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Marla

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Tout ce qui a été posté par Marla

  1. Pour la taille des policiers, tu peux te faire une idée en visionnant la vidéo. D'ailleurs, ils sont plutôt trois au début, et il ne reste pas trop longtemps debout (dans le rapport des vidéo surveillance, cela dure très peu de temps). Oui, un grand gaillard qui se débat de toutes ses forces peut-être difficile à maîtriser. Je n'avais pas fait attention, quand on voit le ralentit au début, il est par terre, deux policiers le tiennent par les jambes, vers les pieds chaussures, il est soulevé, juste une partie du dos qui touche le sol. Bonjour On peut comprendre la situation, et moi franchement, comme prof, c'est un métier que je ne pourrais pas faire, bon courage ! Mais récemment, il y a eu un peu de "positif" pour vous ? J'en avais parlé ici Le Parlement a définitivement adopté jeudi le projet de loi de sécurité publique, qui étend entre autres les règles de la légitime défense des policiers. Le Parlement français a adopté définitivement jeudi le projet de loi sur la sécurité publique qui assouplit les règles d'utilisation des armes par les policiers en les alignant sur celles des gendarmes et des militaires. Ce texte fait suite aux demandes exprimées par des policiers après que quatre des leurs ont été attaqués et blessés le 8 octobre à Viry-Châtillon, dans l'Essonne, et son adoption définitive intervient après l'ouverture d'une enquête sur l'arrestation violente d'un jeune homme à Aulnay-sous-Bois. Tous les groupes ont voté le texte, sauf celui du Front de gauche et quelques écologistes qui le jugent "dangereux". L'utilisation des armes à feu par les policiers étendue.Le texte prévoit d'autoriser les policiers à tirer face à la menace de personnes armées quand ils "ne peuvent défendre autrement le terrain qu'ils occupent, les postes ou les personnes qui leur sont confiés". Il permet d'ouvrir le feu lorsque, après deux sommations adressées à haute voix, "ils ne peuvent contraindre à s'arrêter, autrement que par l'usage des armes, des personnes qui cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations" et qui sont susceptibles de "perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d'autrui". (...) http://www.europe1.fr/politique/adoption-definitive-au-parlement-du-projet-de-loi-de-securite-publique-2979893 Bon, le topic n'a pas eu de succès, avec le titre, sans mots clés aussi... Et moi, j'ai pas eu de "j'aime" par les papy réacs ! J'ai vu que tu as mis un lien avec cette vidéo que j'avais posté là-bas, je la remets ici
  2. Marla

    Journal - Kurt Cobain

    Ouais ! Moi avec mon fils, Nirvana et Rage against the machine, nos meilleurs trips "on sautait sur les lits..." ! Sinon, oui, une partie de mon adolescence, mon époque, genre un mix improbable "grunge", mi garçon manqué, mi autre "horreurs" (bon, j'ai pas été jusqu'au gothique, jette moi la première pierre ! Bouhh )... mes potes qu'ils surnommaient chevelus, hardos... musiciens (à peu près, certains mais tant qu'ils avaient le rythme et tapaient sur les bambous, tam tam, batteries)... Les feux sauvages dans des endroits perdus, mer, et autres coins abrupts.. des escapades dans le noir, dans les collines et falaises escarpées (enfin, surtout quand t'es un peu... mal "équipée".. pour arriver au but, les nuits blanches en musiques et autres... Et oui Something in the way... ça reflète quand même une partie de mon ado, le "déprime blasé, I live in a dark world.. tout ça)"... Et ça, l'insécurité... ado, jeune adulte, et encore... Mais t'étais où ?! Pour résumer My girl, my girl.. tell me where..
  3. Il avait aussi perdu sa chaussure dans la lutte, et il n'a pas glissé tout seul, mais pendant qu'il se débattait. Je n'ai pas dit qu'ils lui avaient baisser volontairement Le policier a dit qu'il lui a remonté le pantalon. Pour ce qui est de Théo, oui c'est un grand gaillard, pas très épais cela ne veut rien dire.. Il peut être sec et tout en muscle (c'est un sportif en plus). . Et oui, je crois que c'est possible, même à quatre d'avoir des difficultés à maîtriser un jeune homme qui s'agite de toutes ses forces, qui balance des coups (de pied...) dans tous les sens.
