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Mr_Fox

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Tout ce qui a été posté par Mr_Fox

  1. Non les pubs pour les mycoses je les aies déjà eu aussi et je n'ai jamais fait de recherche sur ce genre de produits. Il doit probablement s'agir d'une liste de choix par défaut quand on a supprimé son historique de navigation.
  2. C'est une possibilité mais pas une évidence, de ce que je vois de l'adhérent français à l'EI on a surtout des personnes en rupture qui adoptent cette voie pour montrer qu'ils existent, et obtenir un statut de martyr c'est l'acte qui démontre la reconnaissance de soi dans le regard de l'autre. Sauf que c'est un acte égoïste et non un acte de souffrance pour sa croyance ou pour son peuple. Et c'est en ça que je rejette le nom de martyr procuré à des gens qui ont certes consenti un sacrifice volontaire, mais au nom de rien. Ca sert à faire le buzz pour faire du fric, comme les martyrs du bataclan.
  3. Normal, cette question n'a aucun sens et n'est que le reflet d'un perversité mentale très commune de nos jours qu'on pourra nommer "légalisme". L'idée c'est qu'il n'existe pas de part d'appréciation personnelle dans le langage. Si on se fie à cette méthode rien n'existe. Alors ici on a droit au scientisme. "On sait que" devient un supplétif de la décision politique. C'est la politique par la science, c'est à dire le renoncement des peuples à se gouverner au nom de "la science". Et bien non mon cher, je reste un fervent défenseur du droit de décider plutôt que de se soumettre à une soi-disant autorité scientifique qui gouverne à notre place. D'autant que si on regarde le domaine de l'agro-alimentaire ou pharmaceutique, "la science" d'hier ne dit pas et de loin ce que dit "la science" d'aujourd'hui. Ca appartient à l'interprétation, c'est à dire au droit de chacun de comprendre ce qu'on lui dit. Une idée contraire au principe même du légalisme. Et puis on ne parle pas de ta mort mais de celle des dissidents. Cet argument est complètement niais. Parce que personne ne parle jamais en aucune circonstance d'autarcie. C'est jamais arrivé. Et même si quelqu'un devait le faire, la France c'est pas une tribu de 40 pélos sans diversité génétique. Répondre ça c'est prouver à quel point de décrépitude mentale se trouvent nos élites, et je l'avais déjà constaté sur l'affaire des seins nus. Et même pire c'est nier que l'histoire se soit jamais produite par la théorie. Or l'histoire s'est produite donc t'as tort. Non je ne présume rien de ce genre, je suis en pleine possession de mes moyens je ne suis pas un attardé et une balle ne m'a pas arraché la moitié de la tête. Tout ce que je fais c'est te dire qu'être une colonie des USA ça me plait moyennement.
  4. En général, lorsque je doute j'utilise le dictionnaire de l'académie française, il est certes moche, mais ses définitions font foi. NATION n. f. XIIe siècle, naciuns. Emprunté du latin natio, -onis, « naissance », puis « peuple, nation ». I. Anciennt. Groupe de personnes possédant une origine commune. Spécialt. RELIG. Parfois avec la majuscule. Les nations, nom par lequel on désigne dans l'Écriture les peuples païens, par opposition au peuple élu. Le Christ prescrivit d'annoncer l'Évangile à toutes les nations. Saint Paul a été appelé l'Apôtre des nations. - HIST. Au Moyen Âge, terme utilisé dans l'université pour classer, suivant leur origine, les maîtres et les étudiants. L'Université de Paris comprenait au XIIesiècle quatre nations : celles de France, de Picardie, de Normandie et d'Allemagne. Les Quatre Nations, au XVIIe siècle, les populations des provinces du Roussillon, de Pignerol, d'Alsace et de Flandre, récemment rattachées à la France. Le collège des Quatre-Nations, fondé par Mazarin pour accueillir des élèves originaires de ces provinces, abrite aujourd'hui les cinq académies constituant l'Institut de France. Fig. Se dit plaisamment d'une catégorie d'individus qui possèdent des caractères, des intérêts communs, qui forment une sorte de société. La nation des dévots, des poètes, des gens de justice. La Fontaine parle dans ses « Fables » de la nation des belettes. II. Communauté dont les membres sont unis par le sentiment d'une même origine, d'une même appartenance, d'une même destinée. 