versys

Sans oublier les collabos, en l'occurrence pro-poutiniens. Les conditions de ces "négociations" imposées par Poutine sont juste inacceptables. Zelensky doit tout refuser en l'état. .

Les idées de LFI s'adapteront aux fluctuations de l'attente d'un électorat potentiel au fur et à mesure que l'on se rapprochera de l'échéance 2027. Idem pour celles de l'Extrême Droite. Les idées s'adapteront et se travestiront, mais les fondamentaux resteront les mêmes.

Bah, l'exercice est juste... distrayant.

Absolument... On ne dira jamais assez combien Vladimir Poutine est le seul bras armé du camp du Bien résolu à éradiquer le Satan occidental.

En résumé, de plus en plus d'ukrainiens sont disposés à se coucher devant le diktat criminel poutinien.

Pas d'angoisse... En 2027, l'ascenseur social sera nationalisé.

Alors lâches rien. Poutine suggère à Zelensky une "proposition de paix" unilatérale. Dans le genre "Piège à con poutinien" on atteint des sommets. Le pire, c'est que Zelensky est capable d'accepter...

et ben moi, je vais voter pour mon voisin Jean Lassalle qui a pareil aucune chance.

Possible. Les conditions se trouvent à peu près réunies. - Un "programme commun" comme en 1981 - Un candidat au charisme et au potentiel de malignité équivalents à celui de Mitterrand comme en 1981.

C'est clair. L'idée étant de dénazifier l'occident.

On peut dire ça. Mais Trump est aussi le cas d'école de ce que permet le populisme le plus abouti pour accéder au Pouvoir. Un populisme désormais majoritairement utilisé par les candidats extrémistes à la Fonction suprême, car c'est le discours politique le plus efficace à phagocyter les cerveaux perméables d'un électorat réceptif.

Vous oubliez juste un pion sur votre échiquier rétréci, l'impérialisme chinois. Impérialisme chinois qui s'allie avec son homologue idéologique russe contre le Satan occidental, oubliant sur le coup que le meilleur client de sa nation-usine est précisément... l'Occident.

Les américains sont de fait les sujets du Roi Trump. Auront ils toujours, l'échéance venue, le désir et LE POUVOIR D'ELIRE un nouveau dirigeant. Car Donald Trump ne cache pas ses projets de révision radicale de la Constitution des Etats Unis, concernant, en particulier, la fréquence et les limites de la durée du mandat présidentiel des USA.

Comment qualifie t on une gouvernance dont l'obsession première consiste à écraser ou contraindre tout ce et tous ceux qui lui font de l'ombre et qui, surtout lorsqu'il s'agit de médias, risquent de trop éclairer et dévoiler les ignominies ubuesques de cette gouvernance ?? "Le roi est nu !"... mais se donne beaucoup de mal pour se draper dans les oripeaux double face d'un marchand de soupe outrancier. La statue de la Liberté à t elle toujours sa place à l'entrée du "royaume" ??

C'est pas faux, et anticiper sur quelques "désordres" relatifs aux gouvernances de concert des duettistes Trump-Poutine n'est pas raisonnable.

Malhuret n'est pas le seul à établir le constat et anticiper les désastres de la gouvernance Trump. Mais que pèsent ces constats face au pire fléau, à la pire menace parvenus, on sait trop comment, à s'installer dans le Bureau ovale ?

..... Après s'être débarrassé des métastases collaborationnistes pro Poutine intra-européennes.

Bah... tu es bien sévère.... Non, la tonte traditionnelle réservée aux collabos devrait suffire.

"Partager les valeurs de la Russie" est une chose. Collaborer à l'idéologie et au projet poutiniens est tout à fait différent. Que quelques dizaines d'illuminés d'extrême droite français se fassent hacher menu sur le front ukrainien n'est pas le plus inquiétant, mais que Marine le Pen, potentiellement future présidente de la République Française se déclare ouvertement engagée pour servir les intérêts de Vladimir Poutine, partageant de fait sa haine viscérale de l'Europe, donc de la France, est beaucoup plus problématique.

Trump remue beaucoup de vent. Voyons si cet accord américano-ukrainien changera quelque chose dans les pilonnages quotidiens de l'armée poutinienne sur le territoire ukrainien.

Pas mal et très révélateur comme idée. Mais Pierre Edouard Stérin n'invente rien et le genre "Notre Dame de Sologne" qu'il envisage de créer et d'installer dans cette région n'a rien à envier à une certaine Notre Dame de Bétharam de triste mémoire. Dans le genre copier coller d'une institution catho traditionnaliste dans laquelle l'enseignement de l'idéologie d'Extrême Droite serait incluse dans le programme.

Et c'est bien la question majeure qui se pose au lendemain de cet accord. Le préalable à l'installation d'entreprises d'exploitation américaines en Ukraine impose que ce territoire soit débarrassé de tout risque et menace d'intrusion guerrière par une puissance étrangère, en l'occurrence la Russie poutinienne.

C'est aux deux à faire gaffe. Quand on est piéton, on est fragile et se précipiter sur un clouté sans rien regarder est juste suicidaire. Dès que l'on a garé sa voiture, on devient piéton et il faut s'assurer s'être vu par les automobilistes avant de s'engager sur le passage pièton.

Quand tu acceptes d'être 1er ministre, tu acceptes de te retrouver dans la merde.

"J’aimerais être pape." Ce mardi, Donald Trump s’est adressé aux médias avant de partir pour le Michigan, où il célébrait ses cents premiers jours à la Maison Blanche. Alors que les journalistes l’interrogeaient sur ses préférences pour la succession du pape François, le président américain a ironisé et déclaré qu’il était son "premier choix". Et de tempérer dans la foulée, comme le relaie Le Figaro : "Je ne sais pas. Je n’ai pas de préférence." Johanna Vuadens - 6Médias. La bonne question est "Trump est il plus provocateur que mégalo ??" Difficile de répondre, ce qui est sûr, c'est qu'il n'est pas tout seul dans sa tête.