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Vivolta

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Tout ce qui a été posté par Vivolta

  1. Vivolta

    Le cas Alain SORAL

    A part "les juifs" tout le monde se tamponne copieusement de "les juifs". Un individu doté d'une paire d'yeux en état de marche aurait observé que Savonarol ne parle pas des "juifs". Juste toi, et c'est une constante. Tu connais un synonyme pour "délire de persécutions" ? Ca ne veut rien dire ce mot. Comme tous les "ismes" modernes ils n'ont aucun adepte, aucun texte, aucun lieu, aucune référence. C'est une méthode sectaire pour embrouiller les adeptes, on invente un mot sans contenu et à force de le répéter les adeptes le remplissent d'eux-même. Par ce mot, toi grandfred tu désigne l'ennemi : ceux qui ne sont pas membres. Ce discours de lycéen n'est pas passionnant.
  2. Ouais, donc sinon au rayon des faits effectifs, il y a le fils de Joe Biden, Hunter Biden qui entre au conseil d'administration de burisma, l'entreprise gazière ukrainienne. Mais ceci n'est que pure coïncidence m'voyez. http://burisma.com/hunter-biden-joins-the-team-of-burisma-holdings/
  3. La violence est des deux natures, innée et culturelle. La violence culturelle répond à un système conçu fréquemment autour de l'honneur (duels à la française, "crimes d'honneur" à la turque, suicide à la japonaise, règlements de comptes entre gangs ...) mais pas exclusivement, on trouvera aussi d'autres motivations tels que les affrontements entre hooligans, baston de bars dans une optique plus récréative "entre hommes" qui sont un moyen "culturel" de faire jouer la relation de hiérarchie animale, nous ne sommes pas ici dans l'inné mais dans l'éduqué. On trouvera aussi la violence comme un genre de comportement normalisé de violence conjugale pour "cadres stressés" non assumée et avec excuses à deux balles. Ceci reste culturel même si d'autres facteurs entrent en jeu, à savoir l'activité trop stressante pour que l'humain qui la pratique reste sain d'esprit. Disons culturel directement et indirectement. Et on trouve la violence comme dernier recours pour l'individu acculé, en détresse. La réponse lorsque le dialogue, c'est à dire la capacité à s'exprimer a échoué. Les sociologues ont observé une corrélation entre la violence d'un individu et le nombre de mots qu'il compte à son vocabulaire, certaines racailles de banlieue comptent 300 à 500 mots seulement, ce qui est excessivement peu. Dès lors les limites de leur capacité à communiquer avec l'autre échouent rapidement, et le coup de poing fait office de mode d'expression de substitution. On retrouve d'ailleurs exactement le même comportement chez tous les animaux acculés, pas seulement les hommes. Lorsque la fuite est impossible et la menace patente, l'assaut reste parois la seule possibilité envisagée pour survivre. Elle s'exprime aussi avec la violence contre soi même c'est à dire l'auto-mutilation et la tentative de suicide.
  4. Mais c'est cohérent, simplement ce n'est pas ce que tu pense.
  5. Bien sur qu'il faut l'interdire, si cela peut emplir les caisses de l'état tous les moyens sont bons. Nous parlons bien de PV là, n'est-ce pas ? Puisque c'est la forme "mineure" de la maltraitance, laquelle est déjà punie des formes graves. La question qui se pose toutefois est de savoir si l'on peut déjà poursuivre les parents qui ont placé leurs enfants dans un établissement scolaire pour maltraitance, puisque chacun sait désormais que l'école n'est pas vraiment un lieu d'épanouissement. Voir ici. Je pense que le FMI pourrait valider ce plan : mettre des PV à tous les parents qui mettent leurs enfants à l'école.
