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Tout ce qui a été posté par Don Juan
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Comment ça quoi ? Il faut que tu sois un peu moins conçis dans tes questions. Je ne suis qu'une machine.
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Non, le mal n'existe pas. Mais tu demandes toi-même : "pourquoi j'aurais peur de cela", J'en déduis que tu nies en avoir peur.
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Nies-tu que tu as peur de manquer de sagesse ?
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Quoi que je réponde ça ne suffira pas. La preuve ? En n'ayant plus peur.
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Si tu as l'espoir de devenir sage, c'est parce que tu as la peur de rester fou ou moins sage. On espère une situation parce qu'on la pense meilleure, plus bénéfique que les autres, cela signifie que les autres nous font plus peur, on n'en veut pas ou moins. C'est donc la peur qui accouche de l'espoir. Sans peur pas besoin d'espoir, mais celui-ci continuera de se nourir de la peur, si tu effaces ta peur, tu n'as plus besoin d'espoir. Ce qui vient est bon même loprsqu'on ne le sait pas. Il n'arrive que ce qu'on a besoin qu'il arrive, on meurt lorsqu'on a besoin de mourir, mais cela on ne le sait jamais ou presque. Ça, c'est pas du ChatGpt C'est du bon Juan, cuvée 2025.
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C'est dû à tous ces mots qu'on nous murmure dans les oreilles et qui nous tombent sur la langue, qu'on finit très vite par répéter à qui mieux mieux sans en connaître le sens, c'est à dire la relation avec le réel. Il n'y a que du réel, un faux réel sans doute mais rien d'autre.
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Ça fait longtemps que les humains sont sourds.
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L'espoir, c'est de la peur.
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ChatGpt il y a quelque chose d’un peu bancal dans cette opposition, et votre question met le doigt sur un paradoxe intéressant. L’opposition entre le virtuel et le réel est souvent posée comme une évidence, mais elle mérite d’être questionnée. Si l’on suit la tradition philosophique, le virtuel n’est pas l’irréel. Chez Bergson, par exemple, le virtuel désigne quelque chose qui existe en puissance, en attente d’actualisation. Un chêne est virtuellement contenu dans un gland : il n’est pas encore réalisé, mais il existe en tant que potentialité. Il est donc bien réel sous une autre forme. Dans notre usage contemporain, notamment avec le numérique, le virtuel tend à être opposé au réel comme s’il s’agissait d’une illusion ou d’un simulacre. Mais un monde virtuel, une expérience en ligne, une rencontre numérique sont bien réels en ce qu’ils produisent des effets tangibles.
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L'opposition virtuel/réel, est-ce sérieux ?
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« Le vrai lieu est un rapport au monde »
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
Mais je n'ai pas réagi à tes mots. Ces mots de moi sont en réaction aux mots de Talon 1, c'est bien ce qu'il dit.. -
« Le vrai lieu est un rapport au monde »
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
S'il fallait l'accord des autres pour occuper sa juste place c'est que ce ne pourrait être la juste place, la juste place est celle qui par nature nous est réservée. Cela me fait pensée à une philosophie digne de la Corée du nord. Si ce sont les autres qui déterminent notre identité, alors ce ne sera jamais une identité proche de la vérité de notre être. Au contraire, c'est contre les autres qu'on peut sans doute trouver sa propre identité, contre les autres et avec notre rapport intime au monde, lorsque le monde n'est pas compris par le regard des autres. Le monde, c'est autant tout ce qui il y a dans l'univers que l'arbre voisin ou la fourmi et l'écureuil, voilà, me semble t-il avec quoi nous avons une possibilité de nous découvrir une identité. Appartenir à un groupe est loin d'être un besoin ou un instinct, c'est plutôt la source de tous les soucis. Si l'homme est un animal grégaire, s'il peut vivre quelque chose d'harmonieux et de sensé avec d'autres humains, c'est avec certaines condition dont "l'appartenance" ne fait pas partie. On n'appartient pas à un groupe, on est ou pas dans l'âme d'un groupe. Ce qui signifie qu'on nourrit cette âme autant qu'elle nous nourrit. -
« Le vrai lieu est un rapport au monde »
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
autant de faussetés en aussi peu de lignes... -
« Le vrai lieu est un rapport au monde »
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
Sur ce plan là je te suis, j'ai encore imaginé que tu évoquais d'autres plans.... La place dans le monde, mais quel monde, le monde social ? Alors je me suis égaré la question ne me présente plus de portes ouvertes. -