1. Ensemble de personnes établies sur un territoire et unies par des caractères ethniques, des traditions linguistiques, religieuses, etc. Chaque nation a ses coutumes, ses mœurs. La sagesse, le génie des nations. Une nation de soldats, de commerçants, de navigateurs, qui s'est illustrée dans le domaine de la guerre, du commerce, de la marine. Nation belliqueuse, pacifique, policée, barbare. On parlait de la nation italienne, de la nation allemande à l'époque où l'Italie et l'Allemagne étaient partagées en divers États. 2. L'ensemble des personnes formant la population d'un État déterminé, soumises à la même autorité politique souveraine ; par ext., l'entité étatique représentant cette collectivité. La nation française, espagnole. Deux nations ennemies, alliées. Une jeune nation. Les droits, les libertés, les lois que se donne une nation. Avec une majuscule, particulièrement depuis la Révolution française. La communauté, parfois considérée comme une personne juridique, que forment les individus régis par une même constitution. L'idée de Nation. La Nation délègue à ses représentants l'exercice de la souveraineté. Vive la Nation ! cri des troupes de Kellermann et de Dumouriez à la bataille de Valmy, en 1792. Spécialt. Pupille de la Nation, orphelin de guerre adopté par l'État et à qui est accordé jusqu'à sa majorité un soutien matériel et moral. DROIT INTERNATIONAL. La Société des Nations ou, par abréviation, la S.D.N., l'organisation réunissant un grand nombre d'États, créée en 1920 pour le maintien de la paix mondiale et le développement de la coopération entre les peuples. L'Organisation des Nations unies ou, par abréviation, l'O.N.U., l'organisation internationale fondée en 1945 selon les mêmes principes que la Société des Nations, à l'initiative des Alliés vainqueurs de l'Axe. Clause de la nation la plus favorisée, voir Clause. 3. Par ext. Se dit aussi de l'ensemble des citoyens considérés comme un corps social distinct des individus comme du gouvernement. S'adresser, en appeler à la nation. Demander des sacrifices à la nation. Spécialt. La nation en armes, appellation qu'on donne parfois à l'organisation de la défense nationale fondée sur le concours actif de chaque citoyen.
  5. Zoom ton écran, tu vois le petit machin à côté de ton nom ? C'est ton idéologie, l'idéologie plus ou moins obligatoire dans ce pays et dans 26 autres. Tous ceux qui n'y adhèrent pas sont appelés par les gens comme toi "extrême droite". Avant on disait hérétique ou bien dissident. Les autorités morales du pays le disent à la télé, à la radio dans la presse générale et spécialisée. Avant en Angleterre il y avait des gens contre l'UE on les appelait les eurosceptiques. Une opinion. Maintenant on les appelle les europhobes : une maladie. Quand on prétend posséder la totalité du spectre politique et qu'on exclue les gens qui pensent différemment de la société, comme toi, alors on est en train de constituer un totalitarisme. Et c'est une caractéristique constante des universalismes, pour englober l'universel il suffit de réduire au silence tous ceux qui pensent autrement. Pour ma part, je préfère canaliser nos pulsions meurtrières et mettre ceux qui pensent autrement derrière une frontière ou ils font ce que bon leur semble. C'est ce que les gars comme toi et @fx. vous appelez "extrême droite". Le conservatisme, c'est ça : conserver ce qu'on a constitué au fil des siècles, plutôt que de tout détruire pour "une utopie". L'enfer est pavé de bonnes intentions, tout le monde sait ça. La gauche au nom de ses belles intentions a fait la colonisation dont elle rejette aujourd'hui la faute sur "l'extrême droite". Genre Jules Ferry c'est l'extrême droite. ET grâce à tous les cons qui vont dire amen à tes mensonges, on remet une pièce dans la machine on repart pour un tour de "gauche" et de nouvelles exactions obligatoires dans lesquelles ne nous leurrons pas seuls les plus pauvres seront touchés. Alors guerre nucléaire ou réforme de l'homme par des prothèses informatiques obligatoire, piratables et buguées ? Quels sont tes nouveaux projets pour sauver le monde ? Voila le progressisme tu demandais ce que c'est, et bien c'est ça. Tu fais un constat historique plus ou moins orienté politiquement, tu décides que c'est l'incarnation divine du Bien et tu la rends obligatoire à tous, tout le temps, par la force. Et quand ça foire et que tu as causé des millions de morts tu décides que c'était l'extrême droite en fait, et que tu n'as trempé dans rien.
