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Swannie

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Tout ce qui a été posté par Swannie

  1. Je finis par détester les discussions qui tournent comme celle-là, pour défendre une cause à laquelle je n'adhère pas, oui, j'élève dans cette discussion ma non-acceptation de cette régression, et je continuerai à écrire avec accords les participes passés avec avoir, aucune incidence dans ma vie que je le fasse. Si on me dit que je fais des fautes, je m'en fiche, comme je l'ai dit au début, et là, on commence donc à tourner en rond. Je reste même persuadée que je trouverai des gens pour dire "ah ! quelqu'un qui ne sabote pas notre beau français, comme ça fait plaisir". Pour le 3ème paragraphe, vu le ton pousse-toi-de-là-que-je-m'y-mette que vous vous avez employé pour refuser de voir la logique de l'accord, je n'avais aucune raison de continuer avec la même logique que vous auriez tout autant refusée. Ah oui, je suis nulle en français, c'est ça ? 1 faute minimum par ligne, donc révision des acquis obligatoire ? Finalement, vous êtes un grand comique que je ne saurais prendre au sérieux (heureusement que je n'ai jamais eu de profs comme vous oufff )
  2. Alors avec un, je ne comprends rien, avec l'autre, je mélange tout, après ça va être quoi ? lit et tais-toi ? (je le sens venir) Gardez votre point de vue comme je garde le mien, ça résout le problème Ce que vous voyez comme une évolution, je le vois comme une régression, parce que l'accord est choquant et sans logique, nous ne tomberons donc jamais d'accord. La particularité wallonne plus ouverte quand il s'agit de régresser ? (de mon point de vue), plus ouverte vers la facilité au détriment de la richesse d'une langue.
  3. Bon ben alors A te lire, c'est exactement comme si tu ne m'avais jamais lue, en fait, et perso, me répéter en boucle n'est pas ma tasse de thé. Décidément en politique, il n'y a jamais moyen de se faire comprendre...
  4. Ce qui sous-entend que ce monde est donc parfait, puisqu'imparfait ?
  5. Vous avez répondu à côté de ce que je vous ai écrit, même si c'était pour expliquer que le vocalisable est central. Cela sous-entend aussi que le concerné sache que crêpe est du genre féminin, connaisse donc parfaitement les genres, qu'effectivement les connaissant, ça limitera les fautes d'accord. Combien de personnes ne se posent jamais la question d'un genre, masculin ou féminin ? tous les mots ne sont pas courants. Singulier/pluriel, je suis ok, l'article les définit. Sinon, c'est quoi votre intérêt à défendre la Wallonie là-dessus si vous-mêmes n'êtes pas Wallon ? Car je vois bien que malgré que l'on défende la langue française, vous trouverez toujours des arguments pour lui donner raison, vous n'empêcherez pas le français de souche de respecter sa langue et de l'aimer (à moins qu'on lui ait mal enseigné le français, qu'il fasse beaucoup de fautes, et du coup, y a moins d'amour, c'est compréhensible).
