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Bluehawk

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Tout ce qui a été posté par Bluehawk

  1. Certains aiment trop faire des comparaisons qui n'ont pas lieu d'être, les pays scandinave sont plus disciplinée que les pays méditerranéens, leur mœurs sont différente (ils sont assez froid, ils ne se font pas la bise par exemple) enfin la densité de la population n''est pas la même. En France, cette mesure aurait détruit notre système de santé car les Francais ne savent pas respecter des consignes simple et cherchent toujours l'opposition, voila la vérité !
  2. Malheureusement pour toi, les Africains n'ont pas vocation a être des cobayes et de la mains oeuvre bon marché pour te permettre de conserver tes privilèges, ce sont des êtres humains qui mérite le respect et de l'empathie, les immigrants africains sont d'ailleurs les plus nombreux en Europe, si le coronavirus les frappait ce sera catastrophique pour nous en vue des répercutions.... De plus des pays comme la Belgique, la France ou le Royaume Unis ne serait rien sans l'Afrique, quoi de plus normal que leur donner un coup main en retour, Europe s’honore enfin avec cette décision.
  3. Bluehawk

    Cécile Bourgeon enceinte

    Avec notre justice de merde, elle aura peut-être la garde dans 3 ans, dans des état comme le texas sa aurait été la chaise électrique.
  4. Bluehawk

    coronavirus et le monde

    Des hôpitaux suédois ont cessé de traiter à la chloroquine des patients ayant contracté le coronavirus Covid-19 après avoir montré des complications secondaires graves, rapporte lundi la presse locale. « Nous ne pouvons pas exclure la possibilité que le traitement fasse plus de mal que de bien », a déclaré le professeur et médecin-chef Magnus Gisslén au département des maladies infectieuses de l’hôpital universitaire Sahlgrenska de Göteborg. Une étude française avait démontré auparavant des résultats positifs lorsque la chloroquine a été utilisée sur des patients infectés par le coronavirus, et plusieurs pays, dont la Suède, ont depuis manifesté leur intérêt pour ce remède. Lire aussi : Coronavirus: La chloroquine « prescrite pour tous les malades » au Maroc « Nous avons tous aimé au début et nous avons donné de la chloroquine aux patients. Des études expérimentales ont montré qu’elle avait un effet sur le coronavirus, et c’était également un remède que nous connaissions dans le traitement du paludisme », a expliqué M. Gisslén. https://www.challenge.ma/coronavirus-des-hopitaux-suedois-arretent-le-traitement-a-la-chloroquine-136152/
  5. Coronavirus : Est-on contagieux ou immunisé une fois guéri, et peut-on contracter deux fois le Covid-19 ? Certains patients, même guéris, excrètent encore du virus, mais tous ne sont pas forcément encore contagieux dans ce cas © Adrien Max / 20 Minutes Un laborantin en train de réaliser des analyses sur des tests de dépistage du Coronavirus. Chaque jour, des milliers de nouvelles contaminations à travers la planète. La moitié de l’humanité tenue au confinement pour freiner la propagation du coronavirus. Des dizaines de milliers de victimes. Et heureusement, de nombreux patients qui guérissent. Mais aujourd’hui, alors que la date de la fin du confinement n’est toujours pas connue, puisqu’il pourrait être reconduit, de nombreuses questions demeurent face à un virus sur lequel planchent des milliers de chercheurs dans le monde, pour comprendre ses mécanismes et mettre au point non seulement un traitement pour en guérir, mais aussi un vaccin pour s’en prémunir. On sait qu’il est particulièrement contagieux, et que chaque personne infectée peut en contaminer trois autres à son tour en moyenne, d’où l’importance de respecter le confinement et d’accomplir les gestes barrières de distanciation sociale et d’hygiène des mains. Mais combien de temps est-on contagieux ? Devient-on ensuite immunisé contre le virus ? Peut-on le contracter à nouveau ? Et quelle évolution l’épidémie suivra-t-elle à la levée du confinement ? Combien de temps une personne infectée est-elle contagieuse ? Début mars, la très sérieuse revue scientifique américaine The Lancet publiait une étude sur la contagiosité du Covid-19, établissant qu’il avait une très haute et très longue contagiosité. Ces travaux ont été menés par des médecins chinois qui ont suivi durant plusieurs semaines, en décembre et janvier, 191 patients Covid-19 dans deux hôpitaux de Wuhan, en Chine. Ils ont constaté qu’après la guérison clinique, près d’un tiers des