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nolibar

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  1. Robot : « Machine, automate à l’aspect humain capable d’agir et de parler comme un être humain ». Cette définition, me semble-t-il, correspond bien à la réalité de ce qu’est vraiment l’Homme. La différence avec les robots qu’il construit c’est que lui, contrairement à ceux-ci, du moins pour le moment, est fait de chair, d’os, etc.et que les programmes qui l’animent s’appellent : instinct, pulsions, désirs, etc.et que donc, il obéit servilement aux lois de la Sélection Naturelle sans le moindre autocontrôle sur celles-ci. Et donc, son soi-disant Libre Arbitre c’est du « pipo ». Il n’a même pas la fierté (ou orgueil) de se révolter devant cet état de fait parce que, tout simplement, il n’est pas assez intelligent et donc est bien trop stupide pour en prendre conscience. Il se prétend supérieur aux autres espèces animales alors que dans la réalité, il n’est qu’un animal assez stupide pour provoquer lui-même son autodestruction, ce que d’ailleurs, il est entrain de faire actuellement (prolifération non contrôlée de son espèce ce qui provoque : la disparition d’autres espèces (manque d’espace vital), l’épuisement rapide des ressources non renouvelables, la pollution de l’environnement, etc.) Il serait judicieux, me semble-t-il, de se demander si les règles et lois de la Sélection Naturelle qui l’animent, et qui apparemment n’ont pas évoluées d’un iota depuis l’homme de Cro-Magnon, sont bien adaptées à son environnement actuel rendu extrêmement dangereux par les progrès fulgurants de ses Techno sciences ? Et plus particulièrement son besoin de domination qui lui impose d’écraser les faibles pour assurer sa suprématie sur les autres (conflits, guerres, etc.) ?
  2. Autant pour moi ! J’aurais dû libeller le titre plutôt ainsi : Pour une organisation plus rationnelle et pragmatique de la production des biens de consommation nécessaires à l’Humanité. Ce qui est sûr, c’est que la société dont je parle n’est pas faite pour ceux qui sont encore englués jusqu’au cou dans leurs pulsions et donc n’obéissent qu’aux règles et lois de la sélection naturelle comme c’est le cas chez les autres espèces animales.
  3. Ah oui ! Eh bien, j’en attends tout autant au niveau de l’organisation mondiale de l’Humanité. Cela m’éviterait d’avoir, de plus en plus souvent, l’impression d’être un extra-terrestre qui a atterri sur une planète de singes. Et sachez que l’intelligence, aussi élevée soit-elle, ne suffit pas si elle est seulement mise au service des pulsions animales plutôt qu’à celui de la raison. Elle ne fait que, dans le premier cas, rendre l’Homme encore plus dangereux en exacerbant encore d’avantage son animalité. Dans une Société civilisée digne de ce nom, il n’y a pas de passe-droit. Chacun(e) est employé(e) selon ses capacités intellectuelles et, si besoin, physiques.
  4. Aldous Huxley devait-être plutôt léger du côté neurones car apparemment il n’a pas imaginé ce que pourrait-être le comportement d’êtres supérieurement intelligents et dotés d’une forme de penser très évoluée. Par exemple : Accepteraient-ils de se laisser mener par le bout du nez, en esclaves dociles et bien obéissants, par leur instinct, pulsions et donc par les lois de la Sélection Naturelle comme c’est le cas actuellement pour l’être humain et les autres espèces animales ? J’en doute fortement ! Ils auraient compris depuis longtemps que cela serait bien trop dangereux pour le devenir de leur espèce, mais aussi pour la biodiversité qui rend leur environnement si attrayant et si agréable à contempler. Avec les moyens technologiques actuels de destruction massive, cela pourrait s’avérer tout aussi dangereux que de donner une boite d’allumettes à des singes en leur montrant comment les utiliser, ils auraient tôt fait de mettre le feu à la forêt qui les abrite.
  5. Parce que dans celle que je propose, il est question d’intelligence organisationnelle et donc d’optimisation des moyens pour être le plus efficace possible dans la production des biens de consommation nécessaires à tous et donc à chacun. Elle est pensée pour des êtres bien trop intelligents pour se résigner à passer plus de temps que nécessaire en corvées d’intendance.
