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Tout ce qui a été posté par zeugma
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De la banalisation culturelle de la violence
zeugma a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
si il y a une confusion fréquente, c'est bien celle de mettre le mot "violence" à la place du mot "agressivité", et celui "d'agressivité " à la place de celui de "colère"... il s'en suit une incompréhension de ce que la spécificité humaine produit en terme de réaction à une atteinte extérieure(voir intérieur), d'un tiers ou d'une situation, puisque dans l'extériorisation ou l'intériorisation, la violence est une action en vu de rectifier son intégrité physique ou psychique que l'on perçoit être atteinte, (mais cette perception est sujette à erreur d'appréciation), l'agressivité est une action en vu de s'imposer à un tiers ou à une situation (elle est commune à presque tous les animaux), et la colère est une action en vu de de manifester sa réprobation à une injustice envers soi ou un tiers ou une situation, la colère peut être aussi une revendication d'un droit plus ou moins légitime... -
il n'est pas question d'aimer ou pas la psychologie, mais de comprendre ce qu'elle est actuellement dans l'intelligibilité que nous avons de notre présence au monde, aux autres, et à nous même... Pour le peu que je sache du grec, la psyché, c'est l'esprit et la psychologie, pour moi a toujours son sens approximativement étymologique de "comment fonctionne l'esprit" pour la "psyché", c'est une notion qui peut désigner soit l'esprit en acte, intelligence et volonté en effet, soit la nature/forme immatérielle de chaque vivant, mais son fonctionnement dans la psychologie que je désigne être abusive, c'est la définition symptomatique du vécu de la conscience, donc une description significative de son devenir... Si vous disiez que pour moi la conscience est une "conscience spirituelle" ça passerait mieux ? (Pour moi ce serait pareil !) ce qui en jeu et vous devez bien vous en êtes rendu compte, c'est la définition psychologisante de notre conscience, la réduisant à ce qu'elle laisse percevoir de troubles ou de singularités dans son vécu, mais qui exploité et (ça c'est mon avis critique) caricaturé par le discours des psychologues, (et plus encore par les psychanalystes), devient une relecture de toute la personne humaine...mais j'y reviendrais... Mais les salades en seraient-elles mieux dotées ? Vous dites aussi que les animaux sont pour moi des mécaniques, mais nous aussi sommes en grande partie des mécaniques. non pas du tout il n'est pas question de compétition ici, chaque être vivant est pourvu naturellement d'un état de réceptivité et d'interdépendance avec son milieu de vie, c'est aussi là une des dimensions de la conscience du vivant... C'est simplement la conscience (intellectuelle) qui est plus développée. la conscience n'est pas intellectuelle tout comme l'intelligence n'est pas émotionnelle, ce que vous désignez en disant : conscience (intellectuelle) plus développée, c'est sans doute la fonction de raisonnement de l'intelligence humaine qui provient d'un habitus fonctionnel pour la résolution des "problèmes", entendus dans le sens le plus large, la gestion de tout ce qui est un obstacle à la satisfaction des besoins, des envies, et des projets...c'est déjà beaucoup, et je réserve à l'intelligence en t'en que telle la désignation des désirs humains... sans doute aussi l'évolution civilisationnelle à fait accroitre la part de responsabilité du raisonnement au détriment de celle de l'intelligence naturelle, car la raison s'est structurée artificiellement, ne serait-ce que dans la communication par le langage, et part l’obéissance aux lois, sans compter l'apport de la philosophie et de certaines sciences plus contemporaine... Quant à la vie, elle n'a pas (pour moi) la moindre finalité... pour moi si, s'accomplir dans l'amour spirituel et se perpétuer dans la reproduction... à plus tard...