malades continuait à excréter du virus. Les médecins ont constaté chez les patients observés que la durée d’excrétion virale variait de 8 à 37 jours après l’apparition des premiers symptômes. De quoi en déduire qu’ils étaient contagieux plusieurs semaines, même après la guérison ? « Depuis un mois, notre façon d’appréhender la situation et de réagir a évolué : on ne suit plus l’excrétion virale des patients, tempère le Dr Benjamin Davido, infectiologue à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine) et médecin référent de crise Covid-19. Les tests de dépistage sont très sensibles, on peut trouver des traces d’ARN viral, même de manière transitoire, jusqu’à un mois après la contamination, mais cela ne signifie pas que le virus excrété est encore vivant. Ce n’est donc pas parce que le test est positif que le patient est contaminant. De même, un test PCR – réalisé avec un écouvillon dans le nez – peut être négatif parce que le virus est profondément logé dans les poumons et n’est plus présent dans les voies respiratoires hautes. Ici, le test peut être négatif chez un patient qui est pourtant contagieux ». C’est pourquoi le Haut comité à la santé publique a clarifié le protocole de prise en charge des patients infectés dans un avis rendu le 16 mars dernier. « Les critères cliniques de levée de ce confinement sont une disparition de la fièvre et d’une éventuelle dyspnée [un essoufflement] à partir du 8e jour après le début des symptômes. Il est également recommandé de porter un masque pendant sept jours après cette guérison en cas de contact avec une personne à risque ». En clair, « on considère que si 8 jours après leur apparition, les symptômes de la maladie disparaissent, alors le patient n’est plus considéré comme contagieux, explique le Dr Davido. Un délai que l’on porte à 10 jours pour les patients immunodéprimés », jugés plus fragiles en raison de leur déficit immunitaire. Est-il possible de contracter le Covid-19 deux fois ? Çà et là, sont rapportés des cas de patients Covid-19 cliniquement guéris développant de nouveau les symptômes de la maladie. Le Covid-19 peut-il donc se « réveiller » ou peut-on le contracter deux fois ? « Les cas particuliers de patients infectés, guéris cliniquement et qui développent à nouveau les symptômes, devraient être à nouveau dépistés. Mais a priori, ils ne la développent pas une seconde fois : cela peut être dû à un autre virus saisonnier classique, ou encore être une conséquence d’une forme sévère de coronavirus, qui peut provoquer dans un deuxième temps une surinfection pulmonaire, détaille le Dr Davido. A priori, on ne peut pas attraper deux fois le Covid-19, sauf si on est immunodéprimé ». Comment être sûr que les patients infectés ne sont plus contagieux ? La question ne se pose pas totalement pour l’instant, « dans la mesure où tout le monde est confiné et appelé à respecter les gestes barrières et les mesures de distanciation sociale », rappelle l’infectiologue. Mais elle va revenir comme un boomerang au moment de la levée du confinement, dans quelques semaines. Et là, la réponse résidera peut-être dans la stratégie adoptée par Hong Kong : le dépistage massif. « La méthode serait peut-être de faire pratiquer des PCR quantitatives, pour avoir des valeurs absolues sur lesquels se fonder, avance le Dr Davido. Mais à ce jour, on ne pratique pas de PCR de contrôle, notamment en raison du manque de réactif nécessaire pour réaliser les dépistages ». La prochaine étape sera alors de « disposer en nombre conséquent de tests de dépistage rapide, que l’on pratique d’une simple piqûre au bout du doigt, de la même manière que l’on mesure la glycémie chez les personnes diabétiques, décrit-il. Ce test rapide sanguin permettra de détecter la présence d’anticorps dans le sang, et ainsi voir si on est immunisé ou non contre la maladie ». https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/coronavirus-est-on-contagieux-ou-immunisé-une-fois-guéri-et-peut-on-contracter-deux-fois-le-covid-19/ar-BB124lmF?li=AAaCKnE
