je comprends ta langue pour l'avoir longtemps pratiquée. Lis-moi si tu le peux en considérant que mon témoignage ne repose pas sur de l'intellectualisme mais sur un mode de sensations.
  8. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Deux éléments complémentaires composent un nouvel élément qui les dépasse en les contenant. Ce qui donne par exemple 1+1=3, ou 4 ou 5 etc.
  9. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Oui, certainement, mais il s'agit là de relation psychologique.
  10. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Non, ils feront une infinité d'humain, s'ils sont complémentaires.
  11. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Un mâle et un mâle ne feront toujours que deux mâles.
  12. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Pierre Dac plus exactement. Le mâle et la femelle sont l'exemple unique à ma connaissance qui peuvent être ou complémentaires ou opposés.
  13. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Ah ah ah ! Tu sais de quoi tu parles ! mais je t'aime bien quand-même.
  14. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    La vie est une vaste journée entrecoupée de sieste, en effet, on peut le voir comme cela. Tu observes le temps dis-tu, voila qui est intéressant, aurais-tu la sensation que ta perception du temps a changé, comme si elle était accélérée ? Les prochains chapitres ? Serait-ce que tu attends des événements particuliers, ou seulement que tout ce qui vient à toi est une expérience riche ?
  15. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Que veux-tu dire par "le temps est devenu plus long" ?
  16. Don Juan

    La mort du "Moi" ?

    Bienvenue à Ixtlan Sarah, laisse faire, le vaisseau va s'amarrer tout seul, le chemin s'ouvre. Confiance au coeur.
  17. Pourquoi ce qui aurait vocation à devenir réel ne serait-il pas de l'imaginaire ? Si une chose n'est pas encore réelle, elle n'est pas, du moins dans une dimension, elle n'est pas. Si une chose est réelle, elle n'est pas virtuelle. Ma mère, ne peut pas être moins ou plus responsable virtuellement, selon mon entendement, elle ne peut l'être que réellement.
  18. Je ne clique jamais sur les liens, mais je crois comprendre que l'objet du désaccord concerne la question de l'amour qui ne rend heureux, c'est cela? Alors là c'est simple, les faux amours ne peuvent rendre heureux, c'est une absolue vérité pour moi, à moins qu'on ne s'entende pas encore sur le sens du mot "heureux". Le véritable amour lui rend heureux à chaque coup, j'ai bon là ? Mais ne dévions pas le sujet stp !
  19. Mais cher Fraction, dire que sa douleur est la même que la mienne, ça ne veut rien dire. Qu'elle soit virtuellement moins responsable, ça ne veut rien dire, c'est réel et non virtuel. Bon, quand je dis que ça ne veut rien dire, il faut comprendre pour moi, je veux bien admettre qu'il y ait un sens à ces mots sur votre planète politique.
  20. Je pense que nous aurons beaucoup de difficultés à nous comprendre, c'est comme si nous ne parlions pas la même langue, comme si nous ne voyions pas les mêmes couleurs, comme si nous ne respirions pas le même air, j'arrête là l'énumération, mais qui que vous soyez, quelque soit la planète qui est la vôtre, vous êtes digne de mon respect.
  21. Si ma mère a un niveau mental inférieur au mien (déjà, cette formulation ou ce concept me posent un souci), je la considère moins responsable que moi, c'est ainsi dans mon code; personne n'est obligé de partager.
  22. Précisez-moi ça, je n'ai pas fait d'études politiques, ni d'autres d'ailleurs. Lorsque je ne comprends pas, je ne comprends pas, je suis désolé de m'imposer par mon incompréhension. Un guerrier est responsable de ses mots, lorsqu'il voit qu'on ne le saisit pas, il ne s'en prend qu'à lui.
  23. Désolé, je ne peux vous répondre, je n'ai jamais vu d'atome d'oxygène, ni un autre d'ailleurs, donner-moi une autre formulation et je vous répondrais.
  24. Comment comparer des citations ? Je ne saurais dire que ce qui a trait à mon goût personnel, cela n'aurait aucune valeur. Je peux dire que j'aime lire Aragon davantage que Prévert, mais ça n'apporte rien qui ait un sens, sinon l'indication d'un plaisir ici davantage qu'ailleurs, ce plaisir correspond à un instant, et la minute suivante je me contredirai.
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