  4. Le compte rendu détaillé de l'IGPN On le voit, le récit du policier diffère très sensiblement de celui de la victime. Or il concorde avec les images des trois caméras de surveillance de la municipalité. Le Point a pu lire le compte rendu d'exploitation détaillé minute par minute par l'IGPN, la police des polices, qui, au vu de ces images, avait conclu à l'absence d'intentionnalité de la part du policier. Une conclusion qui avait suscité l'indignation. Reste que ce rapport de l'IGPN ne contredit pas l'audition du policier faite moins de deux heures après les faits, ce qui lui aurait laissé peu de temps pour échafauder un scénario concerté avec ses collègues. À 16 h 47 et 50 s, constatons que le nommé L se bat avec les fonctionnaires de police. Selon le compte rendu : « À 16 h 45 et 15 s, constatons la présence de 4 individus, dont le nommé Théo L., face au studio d'enregistrement le CAP (lieu de l'intervention de la BST, NDLR). À 16 h 46 et 19 s, constatons l'arrivée du véhicule de police sur l'avenue principale. À 16 h 46 et 29 s, constatons qu'un fonctionnaire (de police, NDLR) se dirige pédestrement vers le groupe d'individus. À 16 h 46 et 43 s, constatons que le fonctionnaire dirige le groupe à l'arrière du bâtiment. À 16 h 47 et 35 s, constatons qu'un individu repousse le gardien de la paix. À 16 h 47 et 50 s, constatons que le nommé L (Théo, NDLR) se bat avec les fonctionnaires de police. » Une chose est sûre : l'intervention de Théo L. intervient quinze secondes après l'arrivée des policiers. Par contre, la police des polices n'a pas réussi à trancher la question de savoir qui a commencé l'altercation. Le rapport poursuit : « À 16 h 47 et 50 s, constatons que le nommé L est emmené au sol. À 16 h 47 et 53 s, constatons que le gardien de la paix utilise le bâton télescopique de défense au niveau des jambes du nommé L et qu'un usage de gaz lacrymogène a été utilisé. A16 h 48 et 38 s, constatons que le nommé L est menotté. À 16 h 49 et 7 s, constatons que le nommé Théo L. se trouve au sol, le gardien de la paix se trouvant debout à côté de lui. Selon les images de la vidéosurveillance, donc, il a suffi d'à peine plus d'une demi-minute pour immobiliser au sol le jeune homme en le frappant « au niveau des jambes ». La question du viol Le récit qui se poursuit ne fait pas état de nouveaux coups. « Remarquons qu'un individu porteur d'un col jaune filme la scène. Remarquons que les trois autres gardiens de la paix dispersent le groupe d'individus restant. À 16 h 50 et 59 s, constatons que le nommé Théo L., menotté et relevé, se dirige en compagnie des policiers interpellateurs en direction de l'escalier menant au véhicule. (...) À 16 h 53 et 31 s, constatons que les fonctionnaires descendent les escaliers en compagnie du nommé Théo L. et se dirigent vers le véhicule de police stationné sur le parking. À 16 h 53 et 50 s, les policiers et Théo L. montent dans le véhicule. À 16 h 54, ils quittent les lieux. » Théo a-t-il été violé ? Selon l'IGPN, le visionnage des images enregistrées par les caméras de la ville ne permet pas de trancher en faveur d'une version ou de l'autre. Les policiers ont porté plainte contre le jeune homme pour « rébellion » et « outrage ». Ils sont mis en examen. http://www.lepoint.fr/societe/rapports-des-policiers-videosurveillance-comment-theo-a-ete-interpelle-16-02-2017-2105237_23.php#site
  5. Dans l'article de january, c'est un résumé et pas la version complète de l'Express Dans Sudouest : Le gardien de la paix de 27 ans raconte d’abord que lui et ses trois collègues tentent de contrôler un groupe d’une dizaine d’individus. Mais une bagarre éclate rapidement alors qu’ils commencent à interpeller Théo, "connu des services pour son implication pour le trafic de produits stupéfiants". Dans celle de l'Express Il revient d'abord sur les circonstances de l'incident. En patrouille dans ce quartier sensible d'Aulnay avec trois autres policiers, il repère "un individu déjà connu de nos services pour son implication pour le trafic de produits stupéfiants". Après avoir été pris à parti, les gardiens de la paix décident de procéder à un contrôle. Ils encerclent le petit groupe. "Il devait y avoir une dizaine de personnes à contrôler", précise-t-il. Selon la version du policier, une bagarre se déclenche lors de la palpation d'un deuxième individu. La situation est d'abord confuse. La patrouille tente d'interpeller Théo et, dans le même temps, est encerclée par les autres personnes présentes. "Pris dans l'action, nous ne pouvions faire appel aux renforts", dit-il. Il décrit alors une interpellation qui dégénère en raison de la résistance de Théo. Là ce n'est pas précis que c'est Théo, l'individu connu (parmi les 1 autres)
  6. Mais je ne les défends pas, les racailles ! Je défends les autres, les jeunes de cité "innocents".. Ceux qui ont cramé la voiture des flics, je leur souhaite qu'ils paient, et bien, pour leur acte immonde ! Non mais franchement, pourquoi vous n'arrivez pas à comprendre, à faire des nuances ? Moi, je n'ai pas de haine contre la police, personnellement, j'ai eu affaire avec eux (rapport à mon ex; de "contrôles", quand je me suis fait cambriolé, deux fois..) Ils ont toujours été réglo avec moi. Et, en plus, désolée de raconter ma vie, mais oui, ça remue un peu des choses ces affaires... Le père sénégalais de mon neveu (quand celui-ci avait 5 ans) est mort d'une balle dans la tête par un policier.. En "légitime défense".. C'était pas un délinquant, un ex militaire qui entraînait les jeunes au foot... Ce jour-là, il avait pété les plombs suite à la séparation d' avec ma soeur. Il était bourré, il a attaqué l'entraîneur de foot avec un couteau, a coursé et blessé un des policiers à la main avec le couteau, l'autre lui a tiré dessus, en plein dans la tête... Voilà, je ne conteste pas la réaction du flic, juste que peut-être il aurait "pu", du, tirer ailleurs pour lui laisser une chance de survivre. Mais dans le feu de l'action... sans connaître les antécédents.. Il a réagi comme il a pu.