  6. Face aux violences conjugales durant le confinement, voici les solutions CONFINEMENT - En ces temps difficiles de pandémie de coronavirus, le confinement actuel a pour triste conséquence une hausse des violences conjugales et familiales. La situation exceptionnelle amène donc à des mesures exceptionnelles. Le gouvernement français a mis en place tout un panel de mesures visant à protéger les femmes victimes de violences conjugales. Toutefois, il peut être facile de s’y perdre. Voici donc un récapitulatif de toutes les solutions qui existent aujourd’hui contre les violences conjugales en ces temps de confinement. Dans Ouest-France, la secrétaire d’État à l’Égalité femmes-hommes, Marlène Schiappa, a également fait savoir qu’un numéro d’écoute pour les auteurs de violences est aussi mis en place. “Nous créons le 08.019.019.11, ligne ouverte du lundi au dimanche, de 9h à 19h, en lien avec la Fédération nationale d’accompagnement des auteurs de violences (Fnacav). Le but est d’écouter les hommes qui se sentent au bord du passage à l’acte pour prévenir les violences, les éviter”, explique-t-elle. “Le confinement vient percuter l’histoire familiale et personnelle de chacun. Cette situation crée parfois de l’anxiété, il y a moins d’exutoires et de soupapes de décompression, et ce, alors que dans les familles, l’école à la maison peut parfois exacerber les tensions”, avait-elle expliqué la semaine dernière dans la presse. “Les écoutants sont des professionnels formés sur la question des violences conjugales, des facteurs de type alcool, stupéfiants, la gestion de la récidive etc. Il n’y a pas de honte à téléphoner, au contraire, c’est une action responsable que de se faire accompagner pour préserver sa famille de la violence”, souligne-t-elle. https://www.huffingtonpost.fr/entry/face-aux-violences-conjugales-durant-le-confinement-voici-les-solutions-mises-en-place_fr_5e86e332c5b6d302366db6eb
  7. Covid-19 : Agnès Buzyn, les failles d'une ministre et d'un système Entre la fin décembre et le 16 février, date de sa candidature à la mairie de Paris, a-t-elle été à la hauteur de la tempête sanitaire à venir ? «Libération» a mené l'enquête. C’était il y a un mois. Une éternité depuis que le Covid-19 a bouleversé le temps. Ce mercredi 4 mars, les sept principaux candidats à la mairie de Paris débattent pour la première fois sur un plateau de télévision. On parle logements sociaux, ramassage des ordures et végétalisation, mais déjà, le nouveau coronavirus s’invite dans les échanges. Agnès Buzyn, qui a quitté quinze jours plus tôt le ministère de la Santé pour prendre le relais de Benjamin Griveaux, chancelle sous les coups de ses adversaires. Anne Hidalgo porte le coup de grâce : «Malheureusement, vous n’êtes plus au ministère pour surveiller tout cela. Mais pourquoi n’êtes-vous pas restée au gouvernement ?» La voix tremblante, l’intéressée laisse échapper un «parce que je veux être maire». A l’heure où les critiques sur la gestion de la crise sanitaire se multiplient, Agnès Buzyn est au centre des questionnements. Ministre jusqu’à mi-février, c’est elle qui était aux manettes aux prémices de l’épidémie. Elle aussi qui, au lendemain du premier tour des municipales, a exposé le gouvernement en assurant qu’elle avait vu venir le drame. Selon ses déclarations publiées par le Monde, elle prend conscience de «ce qui se passe en Chine» dès le 20 décembre et quitte le ministère en larmes le 17 février car elle sait que «la vague du tsunami est devant». «Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu», assure-t-elle. Que s’est-il passé entre ces deux dates ? Si elle a vraiment pris la mesure de la crise à venir, Agnès Buzyn a-t-elle été une lanceuse d’alerte ignorée par son gouvernement ou n’a-t-elle pas été à la hauteur de la «pire crise sanitaire depuis un siècle» ? «On ne gouverne pas avec des si» L’examen de cette période montre à tout le moins une dissonance entre son inquiétude et son discours officiel. Le 21 janvier, elle s’exprime publiquement pour la première fois sur le sujet lors d’une conférence de presse. «Le risque d’introduction en France de ce virus est faible mais ne peut pas être exclu», assure la ministre qui prend soin toutefois de préciser que «la situation est très évolutive». Trois jours après, à la sortie du Conseil des ministres, elle réitère : «Le risque d’importation est pratiquement nul.» Elle s’appuie alors sur une étude de l’Inserm qui estime le risque d’introduction du virus en France entre 5% et 13%. Quelques heures après sa déclaration, trois premiers cas sont annoncés en France, des patients de retour de Chine. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/covid-19-agnès-buzyn-les-failles-dune-ministre-et-dun-système/ar-BB129GiF?li=AAaCKnE
