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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Pour répondre assez concisément par respect pour l'autrice du sujet, je dirais que la définition du terme "ragot" est relativement souple sémantiquement (son étymologie l'explique d'ailleurs). Mais as-tu lu l'article en lien dans l'introduction en entier? Car il est révélateur à ce sujet (Et il y est aussi question d'"instinct humain fondamental" en conclusion.).
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Ok, pas de souci, j'ai sûrement suffisamment exposé mon point de vue de toute façon. Merci pour ce fil en tout cas...
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Et donc tu ne te considères pas médisant à mon égard dans tes propos? C'est un peu "C'est pas bien sauf quand c'est moi qui le fais." alors...
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C'est juste faire la part des choses entre les ragots innocents, nuancés, et ceux qui sont abusifs. Encore une fois, et comme c'est évoqué aussi dans ton article, la plupart des commérages restent neutres et non insultants, mesurés, ce n'est qu'une part minoritaire qui dépasse les bornes (c'est un phénomène étudié). Donc même si évidemment il faut pouvoir tenir compte de cette dernière, pas de là à tout mettre dans le même panier si on veut rester assez objectif.
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En même temps traiter untel ou unetelle de langue de vipère, de jaloux dans sa petite vie minable, etc... c'est aussi cancaner à sa façon, et parfois c'est assez justifié, ou pas. Du coup c'est un peu le serpent qui se mord la queue de diaboliser radicalement la médisance... Pour ma part j'ai aussi été victime de ragots diffamatoires, comme beaucoup de gens, mais d'autres ragots m'ont aussi incitée à juste titre à la prudence avec certaines personnes, etc... Tout n'est pas tout noir ou tout blanc.
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J'avais publié un sujet sur le thème des commérages dans la rubrique philosophie à une époque. Il est sociologiquement établi que dans une certaine mesure commérer est nécessaire à la cohésion sociale. Evidemment il y a des limites à ne pas franchir.
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Les ragots, oui et non, ça dépend de leur qualité. Dans certains cas ça se cantonne à s'intéresser modérément aux uns et aux autres, à ceux qui nous entourent, parfois c'est vraiment les salir ou leur manquer de respect, voire se mêler outrancièrement de ce qui ne nous regarde pas tellement... A juger au cas par cas.
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Ou derrière des "bouches en cul de poule" aussi, ça peut avoir son charme ou être ridicule selon les cas...
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Si je devais choisir un moment où tout recommencer dans ma vie, tant qu'à faire je choisirais dès le tout début de ma vie. J'ai vécu une enfance plutôt heureuse, et c'est une insouciance et un enchantement qu'il serait dommage pour moi d'éviter si je devais retourner dans le passé. Et puis je n'aurais pas peur de revivre le reste de ma vie non plus par la suite, il y a eu beaucoup de bons moments, même si pas seulement...
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Tout le monde ne se trouve pas laid sur les photos non plus, dans le cas contraire les selfies seraient beaucoup moins à la mode entre autres... Cela dit, certains retouchent tellement leurs photos qu'on les y reconnaît à peine (pas tout le monde bien sûr)...
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Qu'est ce qu'on t'a fait croire, quand tu étais enfant ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de January dans Education et Famille
J'ai vu des films effrayants et j'imaginais que des tueurs ou des monstres allaient surgir de derrière mon lit la nuit, ou que des serpents ou des araignées allaient sortir des toilettes. J'ai même dû aller à l'hôpital une fois par la suite car je n'allais plus aux toilettes à cause de cette peur. J'avais peut-être environ 5 ans... Mais concernant les mensonges auxquels j'aurais pu croire, je ne me souviens pas d'avoir cru à un mensonge important. Et pour moi le Père Noël c'est juste une légende ce n'est pas vraiment un mensonge. Et puis mes parents ne me mentaient pas de ce que je me souviens. Cela dit je regrette quand-même d'avoir été trop conformiste socialement étant enfant, d'avoir accordé trop de valeur aux normes sociales, d'avoir trop fait confiance à la société et ses critères de réussite vaniteux et irrespectueux de la nature (même si je sais bien qu'elle a aussi des bons côtés). -
Je peux beaucoup me plaire sur les photos mais il y en a certaines que je trouve ratées. Parfois quand je les reregarde je me dis "Non, ça va quand-même." Je fais souvent la tête sur les photos ou seulement un léger sourire, on me l'a déjà fait remarquer à plusieurs reprises "Tu es jolie mais tu as l'air triste." "Tu ne souris jamais?" En fait si mais seulement de temps en temps, dans l'ensemble j'ai plutôt un air grave ou triste, et je ne cherche pas à paraître avenante en général, bien au contraire. Je fais parfois des photos pour me remonter le moral, j'aime la coquetterie. A une époque j'ai travaillé dans le domaine de la mode, j'ai posé pour des photos, etc... mais plus maintenant.