  7. Non, contrairement à bon nombre d'entre "vous" qui confondent jeunes de banlieues basanés et racailles, on ne dit pas que TOUS les flics sont des SS, brebis galeuses, psychos, irrespectueux, pet au casque et j'en passe... Pour le reste, j'espère que ton message ne sera pas effacé,t'as le droit de raconter de la merde et de faire de "l'humour" sarcastique en même temps, c'est pas le pire qu'on a pu lire ici venant de toi et d'autres) Sinon comme une personne sensée, tu ne peux pas juste lui souhaiter un bon rétablissement et qu'il n'en garde pas de séquelles à vie ? Un jeune sportif qui devra peut-être vivre avec une poche à 22 ans, à cause d'une interpellation qui a mal tournée... Ouais, pas comme si certains de ces bobos ne venaient pas de banlieue.. Pour le reste, oui, c'est sûr que dès qu'ils en ont les moyens, ils se barrent de là, tout le monde en ferait autant. Et oui, le tutoiement c'est un des problèmes, cela s'appelle du R.E.S.P.E.C.T, de la politesse, tout ça... Que des représentants de l'état devraient appliquer logiquement, et les comparer aux comportements de jeunes racailles, ça c'est de l'argument !! Tiens, là, je remets, dis-moi, c'est qui les "racailles", les beaufs irrespectueux, plein de préjugés et de "blagues" très limites ?! "Ta gueule, on va te mettre dans un transfo, tu vas cramer avec tes potes, on s'en branle du calme au quartier, d'apaiser... au contraire, plus c'est la merde, plus on est contents"... Dixit, ces très chers représentants des forces de l'ordre si respectables et respectueux.. Aussi, pour éviter le subjectif... A 8 min 50, Sebastian Roché, sociologue La police de France n'est pas bien notée dans l'union Européenne, elle se situe dans le tiers inférieur quand on touche la question de l'égalité socio économique de traitement. Egalité de traitement des gens suivant leur statut social, d'appartenance à un groupe ethnique. Pas une mauvaise police au plan "technique", mais au plan de la confiance avec la population, d'après l'ensemble des études européennes. Il faut poser sur la table la question de la discrimination, pas dans un esprit de polémique vaine, mais avec les syndicats de police, avec les associations, poser ça sur la table et se dire comment on sort de là. notamment sur les contrôles au faciès avec une sur contrôle des minorités...
  8. "Pour qualifier un viol, l’intention supposée du coupable va-t-elle l’emporter sur le non-consentement avéré de la victime ?" Oui toute la question est là. Punir pour viol si le policier n'en avait vraiment pas l'intention ... Mais en même temps la victime l'a bien ressenti comme un viol. Oh le pauvre ! y s'est fait bobo au doigt en frappant trop fort ! N'empêche, c'est bien chaud pour leur fesses là ! Barbe rousse a de quoi s'inquiéter là si tout ceci est avéré ! Et dans la vidéo qu'on voit, ça à l'air de corroborer les dires de Mohamed, on ne voit pas avant et dans le hall, mais on ne le voit pas se débattre ou être agressif, on voit surtout les flics le choper brutalement à plusieurs et le faire rentrer de force dans le hall.. "Et je vois sur mon chemin deux policiers, dont l’homme à la capuche. Ils me disent 'viens là, toi aussi on va te fouiller', j’ai répondu que je voulais juste aller acheter ma baguette et rentrer chez moi, mais ils ont insisté." Tout le monde l'appelle "Barbe Rousse" Mohamed K. demande à son ami de rester à l’écart, "parce que je ne voulais pas qu’il y ait de problème, je me suis dit, ils vont me palper et c’est bon". Mais l’agent de police "me pousse vers l’entrée d’un bâtiment", aidé d’un de ses collègues. Un troisième policier sort du hall. "On le connaît dans le quartier, c’est le même que celui qui a pénétré Théo avec sa matraque, tout le monde l’appelle 'Barbe Rousse'." Mohamed K. explique que les trois fonctionnaires lui "font des croche-pattes" tentant de le "mettre à terre". Une fois dans l’immeuble, il reconnaît le "petit jeune arrêté juste avant moi, qu’ils sont en train de déshabiller". Là, le contrôle dégénère : "Ils me frappent, coups de pied, coups de poing au visage, dans le ventre, dans le dos, je saigne parce qu’ils m’ouvrent le crâne, je leur dis que je suis essoufflé, ils me traitent de 'sale noir', de 'salope', ils me crachent dessus." "'Barbe Rousse' me cogne avec sa matraque. Un des policiers me braque à bout portant avec son Taser, et me dit 'laisse-toi faire ou je te tase'." Mohamed K. affirme ensuite : "Les agents me menottent, me balayent au sol, m’écrasent la tête, me donnent des coups de genoux dans les yeux, je voyais mon sang au sol, j’essayais de ramper." Des voisins entendent les cris, les coups. L’un d’eux "ouvre sa porte, mais la referme aussitôt, effrayé". Selon Mohamed K., la scène a duré 30 à 40 minutes. Photos de Mohamed avant et après l'agression. (DR) "Ils m'ont de nouveau frappé, traité de 'sale noir'" Pour le conduire au camion de police, poursuit Mohamed K., les agents de la force publique, croisant des habitants choqués, braquent ces derniers avec leur flash-ball. "Barbe Rousse" et un autre de ses collègues lui ordonnent de s’asseoir "par terre". Mohamed K. s’installe sur le siège. "Ils m’ont de nouveau frappé, traité de 'sale noir' jusqu’à ce que je finisse au sol." "Tuméfaction ecchymotique de 2cm x 3cm sur la joue gauche. Plaies superficielles punctiformes au cuir chevelu pariétal droit. Hématome frontal gauche de 2cm x 2cm avec douleurs à la pression. Hématome de 1cm x 1cm avec plaies superficielles punctiformes sur la muqueuse de la lèvre inférieure à gauche. Hématome sous-orbitaire occipital droit gauche de 2cm x 3cm avec douleurs à la pression. [...] Tuméfaction ecchymotique