  8. Pour le préfet de Paris, les patients en réanimation sont ceux qui n’ont «pas respecté» le confinement « Ceux qui sont aujourd’hui hospitalisés, ceux qu’on trouve dans les réanimations, désormais aujourd’hui, ce sont ceux qui au début du confinement, sont ceux qui ne l’ont pas respecté, c’est très simple. Il y a une corrélation très simple. » Didier Lallement, préfet de Paris, était interrogé en marge d’une opération de contrôle visant à empêcher les Parisiens de partir en vacances pendant la crise du coronavirus. Si le préfet voulait probablement dire que sortir de chez soi, c’était exposer sa santé et celle des autres, ses propos peuvent choquer alors que plus de 4 500 personnes sont décédées en France du coronavirus et que près de 60 000 cas de contamination ont été confirmés. Des salariés contaminés Autant de vies qui auraient pu être épargnées si les consignes avaient été « respectées » ? Évidemment pas si simple : le samedi 21 mars, jour de l’annonce du confinement, la France déplorait déjà 562 morts et plus de 6 000 patients hospitalisés, dont près de 1 500 en réanimation. L’épidémie était déjà en circulation sur le territoire. Et le préfet omet surtout de préciser que parmi les malades en réanimation aujourd’hui se trouvent des personnes qui avaient le droit de sortir de leur domicile pour aller travailler, dans la grande distribution ou tout simplement pour aller soigner les gens par exemple, et qui ont donc « respecté » les règles du confinement. Pas de départs en vacances Didier Lallement a annoncé ce vendredi matin un renforcement des contrôles tout le week-end avec un dispositif qui mobilisera 8 277 fonctionnaires et militaires à Paris. « Nous ne baisserons pas la garde. Nous serons là pour le départ, pendant le trajet et à l'arrivée, donc évitez les ennuis, évitez des verbalisations répétitives », a dit le préfet de police. Les excuses du préfet Dans un communiqué ce vendredi midi, Didier Lallement a présenté ses excuses après ses propos qui ont choqué. « L’intention de Didier Lallement n’étais pas de d’établir un lien entre non-respect des consignes et présence des malades en réanimation. Il s’agissait de rappeler la nécessité d’une stricte application du confinement dans cette période, pour la protection de la santé de chacun. » https://www.lavoixdunord.fr/735584/article/2020-04-03/pour-le-prefet-de-paris-les-patients-en-reanimation-sont-ceux-qui-n-ont-pas
  9. Bluehawk

    coronavirus et le monde

    En Afrique, cinq pays officiellement épargnés par le coronavirus Le Lesotho, le Malawi, les Comores, Sao Tomé-et-Principe et le Soudan du Sud n’ont encore enregistré aucun cas de Covid-19. Cinq Etats africains figurent parmi les rares pays au monde à n’avoir encore déclaré aucun cas de contamination au coronavirus : le Lesotho, le Malawi, Les Comores, Sao Tomé-et-Principe et le Soudan du Sud. Le Burundi est sorti de la liste, mardi soir 31 mars, après l’annonce par son ministre de la santé de deux premiers cas de Covid-19 dans le pays qui se disait jusqu’alors « protégé par la grâce de Dieu ». Lire aussi Longtemps épargnée par l’épidémie, l’Afrique s’inquiète des risques sanitaires et économiques du coronavirus La pandémie qui affecte la planète a frappé presque tous les pays, à l’exception d’une poignée de petites îles isolées, du Yémen en guerre et de la très fermée Corée du Nord. En Afrique, certains de ces pays attribuent leur bonne fortune à leur isolement. D’autres voix relèvent que l’absence de cas est sans doute liée à la faiblesse des moyens mis en œuvre pour le dépistage. Autoconfinement L’archipel des Comores, situé dans l’océan Indien entre Madagascar et le Mozambique, n’a toujours détecté aucun cas, selon le ministère de la santé. Le docteur Abdou Ada, un généraliste de Moroni, se demande si ce n’est pas lié au traitement de masse à base d’artémisine utilisé aux Comores contre le paludisme. « Je me permets de croire que le traitement antipaludéen de masse explique le fait que les Comores sont, pour l’instant du moins, épargnées par le Covid-19. Il s’agit d’une conviction personnelle qu’il faut confirmer scientifiquement », a-t-il avancé. Le Lesotho, même s’il n’a recensé pour l’heure aucun cas positif, est entré lundi en période de confinement national de vingt-cinq jours. Le petit royaume d’Afrique australe d’un peu plus de 2 millions d’habitants n’avait jusqu’à la semaine dernière ni test, ni centre de dépistage... Il a reçu le 26 mars ses premiers kits grâce au milliardaire chinois Jack Ma. Les autorités ont rapporté 8 cas suspects. Les premiers résultats sont attendus très prochainement. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/04/01/en-afrique-cinq-pays-officiellement-epargnes-par-le-coronavirus_6035175_3212.html La France aura du mal a trouver des cobayes ici !