  6. L’organisation d’environ 7 milliards d’individus, afin de produire les biens de consommation nécessaires à tous et donc à chacun, est une affaire bien trop sérieuse pour être confiée aux atermoiements du peuple et à l’avidité spéculative et dominatrice de quelques uns comme cela existe dans notre système Démocratique Représentatif par exemple. C’est un problème dont la résolution relève de l’intelligence organisationnelle et donc des plus intelligents d’entre tous, à la condition, bien sûr, qu’ils aient une forme de penser suffisamment évoluée pour être imperméables à l’attrait du pouvoir et posséder suffisamment d’empathie pour vouloir se rendre utiles à tous. Cela commence par un recensement des besoins, tant sur le plan de leurs diversité que l’exigence de qualité à obtenir pour chacun d’eux, les quantités, etc. Ensuite, il faut répondre de manière efficace à la question : Comment les produire de la façon la plus économique qu’il soit, tant sur le plan des énergies non renouvelables qu’humaine, les matériaux rares non renouvelables, en empiétant le moins possible sur notre environnement et en protégeant la biodiversité autant que faire se peut, etc. ? Puis, comment les mettre, de manière équitable, à la disposition de chacun ? Etc.
  7. Il faut reconnaitre que notre démocratie fait preuve d’une grande lucidité dans le choix des critères de sélection, pour désigner ceux qui, parmi nous, seront les plus aptes à nous gouverner ? (ironie) Voyez donc plutôt un exemple parmi d’autres : Notre démocratie a une fichue tendance, me semble-t-il, à évaluer les capacités à gouverner d’un individu à la force de son ambition à le faire. Donc, plus vos gènes vous inciteront à vous porter en avant poussé par un besoin impérieux de domination d’autrui et plus vous serez reconnu apte à diriger. Un besoin impérieux de domination, une ambition exacerbée de gouverner, serait-ce la preuve que la personne qui en est détentrice est forcément la plus intelligente, et donc celle qui possède l’esprit le plus rationnel, logique, le plus lucide, qui est capable d’empathie oui, mais pas trop, juste ce qu’il faut, qui a une haute conscience de ce qu’est la probité et qui en fait preuve chaque fois que cela s’avère nécessaire, etc. ? Franchement, j’en doute, et je trouve navrant cette expression d’une telle naïveté qui permet aux profiteurs, personnes sans scrupule, d’exploiter les pauvres gens. Parlons maintenant des libertés de choix que notre démocratie nous accorde si généreusement : Par exemple : le choix du président de la république qui est la personne sensée, me semble-t-il, être imprégnée et donc représentative, entre autres choses, de nos aspirations dans l’immédiat mais aussi celles concernant notre futur. Nous demande-t-on de le choisir parmi l’ensemble de la population (un choix qui serait, me semble-t-il, vraiment démocratique) ? Que nenni ! Mais, est-ce vraiment une personne que l’on nous demande de choisir ou le parti politique auquel elle appartient ? En réalité, notre liberté de choix est limitée à un choix restreint à quelque personnes qui nous sont imposées et qui sont représentatives des différents partis politiques. La réalité, selon moi, est que le régime qui nous gouverne n’est qu’un simulacre de démocratie, juste pour nous donner l’illusion que nous choisissons les règles et les lois qui nous gouvernent. …
  8. Chacun prend son plaisir où il le trouve !
  9. J’ai remarqué qu’à aucun moment il est mentionné le plaisir jouissif qu’apporte la détention de richesses, de la sensation de liberté, qu’a le capitaliste, dans l’impression qu’il a de la domination du monde, etc. Est-ce des plaisirs inavouables ?
  10. Le capitalisme est un monstre aveugle qui détruit sans état d’âme, au nom de toujours plus de profits, la biodiversité de notre Planète. Il scie impitoyablement la branche de vie sur laquelle l’Homme est assis. L’Homme, apparemment, n’est pas suffisamment intelligent pour se dépêtrer de ses pulsions afin de s’élever au-dessus de sa condition animale, pour mieux mesurer le bien fondé de ses comportements, afin d’évaluer les risques qu’ils peuvent engendrer pour les interdire ou y remédier si nécessaire.
  11. « Le système économique capitaliste. » Le capitalisme, selon moi, est un système économique pervers qui encourage et légitime l’expression des pulsions les plus animalesques de l’Homme telle que le besoin de domination et, pour le satisfaire, l’accumulation de capitaux et de biens immobiliers pour assoir sa suprématie sur autrui. C’est la course perpétuelle à la recherche de toujours plus de profit.