  6. L'extrême droite est un concept abstrait qui ne peut satisfaire qu'un individu grégaire dans ton genre pour qui tout ce qui n'est pas avec toi est contre toi. Raison pour laquelle les personnes qui cherchent à discuter et non à se battre utilisent des mots signifiants. Et oui c'est rare, parce que penser c'est has been, c'est conservateur, c'est de droite. Ce qui est innovant c'est de parler avec des mots privés de sens, ça te rappellera 1984 qui illustre à la perfection le totalitarisme que tu attaque-protège.
  7. Et alors ? T'es au courant de qui est Sarkozy ? C'est un universaliste américain. Il porte l'idée que le progrès est l'américanisation de la France et aussi du reste du monde. Et ce qui est cité dans ton machin c'est du Trump avant la lettre. C'est à dire "absolument rien à foutre des idées du moment que ça fait voter des gens pour moi". Je sais pas ce que tu t'es imaginé. Qu'il avait des idées si ça se trouve ? Non mais allô quoi. Ses idées c'était d'importer les subprimes pour qu'on rattrape notre retard et de faire construire des baraques en zone inondable à la Faute sur Mer.
  8. Si j'ai bien compris son post ce serait Marc Ferro qui cite Arendt en lui faisant établir un lien de parenté entre colonialisme et totalitarisme. Ce qui est eut-être vrai ou peut-être faux, mais même si elle l'avait écrit, il faut interpréter cette "parenté" plutôt que d'y voir une notion d'équivalence. Reste le problème du colonialisme sans conquête à élucider et M. Ferro commencera à être autre chose qu'un argument d'autorité.
  9. Ce cœur d'argumentation prouve bien à tous quelles imbécilités peuvent fabriquer l'excès d'idéologie (l'extrémisme). En effet toutes les personnes douées de raison qui en tant que telles utilisent des mots dotés d'une définition et non d'une direction (gauche/droite) associent cette dernière à une notion intellectuellement accessible à tous. "Extrême droite" désigne le nationalisme conservateur. Et que font les nationalistes conservateurs ? Pas d'Empire. Car leur conception même de la vie est d'investir leurs forces dans leur nation et non à l'étranger. Ce sont les progressistes qui ont la lubie d'apporter la civilisation aux nations étrangères perçues comme inférieures parce qu'elles osent être différentes. Les universalistes alias Jules Ferry, Lénine, Mahomet, l'Empereur Constantin et toi-même. Ce qui aboutit à la conclusion suivante : si Bernard Lugan est "d'extrême droite" alors il y a toutes les chances que ce soit le seul historien francophone contemporain à comprendre et manipuler correctement la notion de nation.