  10. Edouard Philippe tacle les Français partis en confinement dans leur maison secondaire Au cours de son audition à l’Assemblée nationale mercredi 1er avril au soir, Edouard Philippe n’a pas manqué d’avoir une « pensée » pour les Français ayant déserté les villes et leur plus petit appartement pour se réfugier en bord de mer ou en province... dérogeant ainsi aux recommandations nationales face à la pandémie de Covid-19. 17 % des Parisiens ont fui la capitale à cause du Covid-19. Voici ce que cela dit d’euxLes Parisiens se réfugient à Belle-Ile-en-Mer : « Personne n’a pensé qu’ils seraient aussi cons » « Latitudes coupables » Selon le Premier ministre « un certain nombre de nos concitoyens prennent parfois des latitudes coupables avec les consignes collectives » : « Certains disent que dans tel ou tel quartier dit souvent difficile on ne respecterait pas correctement les consignes de confinement. Je peux attester que dans beaucoup de quartiers dits difficiles, on les respecte très sérieusement. Je peux dire aussi qu’un certain nombre de nos concitoyens ont pensé […] qu’aller dans sa résidence secondaire était souvent une bonne façon de passer le confinement. Je ne suis pas sûr que, ce faisant, ils aient permis de contenir la circulation du virus."Avant/après : Paris est bel et bien confiné ! En effet, comme « l’Obs » l’avait indiqué dans plusieurs articles, des habitants des îles bretonnes et vendéennes, Belle-Ile-en-Mer en tête, avaient vu débarquer à leur grand dam des milliers de Parisiens anticipant les mesures de confinement total.
  11. Une honte quand ce pays est poussé dans ses retranchement, ils montrent son vrai visage... Pourquoi ne propose t'il pas cela en Italie ou en Etat Unis qui sont aussi touché et ont pratiquement plus d’équipement respiratoire, pourquoi ce pays méprisent toujours autant l'Afrique alors que pourtant c'est grâce a lui qu'il vit, allez bien vous faire foutre tous les deux.... Afrique n'est pas votre terrain de jeu et les Africains ne sont pas vos cobayes !!!!
  12. Doit-on s’attendre à un baby boom post-Coronavirus ? Le confinement va-t-il provoquer une augmentation des naissances en décembre prochain ? Les avis divergent sur le sujet. Confinement oblige, les couples sont enfermés 24h/24 avec leur partenaire. Et entre le télétravail et le binge-watching sur Netflix, certains aiment aussi s’adonner au sport de chambre. Il faut dire qu’en cette période de crise sanitaire on a tous besoin d’un peu de réconfort dans les bras de notre moitié. Face à cette situation, nous nous sommes posés une question : doit-on s’attendre à un baby boom en décembre ? Ce n’est pas impossible, si l’on se fie aux résultats d’anciennes recherches. En 2008, une étude américaine avait en effet mis en évidence l’augmentation du taux de naissances après des évènements tels qu’une tempête de neige ou encore un ouragan. En bref, des situations où les gens ont également dû rester chez eux. Dans une interview pour le site Motherly, Diana Spalding, une sage-femme, avait expliqué ces résultats : Une autre étude menée après l’attaque terroriste dans la ville d’Oklahoma aux États-Unis, en 1995, attestait par ailleurs des mêmes conclusions. Lire aussi : Découvrez pourquoi il y a un pic de naissance le 23 septembre Pourtant, selon certains experts, cela ne signifie pas qu’un baby boom va se produire après l’épidémie du Coronavirus. Interrogé par la presse Canadienne, le professeur Richard Macroux, du département de sociologie de l’Université Laval, a en effet expliqué que psychologiquement, le climat n’était pas idéal pour concevoir un enfant. “Les gens sont stressés, et dans un contexte de stress (...) les projets familiaux sont reportés”, a-t-il déclaré. Avant d’ajouter : “La plupart du temps les crises économiques sont plutôt associées à une baisse de la natalité”. Sachant que le Covid-19 aura un impact très négatif sur l’économie de nombreux pays, il ne faudrait donc pas s’attendre à un baby boom.