  12. Pour acheter des biens de consommation que l’on a produit avec l’ensemble de l’Humanité ? Il faudrait juste un moyen de contrôle interdisant les gaspillages préjudiciables à la bonne marche de l’organisation.
  13. Le système capitaliste est-il vraiment la panacée ? Il suffirait que de par le Monde, tout un chacun sache quelle tâche précise il doit accomplir chaque jour, à quel endroit et combien de temps et l’accomplisse, pour que l’ensemble de l’Humanité puisse produire les biens de consommation nécessaires à tous ses besoins. A la question : Avons-nous besoin pour cela d’utiliser un système de gestion capitaliste ? Je réponds : Pas du tout ! Il suffirait d’utiliser les technologies déjà à notre disposition et au besoin de les compléter (ordinateurs surpuissants, algorithmes d’intelligence artificielle, logiciels de gestion performants, etc.) et de nos plus brillants chercheurs, ingénieurs, etc. dans tous les domaines concernés pour que cela soit réalisable.
  14. Ah ! Et pourquoi faire ? C’est là où l’homme à forme de pensée évoluée, contrairement au vôtre n’obéissant qu’à ses pulsions, va réaliser qu’amasser de l’argent pour assouvir des besoins de domination n’est digne que de singes à peine dégrossis. Il refusera de se laisser mener par le bout du nez, sauf si absolue nécessité, par les lois de la sélection naturelle qui lui enjoignent de se comporter en dominant.
  15. Voudriez-vous dire que l’électroménager à qualité égale serait dix à quinze fois moins cher dans les pays émergents que chez nous, idem pour les voitures, les gadgets électroniques (ordinateurs, portables, etc.) et les médicaments ? Ah, ah, amusant ! Peut-être pas aussi naïf que vous voudriez bien me le faire accroire ?
  16. « Le capitalisme est un système de prod , de creation par accumulation pas une religion » Oh mais le capitalisme est parfaitement adapté à ceux qui n’obéissent qu’aux lois de la sélection naturelle et qui n’utilise leur intelligence que pour mieux optimiser l’expression de ces lois. Il est donc parfait pour l’homme qui n’est qu’animal, mais en aucune façon pour l’homme intelligent possédant une forme de pensée évoluée et qui obéit lui, avant tout et surtout, à sa raison. Il n’a donc pas pour religion le besoin de domination et le pouvoir de l’argent car, tout simplement à ses yeux, ces besoins sont non seulement obsolètes, au regard de notre environnement technologique actuel, mais aussi dangereux pour la pérennité de notre espèce et celle du reste de la biodiversité.
  17. « qui se plaint de ce vilain capitalisme et de cette méchante mondialisation qui fait décoller les pays pauvres » Ce gentil capitalisme, son bon cœur le perdra, c’est sûr ! Grace à lui le PIB des pays pauvre enfin s’améliore et les parents peuvent envoyer leurs enfants à l’école sauf, bien sûr, ceux travaillant comme des esclaves à fabriquer des produits vendus, en toute bonne foi, en France par exemple. Hein quoi ? Y a une mauvaise langue qui me susurre à l’oreille que ce n’est pas par philanthropie mais parce que, tout simplement, l’exploitation de la misère humaine peut rapporter gros. Permettre, par exemple, de faire fabriquer ses produits avec des coûts de production imbattables grâce à une main d’œuvre quasi gratuite au regard de celle, par exemple, œuvrant en France et une législation quasiment inexistante en ce qui concerne la protection des travailleurs. Franchement, je suis déçu ! Ma naïveté finira par me perdre…
  18. Du fait d’une concurrence économique féroce entre pays, même entre ceux appartenant à l’Union Européenne, mais cachée à la population afin de l’asservir plus facilement, les gouvernements des Etats font en sorte de mettre à la disposition du Patronat une main d’œuvre toujours plus taillable et corvéable et jetable comme un kleenex. Ceci, afin, pour obtenir un PIB acceptable ou de préférence le voir s’envoler, même aux dépens des autres pays de l’Union Européenne, d’abaisser toujours plus le prix de revient des produits fabriqués dans leurs usines, sans pour autant renoncer à leurs juteux bénéfices, et ainsi concurrencer, toujours d’avantage, les produits équivalents fabriqués dans les autres pays. Pour ce faire, les gouvernements des Etats font en sorte d’annihiler ou de donner la possibilité aux grands patrons d’entreprise, et autres, de contourner les règles et les lois protégeant la main d’œuvre, du patronat et de l’économie mondiale. Cette course à la baisse des coûts de production est préjudiciable au bien-être des salariés qui se voient toujours plus taillables et corvéables et licenciables au gré des sautes d’humeur de leur patron et des caprices de l’économie mondiale. Notre Société, au lieu d’évoluer vers toujours plus de bien-être de sa population, régresse au contraire en plongeant celle-ci dans un avenir incertain source, pour un grand nombre d’individus, de beaucoup de stress et de peur leur faisant renoncer à leur droit à la dignité pour se contenter de survivre au jour le jour.
