Aller au contenu

chanou 34

Membre
  • Compteur de contenus

    26 084
  • Inscription

  • Jours gagnés

    25

Tout ce qui a été posté par chanou 34

  1. Ah mais je ne suis pas du tout opposée. Simplement...y a bel et bien une différence entre les deux. https://www.lemonde.fr/idees/article/2014/06/26/suicide-assiste-une-loi-n-est-pas-necessaire_4446057_3232.html
  2. Mais encore une fois ce droit existe. Là ce qui est demandé c'est que d'autres personnes soit vous aident, ( suicide assisté) soit s'en chargent ( euthanasie). C'est pas pareil. Moi ce que j'aimerais savoir ( et d'ailleurs je vais essayer de trouver des infos sur le sujet) c'est comment le vivent les "aidants" ou les "exécutants". Au bout de combien de temps ils craquent et demandent à changer de "job".
  3. Je viens d'ouvrir ce lien. Je lis ça : Ben là, là je le comprends. Je trouve sa réaction cohérente.
  4. OK, merci d'avoir précisé. C'est vrai que je suis gênée aussi par ce concept de dignité mis en avant ici.
  5. C'est pas donné à tout le monde ce mode opératoire! ^^ mais en fait le droit à mourir tout le monde l'a de base! Aucune TS n'est justiciable, réussie ou pas...Là ce qui est réclamé c'est "le droit à se faire tuer". Le mot peut choquer mais c'est le bon.
  6. je suis d'accord, mais à priori le public visé n'est pas le même : le suicide assisté concerne des personnes capables de prendre la décision et d'effectuer le geste. L'euthanasie concerne surtout des cas comme celui de Vincent Humbert par exemple.
  7. Oui là on est d'accord. Ce qui le motive est la "reconnaissance internationale".
  8. Bon là ok...je pensais que vous parliez d'enrichissement personnel.
  9. @peudetemps : Autant je peux être d'accord avec votre message, autant ceci ; Non. Ce n'est pas l'enrichissement personnel qui le motive. J'en suis persuadée.
  10. Ce n'est pas un HS, on est au cœur du sujet ; la dignité de la personne en fin de vie. Mais j'ai bien compris que vous ne souhaitiez plus en parler, je ne vous relancerai pas.
  11. J'ai repris vos propos. .Et ils correspondent à ce que vit toute personne atteinte de démence sénile, même si vous n'y pensiez pas en les écrivant, ce que je crois volontiers.Il n’empêche qu'en écrivant ça vous avez fait leur description, que vous le vouliez ou non. C'est précisément pour cette raison que le concept de "dignité" me parait totalement absurde ici.
  12. Vous ne l'avez pas écrit certes mais ceci : correspond exactement à ce que vit toute personne atteinte de démence sénile. Donc ce qu'elle vit de par son état de démence sénile est indigne... Attention, je ne juge pas ceux qui le pensent ( parce que oui évidemment que beaucoup le pensent! Et préfèreraient qu'on les euthanasie plutôt que d'en arriver là...)
  13. Propriétaire des gamètes. Ca ne précise pas le sexe du propriétaire
  14. Va surtout falloir reconsidérer la législation pour les Cecos! parce que en principe seul le propriétaire des gamètes peut décider de leur utilisation ( ou non utilisation!) dans le cadre de l'auto-conservation! Donc ceux qui ont voté cet amendement sont des abrutis. Je persiste et je signe.
  15. ON est bien d'accord. Il a pris ses cp tout seul. Là dans le cas d'un suicide assisté c'est le suicidant qui s'administre le produit. Dans le cas d'une euthanasie, c'est quelqu'un d'autre. Ca fait une énorme différence.
  16. Donc quelqu'un qui se suicide en avalant deux boites de paracétamol prescrites par son médecin c'est de l'euthanasie?
  17. Ce n'est pas mon point...je dis juste que suicide assisté et euthanasie ce n'est pas la même chose.
  18. Là c'est un suicide assisté, c'est pas pareil. Il a poussé sur le piston de la seringue lui-même. Personne ne l'a fait pour lui.
  19. Effectivement c'est idiot. Mais qui a voté un amendement pareil?
  20. et allez ça y est DDR est reparti avec sa maieutique. Eh non. Le choix des gamètes ( fait par le biologiste ; les demandeurs n'ont à l'heure actuelle pas leur mot à dire là-dessus) est aussi fait en fonction de ces critères.
  21. Ah...alors on n'en a pas la même définition. C'est pas grave.
  22. Non non je parlais d'intervention humaine au niveau de l'humain là par exemple l'injection d'adrénaline...un vrai fataliste va la refuser, c'était son destin de mourir ce jour-là. Des fatalistes comme ça je n'en connais pas.
×