  6. Absolument pas accessoire puisque valable tout le temps avec avoir. Où est-ce que j'ai parlé de vocalisable là-dedans ? Dans la déduction que j'ai faite des autres fautes qui en découleront, oui j'en ai parlé, mais pas dans la logique quant à l'exemple donné que je recopie (ça peut aider ceux à qui on a jamais donné cette logique) : «Employé avec l’auxiliaire avoir, le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le complément d’objet direct quand celui-ci le précède (les crêpes que j’ai mangées). Mais si le complément suit le participe, il reste invariable (j’ai mangé les crêpes).» Là dedans, y a une question de logique, qu'il n'y a plus dans les crêpes que j'ai mangé. Les crêpes que j'ai mangées, bin oui, j'ai mangé des crêpes : mot féminin pluriel, on peut deviner l'accord logique sans connaitre la règle. Les crêpes que j'ai mangé ne trouve aucune explication logique, pas même avec le "je" . En revanche, dans j'ai mangé les crêpes : bin oui, ce ne sont pas les crêpes qui m'ont mangé, c'est moi qui les ai mangées (moi = j'ai). C'est la même logique que pour ou (choix) et où (lieu), et (ajout) est (un fait) et un tas d'autres exemples, il suffit de se poser une petite question en cas d'hésitation, et non de se rappeler d'une règle apprise par coeur. C'est leur culot, pour le dire carrément, qui m'interpelle, aux Wallons. On peut aussi, et ce serait finalement mieux, passer définitivement à l'anglais, et on met le français aux oubliettes niveau national plutôt que de le massacrer, il restera un dialecte pour ceux qui voudront continuer à l'utiliser
  7. Ils seront jolis les bouquins si ça passe, pouahhh de quoi dégouter de lire Je suis encore en train de me demander comment la Wallonie peut se permettre de modifier la langue française, pourquoi ils ne le font pas que chez eux, les Wallons ? (et même dans toute la Belgique, libre à eux)
  8. Oui, pour la survie, mais pas pour la vie, la nuance est de taille.
  9. C'est ce que j'ai expliqué en page 1, dans le rajout que j'ai fait à mon premier post : il y a bel et bien une logique (singulier/pluriel/féminin/masculin). Peut-être que les règles ont été instituées pour ceux qui ne comprenaient pas cette logique, mais beaucoup de personnes dont moi n'ont pas besoin de se rappeler les règles pour savoir comment s'accordent les verbes au passé à cause de cette logique. A l'époque, les systèmes de notation ne donnaient pas vraiment le choix d'être bon ou pas en français, 5 fautes dans une dictée, c'était 0/20 (sans parler des 1/2 points et des 1/4 de points pour les fautes d'accents ou de ponctuation), dictées piochées dans un grand roman d'auteur. Mais au moins, on entrait en 6ème avec un français maîtrisé dans ses bases essentielles.
  10. Le peuple dans l'absolu ? mais il se bouffe la rate constamment les uns les autres, même entre simple voisins, sur ce forum, etc. si tu ne le vois pas, alors je ne peux rien ajouter de plus. Que veux tu attendre d'un tel peuple ? Quand je te parle d'unanimité, je sais ce que je dis, mission impossible en France. Non rien ne monte, c'est ce que tu vois toi, de ton point de vue, avec ceux que fréquentes. De l'autre bord, on les voit descendre, de moins en moins d'influence dans les divers mouvements, syndicats en perte de vitesse, etc.
  11. Swannie