  6. En l'occurrence si c'est exactement ce que je lis. Tu exprime l'idée de la nécessité d'un contrôle sur les pensées du public de peur que celui-ci ne soit libre. Je pourrais tenir compte des formulations qui semblent raisonnables et atténuantes, mais le cœur palpitant du message est qu’exercer sa liberté de penser est visiblement un risque trop grand pour être pris. Ce cadre est déjà posé. Il est même plus que posé. Plutôt que de vouloir le restreindre encore et encore et encore chaque jour un peu plus toute forme de liberté il suffit de rester vigilant dans le cadre des actes. La constitution telle qu'elle est n'a jamais été approuvée par les français donc il faudrait plutôt se calmer de ce côté là. Je suis vigilant à ce qu'on condamne les actes et pas les pensées parce que c'est n'importe quoi et que c'est précisément ça le pire. On n'a jamais vu de "société" interdire les idées, mais des régimes oui. L'idée est donc de ne pas donner le pouvoir à ces gens là. Je le pense uniquement parce que tu écris des choses qui le laissent entendre. "L'impunité de tout propos notamment raciste" suggère très fortement que de tels propos sont condamnables alors qu'ils ne sont même pas appréciables. Ou nuisibles. Doit-on de même interdire tous les propos "marxistes" ou "machistes" ? Seul l'accusateur public décide qui est "marxiste" ou "machiste" ça ne réfère à rien. On est là dans la pure interprétation et la guerre idéologique. Si l'on accepte ça, alors la justice fait de la politique, plus de la justice. Non je ne fais pas comme si les deux étaient équivalents, je traite le cas le pire l'autre étant déjà d'actualité. Ici pas mal de monde pense que je suis raciste, mais je m'en accommode. C'est débile et injuste, ils n'ont aucun élément pour étayer cette théorie. Mais je suis habitué, je fais comme si c'était normal d'être cerné de fous qui accusent de n'importe quoi sans raison. Jamais on ne songerait à sanctionner leurs diffamations. Par contre je n'aimerai pas finir au tribunal juste parce que des types ont une image erronée de moi, fondée sur rien, et pourtant ça semble en bonne voie. Par ailleurs il existe déjà cette loi dans un cas très précis, qui ne demande qu'à être élargi. J'ai eu connaissance d'un spectacle d'humour interdit préventivement, c'était dans ce pays, cette année. Oui nous pouvons craindre les excès en dénonciation et pas juste morales. Voila tout le problème de l'appréciation subjective. Il n'y a jamais eu d'époque moins raciste et on trouve quand même qu'il explose. Lorsque j'étais au collège on avait des histoires drôles, aujourd'hui on n'en a plus. Parce que les histoires drôles sont toutes racistes, sexistes, homophobes ou lèsent je ne sais quelle catégorie. Bref rire devient un interdit moral et on trouve encore qu'on n'a pas été assez loin. Un propos racistes aujourd'hui c'est "les arabes". Pas besoin de dire que tu veux les virer par charters. On viendra quand même t'expliquer que c'est dangereux, un stéréotype ou autre chose qu'il ne faut surtout pas dire. Non seulement vous ne désamorcez pas le racisme en faisant chier tout le monde, mais vous créez une gigantesque crispation y compris chez les non-racistes. Vous nous avez volé le rire bordel ! Tu crois qu'il va se passer quoi ensuite ? Les gens qui n'ont plus le droit de rire ne sont pas très marrants. Aux USA dire qu'un noir l'est n'est pas une insinuation raciste dissimulant d'odieuses pensées d'extermination dans des camps. Ils sont plus détendus du slip. J'observe que les gens justifient des comportements absolument scandaleux de manière asymétriques. Par exemple en considérant que je suis raciste, tu n'envisage pas de te sanctionner. Ça te parait parfaitement normal de me juger comme une pauvre merde qui doit rendre des comptes. Mais si moi je considérais que tu doive, que sais-je, rendre compte de ta négritude ? Ou de ta juiverie ? Trouverais-tu ça correct ? Ou bien insultant ? Est-ce que c'est correct de toiser les gens de cette façon avec les sous-entendus les plus odieux ? Voila tu viens de découvrir pourquoi je considère le contradicteur comme un enfoiré dominateur bourré de préjugés qui toise l'autre du haut de son arrogante bien-pensance : il l'est de manière institutionnelle. S'il ne l'est pas, ce qui je pense est ton cas, c'est parce que contrairement à l'ultra majorité il est bien élevé et ne croit pas qu'avoir la bonne pensée fait de lui un être supérieur. C'est plutôt rare.
