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nolibar

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  1. Si l’Homme était aussi intelligent qu’il le prétend, son esprit rationaliste et pragmatique aurait recherché et trouvé, depuis longtemps déjà, les solutions à la fois les plus simples, les plus efficaces et les moins onéreuses en temps de travail pour produire les biens de consommation couvrant tous ses besoins, voire un peu plus, pour s’assurer qu’ils sont suffisants. C’est sa bêtise « crasse » et certaines de ces pulsions obsolètes qui l’en empêchent. Selon moi, l’Homme s’arroge une intelligence outrancièrement surdimensionnée. Il n’est finalement qu’une espèce animale parmi d’autres.
  2. Une pensée universelle ? Bah, pourquoi pas celle-ci : Tous les êtres vivants sont des robots biologiques produits par les hasards de la Nature. La faculté qu’ils ont de se reproduire dans le temps de vie qui leur est imparti permet d’assurer la pérennité des différentes espèces.
  3. Je suis tout à fait d’accord avec çà ! Mais, tant que l’on laissera tous les pouvoirs entre les mains des plus primitifs d’entre nous; c’est-à-dire à ceux qui ne vivent que pour satisfaire leurs besoins exacerbés de domination, il ne faut pas s’attendre à mieux.
  4. « A partir de quel degrés d'intelligence pourrait-on envisager d'accorder à un animal les mêmes droits qu'à un être humain ? » Puisqu’ils sont nés sur la même Planète que nous, ils devraient d’office pouvoir disposer de cette dernière à égalité avec nous. Mais, comme seule une brute épaisse sait le faire, nous nous arrogeons des droits qui ne nous appartiennent pas. La LOI du plus fort diront certains…
  5. Mon intuition me dit que, puisque tous les animaux et donc l’Homme sont condamnés à vivre sur la même planète, la Nature les a probablement doté des mêmes instincts. Mais cela ne suffit pas pour leur donner une autonomie comportementale suffisante pour leur permettre de survivre dans leur environnement. Pour cela, il faut y rajouter les programmes éducatifs nécessaires (éducation parentale, respect des lois du groupe auquel il appartient, etc.). Et cela, toujours selon moi, est valable pour tous les animaux y compris l’Homme. Les comportements de l’animal et donc de l’Homme dépendront finalement de la puissance des instincts qui les animent et qui peuvent être, pour certains, soit élimés ou au contraire exacerbés selon l’éducation qu’ils auront reçu et de l’éducation elle-même. D’où l’importance capitale de l’éducation reçue dès le plus jeune âge. Personnellement, j’ai des doutes sur la capacité de notre Education à produire des individus autonomes car capables de juger de la validité rationnelle des comportements qui leur sont imposés par la Société ?
  6. Je ne le vois pas tout à fait comme cela ! Car, selon moi, si nous faisons cela, c’est dans le but de satisfaire nos instincts et non de les supplanter. Je persiste à penser que nos problèmes présents et à venir viennent de nos instincts car, pour certains, obsolètes (pulsions de domination par exemple) et qu’il nous faut donc adapter à notre environnement actuel. Les pulsions de dominations sont, pour une bonne part, à l’origine des 60 millions de morts de la dernière guerre mondiale. Nos instincts sont, à mes yeux, des programmes qui nous imposent des comportements adaptés à notre environnement. Cela nous permet d’exploiter utilement ce dernier (pour nous nourrir par exemple mais aussi pour nous en protéger en construisant des abris, en confectionnant des vêtements pour nous protéger du froid, etc.). Je pense que nos instincts n’ont pas évolués d’un iota depuis l’homme de Neandertal. Et si ils ont démontré leur efficacité par le passé puisqu’ils ont permis à l’Homme de survivre jusqu’à nos jours, je ne suis pas sûr que cela soit toujours vrai pour le futur si nous ne faisons pas l’effort, aidés en cela par notre intelligence et notre instinct de survie, de les adapter à notre environnement chamboulé par l’évolution foudroyante de nos sciences et techniques.