    Concept et Idée

    Il arrive même d'avoir l'impression (est-ce seulement une impression ou une intuition ?) que ce paquet de nullards va piocher ça et là dans différents ouvrages leurs phrases insensées, ce qui explique que leur discours devient complètement incohérent. Donc faire l'impasse et continuer est le plus sage. Là dans cet exposé, on ressent la parfaite maîtrise du sujet et on apprend vraiment à mettre des mots sur ce que l'on sait mais qu'on ne sait pas exprimer dans le langage de la philo, parce que justement, on a jamais fait de philo. C'est mon cas, alors merci. La plupart de mes connaissances sont empiriques, expérience interne, aussi je réalise qu'on puisse ne pas me comprendre, excepté ceux qui auront les mêmes connaissances, sinon il faudrait pouvoir rentrer dans mon esprit Avec plaisir pour la suite.
  12. oui mais alors ça veut dire quoi ? qu'il faut accepter en les remerciant que d'autres pays nous façonnent notre langue ? C'est vrai qu'au niveau phonétique, ça ne changera pas grand chose qu'on accorde ou pas les verbes correctement, on se comprendra quand même. Ce qui me dérange dans l'histoire, c'est le principe d'en faire de moins en moins, d'apprendre de moins en moins, d'abêtir les gens. Faut pas trop penser et réfléchir, c'est fatiguant, la meilleure manière d'en faire des moutons. Et puis les enseignants ont leur part de responsabilité dans l'affaire, au lieu d'obliger à apprendre des règles par coeur, ils devraient expliquer d'abord la logique de la règle, puis la donner. Souvent, ils la donnent, sans aucune explication quant à sa logique.
  13. ok puisque les sources insee sont fausses car gouvernementales, envoie les tiennes, merci.
  14. Je crois que la Wallonie veut nous grignoter notre identité, en fait Jalouse de notre si belle langue ? qu'elle s'appelle française et non belge ? J'ai la solution : on intègre la Wallonie à la France, plus de Wallonie et vala Une règle sortie de la logique est une règle intelligente.
  15. oui, avec des échalotes hein, pas des oignons ou échalottes ? non échalotes. Qu'on simplifie les mots qui prennent 1 ou 2 t (ou une autre lettre) en ne doublant plus lorsque cela ne change rien à la prononciation, ok, c'est de la vraie simplification là.
  16. perso j'ai vite intégré la logique du français avec ou sans règles, et je n'ai aucunement l'intention de recommencer, je garde ce que j'ai appris. On me dira que je fais plein de fautes, comme à tous ceux qui le garderont on dira la même chose, et bin : OSEF
  17. J'ai fait un grand rajout dans mon précédent post, veuillez me pardonner cette torture qui n'était point voulue, je n'ai aucune raison de m'en prendre à vous et vous le savez fort bien (je vous sais intelligent), c'est vilain de considérer ça torture . Cordialement
  18. Le problème se situe au niveau de l'étymologie du mot : Étymologie. Le substantif masculin nénuphar est emprunté, par l'intermédiaire du latin médiéval nenuphar, à l'arabe nainūfar, nīnūfar, nīlūfar, du persan نیلوفر / nīlūfar, lui-même emprunté au sanskrit नीलोतपल / nīlōtpala (« lotus bleu »), composé de नील / nīlah (« bleu-noir ») et utpalam (« fleur du lotus »). Dans le cas du nénuphar, si on remonte au persan, l'écrire nénufar ne pose pas de problème, si on remonte au sanskrit, autant l'écrire maintenant utpalam pour être plus juste puisque les nénuphars ne sont pas tous bleu-noir On va arriver à un français qui n'en sera plus en fait si on fait pareil avec tous les mots «Employé avec l’auxiliaire avoir, le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le complément d’objet direct quand celui-ci le précède (les crêpes que j’ai mangées). Mais si le complément suit le participe, il reste invariable (j’ai mangé les crêpes).» Là dedans, y a une question de logique, qu'il n'y a plus dans les crêpes que j'ai mangé. Les crêpes que j'ai mangées, bin oui, j'ai mangé des crêpes : mot féminin pluriel, on peut deviner l'accord logique sans connaitre la règle. Les crêpes que j'ai mangé ne trouve aucune explication logique, pas même avec le "je" . En revanche, dans j'ai mangé les crêpes : bin oui, ce ne sont pas les crêpes qui m'ont mangé, c'est moi qui les ai mangées. Cette proposition vise à supprimer l'accord pour simplifier le français, sa logique. Mais on va aller au devant de pas mal d'incohérences à cause d'incompréhension vis à vis du singulier et du pluriel, genre : les crêpes que j'ai mangé (au lieu de mangées) n'était pas bons, (au lieu de n'étaient pas bonnes). Si on supprime le féminin pluriel dans un accord, il faudra justifier pourquoi on ne le supprime pas dans un autre, sauf à dire évidemment que le mot crêpe est féminin et comme il y en a plusieurs, c'est pluriel, alors la logique voudra que l'on écrive mangées. Bref, il n'y a déjà plus beaucoup d'orthographe, on va finir dans une langue abrégée qu'on appellera le français simplifié (une sorte de français pour ceux qui n'ont pas la logique de la langue, donc sa maitrise). C'est un art que d'écrire français correctement, faudrait pas penser qu'on se tortille l'esprit à chaque mot, ça vient tout seul, c'est inné, on en a le sens ou pas. Aucun art n'est sot, loin de là.
  19. Swannie

    ça pousse chez vous ?