  13. Bluehawk

    coronavirus et le monde

    Sous couvert de lutter conte la pandémie, Viktor Orban s’est fait voter les pleins pouvoirs pour une « durée illimitée » par le parlement qui a ensuite suspendu ses travaux. L'Europe au temps du coronavirus ressemble de moins en moins au projet fondateur né après la Seconde Guerre mondiale et la victoire sur le nazisme. Au cœur du vieux continent, le Premier ministre hongrois Viktor Orban fait franchir à son pays un pas décisif vers la dictature. Lundi, à Budapest, le Parlement dominé par son parti Fidesz a octroyé les pleins pouvoirs, pour une « durée illimitée », au chef du gouvernement, avant de suspendre ses travaux dans la foulée, réduisant du même coup l'opposition au silence. http://www.leparisien.fr/international/covid-19-en-hongrie-le-virus-emporte-la-democratie-31-03-2020-8291670.php
  14. Bluehawk

    coronavirus et le monde

    Coronavirus : le roi de Thaïlande Rama X se confine dans un hôtel avec un harem de 20 femmes L’homme, très critiqué dans son pays, a décidé d’aller se confiner dans la très huppée station de ski de Garmisch-Partenkirchen, en Allemagne. Pour allier l’utile à l’agréable, il a évidemment posé ses valises dans un hôtel de luxe de la station allemande, qu’il a privatisé. Le roi de la Thaïlande Maha Vajiralongkorn, 67 ans, se retrouve lui-aussi confiné mais pas vraiment dans les mêmes conditions que la majorité des "confinés" de la planète. Celui que l'on surnomme Rama X, cela ne s'invente pas, a pris la direction de l'Allemagne, rapporte The Independant, dans un hôtel de luxe de la station alpine de Garmisch-Parten­kir­chen, avec un harem de 20 femmes ! Avec ses quatre épouses ? Pour assurer son bien-être, le roi thaïlandais aurait réservé l'intégralité de l'hôtel, qui malgré les mesures de confinement outre-Rhin, a reçu une autorisation exceptionnelle d'ouverture. L'anecdote, rapporte à son tour RTL, ne dit pas si le roi a emmené avec lui ses quatre épouses. La nouvelle a en tout cas suscité la colère de nombreux Thaïlandais. Le hashtag "Pourquoi avons-nous besoin d'un roi ?" a inondé Twitter. Pour ces critiques, les internautes risquent jusqu'à 15 ans de prison https://www.midilibre.fr/2020/03/30/le-roi-de-thailande-rama-x-se-confine-dans-un-hotel-allemand-avec-un-harem-de-20-femmes,8824933.php
  15. En Seine-Saint-Denis, un père écroué pour violences irréversibles sur son fils Un père de famille est suspecté d’avoir frappé son fils de 6 ans, causant des lésions cérébrales irréversibles. Chaque jour, retrouvez le top actu Ouest-France sur les réseaux sociaux Un homme a été mis en examen et écroué dimanche 29 mars, suspecté d’avoir violemment frappé son fils de 6 ans à Tremblay-en-France (Seine-saint-Denis), lui infligeant des lésions cérébrales irréversibles, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny. Entendu en garde à vue vendredi après les faits présumés, le père de famille de 45 ans a été mis en examen pour « violences ayant entraîné une infirmité permanente sur mineur de quinze ans par ascendant » et placé en détention provisoire, a indiqué le parquet à l’AFP. Une information judiciaire, menée par un juge d’instruction, a été ouverte. L’enfant en état de mort cérébrale Le petit garçon, transporté à l’hôpital par les secours, souffre de lésions cérébrales irréversibles qui l’ont plongé dans un état de mort cérébrale, a indiqué le parquet. Les faits se sont déroulés vendredi après-midi à Tremblay-en-France, au domicile familial où résident le couple et ses enfants, selon une source policière. Les violences conjugales ou intrafamiliales sont exacerbées depuis le début du confinement, décidé par le gouvernement le 17 mars pour lutter contre la propagation du nouveau coronavirus. https://www.ouest-france.fr/faits-divers/violences/en-seine-saint-denis-un-pere-ecroue-pour-violences-irreversibles-sur-son-fils-6795066