de 2cm x 3cm sur la face antérieure de la jambe gauche au tiers moyen avec douleurs à la pression." Si on peut le dire aussi (et ne pas nier, édulcorer ou essayer de minimiser, excuser..), nous les bobosislamos... Et sinon, tu penses quoi de ces "policiers" @Foraveur, et autres Dan.. ? :gerbe: Comme ceux-là ?! Et de ceux qui subissent des contrôles d'identité au faciès (alors qu'ils bossent, n'ont pas de casiers...) plusieurs fois par jour ? C'est quoi le but de la manoeuvre au juste (cas de le dire) ?! Les propos de ces gros beaufs irrespectueux, y a du level ! Le flic "Ta gueule", le jeune, " on n'a rien fait, pourquoi vous me dites ta gueule ? nous on vous vouvoie.." Un autre flic, "tu veux que je t'emmène à un transformateur", le jeune "désolé, désolé, vous me parlez mal, je vous ai pas parlé monsieur". Regardez monsieur nous on vous vouvoie, votre collègue nous tutoie, je suis respectueux avec vous (d'un ton calme sans colère)" D'autres jeunes à côté disent qu'ils n'ont rien fait (ceux qui sont contrôlés), réponse d'un flic "oh tu veux griller toi aussi avec tes copains ? Tu veux aller dans un transfo ? Ramènes ta gueule on va t'y mettre " On notera le niveau :re gerbe: et les voix, on dirait une mauvaise parodie des inconnus.. Le flic "dès l'instant où vous nous regardez comme ça comme un âne...", le jeune "Mais monsieur je vous regarde, je vous regarde, je dois avoir peur de la police ?... D'autres phrases... Le jeune " En France, égalité, fraternité.. Si c'est comme ça, après vous croyez que le quartier va se calmer ? le flic " Alors là on va se mettre d'accord, que le quartier soit calme ou pas, on s'en branle, à la limite, plus ça merde, plus on est contents. Parce que nous on n'est pas des assistantes sociales, dans 5 min vous allez cramer des bagnoles, balancer des cailloux.." Le jeune :" ha non, personnellement je travaille, je touche 1600 euros par mois, je paie mes impôts comme vous. Je travaille comme un honnête citoyen, je suis français, j'ai ma carte d'identité..." Bon même si, admettons, il l'a fait accidentellement et non intentionnellement. Il ne s'en est pas rendu compte sur le coup ?! Les autres n'ont rien vu ? Parce qu''une matraque qui s'enfonce dans un anus sur 10 cm, c'est pas la même chose que si elle s'enfonçait dans les parties "molles" d'un corps ! Il n'a pas senti comme une petite résistance et surtout qu'elle rentrait sur toute cette longueur ?! Et, malgré ses cris, plaintes, ils ne s'en sont aperçus qu'une fois arrivés au poste ? Non vraiment, j'ai de plus en plus de mal à y croire, plus j'y pense. Lis le message de fx que je viens de citer...
  9. Je ne parle pas de racisme... Juste de la base le respect. Un témoignage d'un réfugié politique iranien (il m'a fait un peu pitié, meskine) Il y a un mois, il a été faire ses papiers administratifs au commissariat de Bobigny. Tutoiement ( il a été "choqué, déjà) puis, il s'excuse mais cite les faits dans les termes employés par les policiers (dixit lui) il m'a dit "je vais casser ton cul".. Il a porté plainte.. Après un des collègues policiers l'appelle, menaces (si t'es pas content on te renvoie dans ton pays...) l'Iran où il a été torturé ..., agressions verbales.. Plus le traitement des autres au poste qu'il a vu... A 3 min.. Non mais je ne comprends pas comment des gens soit disant un minimum intelligents, éduqués... Peuvent faire des amalgames (concernant un seul côté (obscure, la force est noire, noire comme..), selon leur point de vue et valeurs si grandes, qu'ils ne se rendent pas compte que parfois ils sont aussi indécents, irrespectueux.. limites sociopathes... sans aucune empathie.. comme ceux qu'ils dénoncent à longueur de posts) et être aveuglés à ce point par leur conviction "valeurs"... !? C'est impensable un policier qui n'est pas à la hauteur de son poste, qui fait des abus de pouvoir, qui dérape, insulte, rabaisse et pire ?! Et je ne parle pas du cas du topic en particulier. Toute la police dans son ensemble, son entière globalité.. est intouchable et immaculée, sans faute et défauts.. ? Sinon, oui, peut-être circonstances atténuantes, pas de raison, comme pour les kairas ! (ou pas, vu leur statut doublement responsables)
  10. Je ne pense pas qu'ils aient été assez cons et aveuglés "dans le feu de l'action" pour ne pas se rendre compte qu'il y avait des gens dans la voiture. Et bien sûr que non, cet acte criminel (ainsi que toutes les dégradations...) ne vont pas arranger les choses. En plus, sur les réseaux et youtube... On constate bien que ça "arrange" bien les FN, vu tous les commentaires "décomplexés"... Oui, c'est très grave, ça craint, et j'espère qu'ils seront punis. Cela dessert la cause de Théo, des banlieusards... Une petite proportion de jeunes (et moins jeunes) excités qui foutent la merde, s'en prennent aux biens publics et personnels (ils ont dévalisé un Franprix d'une famille de père immigré, ils ont pris tout l'alcool en premier, cassé les caisses..)... Toute une vie d'efforts, de sacrifice gâchée. Ils ont brûlé, cassé, dégradé des voitures... Ont défoncé un "distributeur (à l'intérieur).. de banque... Ils sont tellement cons qu'ils ne se rendent pas compte dans leur trip rebelle qu'ils font plus de mal à leur "communauté" qu'à leur cible.. Mais j'ai vu aussi un jeune qui filmait en live les empêcher d'attaquer un bus,"sauvé" une petite mamie en l'éloignant du lieu des heurts... A 15 min : "Attention y a la maman, attention, rassurez-vous madame. Y a une mamie, la pauvre 80 ans et elle est pile au milieu"... Le rappeur Sofiane empêcher que ça dégénère à un moment entre eux et les crs. Il a fait reculé les jeunes, a dit que ça desservirait leur cause de se "fighter", que les petits jeunes doivent rentrer chez leur maman et de ne pas mettre la honte sur les noirs et les arabes... Enfin, on peut surtout s'estimer "heureux" qu'il n'y ait pas eu de victimes, blessés, des deux côtés. PS, juste un détail, pour l'affaire, la vidéo que l'on voit (celle de l'interpellation de Théo), je crois (suis pas experte) que c'est filmé d'un portable, elle zoome, tremble et suit les déplacements jusqu'à la voiture. Théo et le premier témoin de la vidéo ont dit que les policiers sont partis dans le coin derrière l'angle le mur pour éviter les cams municipales. Celles-ci, je crois que c'est plus pour ce qu'il s'est passé avant l'arrestation.