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Dans la tête d'un oiseau peut-être, un petit oiseau, à choisir. Il n'y a aucune personne dont j'aimerais vivre la vie, autre que moi-même, ni connaître les pensées intimement. Et je me retrouverais probablement dans une situation inadaptée à ma propre personnalité, entourée de personnes avec qui je n'ai aucune affinité, dans un travail qui n'est pas pour moi, etc... A moins d'avoir un intérêt à intervenir dans la vie de la personne à sa place, mais ça pourrait paraître très prétentieux de le penser... Peut-être, si je pouvais aussi remonter le temps, pour empêcher tel proche d'avoir son accident par exemple...
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D'après moi pour être objectif à ce propos il faut dissocier l'envie du Besoin. Et comme le Besoin appelle à lui instinctivement, la nature, si on l'écoute, tend à baliser la piste. Cependant reste le libre-arbitre d'où peut naître une part de stratégie spéculative dans l'orientation des centres d'intérêt. Car donner à savoir ou tendre à savoir peuvent aussi représenter un pari pour l'avenir, or l'avenir est partiellement incertain. De même qu'être objectif par rapport à l'intérêt ou l'inintérêt de ses actes demande un regard moral assez vaste sur leurs conséquences avérées ou potentielles par rapport à autrui et soi-même, plus précisément le choix de focalisation de son esprit le demande aussi. Cela dit effectivement conscientiser parfaitement les conséquences bonnes ou mauvaises, d'un savoir recherché ou partagé, ou bien de l'ignorance choisie par rapport à tel ou tel savoir, est donc en effet au moins partiellement impossible pour ce qui relève de l'imperceptible, mais on peut quand-même tendre à l'objectivité. Et dans ce domaine, on peut se référer par exemple au journalisme (ou aux méthodes professorales, etc...). Un journaliste va vouloir susciter l'intérêt par rapport aux informations qu'il diffuse, et peut s'inspirer de diverses indications relatives aux besoins des uns et des autres, et aux statistiques. Ceci dit si son expérience l'aide à savoir cibler des sujets d'intérêt au-delà de ses seules préférences personnelles, une part spéculative subsiste. D'autre part, pour éviter les retours de bâton il est dans son intérêt également d'obéir à une certaine éthique et à un certain respect de la vie privée.
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Bonjour deja-utilise, On peut également juger un savoir indirectement intéressant, c'est à dire par exemple, relativement à l'organisation sociale ou à l'empathie. Intéressant socialement ou empathiquement et inintéressant à acquérir subjectivement pour telle ou telle personne. Puisqu'on peut juger de l'intérêt ou de l'inintérêt d'un savoir au-delà de la seule subjectivité propre. Pour moi le terme savoir dans la question est employé dans un sens général, il ne se cantonne pas par exemple à l'érudition ou à la culture générale... Concernant l'infidélité sexuelle, préférer l'ignorance peut impliquer diverses explications, une forme de tolérance ou d'acceptation de non-exclusivité, une infidélité réciproque, une relation de couple de façade où la sexualité est absente ou grandement absente, etc... Personnellement, je préfère à ce sujet un savoir limité au strict nécessaire, c'est à dire savoir si ma relation est exclusive ou non afin de limiter les risques sanitaires et de favoriser une implication mesurée, adaptée, dans la relation, mais sans pour autant, s'il y a "relation libre, non-exclusive", avoir besoin de m'intéresser en détail aux éventuelles relations parallèles et leur déroulement, sauf raison valable qui s'imposerait à un moment donné. Pour ma part "Heureux les simples d'esprit", je l'interprète au sens où, autrement dit, "Pour être heureux, mieux vaut ne pas chercher midi à quatorze heures." Il me paraît essentiel pour comprendre le monde de commencer par acquérir les bases les plus simples, par adhérer fortement aux valeurs essentielles voire évidentes, et ne pas avoir à les remettre en question sans arrêt ou intempestivement. Et on pourrait comparer un esprit manquant de simplicité à un esprit "tordu" selon l'expression. (Et pour la pomme il y a le principe de s'accaparer ce qui ne nous appartient pas en résumé (même si l'expérience en est enrichie), sortir du cadre de la Légalité, du Droit, connaître les revers de l'abus de pouvoir et ignorer ainsi sa propre voie, son véritable destin, et les limites qu'ils supposent, en empiétant sur la liberté d'autrui et ce qui lui est réservé. Vouloir bénéficier de plus que ce à quoi on a légitimement droit, par souci