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salutation Déjà-utilisé, oui de fait, toutes les simulations posent une même impasse, pourtant ce que tu dis en reconditionnerait le blocage, en vu d'une nouvelle stabilité, car si aujourd'hui la valeur nutritive des aliments est si diminuée, qu'il nous faille en consommer et donc en produire plus, c'est dans une agriculture naturelle que nous pourrions réévaluer nos réels besoins alimentaires...l'argent et toutes ses circonvolutions ne peuvent plus nous redonner une stabilité vitale, c'est une des erreurs de tous les gouvernements qui cherchent à rationaliser l'économie à partir de ce facteur financier, alors qu'il est la cause de la dérive de l'efficacité nécessaire de la gestion économique à l'efficience abusive d'une croissance continuelle... C'est tout à ton honneur, mais je crois que c'est peine perdue, les convictions sont indéboulonnables, tout comme on ne peut pas lutter contre certaines directions que prend le vent ! hummmm perso je n'ai rien à vendre, ni même à offrir, mais uniquement à proposer, c'est ce qui me rend lucide sur les "réels besoins" de mes contemporains, car dégagé de tout intérêt je perçois le réel comme il est et j'essaye de le comprendre en ce qu'il est pour nous autres humains... et de plus, cela me donne cet optimisme sans mesure, puisque fondé sur cette totale gratuité...et n'est-ce pas là aussi une des qualités de la vie ? bien à toi D.U...
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bonjour Ribouldingue... avant de vous donner mon avis sur votre post, je redonne la phrase de S.A.S qui vous a servit de base: "J'ai trouvé mes plus grandes victoires dans mes échecs les plus blessants " vous dites : "un défi puisque c'est repousser la règle commune qui auréole le vainqueur et moque le perdant." en effet un défi mais dans un ordre qui pose la victoire sur l'orgueil ou la vanité admise dans la défaite face à autrui ou à un évènement, comme la seule victoire vraiment notable et conséquente et même utile, ainsi perdre face à l'adversité peut être accepter, si une autre victoire s'établit, celle qui nous fait accepter la défaite comme une ouverture à notre finitude... ainsi on ne peut plus dire que cette "défaite étape utile dans ce cheminement vers "l'arrogance" mais que cette défaite peut-être l'occasion de victoire sur ses propres enfermements pas seulement au niveau de notre psychologie, mais de notre caractère mais de nos conceptions stéréotypée du réel, car une des défaites est celle sur ses erreurs, et de pouvoir convenir d'une nouvelle vérité, qui établie là aussi, une ouverture vers une finalité... enfin vous dites justement :" La machine infernal ainsi lancer ne restituera pas forcement les mêmes dispositions d'esprit avant qu’après et je me demande ce qu'il restera de "l'arrogance de la victoire" ? oui c'est tout le problème de la transformation intérieur que vous posez là, et donc de la conscience de ce que l'on est réellement... l'arrogance de la victoire pourrait même se muer en une humilité de la victoire si c'est dans une disposition d'esprit non-revendicatrice que nous postulons pour cette victoire... reste que, si nous ne mesurons cette victoire sur nous même ou cette défaite de nos erreurs, uniquement par le vécu psychologique qu'elles suggèrent, là évidement, nous risquons de durcir encore plus notre orgueil et notre vanité, tant il est vrai que c'est au niveau psychologique que l'effet loupe est le plus grossissant et déformant de tous les aspects du vécu humain...c'est aussi là un danger perpétuel, que d'entrer dans de fausses "batailles" avec nous même les autres et le monde, comme le préconisent les psys, et d'oublier ainsi les vraies lieux de rencontres avec nous même, les autres, le monde... pour ce qui est de la triche, si en plus d'être une malhonnêteté envers les autres, elle finit par devenir un mensonge admit comme vérité pour nous même, c'est encore pire... mais tout cela à heureusement une limite, ne dit-on pas : on peut tromper mille personnes (les autres) une fois, mais pas une personne (soi) mille fois...
