sirielle

Dans certains cas probablement, à condition de gérer aussi la suite et d'être assez séduisant pour ça. Mais c'est grillé par contre, ce qui n'est pas forcément l'idéal. La plupart n'y vont pas par quatre chemins, ils font un compliment par exemple puis proposent un rdv.

Quant à la drague de rue, elle existe de très nombreuses façons, mais bien souvent il suffit de quelques mots pour dire si on est intéressée ou pas, échanger un numéro ou pas. Les hommes polis n'insistent pas trop contrairement à d'autres, et dans ce cas c'est vite réglé, pas besoin de discuter vraiment.

Personnellement je crois fortement à l'intuition et je juge beaucoup au physique, y compris gestuel, donc quoi qu'il en soit, en général je sais dès le premier regard si un homme peut me plaire ou non, je n'ai pas besoin de faire beaucoup connaissance pour le savoir.

A mon avis pour qu'un homme puisse avoir ses chances, ne serait-ce que d'obtenir un numéro, en abordant une inconnue, il doit avant tout miser sur le physique, être assez athlétique, bien habillé, présenté, et s'exprimer sympathiquement, en tout cas pour moi. Et s'il utilise un subterfuge, comme par exemple prétexter d'aider à porter des sacs ou autre, si le charme physique n'y est pas ça n'ira pas plus loin normalement même si le service est accepté. Donc je crois personnellement qu'être sportif, avoir de l'allure, et être assez correctement sociable sont trois critères importants favorisant la réussite dans ce contexte. J'ajoute qu'il peut souvent arriver d'accepter par facilité des numéros auxquels on ne donne jamais suite.

En effet, l'amour est une émotion basique complexe comprenant de nombreuses intensités et nuances différentes, et incluant potentiellement l'amour sexuel, le désir. Idéaliser le sentiment, ou le considérer comme une niaiserie gentillette est réducteur. Par amour les gens sont parfois violents, dont par désir aussi, car l'attrait peut s'exprimer très différemment selon le contexte (et y compris discrètement). Le désir chacun l'expérimente à sa façon et personne n'a le monopole de sa connaissance.

"quelque bien": on trouve bien ce que l'on aime. "plaisir": dont on aime la sensation Tout n'est pas tout blanc ou tout noir, encore une fois on peut aimer quelqu'un pour son physique un moment, et s'en désintéresser au-delà, et même sans empathie ni compassion, c'est quand-même déjà de l'amour.

Cela dépend de quelles attentes à mon avis. Toutes ne sont pas forcément judicieuses. Etre agréable:

La nature fait que l'on désire par amour, ne serait-ce que pour un physique. Aimer une plastique, aimer un regard, etc... En principe, on n'est pas séduit par une personne qui nous répugne mais qui nous plaît, et si elle nous plaît c'est que quelque part on l'aime, ne serait-ce que momentanément. L'amour n'est pas forcément que l'idéal ni l'attachement, il existe dans la vie de tous les jours sous diverses formes plus ou moins intenses.

aimable: digne d'amour_ que l'on peut aimer L'amour est un concept vaste englobant des sentiments divers dont, par exemple l'admiration, le désir, l'attachement, l'affection, etc... L'amabilité ne se réduit pas à la seule gentillesse. C'est le potentiel à être aimé. D'ailleurs lorsqu'on est amoureux on dit qu'on aime la personne concernée, il ne s'agit pas alors de la trouver seulement gentille.

Etre agréable est différent d'être conforme. Etre conforme revient à répondre fidèlement aux attentes, aussi déraisonnables ces attentes puissent-elles être. Etre agréable c'est l'être même si ce n'est pas ce qui est attendu de soi. Or le fait est que ce n'est pas forcément ce qui est attendu. Certains privilégient par exemple l'appât du gain, y compris relationnel, à la valeur personnelle, et c'est même relativement courant. De plus bien souvent (pas toujours) les couples trouvent leur continuité non pas dans l'amour mais dans d'autres intérêts sociaux, familiaux, etc... Et par exemple, le fait est que si l'on mange trop ou mal on plaira moins, le mérite à être aimé se trouve donc là aussi dans la modération, cependant certains pourraient se vexer si l'on refuse leur cuisine aussi médiocre soit-elle, mais pourtant par nature, instinctivement ils seront quand-même davantage séduits par une personne modérée.

Des remix relativement récents de chansons ou musiques datant d'au moins plusieurs dizaines d'années.

Franchement oui, je suis souvent aimée. J'en ai fait pourtant des bêtises au cours de ma vie, que je regrette et dont j'aime m'amender, et qui m'ont valu le mépris ou la haine parfois. Mais je m'applique à être quelqu'un de bien y compris physiquement, y compris vis à vis des animaux et de la nature en général, et j'en reçois de l'amour en retour. Evidemment je ne suis pas pour autant à l'abri de toute malveillance, loin de là. Quant à l'amour masculin s'il s'agit de cela, je vois bien que beaucoup s'intéressent à moi aussi au-delà de la seule sexualité pure (même si pas tous), s'intéressent à ce que je peux penser et faire de mes journées, voire s'attachent à moi. D'autre part je suis bien consciente que la sexualité est aussi affaire d'affinités, mais plus on est agréable (et non pas servile) et plus on valorise sa désirabilité.