  7. Oui bien sûr ! Mais je fais allusion aux politiques, chefs d’entreprise, etc. pour qui la force brute ne suffit pas pour prendre le pouvoir.
  8. Selon moi, tous les animaux sont dotés d’une intelligence d’un niveau variable selon les espèces et même les individus entre eux. Elle est indispensable pour seconder l’instinct en l’aidant à s’exprimer au mieux comportementalement pour atteindre le but désiré. Un individu, par exemple, titillé par un instinct dominateur hors de la moyenne usera de son intelligence pour prendre le pouvoir. Il le prendra d’autant plus facilement qu’il sera le plus intelligent et donc le plus à même de manipuler les autres pour les amener à ses vues…
  9. « Intelligence animale et humaine » Selon moi, l’intelligence animale et humaine n’ont qu’un seul rôle : permettre le plein assouvissement des comportements instinctifs qui nous animent. - L’instinct désigne les buts à atteindre, - L’intelligence, elle, a pour rôle de permettre l’élaboration des meilleures stratégies comportementales pour atteindre ces buts. L’intelligence, apparemment, n’a pas pour vocation de faire de nous des surhommes. Car, si c’était le cas, elle ne serait pas l’esclave de notre instinct, mais, bien au contraire, elle imposerait sa loi en ne laissant s’exprimer que les comportements instinctifs vraiment utiles en regard à notre environnement après les avoir adaptés si nécessaire à ce dernier pour faire les meilleurs choix possibles pour nous et les autres et pour le devenir de notre espèce et celui du reste de la biodiversité. De robots programmés par la Nature (instinct) nous passerions au niveau supérieur qui est celui des robots capables de s’autoprogrammer si nécessaire pour s’adapter plus rapidement et plus efficacement à un environnement qui évolue bien trop rapidement et qui, du fait des technologies, peut s’avérer très dangereux pour la survie de notre espèce et celle du reste de la biodiversité. Il est évident que notre instinct et donc nos comportements instinctifs ne sont plus en totale adéquation avec notre environnement actuel et le seront certainement de moins en moins à l’avenir car ils opposent une trop grande inertie aux changements adaptatifs nécessaires. Il nous faut donc nous adapter, en dévoyant une partie de notre intelligence dans ce but, si nous voulons assurer la pérennité de notre espèce et celle du reste de la biodiversité.
  10. « Intelligence animale et humaine » Tant que l’Homme s’organisera de façon animale pour obéir à son instinct et satisfaire ainsi ses pulsions, désirs,…, sans prendre en compte les capacités non extensibles de la Planète et le droit d’exister des autres espèces, je considérerais qu’il ne dispose que d’une intelligence animale tout comme les autres espèces. Pour que l’intelligence prenne le pas sur son animalité, il faudra qu’il apprenne à prendre le contrôle de ses pulsions, désirs,…, pour les adapter à son environnement qui évolue bien trop rapidement pour que la sélection-naturelle puisse continuer à la faire à sa place (les pulsions de domination à l’origine des guerres et des conflits de par le monde n’ont plus de raison d’être à l’heure actuelle ; l’ambition qui fait avancer le Monde actuellement peut-être remplacée avantageusement, chez l’Homme intelligent, par la curiosité intellectuelle pour le faire évoluer positivement).
  11. nolibar