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réponse à Blaquière... il est quand même pour le moins étrange d'arriver à lire de la part d'une personne sensée, une réponse aussi peu assortie de sens, entendu comme pouvant être source de vérité pour autrui... car votre phrase : "J'ai bien compris ce que vous pensiez (mais c'est pas sûr, je crains le pire!). Le mot conscience n'est pas le bon." comme je l'ai souligné à diverses reprises, l'intelligibilité de la psychologie et celle de certains scientistes physicalistes use de la signification en lieu et place du sens, c'est-à-dire que la conceptualisation tend à se justifier par son discours, en prenant la définition de sa cohérence interne comme modèle de véracité, cela produit exactement ce que nous lisons dans votre phrase, c'est une systématisation de cette cohérence interne qui va se révélée cause de votre opposition, et donc finira par éluder la question primale de la conscience végétale au profit d'une assertion que vous seul peut-être pouvez poser : "Si une salade était consciente, on n'aurait rien à faire là." d'ailleurs vous postulez que : : "Mais ça n'est pas ce que nous entendons par le mot conscience. La conscience que nous connaissons est une conscience de soi. des autres. de notre place dans l'espace, dans le temps, du passé, de notre passé, du futur, de notre futur, la conscience de la réalité, du réel, du symbolique... etc." et en quoi le mot conscience ne pourrait pas être aussi employé pour les plantes ? parce que vous ne pouvez pas échanger avec elles sous le même mode qu'avec votre propre conscience ou celle d'une autre personne ? mais c'est faire de la notion de conscience une spécificité humaine à partir des spécificités humaines, donc admettre que le vivant "humain" a une capacité propre de vie de par sa faculté d'expressivité... alors les animaux ont-ils une conscience ? selon votre définition surement une conscience à minima, puisqu'ils n'ont pas tout le panel de "projections de soi"que vous signifiez dans votre phrase... ce qui est déjà une difficulté si vous prenez en compte que les espèces animales sont toutes en succession et que les plus végétatives font suite à des espèces végétales ayant des capacités, si ce n'est de mobilité, au moins de adaptabilité de leur positionnement selon la recherche nécessaire de lumière ou d'eau ou de nutriments... selon ces critère, la conscience est alors plutôt définissable comme : perception de son environnement en vue de sa survie... et après vous dites : Elles sont comme vous le niez des mécaniques. De belles mécaniques, que je suis le premier à admirer, mais pas "conscientes" pour un sous. ça sert à quoi de vouloir tout mélanger , Comment voulez vous y voir clair dans ces conditions ? ça ne peut déboucher que sur la confusion... Tiens l'obscurantisme c'est aussi ça : la confusion... ou c'est une réduction que votre signification de la notion de conscience produit, et qui vous fait dire avec la même erreur de terminologie que les végétaux sont des "mécaniques"... sans doute (humour) un vieux fond de cartésianisme, ou plus surement une appréciation génomique du monde du vivant, mais cela se doit d'être porté à la réflexion, puisque que de réduire le vivant à un emboitement de maillons, vous ne pouvez plus voir sa dynamique...et donc non plus sa finalité... et puis d'ajouter : Hé ? La vie c'est autre chose : ce n'est pas la conscience ! Pourquoi mélanger les deux notions ? La conscience est issue du vivant, mais ça ne signifie pas qu'elle y est au départ (au départ du vivant) qu'elle y est avant d'y être ! Bien sûr si c'est Dieu !... La conscience est avant le vivant ! Mais arriver à bricoler une conscience aussi petite que celle d'un salade à partir d'une conscience divine universelle, c'est vraiment du mauvais bricolage ! là c'est une extrapolation de ce que j'ai dis dans la direction qui vous sert de base psychologisante pour sortir de tous les sujets qui posent le vivant comme premier et donc cause de l'intelligence d'une conscience...car l'intelligence est issue d'un corps vivant et en possède certains critères...telle que la fonctionnalité cérébrale... je ne suis pas animiste comme vous semblez le dire, car cette réduction du monde du vivant à la présence d'un esprit supérieur, est aussi une source de confusion patente en tous ces sujet qui touchent la vie, la conscience et une source d'unification possible entre les deux... pour enfin dire : En conclusion (je ne sais pas si vous suivez mon raisonnement), mais une salade ne peut exister, n'a sa place que si elle n'est pas consciente ! Exactement le contraire de ce que vous semblez penser.... (Ou si vous préférez que si un dieu hypothétique, son créateur, ne l'a pas voulue consciente.) cette dernière phrase me semble pour le moins une conception de la vie tellement ambigüe que je vais essayer de suivre son raisonnement pas à pas, et vous donner mon avis... comment liez-vous "l'existence"de la salade à sa non-conscience... par le fait qu'un dieu dit hypothétique ne l'a pas voulue telle ! c'est une jonglerie entre trois sous-entendus irréductibles les uns aux autres mais tellement caricaturaux, que je perçois une volonté nihiliste en eux trois... premièrement que vous êtes absolument convaincu que les végétaux non pas de conscience (mais nous savons ce que vous entendez par "conscience" c'est exclusivement la conscience psychologique)... deuxièmement que l'existence de ces végétaux n'est possible