Mériter l'amour c'est tout simplement être aimable, physiquement et mentalement. Succès et amour sont différents. On peut être en couple et n'être que peu aimé, être célibataire et être beaucoup aimé (ne serait-ce que sans tellement le savoir), ou inversement, etc... L'amour est avant tout une émotion naturelle, que l'on ne peut provoquer que par une attitude assez agréable. De la même façon que c'est avant tout la douleur et non le plaisir que l'on provoque lorsqu'on est odieux ou disgracieux, qu'on le veuille ou non, même si on est approuvé et soutenu dans ce sens par beaucoup de gens, ce qui n'est pas forcément donc être aimé beaucoup mais possiblement susciter des intérêts personnels divers.

Chacun a une valeur respective égale méritant l'amour dû à l'individu appartenant à la nature. A cette valeur que chacun possède s'ajoute la valorisation ou la dévalorisation comportementale de sa propre dignité à être aimé. De ce fait on est plus ou moins aimable ou méprisable en fonction de notre attitude, de ce que l'on fait de soi, et ce même si on n'est jamais totalement dépourvu de valeur, car celle-ci n'est pas que dans l'action, elle est aussi dans l'être et le potentiel. Cependant notre propre valorisation ou dévalorisation ne dépendent pas non plus que de nos propres choix associés à ce que l'on est, mais aussi des facteurs chance et impact environnemental sur soi (entourage compris). En conclusion ce que l'on est ressemble à ce que l'on fait et ce que l'on est capable de faire même si ça n'est pas que ça, ce que l'on fait est plus ou moins aimable ou l'inverse selon ses conséquences sur l'agréabilité existentielle, et le mérite se mesure aussi par rapport au champ des possibles propre à l'individu et donc la qualité de la façon de l'appréhender.

Il s'agissait d'une illustration. Femmes à lunettes, s'il s'agit vraiment d'un outil important pour elle, signifie femme ayant des problèmes de vue. Qui fantasmerait donc vraiment ça à part un tordu ou un frustré?

Tu sais pourquoi certains préfèrent comme toi les gens qui ont par exemple des prothèses? Parce que ce sont des coups apparemment plus faciles... Et pour certains la facilité, c'est la seule concrétisation envisageable... miam

@Betty78000 a dit le 16/03/2022 à 12h58: " [...] de toute manière faire cocu l'autre reporte automatiquement la faute sur celui qui fait cocu non? [...]" ____________________________________________________________________________________________________________ Souvent mais pas toujours. Je ne dis pas ça pour toi, je ne te connais quasiment pas, mais parfois certaines personnes sont plus ou moins poussées à être hypocritement infidèles parce que par exemple leur conjoint est tyrannique, particulièrement jaloux ou surpossessif, et les emprisonne dans leur relation par la violence, ou le chantage affectif, etc... Elles sont alors piégées dans une relation dont elles ne peuvent se défaire sans trop de risque et peuvent être amenées dans un même temps à faire d'autres rencontres sans pouvoir ni rompre ni en parler librement, ne serait-ce que durant un certain temps... Ceci étant un cas de figure parmi d'autres.

Pour moi c'était juste une plaisanterie, signifiant que pervers narcissique ou pas, à mes yeux l'essentiel revient alors à savoir s'il représente vraiment ou non un danger pour les autres ou lui-même. Sinon le plus important est d'aller de l'avant. Et en même temps je comprends sans difficulté que tu puisses te poser des questions à son sujet. Seulement la façon dont était présenté le sujet m'a inspirée ainsi, par amusement seulement, sans malveillance. Et parce qu'il s'agit d'un thème récurrent socialement. A part ça personnellement je préfère m'abstenir de tout jugement, sur lui comme sur toi parce que je ne me suis pas assez penchée sur le sujet pour ça. A la rigueur ce que je peux dire c'est que personnellement, lorsqu'un homme que je fréquente va voir ailleurs, j'en fais autant. D'aileurs je suis moi-même en couple relativement libre. Mais je peux tout à fait comprendre cela dit que tu puisses avoir des griefs à l'encontre de cet homme, et considérer qu'il s'est mal comporté, s'il a abusé de ta confiance, en ceci je ne cherche aucunement à te culpabiliser, loin de là. Et je te souhaite que tout aille bien pour toi dans ta vie sentimentale, que tu aies également le respect auquel tu as droit de la part de ceux que tu fréquentes.

T'es cocue mais en tout cas le concept "pervers narcissique" c'est cool non? (Un jour un taré comme dirait l'autre, c'est pas moi c'est lui.) A des jours meilleurs donc...