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Donc végetarien = integriste. Comme supporter=holligan, ou musulman=terroriste, ou curé=pédophile... etc...etc...

Le propre?

Etre végane et en même temps souhaiter ou se rejouir de la mort de quelqu'un est d'une stupidité sans nom. C'est exactement comme en ce qui concerne les religions. Certains adhèrent sans jamais rien y comprendre. Pour le coup moi qui suis végane je ressens un peu, et toutes proportions gardées, ce que doit ressentir une personne musulmane qui est assimilée à ces abrutis se reclamant de "leur" religion pour commettre des crimes.

Elle a ecrit un truc aussi con que detestable, mais quand même, on se calme, ils sont où les "Charlie" qui defendaient le droit de dire n'importe quelle connerie mechante au nom de notre liberté d'expression?

Et dans la mer, n'en parlons même pas...

Il suffit de s'arreter à chaque pont au bord des routes, et de regarder en dessous, pour se rendre compte que la crados attitude n'a pas de frontières. Sans compter les sacs Mac do et canettes jetés sur la route, c'est la mode ça en ce moment.

Dés fois on croit que ce sont des oeufs mais non, c'est un atterissage de houla-houla qui s'est mal terminé. Ok, je ressors...

Non mais c'est vrai quoi, pourquoi il a traversé la route ce poulet, ça ne vous interpelle pas? Bon, d'accord, le poulet y voit une route, y traverse, c'est une sorte de reflexe chez les gallinacés, mais dans gallinacé y-a assez. Et si ce poulet en avait assez? C'est ce que se demandait l'inspecteur Enrico cotte, ( quelqu'un avait appellé les poulets), qui commencait à se demander si cette route etait là tout à fait par hasard... à suivre.

Ah ben t'imites bien le paon dis donc,

Ben, c'est un oiseau grand à peu près comme ça, avec des petites ailes et des grosses couilles. C'est quand il atterrit qu'on entend son cri: " Houla! Houla! " . Ok , je sors...

Je vois bien, ou plutôt j'entends bien parfois un houla-houla mais il ne se laisse pas prendre en photo.

On a qu'à raconter pourquoi, à notre avis perso et intime, pourquoi le poulet a t-il traversé la route?

Dans l'autre sens c'est des sacs de pognon qu'on va deposer là bas.

Et quand le dindon de vers chez toi crie glouglouglou, a-t-il l’accent du coin?

Et à toi ça ferait du bien? Tu vivrais dans un monde plus juste?

Bonne idée.

Tes anges qui viennent t'annoncer le printemps?

On se partage le monde au lieu de partager, on ne sait pas bien partager.

C'est vrai qu'ils sont costauds les agneaux de nos jours:

C'est vrai. Mais la peur de la violence n'enlève pas le danger. Accepter de subir de la violence c'est l'autoriser. Qu'il faille à des personnes qui la subisse de l'aide est evident, à commencer par les aider à décider de ficher le camp au plus vite.

Oui bien sur. Mais la première gifle marque une étape de plus, elle n'arrive pas spontanement. On peut le tourner dans tous les sens, c'est une ligne rouge qui devrait marquer automatiquement la fin d'une relation en cas de transgression.

Oui, evidemment, j'entends apprendre à se parler au sens ecoute réciproque. On peut bien sur utiliser les mots pour faire mal, mais alors on est plus là à se parler, on attend pas de réponse dans ce cas là, c'est une sorte de monologue malveillant...

Apprendre à se parler. C'est au moment où s'arrête la parole qu'arrivent les coups. Ca a l'air bête dit comme ça, mais pourtant, combien de non dits, de pression gardée pour soi qui monte, de rancoeur accumulée. Tant qu'on s'envoie des paroles on a pas à s'envoyer des coups.

Je ne suis pas non-violent, je suis comme tout le monde. Ce que je m'efforce de faire et de dire, c'est que la seule voie qu'il faut s'efforcer de suivre tant que c'est possible, est celle de la non violence. C'est un travail sur soi de tous les jours, mais un travail payant que d'eviter au maximum de se laisser aller à sa propre violence. Tout le monde sait que la paix c'est mieux que la guerre, et pourtant... Cet autre monde, qui nous empêche de le construire?