que par un manque de conscience... troisièmement que le manque de conscience des végétaux vient d'une volonté hypothétiquement divine... alors premièrement, si vous envisagez l'évolution des espèces, (et pour nous qui communiquons, l'espèce humaine), vous ne trouverez pas un moment précis à partir duquel "la conscience" serait dites constituée, mais plutôt la suite ininterrompue d'une conscience vitale qui se singularise selon la spécificité de chaque espèce... la vie individuée en tant qu'organisation émergente d'une quantité de matière non-vivante, est une forme de conscience, c'est pourquoi elle subsiste en chaque vivant selon son espèce déjà en chaque cellule, mais aussi dans un état simple et pourtant potentiellement complexe... réduite surement à une reconnaissance "biochimique" de son milieu de vie, en vue de réaliser, des formes unitives multiples, et ici dire que la cellule à une volonté, serait aussi élargir ce que nous définissons avec ce vocable, en l'étendant à une dynamique vitale commune à tout ce qui vit... de même l'intelligence, étendue à toutes les formes de vie, serait la capacité de chaque être vivant à reconnaitre des déterminations particulières en les isolants les unes des autres, donc par une action de différenciation des qualités et des quantités... deuxième point : l'existence ontologique d'une réalité ne dépend pas de la conscience d'exister qu'elle a d'elle même, à moins de reprendre en formalisant absolument le cogito ergo sum cartésien, qui une fois de plus vous met dans un solipsisme intenable, car toute conscience n'est pas une conscience pensante...mais une conscience qui connait, ce qui n'est pas la même chose... la réflexivité rationnelle, est un modalité de connaissance parmi d'autres de ce que la vie permet, quand elle est individuée, avec une complexité particulière... l'existence pour nous c'est "être en vie", et elle est reçue comme une forme dans une matière, avec un développement selon trois mouvements : la forme spécifique, la croissance et le mouvement local... la conscience est justement ce qui atteste l'unification de ces trois mouvements,(alors que leur unité provient de ce que certains appelle âme ou principe de vie) car elle est un contrôle continuel, (et donc exit l'inconscient comme invention fumeuse) de notre présence adaptable au monde, pour les végétaux c'est aussi une adaptabilité selon leur localisation, leur croissance et les capacités spécifiques de leur espèces respectives, leur formes... troisième point : doit-on encore débattre sur ce point si vous avez vous même optez pour une existence "hypothétique"de la divinité ? non pas pour moi, je ne peux débattre que sur des sujets reconnus comme existant pas sur des négations affirmatives...cela je le laisse à des intelligences qui entretiennent avec le réel une conversation idéelle figurant imaginativement des pseudo réalités...vous me suivez ? je parle de l'intelligence des psys... bien à vous Blaquière...qui concluez : "Si une salade était consciente, on n'aurait rien à faire là." pourtant moi je suis ici pour parler aux noms des salades, puisqu'elles sont inaudibles à votre conscience, ce qui pourrait vous faire dire avec humour, "arrête tes salades"...
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oui d'où l'effort que nous devons faire chacun, car pour communiquer, il ne suffit pas de mettre en place une suite de mots plus ou moins bien orthographiés, (et je sais que je laisse des fautes dans mes textes), mais en plus de vouloir échanger ces réflexions avec les autres... pour moi l'orthographe est très secondaire, mais le sens de notre réflexion doit être suffisamment établie par elle afin que nous puissions être lu et compris par les autres... quand j'ai laissé passer la faute de cette phrase " mais si vous commencer" que j'aurais dû écrire "mais si vous commencez "c'est que je ne l'ai pas relu et corrigé, cela engage mon obéissance à la norme conventionnelle de l'écriture, qui n'est pas une soumission logique moins de là... dans votre remarque Sponzy, comme dans presque tout ce que vous m'adressez, il y a un esprit de dévalorisation et c'est bien normal vu que nous ne partageons pas la même "lecture" du réel, mais c'est dans l'argumentation qu'il faudrait mieux nous retrouver, donc sur le fond et pas sur la forme... dommage oui, que vous ou d'autres sur ce site particularisé par l'étiquette "philosophie", pose une réflexion unilatéralement critique envers les écrits d'autres intervenants, mais d'une de ces critiques que l'on ne doit pas appeler "critique philosophique" mais jugement critique, qui s'apparente plus à une estimation du sens à la signification, comme j'aurais l'occasion de le développer en réponse à Blaquière sur ce même sujet de l'obscurantisme... enfin, au risque de me répéter, je cherche ici à faire coopérer plusieurs personnes aillant une intelligibilité différente du réel, et pour cela j'opte de moyens sans doute critiquables à certains points de vus, mais pourtant incontournables quant au statut de l'intelligibilité de notre époque... c'est pourquoi nous n'avons pas ou que très peu de points communs de réflexions, votre "a priori négatif" pour ce qui ne provient pas d'une lecture scientifique du monde, reste une frontière au delà de laquelle vous estimez que l'obscurantisme domine, alors que ma frontière est de connaitre le pourquoi des dérives actuelles, incluant donc toutes les intelligibilités, scientistes ou extrémistes...