  16. La policière, l'attestation, et «les gens comme ça» Tribune. Mardi 24 mars, début de la deuxième semaine de confinement. Les choses se sont accélérées, la vie n’est plus du tout la même. La rumeur du monde, valse étourdissante de chiffres lugubres et d’images de panique, contraste avec le temps, magnifique, lumineux, du printemps qui émerge. Hier soir, Edouard Philippe a annoncé des mesures plus drastiques, des autorisations de sortie plus restreintes. Désormais, pour aller chez le médecin, il faudra y être convoqué. Je suis médecin, je suis psychiatre, psychanalyste. Je reçois essentiellement des adolescents, des jeunes adultes. Ils viennent en séance une fois par semaine, parfois depuis plusieurs années. Il n’est pas question d’arrêter le travail entamé car, virus ou pas, la dépression qui lui préexistait n’a pas disparu pour autant, ni l’angoisse, ni les difficultés relationnelles avec les parents, le petit ami, l’existence simplement. Chacun vit le confinement à sa façon, et pour cela, j’ai proposé de poursuivre la psychothérapie en présentiel autant que possible, sinon par téléphone, mais il est parfois compliqué pour un adolescent, de s’isoler pour téléphoner, surtout lorsque tous les membres de la famille sont présents au domicile. Les jours confinés peuvent être rudes, entre les exigences scolaires sans aucune des compensations habituelles (voir les amis, discuter, rêvasser dans le climat si particulier du lycée, de l’université), la présence des parents en permanence, les nerfs à fleur de peau des proches à supporter. Ce qui semblait être une grande liberté (le temps pour faire des choses qu’on ne fait jamais…) finit par ressembler à une certaine aliénation régie par l’impératif de «profiter» de ce temps, alors qu’on ne sait plus bien quoi en faire puisqu’il ne manque pas. Mardi matin, le premier patient arrive. Il est très angoissé. Il a appris une nouvelle particulièrement déstabilisante le matin même et il vient de se faire verbaliser lors d’un contrôle de police à 50 mètres du cabinet : son attestation de sortie était mal remplie. Il est inquiet, il est au RSA, il vit dans un logement social, il pense aux 135 euros. Je l’aide à s’apaiser puis je lui propose d’aller voir l’agent qui l’a verbalisé pour attester de la véracité de ses dires, à savoir que son déplacement, à plus d’un kilomètre de son domicile, était justifié par un rendez-vous médical. Je me munis de mon caducée car j’ai perdu ma carte de médecin il y a quelques années. Je n’utilise jamais ce caducée, n’ayant pas de véhicule, je l’ai retrouvé sous une pile de papiers lors d’une tentative de grand rangement favorisé par le confinement. Je me présente à l’agent, lui expliquant que je suis le médecin avec qui le jeune homme verbalisé avait rendez-vous, souhaitant ainsi attester de sa bonne foi. Elle me répond : «Non mais vous avez vu comment elle est remplie son attestation ?» Elle est manuscrite, et mon patient, par égarement, avait coché deux cases, la raison de santé et l’exercice physique. Je reconnais tout cela et c’est le motif de ma présence, clarifier et justifier le déplacement, c’est-à-dire l’objet de l’attestation. L’agent n’en a cure : «Si tout le monde commence à faire comme ça ! C’est bon, il suffit de cocher une case.» J’avais prévenu mon patient («nous ferons profil bas de toute façon») et j’explique à l’agent qu’il s’agit d’un patient qui vient consulter un psychiatre, il est donc dans un moment de fragilité et il lui a été compliqué de remplir l’attestation. Elle me rétorque : «Vous êtes en train de dire que les gens comme ça, qui vont voir un psychiatre, ne sont pas capables de remplir cette feuille !» https://www.liberation.fr/debats/2020/03/30/la-policiere-l-attestation-et-les-gens-comme-ca_1783580
  17. Le mépris des DOM TOM continue dans ce pays, et toujours pas d'hopital en Guadeloupe depuis qu'il a cramée il y a quatre ans, les ultramarins citoyens français non a part mais totalement a part.