  11. @DroitDeRéponse Qui demandait, j'ai vu ça L'affaire du jeune Théo, hospitalisé en raison de graves blessures et qui dit avoir été victime d'un viol avec une matraque au cours d'une violente interpellation à Aulnay-sous-Bois, a choqué l’opinion. Mais il ne s'agit pas d'un cas isolé : au moins deux affaires ont été jugées par le passé pour des faits similaires. Ils s’appellent Alexandre, Ahmed et Théo. Ces trois hommes ont tous les trois subi des violences policières bien particulières : si le cas de Théo fait aujourd’hui la Une des journaux, il ne s’agit malheureusement pas d’une première. Dans son affaire comme dans les deux précédentes évoquées ici, si les violences sont reconnues, la qualification de "viol" présumé fait débat. La scène se déroule 29 octobre 2015. Un équipage de la police municipale de Drancy est appelé pour tapage nocturne. Sur place, Alexandre T., 26 ans, qui a bu avec ses amis, aurait outragé les agents. Ces derniers décident de l’emmener au commissariat. Alexandre T. se débat. Menotté dans le dos et délesté de sa ceinture, son pantalon glisse. Deux policiers tentent de le faire entrer dans le véhicule en le tirant par les épaules. Un troisième, Arnaud P., le pousse dans l’habitacle. "D’un coup, j’ai senti un truc dans mes fesses. J’ai hurlé, je me suis allongé sur la banquette et j’ai pleuré", expliquera le jeune homme lors de son audition. "Il y en a un qui m’a dit ’plus jamais tu parleras comme ça de la police municipale, tu te rappelleras de nous’." Comme dans le cas de l’affaire Théo, agresseur et agressé affichent deux versions bien différentes. Le policier inculpé dans cette affaire assure qu’il n’a pas entendu crier, ni pleurer le jeune homme, et n’a vu aucun saignement. Pourtant, une fois arrivé au commissariat de Drancy, Alexandre T. est conduit à l’hôpital. Un médecin constate une lésion interne, une plaie de 1.5 cm au niveau de l’anus, et prescrit 10 jours d’ITT. L’enquête révèle que du sang se trouve dans la voiture des agents municipaux et l’ADN de la victime est bien présent sur la matraque d’Arnaud P. Ce dernier est poursuivi pour "violences volontaires" mais il ne reconnaît pas le viol. Les faits ont été jugés ce lundi 16 janvier. Initialement inculpé pour "viol en réunion", le parquet a requalifié les faits en "violences aggravées". L’avocat d’Arnaud P. utilise la même défense que le policier mis en examen dans l’affaire Théo : son client a utilisé sa matraque "à l’horizontale" pour maitriser l’inculpé. Une version qui ne satisfait pas la défense. "Ça ne se traverse pas comme ça un anus", s’insurge Me Florent Hauchecorne. Pourtant le procureur adjoint penche pour "un coup violent dont la pression est suffisamment forte pour entraîner une perforation d’un centimètre et demi." Il requiert six mois de prison avec sursis et une interdiction professionnelle d’un an. Selon Le Monde, Alexandre T. dénonce une justice à deux vitesses : pour comparaison, il y a dix ans, pour insulte à agent, il avait été condamné à huit mois avec sursis. Marie-Cécile Nathan, avocate du jeune homme, indique avec regret à nos confrères de l’Humanité que "la réaction du parquet de Bobigny sur ce genre d’affaire n’est pas appropriée. Il nie systématiquement le caractère sexuel des violences." Le jugement est attendu pour le 20 février. Le cas d’Ahmed S. est plus ancien, mais aussi plus violent. Le 25 novembre 1991, cet homme de 49 ans (à l’époque) est arrêté dans le cadre d’un trafic de stupéfiants. Des agents de la police judiciaire de Bobigny le conduisent au commissariat où il restera 72 heures en garde à vue. Durant ces trois jours, Ahmed S. raconte voir été frappé, coups de pied, de poinq, de batte de base-ball, mais aussi avoir subi un viol à l’aide d’une matraque. L’enquête de l'Inspection générale des services (IGS) et de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) ne donnent rien. Ahmed S. est de son côté condamné à 13 ans de prison mais poursuit son combat : le parquet de Bobigny ouvre une information contre X. Cinq policiers sont mis en examen … en 1997, six ans après les faits. Restés en fonction jusqu’à leur comparution, ils sont condamnés deux ans plus tard de deux à quatre ans de prison. Mais les agents font appel. La cour de Versailles réduit les peines à de la prison avec sursis, seul le commandant écope de trois mois ferme. Saisie de cette affaire, la cour d’appel européenne des droits de l’homme a condamné la France pour torture, une première. http://www.lci.fr/faits-divers/aulnay-sous-bois-matraque-et-viol-presume-l-affaire-theo-n-est-malheureusement-pas-une-premiere-2025546.html
  12. Ouais, t'as raison, je te laisse aussi... On en saura plus, ou pas, d'après les dires preuves des uns et autres... Le jour où TOUT le monde (de tous les côtés) sera honnête et franc et assumera tout, sans se victimiser et autre, on en reparlera :utopie: L'intention, Je ne m'en fous pas... pour ce que ça change...