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en attente de réponse à Blaquière
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"il ne le remplace pas et ne peut pas le faire" allons bien sûr qui si, et étant assez proche de ces "marchés" pas uniquement alimentaire d'ailleurs, je puis te dire que, que certains décideurs savent d’ors et déjà que de nouvelles règlementations feront imposer à tout les producteurs les normes bio actuelles... "Tâchons de vivre, nous, en phase avec nos principes de vie, et ce sera certes une infinitésimale victoire, mais elle ne comptera pas pour rien à nos yeux... " oui tout à fait et de plus, comme le meilleur témoignage est donné par une forme épanouie de vitalité, je continuerais à entretenir ici et là de ces débats qui peuvent déroger et déranger, mais sont pour le but à atteindre l'indispensable présence de résistance aux mauvais esprits, qui tiennent leur méchanceté de leur bêtise... bonne soirée à toi ...
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je n'ai justement pas dis cela...et je vous répondrais ultérieurement sur le reste de votre post... bon dimanche à vous...
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la mort attend tout le monde et peu la désir comme un bien, mais la vie est un bien qui est désirée par tous en ce qu'elle nous donne d'être présent ici et maintenant... actuellement le choix de tout à chacun est prédéterminé par un conditionnement qui est artificiellement entretenu par une technocratisation et une technicité destructrice de vies et de milieux de vie, déjà nous avons fait le constat de cet échec en reconnaissant cette destruction, bientôt il y aura un nouveau monde à définir comme "bien commun", pour tous les vivants, être précurseur en cette définition est pour moi un honneur et aussi un appel à l'humilité... la vie est humble et elle ne se donne que dans la bonté...
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...peut-être qu'avant une recherche de vérité dans une rigueur sémantique, certains devraient déjà faire un effort d'orthographe et de syntaxe... dans la présentation de notre pensée, nous optons toujours pour une vision directionnelle, mais elle n'est pas nécessairement soutenue par des valeurs, comme la bienséance, le respect du discours communautaire, la confrontation honnête d'arguments ou autres... parfois la pensée se trouve présentée comme une révulsion colérique, une opposition systématique, qu'est-ce que cela révèle de son auteur ? bah juste qu'il est conforme à ce qu'il pense...
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...si un sot vous dit que vous êtes dans l'erreur, c'est que vous êtes sur le bon chemin... à condition de bien poser les questions pour que le sot se révèle dans la seule forme qui lui est naturelle...l'imprécation...C.Q.F.D
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évidement si on en est comme vous M. Blaquière à ne connaitre de la conscience que ce que votre "science psychologique" en dit alors oui les plantes, et tout les végétaux et même les bactéries ne sont pas consciente... mais si vous commencer à entrevoir que ce qu'est la conscience humaine est déjà plus "vaste" que ce qu'en dit la psychologie, alors quelques temps réflexifs plus tard, vous admettrez que la notion de conscience est bien plus universelle... le nombrilisme de la lecture psychologique à atteint une forme de solipsisme forcené, et fait de tous les contraires des oppositions, voir des opinions obscurantistes... c'est très dommageable puisque nous voyons "tous" des dégâts que cet enfermement psychotique produit dans les pollutions issues de ce manque de reconnaissance du vivant interdépendant, cela provient entre autre de la survalorisation caricaturale de la conscience humaine qui fait fi des autres présences vivantes de cette terre... ainsi cette phrase : "C'est exactement ça l'obscurantisme : dire que les plantes sont conscientes. " non ce n'est pas de l'obscurantisme c'est une réouverture à la vie que vous niez, vous êtes mortifère en la proférant...