de tester les limites dictées par la Raison par exemple.) Il y a sûrement une juste mesure à trouver subjectivement entre l'isolement et le relationnel, mais certes, le relationnel comporte de nombreux risques, plus ou moins bénins ou graves, liés à la bêtise humaine. Cela dit s'impliquer dans le relationnel contribue aussi parfois à améliorer ce relationnel par la conciliation par exemple. Mais la conciliation n'est pas toujours possible, et il n'est pas toujours raisonnable de s'y acharner, parfois il vaut mieux garder tout simplement ses distances en effet. Ce qui suppose d'ailleurs de moins savoir de l'autre, de qui il est et de ce qu'il peut penser ou faire, une ignorance pouvant s'avérer être une chance, un accès à la liberté de pouvoir se pencher sur plus intéressant, voire plus constructif. Je peux par exemple juger l'intérêt d'un savoir par rapport à une échelle où avantages et inconvénients dudit savoir le rendrait plutôt positif ou plutôt négatif (intéressant ou inintéressant), tout en le mettant éventuellement en compétition d'avec les échelles relatives aux autres savoirs accessibles dans le champ des possibles. C'est à dire que par exemple même si (apparemment) les avantages d'un savoir potentiel l'emportent grandement sur ses inconvénients et sont nombreux il peut être rendu superflu par un savoir prioritaire et plus avantageux. La priorité dépendant des responsabilités, relationnelles, professionnelles, individuelles, de l'individu dans un but de bien-être d'ensemble. S'encombrer par n'importe quel savoir, dans une sorte d'avidité hasardeuse, serait à mes yeux extrêmement nocif et chaotique, voire donc irresponsable ou même irrespectueux entre autres du principe de vie privée et de confidentialité légitime et tout simplement du sens des priorités. A mon avis aller bien nécessite une importante prudence, et donc une certaine lucidité relative aux innombrables dangers qui jalonnent l'existence, de soi-même mais aussi de ceux que l'on aime. Et ce sérieux favorise un bien-être d'ensemble même s'il n'est pas fait que de plaisirs, mais aussi d'efforts, de courage et de compassion entre autres. Les plaisirs superficiels, trop frivoles et irréfléchis, peuvent souvent s'apparenter davantage à un leurre, à un piège sournois, qu'à la mise en place d'un bien-être profond. Mais ce plaisir de savoir peut en faire partie. Et pour ma part je suis atterrée par le nombre d'informations intrusives et polluantes auxquelles je suis exposée au fil des jours. Par l'ampleur des qu'en dira-t-on futiles et encombrants par exemple, qui détournent trop de ce qui mérite réellement de l'attention...
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Il est justement question de savoir, et donc éventuellement de trop chercher à savoir, par rapport à tel ou tel sujet, tel ou tel évènement, possiblement d'ordre privé, c'est bien ce à quoi je faisais allusion.
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J'ai bien joint des définitions du terme "savoir" et non pas du terme "connaître". Il est donc plus particulièrement question sur ce sujet de vérités, voire de méthodes, saisies.
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Il existe surtout divers types de savoir, mais la définition générale du mot savoir est d'habitude relativement saisie, et peu sujette à controverse en général. Mais pour davantage de précisions, un exemple de définitions du concept:
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Le terme "savoir" dans la question était employé dans son sens général, bien qu'on puisse si on le souhaite aborder plus particulièrement en guise de réponse un certain type de savoir, ce qui d'ailleurs peut aussi contribuer à mesurer et comparer l'intérêt que l'on attribue ou pas à tels ou tels savoirs.
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Je crois que sur ce sujet il peut être utile par exemple, à l'opposé du savoir que l'on va avoir tendance à prioriser, vers lequel s'orienter plutôt, de tenir compte entre autres de ce qui peut être couramment considéré socialement comme de l'indiscrétion ou du "voyeurisme" outrancier, ou encore tout simplement comme une "perte de temps", car le temps peut être compté... Et si l'intérêt du savoir dépend des ambitions que l'on nourrit, et de leur ordre hiérarchique, il existe aussi des ambitions qui sont propres à l'humain ou au vivant quelles que soient les particularités de ces derniers.
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Quels sont les différents critères, voire les critères principaux, qui, d'après vous, rendent un savoir intéressant ou au contraire, inintéressant?