  13. J'avais un croisé staf malinois et un "gros" bébé dogue argentin, je dormais avec quand mon mec n'était pas là. Mes doudous ! Là j'ai que mon chat, j'adore dormir avec, faire des siestes, c'est mon somnifère naturel. Par contre, je me demande maintenant que j'y pense si les chats pètent ? Jamais fait attention ! Pour répondre, oui j'aime dormir avec un homme, même si je ne suis pas amoureuse. Après, si c'est juste un coup d'un soir, s'il s'en va après l'acte, parfois, moi aussi je n'ai pas envie qu'il reste dormir avec moi, parfois on s'endort ensemble... Le père de mon fils, c'était (c'est) un gros ronfleur, au début, tellement j'étais "aveuglée" par l'amour, limite je le regardais dormir en ronflant à faire trembler les murs, avec des étoiles dans les yeux, et en me disant ""quand même c'est beau, mon homme qui dort" ! En plus au début, je l'hébergeais en cachette à la cité U, on dormait dans un tout petit lit. Mais ça va, je peux rester dormir dans un tout petit coin sans bouger (presque) de la nuit. Par contre, ça fera plaisir à swam ! J'ai un petit "blocage" parfois, depuis un moment pour embrasser certains. Je peux coucher (baiser) sans amour avec, mais il y en a certains, je n'ai pas envie ni le besoin qu'on s'embrasse (le french kiss). Je ne sais pas pourquoi, je crois que j'ai trop regardé Pretty Woman , sûrement que je trouve ces baisers plus intimes que le fait de "juste" coucher ensemble...
  14. Oui, de leçon... Et en même temps, surtout si c'était accidentel et non volontaire, ça fera une "bonne leçon" au policier qui devra vivre avec ce poids (et oui, il n'est pas très "fier" de son coup, comme toute personne normalement constituée), des conséquences sur lui, ses collègues et la victime.. C'est bien cher payé pour tous pour cette "simple" intervention de routine ! Si c'est vraiment accidentel (et je ne peux rien affirmer non plus), le mec (comme j'avais dit dans un des premiers messages sur le topic), c'est master Gaston lagaffe de la matraque, le pire malchanceux des matraqueurs (et Théo aussi au "passage")... Oui, et des jurés... Non mais je pense que c'est la "loi de l'attraction", la matraque a été attirée par cette "ouverture", tout droit à travers le caleçon. Moi ce que je me demande, c'est comment il ne s'en est pas rendu compte. Il n'a pas senti qu'elle s'enfonçait (sur 10 cm), que ça "bloquait" et coinçait un peu à ce moment ? Pas vu le trou dans le caleçon ?... Parce que d'après eux, ils ne s'en sont rendu compte qu'une fois arrivés au poste. Malgré les plaintes de Théo (et même, d'après son témoignage, ils se foutaient de lui en plus dans la voiture)... Pour le pantalon, je n'ai jamais pensé qu'il n'a pas pu glisser dans la bagarre (il a perdu une chaussure aussi et ils l'ont embarqué avec le pied en chaussette). Dans une bagarre, intervention "musclée"... les habits peuvent se déchirer, tu peux "perdre" ton t shirt... Pareil, jamais lu ou dit qu'ils lui ont baissé le caleçon. Je me demandais d'ailleurs comment passer 10 cm à travers, mais bon, le plus logique et que tu confirmes, c'est que ça a troué le caleçon pour passer... Mais pourquoi ce coup horizontal très violent, le seul, à ce moment précis ? Le mec au sol contre le muret, le cul en évidence en caleçon... Et le policier décide juste à ce moment de porter le coup horizontal et douloureux ? Alors si c'est vraiment accidentel et non volontaire, le mec est le pire des maladroits qui ne sait pas viser, en plus d'être le pire poisseux des flics ! Mais, oui, en même temps, les accidents, c'est souvent con, injuste et il n'y a pas de logique. Et encore, il n'a rien senti, rien vu (les autres policiers non plus, rien vu.. pas rendu compte..) ? Que ça pénétrait et s'enfonçait, et bien, et trouait le calebut ?