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l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
si ce n'est qu'un devoir et une conviction que de continuer à entretenir un mode de représentation culturelle, qui soit issu de la raison ou de la croyance, c'est en effet rester dans l'opinion, mais si telle connaissance ou tel acte de foi est soutenus par la permanence de la volonté personnelle, alors c'est une manifestation de la présence de telle personne, et cela est inaliénable... ce qui reste critiquable, ce sont les moyens utilisés pour manifester cette raison ou cette croyance, puisque nous devons vivre ensemble dans un "respect communautaire" le plus abouti possible... -
De la banalisation culturelle de la violence
zeugma a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
si la violence circonstancielle est admise, elle reste le fait de la volonté de personnes singulières ayant opté pour ce "moyen" en vue d'une fin, car la violence n'est pas une fin en elle même, reste donc une erreur de jugement sur l'emploi de ce moyen ou une accoutumance sensible au fait de dominer physiquement ou psychologiquement les autres... bref, il n'y a pas de loi générale symbolique sur "une violence idéelle" non circonscriptible, pas plus qu'il n'y a de parité entre le bien et le mal, car ils ne sont pas dans le même genre ontologique... vouloir faire intervenir ce faux raisonnement pour assoir la confusion et en gérer les néfaste conséquence est actuellement ce que l'on nomme : psychologie institutionnalisée... -
l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
quelques fois une incompréhension provient du fait que nous nous référons dans notre recherche à une carte au 1/10.000.000éme alors que nous sommes à pieds sur un terrain et qu'il nous faudrait une carte au 1/25.000ème... et parfois c'est l'inverse, nous voulons connaitre l'étendue de notre communauté par la surface qu'elle occupe, et nous prenons pour cela une carte au 1/25.000ème alors qu'il est évident qu'avec celle au 1/10.000.000, la visualisation serait plus intelligible... cette erreur du macro/micro est récurent de nos jours, tant au niveau économique qu'au niveau sociologique, et même pour savoir ce qu'est telle réalité... -
en effet, vous semblez très lucide sur cette course motivée par l'entrainement de beaucoup sur les projets de quelques uns... c'est une course de séduction et de fascination menée par ce petit nombre, mais aussi un pli psychologique imprimé par la notion de progrès, sur la légitime volonté d'appartenir à la communauté humaine du plus grand nombre... et pour cela, "chacun" de ce plus grand nombre, semble trouver évident de travailler, payer ses impôts et reléguer des infos confortant ce "modèle de développement"... alors qu'arrive un problème, le système produit une pseudo parade pour, soit le masquer, soit le déplacer, soit le redéfinir afin qu'il soit intégré dans le système comme "problème insoluble pour le moment"... c'est le cas pour le chômage de masse, la violence délinquante, les pollutions, l'endettement, la fragilisation psychologique, etc... enfin la complexité qui s'accumule dans la gestion des groupes, fini par atteindre chacun, et qu'il soit bientôt indispensable d'avoir recourt à un ordinateur pour vivre en ce monde est une évidence de cette ampleur organisationnelle de l'intelligence... n'ayant plus le choix de "faire autrement"est pour moi le signe d'un enfermement...
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j’entends bien Nolibar, mais la question serait alors, est-ce qu'un modèle d'intelligence organisationnelle est viable pour une espèce vivante telle que la notre ? et ce que vous dénoncez, n'est pas en fin de compte, le constat de l'impossibilité pour une espèce naturelle de s'organiser selon des normes de pure logique...?
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voilà en quelque mots un des effets qui me donne raison, vous êtes incapable d'avoir une réflexion suivi et lucide sur ce qu'est cette pratique, ce qui revient à dire que vous êtes endoctriné ou addict comme vous préférez...
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le législateur, les médias d'informations scientifiques, et toutes les personnes qui sont passées par une thérapie et en sont ressorties encore plus troublées qu'avant l'avoir suivi... car ces derniers n'avaient pas de parti pris avant que d'user de ces pratiques, et après il ont acquis à leur corps défendant une légitimité de témoignage comme victime...
