Swannie

C'est ça le véritable motif de la plainte, des sous, toujours des sous

Tu es hors sujet et tu cherches à entraîner les autres avec tes délires, y a un topic pour discuter de l'avenir des gilets jaunes, c'est pas celui-ci !

Propos dénués de sens, comme d'habitude. Personne n'a dit qu'il avait été élu pour détruire la France d'une part. Ensuite tes élucubrations habituelles, je m'en contre fiche, ton point de vue ne m'intéresse en aucune manière, d'autre part. Je n'ai réagi que parce que tu lui mettais le sang sur les mains, alors qu'il est sur celles du mouvement. Edit : lui mettre le sang sur les mains = le mettre sur les mains de tous ceux et celles qui ont voté Macron, par déduction, même si par défaut, en d'autres termes, tous ceux qui ont participé à ce qu'il soit élu Président.

Sans fondement, il a été élu par démocratiquement par le peuple, les gilets jaunes, le peuple ne leur a rien demandé, ils ne représentent pas le peuple, ils ne sont pas le peuple, mais une infime minorité de ce peuple sans foi ni loi. c'est exactement ce qui se passe dans les villes désormais, les gens cabossent et se barrent, ils savent qu'ils n'ont pas de souci à se faire, on en est arrivés là...

Je sais, j'en ai déjà fait les frais aussi d'actes de vandalisme gratuit sur un parking. Sans preuves, on ne peut rien faire, alors bien évidemment ces lâches ont beau jeu, pas vu pas pris, ils continueront à l'infini. Les caméras de vidéosurveillance sont une excellente chose pour apporter une preuve, encore faut-il que le coupable ne soit pas masqué. Vu une moto volée en plein jour sous ma fenêtre de bureau, coupable jamais retrouvé malgré la vidéo, car avec le casque intégral on ne voyait pas son visage. Pour en revenir au sujet, les sanctions sont insuffisantes pour dissuader de recommencer, je suis d'accord, mais aussi le fait de pouvoir porter plainte alors qu'on est en tort. Parce qu'un avocat véreux va user de l'Etat de droit quitte à mentir (le prétendu coma inexistant) et il faut des preuves suffisantes pour que la plainte soit classée sans suite.

Le sang provient du mouvement des gilets jaunes, on vous l'a dit des dizaines de fois : pas de mouvement = pas de sang. Prenez vos responsabilités.

J'aurais liké si tu avais mis "sanctionne" à la place de "assomme"

Il était tard cette nuit lorsque j'ai liké ton post Wow, aussi je n'ai pas commenté sur le champ. Merci pour l'explication de la "charge" qui en fait n'existe plus, sans doute reprise par les médias pour frapper les esprits, faire croire à de la violence alors que c'est viril mais pas violent. Bien évidemment que la loi est la même pour tous quelque soit notre âge, ce serait trop facile d'excuser tout parce que plus de 70 ans. Avoir répondu à une journaliste dans son interview avant l'accident ""Vous allez rester ici place Garibaldi?", lui demande encore le journaliste. "Je resterai ici tant que je le déciderai moi", conclut avec aplomb Geneviève Legay" https://www.huffingtonpost.fr/2019/03/25/gilets-jaunes-a-nice-genevieve-legay-interviewee-peu-detre-gravement-blessee_a_23699770/ n'est pas bien pas malin en effet. C'est se positionner au dessus des lois. Merci aussi pour les infos concernant les street medics inutiles qui ne sont pas tous des bons samaritains, puisque "depuis 2016, tous les CRS sont formés au Secourisme Opérationnel". Concernant les LBD, ça a le mérite d'être clair désormais, car s'il est une source à laquelle je vais croire prioritairement, c'est bien celle qui vient des concernés sur le terrain qui viennent témoigner en toute impartialité comme tu l'as fait. Répression policière ? je n'y crois pas un instant non plus. Espérons que plusieurs réagiront quant à ça, un éclair de lucidité, sait-on jamais : "Aucune révolution n'a abouti sans le soutien des F.O. et des Militaires. Aucune." La révolution, j'en veux pas non plus. La terreur d'après, j'en veux pas non plus, et ce qui en découlera, j'en veux pas non plus. C'est aussi : "pour l'avenir de mes gosses! Pas envie de leur laisser le chaos, qu'il soit politique, économique, ou autre". Qui en veut ? Merci d'être passé témoigner, plein plein plein de français soutiennent les FO, bien plus nombreux que ceux qui ne les soutiennent pas (on va encore me dire : ça c'est toi qui le pense, pas les 65 M de français, mais je m'en cogne).

ce n'est pas ce que Pascou a voulu dire dans sa comparaison en écrivant je le cite "Puis le vent tourne , les résistants sont devenus des héros ceux qui les dénonçaient des collabos." Les casseurs et les terroristes ne deviendront pas des héros lorsque le vent tournera, et les citoyens des collabos pour n'avoir pas participé à la casse mais à la paix.

C'est votre impression, point. La mienne présentement est que nous tournons en rond, répéter c'est pas mon truc, une fois je veux bien mais pas plus. Que les britanniques revotent n'est pas le problème. Le problème est de constater tout ce qui s'est passé entre le oui au Brexit jusqu'à ce jour, et c'est même pas fini. Que d'énergie gaspillée pour (peut-être) revenir au point de départ : pas de Brexit.

Le plus étonnant dans l'histoire c'est que vous disiez ensuite que c'est bien vous qui sauterez car responsable direct du dysfonctionnement, c'est ce que je m'escrime à vous dire dans notre affaire, si vous avez suivi son déroulement (mais en fait non, vous ne l'avez pas suivi). Je ne reviens pas dessus, je vous ai mis de quoi lire pour comprendre mais vous n'en tenez pas compte, le canard est votre unique référence.