    "L'espoir fait vivre" ?

    « L'espoir fait vivre ? » L’espoir, c’est la petite flamme qui éclaire votre chemin dans les périodes sombres de la vie ; elle est la preuve de votre désir de vivre. Lorsqu’elle s’éteint, alors c’est que vous avez renoncé à vous battre et que vous êtes résigné à mourir.
  12. J’ai l’impression, lorsque j’observe les comportements des humains et leurs organisations, que pour posséder ne serait-ce qu’une once de SAGESSE, il faudrait posséder un niveau d’intelligence tel, qu’elle est hors de portée de l’humanité actuelle. Les humains, j’en ai bien peur, continueront à se comporter comme des gamins capricieux et stupides jusqu’à leur complète disparition provoquée par eux-mêmes. Et tant pis pour la grande partie de la biodiversité qu’ils entraineront certainement dans leur chute.
  13. Cela me permet en faisant un parallèle avec un robot de mieux cerner ce que pourrait être le fonctionnement de l’Homme… Eh bien, si nous faisions en sorte qu’en modifiant le génome du dauphin, celui-ci soit dorénavant muni de bras, je pense que son cerveau serait certainement capable de s’adapter pour permettre au dauphin de les utiliser correctement. Il ne faut pas confondre l’intelligence qui est, selon moi, la capacité de traitement logique qu'a notre cerveau de l’information , avec les « programmes » qui permettent de l’exploiter utilement (pulsions, éducation, etc.)
  14. Pas du tout ! Je considère les animaux et donc l’Homme comme des robots biologiques tout simplement. Le cerveau étant, pour faire simple, l’ordinateur central qui pilote toutes les actions comportementales. Son O.S. (Operating System) étant composé, entre autres choses, des pulsions innées l’incitant à des comportements spécifiques, des programmes contrôlant le fonctionnement automatique du cœur, des poumons, etc. Les autres programmes mémorisés sont ceux inculqués par l’éducation qu’il reçoit tout au long de sa vie (quels aliments manger, comment faire une adition, comment se comporter en société, etc.). Il est doté de différents capteurs qui le renseignent sur ses besoins internes (faim, soif, …), sur son environnement (froid, chaud, obstacles, dangers,…). Etc. De çà, je n’en suis pas aussi certain que vous ? Le cerveau, si je me fie à l’état des recherches actuelles, est d’une grande plasticité et donc possède une grande capacité d’apprentissage. Nos sciences et technologies sont le résultat de l’adition de petits apports, parfois presque insignifiants, des meilleurs cerveaux humains. Ceux qui ont participé, de façon significative, à leur évolution représentent : 1/100 ?, 1/1000 ?, 1/10000 ?, 1/100000 ? ... d’entre nous ? L’individu pris seul est en réalité capable de peu de choses. L’intelligence humaine ? Bof ! Je doute quelle soit, en réalité, bien supérieure à celle des dauphins pour la plus part d’entre nous ?
  15. Oui ! Mais si l’Homme peut utiliser son intelligence pour fabriquer des objets de plus en plus complexes, c’est, surtout et avant tout, parce qu’il dispose d’une interface mécanique avec son environnement suffisamment sophistiquée pour le faire : ses mains capables de manipuler avec une grande précision toutes sortes d’objets. Quand je pense au dauphin ou à l’orque, je vois l’Homme emmailloté dans une camisole de force. Je ne vois pas très bien comment ils pourraient nous démontrer qu’ils sont, eux aussi, très intelligents ? A part, peut-être, accomplir devant nos yeux des exhibitions acrobatiques époustouflantes démontrant leurs capacités cognitives à exploiter, aussi bien que faire se peut, les possibilités de leur corps.
  16. « Intelligence animale et humaine » La différence principale entre l’Homme et les autres espèces animales ne se situe pas, réellement, au niveau de l’intelligence mais à celui de l’interface mécanique qui permet grâce à l’intelligence d’agir efficacement sur l’environnement pour l’adapter, autant que faire se peut, aux besoins de son espèce. Seul, l’Homme possède une interface mécanique, composée de bras avec leur main, suffisamment sophistiquée pour lui permettre, contrairement aux autres espèces, d’utiliser son intelligence, non seulement pour agir sur son environnement pour l’adapter, autant que faire se peut, à ses besoins mais aussi à créer des objets d’une technologie de plus en plus complexe qui lui simplifient la vie quotidienne et le distraient. C’est cette capacité que n’ont pas les autres espèces (ou alors beaucoup moins développée) qui donne à l’Homme un avantage décisif dans la conquête de la Planète et lui donne l’illusion d’être beaucoup plus intelligent que les autres espèces qu’il ne l’est réellement.