  19. Décidément, il y aura toujours des mécontents ! Pourtant, on nous laisse le choix, parmi un petit groupe de possibles monarques qui nous sont imposés, de choisir celui qui nous gouvernera. Il en va de même pour choisir les seigneurs de sa cour. Et tout ce beau monde ne fait, après tout, que nous imposer ses quatre volontés au travers de règles et de lois qu’il édicte. Et malgré toutes ces libertés qu’ils daignent nous accorder, il y a encore des mauvaises langues pour affirmer que nous en sommes privés. J’hallucine ou quoi !
  20. Parce que notre Société est organisée par ses femmes et ses hommes dominants chez qui la pensée rationnelle est remplacée par un besoin viscéral de satisfaire des ambitions démesurées et notamment celle de domination d’autrui au nom des lois primaires de la Sélection Naturelle, mais en aucune façon au nom d’une raison intelligente et éclairée (qu’apparemment ils ne possèdent pas, car certainement trop englués dans leurs pulsions animales). Pour asservir autrui, ils se donnent mille et un moyens (règles, lois, langage mensonger donnant de faux espoirs, etc.) pour s’accaparer le produit de son travail et de bien d’autres choses encore. Ils s’empiffrent de la vie en ne laissant aux autres que les miettes de leurs festins. Ce sont des monstres d’égoïsme que l’homme sage devrait mettre hors d’état de nuire avant qu’ils ne transforment notre merveilleuse Planète en un véritable enfer.
  21. je parlais du politique en général...
  22. "Pourquoi tous nos systèmes politiques ont-ils échoués ?" Parce que ceux qui nous dirigent sont animés, surtout et avant tout, par une ambition personnelle démesurée et un besoin de domination d’autrui sans limite, et donc obéissent aux lois de la sélection naturelle inscrites dans nos gènes, comme chez n’importe quelle autre espèce animale, plutôt qu’à la raison. Ils mettent leur intelligence directement au service de la sélection naturelle pour que ses lois s’expriment dans toute leur rigueur au lieu de la mettre au service de la raison pour que, par son contrôle, ne laisser s’exprimer que celles qui sont utiles au bon épanouissement de l’Homme et inhiber celles qui pourraient mettre la pérennité de son espèce en danger.
  23. « … où est le vide juridique ? » Il réside dans le fait, selon moi, que le pauvre payé au SMIC et qui ne possède pas de fonds propres ou de garant se voit refuser un prêt immobilier. Cela l’oblige, pour se loger, à investir à perte en versant un loyer au lieu de l’utiliser pour le remboursement d’un prêt qui lui aurait permis d’acquérir le logement qu’il occupe. Chercher l’erreur ? Cela permet à certains plus aisés et obnubilés par l’enrichissement patrimonial, qui eux peuvent investir dans l’immobilier pour se constituer un juteux patrimoine, de pomper toujours plus d’argent aux pauvres et à ceux-ci, il ne leur reste plus que leurs yeux pour pleurer. Où est la moralité en cela ? Où est la protection des faibles dans une Société qui pourtant se prétend civilisé ?
  24. Ah oui ! Eh bien j’aimerais que l’on explique pourquoi la Mutuelle, qui a été capable d’engager 187K dans des travaux de rénovation d’un bien immobilier en valant 400K, a préféré louer ce bien et se faisant enrichir la compagne bien aimée de son Directeur général au lieu de l’acheter ou d’en acheter un similaire pour se constituer un capital de sécurité en biens immobiliers ? Cherchez les dindons de la farce ! C’est certainement légal, mais en aucune façon moral à moins, bien sûr, d’avoir un sens de la moralité situé juste au niveau du caniveau. Certaines canailles ou amoraux, si vous préférez, se cachent derrière la Loi, c’est bien pratique, pour se faire reconnaitre une moralité qu’ils ne possèdent pas. Pour ce qui est du vide juridique, je me donne un certain temps de réflexion mais je vous remercie de m’avoir posé cette question…
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