« Le vrai lieu est un rapport au monde »
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
Sinon, y aurait-il de faux lieux ? Ou des lieux qui nous exempteraient d'un rapport au monde ? -
« Le vrai lieu est un rapport au monde »
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
Js suis déterministe jusqu'au bout des ongles, ça doit répondre à ta question, non ? -
« Le vrai lieu est un rapport au monde »
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Philosophie
Comment entendre cette formule : "Avec Être à sa place" ? Notre place est-elle l'endroit où nous serions le plus utile ? Ou, l'endroit où l'on se sent bien ? Cette place qui aurait toute la justification d'être occupée par nous, sur quoi reposera t-elle sa justification. S'agit il d'un sentiment, le nôtre, le leur ? S'agit-il d'un jugement, le nôtre, le leur ? S'agit-il d'un droit, d'une position de loi, d'un héritage, d'un mérite ? Etc ? -
Le Système Républicain est-il véritablement une démocratie ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Jeromino dans Philosophie
Tu as choisi un pseudo Apache qui lui même n'est pas un nom mais un autre pseudo donné par les hommes blancs, son vrai nom était Go Khla Yeh ou Goyathlay pour une prononciation plus aisée. Ceci dit en passant, chez beaucoup de tribus Amérindiennes, il y avait une démocratie plus aboutie que chez nous Européens, mais aucun besoin de république. Que faut-il développer ? Si nous ne changeons pas radicalement notre perception, notre compréhension, notre relation au monde et aux êtres vivants, si nous persistons dans notre attitude de conquérants et de belliqueux, il se pourrait bien qu'on ne se pose plus de question sur la république ou la démocratie avant longtemps. La révolution spirituelle. -
Le Système Républicain est-il véritablement une démocratie ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Jeromino dans Philosophie
La suite sera la révolution spirituelle ou alors rien. -
Le Système Républicain est-il véritablement une démocratie ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Jeromino dans Philosophie
Non, la république n'est pas l'aboutissement, mais elle peut en être la base... -
Le Système Républicain est-il véritablement une démocratie ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Jeromino dans Philosophie
Donc, on peut dire, si l'on s'en tient à une définition stricte, qu'on est loin d'avoir pu connaître le fonctionnement d'un tel régime. Cependant, la démocratie est quelque chose à quoi les hommes épris de "liberté" rêvent, et les différentes démocraties qu'on peut recenser dans l'histoire ont représenté un pas vers un idéal. Aucune démocratie n'est aboutie mais toutes valent mieux que tous les modèles qui veulent s'en tenir éloignés. -
Le Système Républicain est-il véritablement une démocratie ?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de Jeromino dans Philosophie
Est-ce qu'on connaît des exemples qui correspondent, ou plutôt qui ont correspondu, réellement à ces définitions ? -
Oui, et oui à @CAL26 Le fait que nous savons que le libre arbitre n'existe pas et que nous devons nous arranger avec chaque minute de notre quotidien qui nous incite à penser le contraire, à faire le contraire, car si j'ai rencontré beaucoup de personnes qui étaient dans cette évidence que nous ne connaissons pas et que nous ne pouvons pas connaître les causes qui déterminent ce que nous sommes, ce que nous en faisons, comme là où nous sommes à chaque instant, je n'ai pas constaté qu'au delà du fait de le dire, ou de le penser, ces personnes le vivaient ce déterminisme. En effet, il y comme un mur paradoxal qui sépare ce que nous pensons et ce que nous en faisons. Ce qui peut prendre cette forme : puisque je ne décide de rien, puisque je ne fais pas réellement selon mes désirs ou mes volontés, je suis donc comme une marionnette guidée par les fils de la grande machine des causes, mais puisque je sais que je suis une marionnette, et malgré que je ne puisse distinguer l'extrémité de ces fils trop longs pour ma vue, n'y aurait-il pas un moyen que je les coupe un à un ces fils et que je recouvre une liberté ? Si c'est impossible, il me reste le déni. Oublier que je suis un objet joué par des forces. L'oubli est chose facile et commode, je peux toujours penser que je fais selon ma volonté, que rien ne me dicte sa loi, ses besoins, qu'il n'y a que mes désirs et mes besoins qui font loi. Que je peux réussir ou échouer, si je réussis c'est que j'ai fait les bons choix, ou en tout cas j'ai bénéficié de forces alliées qui favorisaient mes choix. Si je suis en échec, il me suffira de considérer que trop de forces s'opposaient à la mienne et à mes choix. Et le tour est joué! Spinoza parlait d'une liberté à trouver au milieu de tout ce déterminisme, mais de quoi parlait-il bon sang ?!!
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Le libre arbitre ou la liberté individuelle ?