    Sinon le faux puits n'est pas si grand qu'il n'y parait, c'est que la photo est prise de près Comme ce jeune rhodo, au printemps
  20. C'est vrai, la perfection, c'est tendre vers ce qui est parfait, or ce qui est parfait n'est pas identique pour tout le monde.
  21. Hé oui, chacun sa manière de concevoir l'amour Il parait que je suis perfectionniste, alors pas trop étonnant que la mienne diffère
  22. J'ai suffisamment imagé ce que représentait Nicolas Hulot pour moi, sans qu'il ne soit besoin d'en rajouter. Rien ne l'empêche de reprendre son rôle de lobbyiste défenseur de la planète auprès des grands dirigeants. Je ne peux pas admettre que le véritable patron de tout soit le peuple, puisqu'il est visible qu'il ne l'est pas. S'il l'était, il aurait soutenu à l'unanimité N. Hulot, comprenant que même si pas d'affinités avec le personnage, il était l'unique Ministre de l'écologie à la hauteur. Or une bonne partie du peuple le désavoue, démonstration que le peuple n'est en aucun cas le patron. Exemple : tous en marche pour limiter drastiquement la chasse. Or qu'en est-il ? une minorité a gagné, vraiment une petite minorité. Alors oui, cette petite minorité fait partie du peuple, mais elle ne représente pas le peuple, c'est cette petite minorité qui a été le patron. Pour qu'il le soit, tout le peuple, le patron, il faudrait un peuple totalement d'accord sur les mêmes objectifs, le premier étant la préservation de la planète, qui ne ruine en rien l'économie, c'est juste une question d'orientation des priorités associée à des choix économiques allant dans le même sens, j'ai déjà donné un exemple pas plus tard qu'hier. Faire croire que le peuple commande (tout de peuple), c'est de l'enfumage total, c'est révolu le temps de la révolution et ce n'est plus faisable à nouveau, parce que le peuple ne crève pas de faim. Des minorités du peuple commandent, ça oui.
  23. Swannie

    ça pousse chez vous ?

    Les miennes sont toujours au nord-est, mais pas dehors, super tuyau, merci Des cosmos comme déco dans mon jardin :
  24. Le problème là est que le verre n'est ni à moitié vide ni à moitié plein, il contient juste une lichette. On sait où est la bouteille (pleine) pour faire remonter le niveau, mais certains s'opposent à ce qu'on la prenne pour remplir le verre, même au goutte à goutte. Ce que faisait N. Hulot, du goutte à goutte. Pas dit que le suivant en fera autant, il peut se contenter de maintenir la lichette... ou pas. Hé oui, il faut que ça nous pète au Q pour qu'on agisse. Comme si le verre s'auto-détruisait une fois vide, on le sait, on espère juste que la lichette tiendra le plus longtemps possible. C'est sans compter sur la possibilité d'évaporation du peu restant.
  25. Swannie

    Concept et Idée

    T'éloigne pas du sujet stp. Je viens de trouver un texte qui reflète bien ce que j'en perçois en rapport avec le sujet : "Les problèmes posés par le couple abstrait/concret concernent les rapports entre la pensée et la réalité. Le concret est souvent considéré comme ce qui nous ancre dans la réalité. Plus la pensée est éloignée de la réalité, et, plus particulièrement de la réalité immédiate et familière, plus elle est abstraite. De là une certaine méfiance vis-à-vis de l'abstraction. Les termes qui désignent des choses perceptibles sont dits " concrets ". Ainsi, " homme " serait un terme concret, mais " humanité " un terme abstrait. Cependant, tout signe linguistique, donc tout terme, en tant que son signifié est un concept et non la chose correspondante, est abstrait. Nommer, c'est toujours rassembler sous l'identité d'un même nom les réalités singulières et multiples en faisant abstraction de leurs différences. Le langage est donc un facteur d'abstraction. C'est ce qui permet au langage de transcender le donné immédiat. D'une certaine façon, la pensée suppose l'abstraction dans ses trois déterminations: généraliser, analyser (séparer, décomposer), et construire. C'est une activité hautement symbolique (qui passe par la manipulation de symboles) dont l'exemple par excellence est la pensée mathématique. L'abstraction n'est pas nécessairement un appauvrissement. Les classiques considéraient que plus on généralisait, moins on connaissait les propriétés de l'objet : l'extension du concept (l'ensemble des objets auquel il s'appliquait) s'étendait; sa compréhension (l'ensemble des caractéristiques auxquelles il renvoyait) diminuait. La science moderne montre au contraire que ce sont les modèles de la réalité les plus abstraits (et souvent les plus mathématiques) qui sont les plus riches." ici : http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/logphil/reperes/abstrait.htm Alors classique ou moderne ? c'est un choix personnel.
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