Tu ne peux pas comparer un pays en guerre occupé par l'ennemi (autre nationalité) et un pays en paix qui subit des émeutes de la part de citoyens de ce même pays (même nationalité).

Encore une fois, vous me faites dire ce que je n'ai pas dit. Ce n'est pas parce qu'un français ne sait pas pourquoi il vote que je vais le prendre pour un con. Démonstration vient d'en être faite dans un autre topic qui tombait à pic, une participante vient de dire que c'était son cas, et elle est loin d'être ce que vous en dites, je ne la considère pas du tout, mais alors pas du tout comme vous le pensez.

Tout comme la puissance qui vient nous investir peut donner la force inverse : nous rendre capables de se surpasser mais du bon côté.

Oui, bien sûr. Il y a les extrêmes ou radicaux, et ceux qui se laissent entraîner par eux une fois dans l'ambiance, le regrettant amèrement ensuite s'ils sont arrêtés avec comparutions immédiates.

Et toi arrête d'imaginer que demander aux français s'ils veulent un RIC ou pas signifiera (s'ils votent oui majoritairement) qu'ils savent parfaitement ce qu'est un RIC, de A à Z. Les français (généralité, pas tous évidemment) démontrent par leurs actes qu'ils ne savent déjà pas à quoi les engage de voter, sinon au bout de 18 mois ils ne seraient pas dans la rue à crier "Macron démission", et tu voudrais me faire croire qu'en votant pour ou contre un RIC, ils en sauraient plus

On a pu constater dans ce topic que nous n'avons pas tous la même perception des mots. A l'origine de la compassion, il y a les faits qui la font naître ou pas, chacun a sa propre sensibilité quant à ces faits. Un humain se doit en effet d'être humain pour la susciter, lorsqu'il se comporte en inhumain, je ne vois pas ce qui pourrait la susciter hormis une injustice à son égard pour l'enfoncer encore plus. Je ne supporte pas l'injustice, c'est même l'unique chose que je hais sur terre : l'iniquité, porte ouverte à toutes sortes de comportements mauvais. Si l'on considère que l'âme est ce qui nous permet d'éprouver des émotions et des sentiments, si on s'interdit d'en éprouver pour s'endurcir, rester indifférent au sort des autres, on peut en effet dire que c'est en abandonnant son âme que l'on devient mauvais. C'est aussi une porte ouverte.

Je te ramène à la réponse d'Anatole : "Les 4/5e des gens ne savent même pas ce qu'est un RIC, y compris ceux qui manifestent pour celui-ci alors qu'ils ne savent même pas ce qu'ils pourraient y mettre" Y a du boulot à faire pour qu'ils puissent voter pour ou contre en sachant vraiment pourquoi ils votent.

Ils découlent du sujet : pourquoi devient-on mauvais (risque de ne plus pouvoir éprouver de pitié dans son sens noble et de compassion associée).

Moi aussi, il est parfaitement conciliable de déclarer qu'elle a eu tort de se trouver là où elle était sans lui souhaiter du mal. C'est simplement demeurer juste quant aux faits. Ne pas vouloir lui donner tort parce qu'on est gilet jaune et lui donner tort parce qu'on est pas gilet jaune est puéril et injuste. Ce à quoi il faut regarder, c'est aux faits, et demeurer juste quant à ces faits. Je lui souhaite donc un prompt rétablissement, espérant qu'elle ne garde pas de séquelles, mais je continue à lui donner tort de s'être trouvée à un endroit interdit de manifestation car c'était prendre délibérément des risques, en d'autres termes ce n'était pas sage surtout à son âge.

Pour précision, je n'ai jamais employé le mot pitié dans son sens dévoyé (càd hautain et méprisant), il y a toujours derrière de la compassion, mais je reconnais que les gens l'interprètent selon la propre perception qu'ils ont de ce mot Sans doute la propre expérience de chacun en est la cause, pour moi voilà : pitié = compassion donc action, si la personne est consentante. J'en viens à déduire que les personnes non consentantes entendent le mot pitié comme tu l'entends, d'où leur refus d'être aidées car elles doivent y voir un côté humiliant. Cela vient sans doute du fait que croyante en Dieu, lorsqu'il prend pitié la compassion est associée, et l'aide en conséquence est généreusement donnée. Alors là, pas du tout pour ma part, j'ai essentiellement cherché à être comprise quant au sens que je donnais à ce mot, que d'autres ne lui donnent pas le même sens m'a poussée à chercher à les comprendre, c'est chose faite dans ma dernière réponse.

C'est ce que font les sondages : 1000 personnes interrogées, et l'on considère que les 1000 représentent les 50 millions de français majeurs. Bien évidemment qu'il puisse en être différemment, mais ce n'est pas interdit. Toi, tu es pour, mais tu n'en sais pas plus que moi sur les autres pour et leur nombre

C'est exactement ce que j'ai exprimé dans mes réponses, précisant que de la pitié à la compassion il n'y avait qu'un pas, celui qui mène à agir ou pas, car encore faut-il que la personne concernée soit consentante. Dans l'exemple du chien abandonné, la question ne se pose pas, mais envers des humains, c'est une situation qui arrive.

Chacun a parfaitement le droit d'avoir demandé à son entourage (famille et amis) qui était pour et qui était contre. Le nombre de contre est majoritaire parmi les miens, au motif qu'une partie du peuple est trop girouette, l'exemple du Brexit y est souvent mentionné à l'appui, ainsi que le désintérêt des urnes.

192 versets pour "pitié" dans la Bible de Jérusalem. Tu peux choisir une autre version, ici : https://www.levangile.com/Concordance-Multi-Bible.php?Version=JER&plage=1&Terme=pitié&option=1