  17. L’intelligence, à des degrés divers, est, selon moi, indispensable à tous les animaux. Car, face à une situation nouvelle, elle permet d’élaborer des stratégies, des comportements, etc. qui permettent de s’adapter, autant que faire ce peut, pour survivre et cela, dans un confort aussi grand que possible qui dépend de l’intelligence de chacun et de celle du groupe auquel il appartient.
  18. M’imposer de voter pour me demander de choisir entre la peste et le choléra… non merci ! L’organisation de notre Société est, selon moi, une chose bien trop sérieuse du fait de l’impact qu’elle a sur notre environnement et le devenir de notre espèce pour être confiée à de stupides humains imbus d’eux-mêmes et ivres de pouvoir.
  19. « La science est-elle incompatible avec la religion ? » Personnellement, j’émettrais de sérieuses réserves sur la puissance cognitive réelle d’un chercheur qui se dirait croyant en Dieu…
  20. « Preuve qu’il n’y a pas de dieu » Là où le croyant voit une volonté divine créatrice, moi je ne vois que réactions chimiques, auto-assemblages moléculaires, etc. Selon moi, notre génome s’est construit petit à petit à coups d’innombrables erreurs constitutives qui, pour la plus-part, lui ont été fatales car elles ne lui ont pas permis de construire une vie viable et autoreproductible. Par contre, quelques rares erreurs l’ont complexifié tout en lui permettant de survivre et donc de construire selon ses schémas une vie à l’architecture de plus en plus complexe pour en arriver jusqu’à ce que nous sommes nous.
  21. « Preuve qu’il n’y a pas de dieu » Personnellement, je vois que Dieu ne peut-être que le produit de l’imagination humaine, dans le fait que ce Dieu là nous rend responsable de nos comportements (le Paradis si nous nous comportons bien et l’Enfer dans le cas contraire). Or, dans l’absolu, nous ne pouvons pas être tenus pour responsables de nos comportements car, pour ce faire, il faudrait passer-outre les lois qui régissent l’Univers et donc être, en quelque sorte, nous-mêmes des dieux. Comme l’a déjà dit un certain Spinoza à son époque, la possession d’un Libre-arbitre ne peut être qu’illusoire.
  22. C’est grâce surtout à : « Cela lui a permis de se créer des outils toujours plus efficaces mais aussi d’accéder à l’écriture qui lui permet l’accumulation de connaissances qu’il peut ainsi transmettre aux futures générations mais aussi divulguer à ses contemporains où qu’ils soient sur la Planète. » Imaginez un instant que l’on remplace ces deux mains par l’équivalent de ses pieds (fini la dextérité manuelle)? Pensez-vous vraiment qu’il aurait acquis un volume de connaissances aussi important et en serait au niveau technologique actuel ?
  23. Je ne ressens aucune barrière dressée entre moi et une bonne partie des autres espèces animales. Je les considère comme des êtres vivants à part entière doués de sensibilité tout comme moi. La seule véritable supériorité que je reconnais à l’Homme sur les autres espèces animales est sa capacité à manipuler avec une grande dextérité les objets situés dans son environnement. Cela lui a permis de se créer des outils toujours plus efficaces mais aussi d’accéder à l’écriture qui lui permet l’accumulation de connaissances qu’il peut ainsi transmettre aux futures générations mais aussi divulguer à ses contemporains où qu’ils soient sur la Planète.
  24. nolibar

    Le besoin de croire

    Athée mais aussi peu instruit.
  25. nolibar

    Le besoin de croire

    Croire en l’existence de Dieu ou croire en l’existence de n’importe quoi d’autre parmi un nombre de possibilité limité que par notre capacité imaginative est exactement la même chose. C’est donc, selon moi, totalement irrationnel. J’en déduis donc, à tort ou à raison, que la croyance en l’existence de Dieu est inversement proportionnelle à la puissance cognitive réelle de l’individu et à sa capacité à contrôler ses émotions. Ce n’est, si cela peut en rassurer certains(es), que l’opinion d’un inculte !
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