  10. Les laïcs n'ont que faire des croyances à partir du moment où ils imposent leur idéologie et coutumes à tous.
  11. Quand tu viens nous expliquer que colonialisme et totalitarisme sont parents selon Hannah Arendt, t'es un peu obligé faire référence à des évènements réels pour le démontrer. Donc comme tu es à l'évidence un expert en matière de subtilité, tu vas nous expliquer quelle genre de colonisation on reproche à des pays sans empire afin que nous puissions tous rendre l'hommage qui est dû à Marc Ferro. Et une fois que les faits seront bel et bien établis, tu pourras à ce moment là sortir ton atout maitre : l'idéologie de la colonisation alias le colonialisme. Idéalement à l'appui d'un texte fondateur du genre Jules Ferry le 28 Juillet 1885. Je disais surtout ça parce que l'anglais semble te convenir davantage. C'était le but muchacho, afin que tu réalises que l'idéologie coloniale mise en exergue à l'aide d'Aimé Césaire relève d'une relecture partisane qui solde à bon comptes tous les colonisateurs autres que français en oubliant au passage Napoléon. Je me demande bien ce que tu fais sur ce forum alors que tu serais tellement mieux en Algérie.
  12. Ouaiche. Quand tu parleras le français tu apprendras certainement que le mot clef de parent signifie que l'un dérive de l'autre sans être le même. Quand tu auras 3-4 notions d'histoire tu sauras surement que le moteur principal de la colonisation est la conquête pour l'argent, le pouvoir, la renommée de ceux qui sont déjà dans les cercles du pouvoir tandis que le totalitarisme comme son nom l'indique a vocation à englober la totalité, c'est à dire que son moteur est l'idéologie qui doit réformer le peuple jusqu'à ce qu'il soit conforme. La résultante de ceci est que le totalitarisme a pour méthode inévitable de se retourner contre le peuple dont il est issu pour en extirper les dissidents au nom de la pureté qu'il requiert tandis que le colon ne fait que s'accaparer l'extérieur. Quant au "colonisalisme" a supposer qu'une telle idéologie existât, elle n'est autre que le fruit des "lumières" voulant "éclairer" les peuples inférieurs. Je sais bien que ça a été théorisé parce que dans ces cas là il faut bien recruter la main d’œuvre. Le totalitarisme n'est rien d'autre qu'une religion dont le dieu serait la matière. Aujourd'hui on appelle ça "société de consommation". Quant aux crimes contre "l'humanité" on est tous d'accord pour dire que c'est une notion théorique n'ayant pas de traduction pratique parce que personne n'a les couilles de dire ce que c'est vraiment. Quel peuple se définit-il comme étant l'humanité à l'exclusion des autres ? Des empires c'est pas ce qui manque : Inca, Aztèque, Zoulou, Khmer, Ottoman, Mongol, Seljoukide. Ce sont donc tous des "nazis" ? LOL
  13. Oui et pas trop cuite s'il vous plait, bleue comme mon sang
  14. L'état n'a pas à dire le contraire, le peuple s'en charge. ^^ Oui moi aussi je trouve que le personnage est bizarre, mais je ne suis pas sur à 100% qu'il était conscient de ce qu'il fabriquait, il à l'air un poil autiste sur les bords.
  15. Contrairement à ce que raconte la rumeur en France, ce que tu penses t'appartient. Ce ne sont pas les autres qui vont décider pour toi si tu es raciste. Raciste n'est pas une maladie, tu n'as donc pas à consulter de médecins-politologues pour savoir si tu l'as attrapée. C'est un truc qui se disait dans les années 80 "je suis plus français que toi" , à une époque ou le concept de "français" existait encore. Ca pouvait aller dans les deux sens, le français qui dit ça à l'arabe ou l'inverse.
  16. Ouais, mais faut surtout pas le dire, ce serait conspirationniste de penser que c'est arrivé.
  17. Soyons logiques une seconde s'il vous plait, une fois qu'on a admis le "crime contre l'humanité" il faut en accepter la sanction, et cette sanction ne pouvant se traduire par l'incarcération de M. Macron aux travaux forcés il faut payer. Une dette éternelle comme pour Israel. Libellable en euro à l'ordre de M. Bouteflika qui assurera la redistribution au peuple au fur et à mesure que la France versera les dommages de guerres. M. Macron a demandé que la France paye, il doit donc maintenant payer ou se dédire.