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De la banalisation culturelle de la violence
zeugma a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
vous avez beau vouloir justifier par vos pères une légitimité des théories et pratiques, il n'y a pas d'autorité suffisante dans le discours psychanalytique pour en faire une étape indépassable de la connaissance de la psyché humaine, car le passage que vous citez : Un troisième démenti sera infligé à la mégalomanie humaine par la recherche psychologique de nos jours qui se propose de montrer au moi qu’il n’est seulement pas maître dans sa propre maison, qu’il en est réduit à se contenter de renseignements rares et fragmentaires sur ce qui se passe, en dehors de sa conscience, dans sa vie psychique. est une dés-appropriation de l'autodétermination et en fait une soumission au pouvoir du psy, comme unique connaisseur de ce que "je suis"... rien que les premiers mots : "un troisième démenti sera infligé à la mégalomanie humaine" dit bien en quel état d'esprit cette pseudo-science à voulu s'imposer, pour ensuite affirmer que : "montrer au moi qu’il n’est seulement pas maître dans sa propre maison"si ce n'est pas une sécularisation de la notion religieuse de "possession", ce pourquoi je vous disais que la psychanalyse est usurpatrice... il y a un moment où il faudra bien débattre sur le fond des affirmations de la psychanalyse et de la psychologie, car vous vous rendez bien compte que vous vivez de présupposés représentatif et fallacieux... les notions d'inconscient et de refoulements ne serait-ce que par leur terminologie négative pose une a-subjectivité qui se poursuit tout au long du travail psychanalytique, et cette négation est autant à l’œuvre dans votre refus de faire objectivement le constat des dérives de ces pratiques... -
non mais que justement ils ont un regard non-partisant et donc plus extérieur aux dérives qui se produisent en ces corporations, comme disait George, "la guerre est une chose trop grave pour la confier aux militaires"...
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il y a quand même un moment où on ne va pas faire l'expérience de quelque chose de négatif, juste pour savoir ce qu'est cette chose, c'est inutile et cela s'appelle la prudence, ainsi vous qui êtes addict à cette intelligibilité de vous même, c'est à vous aussi de vous en sortir, je suis juste là pour vous dire que cette lecture repose sur des présupposés idéels et pas sur ce qu'est la psyché humaine, que cette méthode ai produit des effets sur vous, à n'en pas douter ils existent, ne serait-ce qu'en constatant votre attachement à la défendre... le stoïcisme, l'épicurisme, et d'autres mouvement philosophiques qui tendent à connaitre et à agir, ont eu et ont encore des adeptes, mais ils ne sont pas pris comme référents dans l'éducation ou dans la résolution des problèmes comportementaux, ce qui revient à dire que si aujourd'hui la psychologie est dominante, il y a une raison qui en est cause... pour moi cette raison c'est la concomitance avec le développement des autres techniques de développement par expérimentation, car historiquement c'est ainsi que la psychiatrie est apparue (l'expérimentation freudienne), que la psychanalyse en à posé plusieurs branche (réfutation du modèle freudien par un autre, Lacanien et Jungien par exemple), et que la psychologie en à envahie la sphère sociale (à l'image des techno-sciences qui s'appuient sur les sciences)... il y a un moment où il faut estimer ce que sont les choses dans l'ensemble de leur attributions et effets, et avoir le courage de reconnaitre ces erreurs... de plus je n'ai jamais dis que les psychologues était mal intentionnés, ça c'est un autre débat...
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à toutes les personnes qui sont en manque de lucidité, quelque soit le sujet, il y a aussi la possibilité de ne pas faire des hors sujets, ainsi je peux concevoir et accepter même que l'on ne puisse pas tout comprendre, mais cela ne donne pas un droit de parole négative pour autant...du moins si on à encore un peu d'honnêteté intellectuelle... ma critique du scientisme n'est pas parfaite mais pose cette question: 1/ le scientisme est-il une ignorance de la limite de l'intelligibilité scientifique, ou 2/ une surévaluation du vrai de la preuve en une vérité pour la conscience collective...? pour moi les deux et dans la mesure où la première ignorant aussi la deuxième impose ce que la deuxième assume de la première...
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mais ça c'est votre lecture psychologique pour ne pas dire psychanalytique qui vous le fait dire, mais d'autres connaissances sur la personne humaine démontre très bien que cette analyse n'est pas uniquement fusse, mais bien plus, une supercherie menée comme une forme idéologique de systématisation de l'inconnaissable psychique... c'est un des points que la philosophie doit étudier en ce qui concerne la théorisation et la pratique psychiatrique, psychanalytique et psychologique...