  15. Aulnay: les policiers mis en examen décrits comme de "bons professionnels" Quatre policiers ont été mis en examen après l'interpellation de Théo, 22 ans, à Aulnay-sous-Bois. Agés de 24 à 36 ans, ils travaillaient dans la même brigade spécialisée de terrain depuis deux ans. Eléments de portrait. Les faits qui lui sont reprochés sont graves. Un policier a été mis en examen pour viol après une interpellation jeudi à Aulnay-sous-Bois. Trois autres sont poursuivis pour violences volontaires en réunion. Théo a été gravement blessé à coups de matraque au niveau de la zone rectale. Toujours hospitalisé, le jeune homme de 22 ans s'est vu prescrire 60 jours d'incapacité totale de travail (ITT). REPORTAGE >> Agression de Théo à Aulnay: "Le geste des policiers va attiser la haine" Depuis deux ans, les quatre policiers travaillaient au sein de l'unité de la brigade spécialisée de terrain (BST) d'Aulnay. Créées en 2010, ces brigades sont une police de proximité qui intervient dans les zones de sécurité prioritaire, comme la cité des 3000. A Aulnay-sous-Bois, 17 fonctionnaires sont affectés à trois brigades différentes, celle des quatre policiers étant composée au total de six agents. "Un garçon du Nord" Les quatre hommes sont décrits comme "proches", ayant "une bonne cohésion de groupe". Agé de 27 ans, le policier mis en examen pour viol a intégré la fonction publique il y a quatre ans. D'abord affecté à Aulnay-sous-Bois, il travaillait à la BST depuis deux ans. Dans Le Parisien, son avocat, Frédéric Gabet, dresse le portrait de "quelqu'un de calme et plutôt éduqué" et maintient qu'il "n'y avait pas d'intention de commettre un viol". Il plaide pour un geste à "caractère accidentel". A 24 ans, le plus jeune des agents a seulement deux ans de terrain derrière lui. Il est seulement poursuivi pour violences volontaires. En avril 2014, il réussit le concours d'entrée à l'école de police. Il en sort un an plus tard. Affecté à Aulnay-sous-Bois, il sera titularisé en avril 2016. "C'est un garçon du Nord, avant l'école de police, il a été policier municipal près de Lille pendant deux ans", explique à L'Express Me Pascal Rouiller. LIRE AUSSI >> Incidents à Aulnay-sous-Bois: des policiers ont tiré en l'air, à balles réelles Son avocat décrit un "garçon très précis, calme, bien noté, bon camarade, un jeune qui a toujours voulu faire ce métier et qui aime son travail". Quel est son état d'esprit aujourd'hui? "Il est partagé entre deux sentiments, celui de l'incompréhension face à l'inadéquation totale entre l'examen médical du jeune et ce qu'il a fait, c'est-à-dire sécuriser l'interpellation et ceinturer le jeune, et une forme de sérénité car il sait justement ce qu'il a fait", raconte son avocat. "Tout le contraire d'un cow-boy" Autre mis en examen, un policier de 36 ans, marié et père d'un garçon de deux ans. Avant d'intégrer la BST il y a deux ans, cet originaire du Sud-Ouest a travaillé deux ans à la police secours d'Aulnay après être sorti de l'école de police un an plus tôt. "Il connaît très bien la population de la ville, selon Me Daniel Merchat. Il a cinq ans d'expérience, une grande maturité, tout le contraire d'un cow-boy". Le policier serait "abasourdi et profondément affecté". "Il a ceinturé le jeune et l'a immobilisé", indique son avocat à L'Express. En tombant au sol avec Théo, son client "a actionné sa gazeuse et s'est gazé lui-même". Le dernier policer mis en examen a, lui 28 ans et peu d'élément ont filtré sur son profil. Manque d'effectifs, d'armement et de formation "Ce sont des collègues qui sont favorablement connus, de bons professionnels et des garçons qui n'ont jamais fait parler d'eux", abonde auprès de L'Express Yves Lefebvre, secrétaire général de l'unité SGP police-FO qui demande que "la présomption d'innocence soit respectée". Deux d'entre eux, dont le policier mis en examen pour viol, appartiennent à ce syndicat. "Ces brigades font un boulot très difficile dans des quartiers réputés dangereux et violents", lance Yves Lefebvre. Manque d'effectifs, de moyens d'armement, de formation, "on envoie à la BST des gamins qui sortent de chez papa et maman, avec seulement un an d'école de police", résume le syndicaliste pour qui ces novices sont souvent peu aguerris à la réalité du 93. INTERVIEW >> Interpellation à Aulnay: "Une matraque ne sert pas à être introduite dans l'anus" "C'est la vie qui s'arrête pour eux", regrette-t-il. Le policier mis en examen pour viol a désormais l'interdiction d'exercer l'activité de fonctionnaire de police et l'interdiction de paraître en Seine-Saint-Denis. Les trois autres policiers ont été placés sous contrôle judiciaire par le juge d'instruction. Deux d'entre eux ont l'interdiction d'exercer l'activité de fonctionnaire de police et le dernier a l'interdiction de paraître à Aulnay-sous-Bois.
  16. Sinon, d'après les dires des policiers, il n'est pas tombé dessus, c'était le coup à l'horizontal (hier, je me suis trompée...) Au mauvais moment, mauvais endroit, comme par hasard, hélas, fatalitas, coup funeste du destin tragique déchirant, perforant notre âme (et autre)... Oui, et moi j'ai couché avec (et des militaires.. et..) !