  18. Si le but est l'incompréhension c'est en effet réussi dès lors pourquoi t'en offusques tu ? Néanmoins l'incompréhension comme but ça semble une démarche franchement nihiliste.
  19. Ca mériterait qu'on s'y penche, ça sent la traduction foireuse. Du côté des musulman on entend le mot martyr employé à tous bouts de champs dans une acception qui n'est pas valable en français. Si on l'employait comme eux, chaque fonctionnaire mort dans le cadre de ses fonctions serait qualifié ainsi. Il y a quelques semaines le même débat a déjà eu lieu : https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/attaque-au-couteau-a-la-gare-de-marseille/le-tueur-de-marseille-un-martyr-la-polemique-sur-les-propos-d-une-salariee-de-la-mairie-de-la-courneuve-en-3-actes_2402340.html Ce que ça prouve c'est surtout que le langage universel n'est pas encore pour demain. Et que ces "artistes" savaient que ça ferait le buzz et qu'on allait alors s'intéresser à eux, idéal pour devenir bankable. Qui s'intéresse encore aux filles qui se baladent à poils au Louvre et aux photographes qui violent des filles de 8 ans ?
  20. Je veux bien l'admettre, il a réuni tous les critères : en chier comme un russe pour finir par crever comme une merde honni de tous. Pour la cause. J'ai plus envie de la plaindre que le criminel qui veut que les livres d'histoire retienne son nom en commettant des atrocités dans le but de se faire éliminer. C'est pourquoi j'ajoute qu'il s'agit de l'idée par extension et non nominativement.
  21. Acception par extension, le martyre des légionnaires de Dien bien Phu ok.
  22. L'erreur me semble plutôt être la dissociation des deux idées, un martyr ne saurait exister sans martyre. A noter que la personne peut aussi s'écrire avec un E afin que la confusion entre la personne et son calvaire soit totale. Le martyr se retrouve souvent dans une situation sans échappatoire, il n'a donc guère le choix que celui de se sacrifier. Le geste parait noble, mais l'officier politique l'aurait buté sans hésiter s'il avait reculé, et ton héroïque soldat rouge avait en fait davantage peur de l'officier politique de son camp que des soldats ennemis. Il est alors l'agneau du sacrifice sur l'autel bolchévique éliminé par les siens pour faire reculer les autres. Martyr oui, mais de qui ? Et pourquoi.
  23. Ca se discute, je ne crois que moyennement à la réalité des convictions des agents de l'EI. Le braqueur de banque veut le fric, parce qu'il a l'intention de le dépenser en putes, came et casinos, c'est là sa cause, tout aussi louable que celle de l'agent de l'EI qui a mon sens veut sensiblement la même chose. Non parce que les mots ont un sens et que ma compréhension de martyr implique les persécutions, lesquelles ne se confondent pas avec l'application légitime de l'ordre. Pas vraiment, un soldat pour être persécuté doit être livré à ses ennemis et alors il devient un prisonnier, sa mort n'est donc plus une mort de soldat au champ d'honneur mais une mort de victime livrée à ses bourreaux.
  24. Ca me semble anecdotique ou à tous le moins minoritaire, l'idée de fond la plus fréquemment reprise je la trouve mieux résumée dans la formule "Personne à qui l'on inflige de nombreux tourments.". Admettre que le terroriste pris à son propre piège même s'il l'a voulu ainsi soit un martyr, c'est étendre la signification de ce terme à un forcené dans une banque, à un heroïnomane, à tous les suicidés, au "suicide by cops" etc ... les 3/4 des morts sont des martyrs à ce compte là.
  25. Ils sont morts au combat, tués par leurs ennemis au nom d'une cause, mais ils n'ont pas été livrés au tourments et à la mort par lapidation ni eu d'autodafé finissant sur le bûcher. Les gens passés entre les mains de la gestapo ont le titre de martyr, pas ceux abattus dans la rue. Tu peux employer le terme de soldat mais pas de martyr. C'est pas obligatoire non plus, la gestapo ne te demande pas de te convertir au nazisme.
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