  18. @soisig On constate encore le non respect des règles du confinement par la banlieue
  19. Le Portugal traitera les migrants comme des résidents pendant la crise des coronavirus LISBONNE (Reuters) – Tous les étrangers au Portugal dont les demandes sont en attente seront traités comme des résidents permanents du lundi au 1er juillet au moins, ont annoncé samedi les autorités, pour garantir aux migrants l'accès aux services publics pendant l'épidémie de coronavirus. Les candidats, y compris les demandeurs d'asile, n'ont qu'à fournir la preuve d'une demande en cours de qualification – en leur accordant l'accès aux services de santé nationaux, aux prestations sociales, aux comptes bancaires et aux contrats de travail et de location. "Les gens ne devraient pas être privés de leurs droits à la santé et à la fonction publique simplement parce que leur demande n'a pas encore été traitée", a déclaré à Reuters Claudia Veloso, porte-parole du ministère de l'Intérieur. «En ces temps exceptionnels, les droits des migrants doivent être garantis.»
  20. Marlène Schiappa confirme une "recrudescence des violences conjugales" avec le confinement La secrétaire d'État à l'Égalité femmes-hommes a annoncé le lancement d'une "campagne pour faire connaître la plate-forme arrêtonslesviolences.gouv.fr. © afp.com/STEPHANE DE SAKUTIN Marlène Schiappa à Matignon le 25 novembre 2019 La secrétaire d'État à l'Égalité femmes-hommes Marlène Schiappa a fait état ce dimanche d'"indicateurs" laissant "penser qu'il y aurait une recrudescence des violences conjugales" depuis le début du confinement. "Nous observons qu'il y a +32% de signalements de violences conjugales en zone gendarmerie en une semaine et +36% dans la zone de la préfecture de police de Paris en une semaine également", a-t-elle déclaré à l'antenne d'Europe 1. "Ces indicateurs tendent à nous faire penser qu'il y aurait une recrudescence des violences conjugales pendant cette période de confinement", qui a commencé le 17 mars, a-t-elle ajouté. Alors qu'elle a annoncé samedi la mise en place à partir de lundi de "points d'accompagnement éphémères" dans des centres commerciaux pour accueillir les victimes et le déblocage d'un million d'euros pour venir en aide aux associations de terrain, la secrétaire d'État a précisé que des "gardes à vue" et des "condamnations" avaient eu lieu ces deux dernières semaines pour des faits de violences conjugales. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/marlène-schiappa-confirme-une-recrudescence-des-violences-conjugales-avec-le-confinement/ar-BB11S4Mk?li=BBoJvSH
  21. Un bébé meurt du coronavirus aux États-Unis, premier décès de moins d'un an CORONAVIRUS - Un bébé de moins d’un an est décédé aux États-Unis du Covid-19, la maladie provoquée par le nouveau coronavirus, ont annoncé ce samedi 28 mars les autorités de l’État de l’Illinois. “Aujourd’hui, j’ai des informations terriblement tristes à annoncer. Parmi les décès des 24 dernières heures, il y avait un employé de l’État (...) et un très jeune enfant”, a déclaré le gouverner J.B. Pritzker lors d’une conférence de presse. “Je sais à quel point cette nouvelle est difficile à accepter, surtout s’agissant d’un très jeune enfant”, a-t-il ajouté alors que la maladie a la réputation d’épargner relativement les enfants, et les très jeunes victimes sont très rares. Le département de la Santé de l’Illinois a ensuite précisé que l’enfant avait moins d’un an, sans préciser s’il souffrait d’autres pathologies. https://www.huffingtonpost.fr/entry/un-bebe-meurt-du-coronavirus-aux-etats-unis-premier-deces-de-moins-dun-an_fr_5e7fe6e2c5b6cb9dc1a181d8
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