  17. Mais, wtf ?! Ok, j'ai compris, tu as quelques problèmes de compréhension écrite, pas ta faute Je remets la partie de mon message, pour que (peut-être) tu puisses comprendre Mais quelle indécence, toupet quand même, c'est grave à ce stade ! Toi tu connais personnellement des filles (amies, proches, famille..) qui se sont fait violées dans les caves, tournantes... ?! Moi, oui, et y a pas de géométrie variable ! Dans ces cas, à chaud, je serais même plus pour le "oeil pour oeil", et pire... Oui, pour toi, il n'est pas blanc comme neige quoi !
  18. Ouais c'est ça ! Mais quelle indécence, toupet quand même, c'est grave à ce stade ! Toi tu connais personnellement des filles (amies, proches, famille..) qui se sont fait violées dans les caves, tournantes... ?! Moi, oui, et y a pas de géométrie variable ! Dans ces cas, à chaud, je serais même plus pour le "oeil pour oeil", et pire... Oui.. La violence à travers sa télé... Tout un programme... D'autres, "on", la voit et l'a vue (et subit même), en "vraie", de tous les côtés... Et sinon, c'est quand même "drôle", toutes les excuses et comparaisons foireuses (le mec, c'est pas une racaille, et même s'il l'était, c'est pas une raison), circonstances atténuantes... Pour nos forces de l'ordre, et ça vient parler d'indignation, vision à géo variable... Et après ça ose nous "accuser" de bobosislamosblabla qui cherchent toujours des excuses aux"jeunes",délinquants ou non ! Et enfin, la meute,la haine des flics... Tout le monde n'est pas binaire comme vous ! Y a pas de haine, on peut aussi les "comprendre" et admettre qu'ils ne font pas un boulot facile, surtout en ce moment, je dirais même plus, bien ingrat dans ces quartiers. Moi ce que j'ai vu, surtout dans les premiers messages, c'est les commentaires de merde, blagues vaseuses irrespectueuses des habituels vieux réacs du forum, qui viennent baver (et faire des commentaires très constructifs, genre "bouh, le pôvre, et son prénom c'est Marcel ou paupol ?!") en troupeau.. (juste l'abbé résina a un moment a quand même été correct et "juste".. Ton far west et et tes cow boys, garde les bien pour toi et pour l'époque "reculée" d'où elle ne devrait plus ressortir ! :gerbe: Oui, et surtout qu'il s'estime heureux de s'être juste fait défoncer le cul et d'être incontinent à vie ! Non mais ! Quelle outrecuidance ces jeunes ! On ne voit pas le coup, on les voit juste le frapper, le mettre à terre et continuer les coups.. Par contre, ils s'ont partis dans un coin censé être hors caméra, et c'est entre autre pour cela que le jeune s'ait débattu d'après lui, pour retourner dans l'angle de "vue". Par contre, oui, le bénéfice du doute, même infime est sans "doute" possible. Ils disent (les flics) qu'un coup (qui n'aurait pas du, toujours d'après eux)à la vertical a été donné au niveau du bas ventre.. Mais en même temps, je sais pas, mais moi, dans ma logique, un coup de matraque, ça se fait de "haut en bas", en l'abaissant, là, pour la mettre (même accidentellement) dans le fion, à travers le caleçon, sur une dizaine de cm... M'enfin, c'est un drame, un fait divers de merde qui va (et a) gâché la vie de beaucoup, tant le jeune que les flics. Bah si , même d'après la police il n'a rien d'un délinquant, pas de casier, pas d'histoires... Après, comme j'ai déjà dit, il aurait dû fermer sa bouche et ne pas se mêler de l'intervention et la "défense" des autres jeunes..
  19. Marla

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    Bonsoir ! J'aime pas le montage, mais bon... Le fond, la forme.. Celui là (encore), j'aime "tout" (en gros), même les défauts
  20. Mais d'où tu tiens ces "infos" si précises ?! Justement, je n'osais pas demander... Vu les circonstances, mais @Xsylon par exemple, d'après ce que j'ai... Tu es un peu "habilité", c'est quoi les mesures pour la matraque ? Diamètre, longueur... ? DSC ! Pardon, parfois ça déborde
  21. N'empêche c'est un peu surréaliste cette histoire (ça pourrait faire des blagues de mauvais goût , genre "c'est pas ma faute, la matraque a dérapé au mauvais moment, mauvais endroit"... ) , surtout si c'était involontaire.. Dans ce cas, le flic et la victime n'ont vraiment pas eu de "chance". Je n'ai pas dit que c'est la faute des flics ! Le jeune a "mal" réagi, il aurait dû fermer sa gueule et passer son chemin... Il était là au mauvais moment, et il l'a bien payé en retour... Et oui, la justice le(s) condamne, normal ! Lourdes sanctions du ministre de l'intérieur entre autre, quand ils ne respectent pas les règles d'éthique, déontologie... Et qu'ils foutent la honte, le discrédit.. sur toute leur profession ! Les quatre hommes ont par ailleurs été placés sous contrôle judiciaire et trois d’entre eux se sont vus interdire par le juge d’exercer l’activité de fonctionnaire de police, a indiqué le parquet de Bobigny. Mais, dimanche soir, le ministre de l’Intérieur a décidé d’étendre cette suspension au quatrième policier. Bruno Le Roux avait prévenu que des « sanctions » seraient prises « s’il était avéré que les règles déontologiques, éthiques et de droit n’ont pas été scrupuleusement respectées ».
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