  7. Dans le monde tel que je le vois, les appels à la haine quotidiens de Lycan77 seraient un délit.
  8. Absolument pas je cite une phrase dans laquelle tu justifie l'interdiction de "penser mal". Pas de "parler mal", mais de "penser mal". Et pour le simple citoyen que je suis cette perspective est terrifiante car nul ne contrôle ses pensées. Et si demain avec votre soutien dans le processus d'inquisition mentale la loi stipulait que penser que le nombre d'élèves par classe doit être de XX devenait illégal ? Si vous validez l'outil, vous validez aussi tous les usages ultérieurs qui en seront faits. C'est pourquoi je vos conjure de ne plus militer pour l'inquisition mentale. Ainsi que je l'ai expliqué, l'incitation à la haine -et donc à la violence- , la diffamation, l'appel au meurtre sont des délits objectifs avec des victimes. Ces délits peuvent parfaitement s'intégrer à un processus judiciaire normal et le sont déjà, il n'y a pas à revenir dessus. Par contre la traque délirante du "racisme" est et restera toujours de l'inquisition mentale, soit un processus sans aucune limite une fois validé. Et c'est pourquoi vous devez cesser de le valider, afin qu'il quitte le service. La loi n'est pas et ne peut pas être un régulateur des pensées des individus. Tu préconise ici de condamner non pas des comportements mais des pensées. Et la justice n'en a les moyens techniques ni afin d'évaluer si le délit est constitué, ni pour y mettre fin. Elle condamne donc par essence des innocents et ne met pas fin au délit qui n'est d'ailleurs pas constitué. C'est ça l'arbitraire total : Quand on fait n'importe quoi. Lorsque l'on préconise que : La société, en revanche, doit veiller à ce que ces clichés ne dérivent pas vers la réduction raciste. Ces arguments là peuvent très bien être retournés pour nourrir l'impunité de tout propos, notamment racistes." On parle bien de justice, et certainement pas de débat d'idées. Les stéréotypes non plus ne font pas débat, ils sont dans la tête des gens et ceux-ci les expriment ou ne les expriment pas. Personne n'a vocation à entrer dans le cerveau des gens avec son scalpel extraire les stéréotypes ne correspondant pas au standard établi par dieu sait quelle autorité des stéréotypes acceptables. Il n'y a ici ni échange, ni débat, ni confrontation idéologique, juste une intrusion pure et simple de la justice dans les pensées "impures" ou déclarées telles par un cahier des charges. Arbitraire. Je ne fais qu'un petit procès à la justice à l'heure actuelle, ce procès je le fais en amont à ceux qui, comme toi valident le processus d'inquisition mentale et expriment un soutien à un dispositif désastreux. Celui-ci se résume pour l'instant du point de vue légal à la loi sur le révisionnisme, dont je souhaite la suppression et non l'extension. J'ai exprimé une position claire, je suis contre les délits avec des victimes, c'est à dire l'incitation à la haine, et donc à la violence, car la haine = la violence et c'est pour cette raison que nous interdisons ces appels. Je suis contre la diffamation, et également les appels à la discrimination raciale pour quel que disposition pratique que ce soit, logement, emploi, tout ce qui serait injuste et constituerait des victimes. Ce n'est donc pas une liberté d'expression totale. C'est le principe de la liberté des uns qui s'arrête ou commence celle des autres. Et à ce titre si un groupe souhaitait exprimer une position en faveur de la pureté raciale par le mariage je ne saurai m'y opposer parce que personne n'est lésé. Mais surtout je m'oppose fermement à toute inquisition mentale de types avec des diplômes de sociologues qui viennent t'expliquer que dans ta tête il y a un dispositif qui fait que tu es un ennemi de la société et qu'on doit te réformer. La vraie pression réside dans tous les moralistes qui m'expliquent que je suis mauvais à longueur de journée parce que je ne pense pas comme eux et qui veulent me mettre une sonde dans la tête. Comme ils ne peuvent pas le faire de leur propre initiative, ils ont besoin que la loi valide leurs idées extrémistes et que des fonctionnaires fassent le sale boulot à leur place. Pour les combattre j'ai besoin de rallier les gens de bon sens capables de comprendre que l'inquisition mentale est un processus qui signe la fin de l'idéal démocratique au profit du totalitarisme. Dieu merci Roumanoff ne risque encore rien, mais la pression pour que ça change est forte. Il convient de s'y opposer si on attache encore un prix à la liberté.
  9. Non, je ne suis pas au courant. Dans mon esprit la loi est écrite par le législateur, on demande au public de l'appliquer et s'il ne s'exécute pas la justice le condamne. Nous parlons donc bel et bien de juger les pensées des gens et de les condamner s'ils ne pensent pas ce qu'il faut. Ça s'appelle donc "un procès d'intention" un "crime de la pensée" ou une "dissidence politique" comme tu préfère, reste qu'on punit par des moyens bien réels des choses relevant de la pensée dont le jugement objectif ou contradictoire sont totalement impossibles. En un mot on fait du procès en sorcellerie. Et je n'accepterai jamais ça, quels que soient les schémas de pensée raciste qu'on puisse détecter chez les gens, les bonnes intentions derrière l'idée de les changer ou le fait que les schémas soient objectivement corrects. Parce que c'est la signature du totalitarisme, de l'élimination des dissidents et parce que pour quelqu'un qui passe sa journée à nous expliquer que l'enfer est pavé de bonnes intentions je trouve que ce processus devrait te mettre en alerte. Et ces conneries étant déjà à l’œuvre aujourd'hui, je m'étonne que tu puisse penser que ce n'est pas ce que tu défends.
  10. Je réponds particulièrement à ces deux phrases : La société, en revanche, doit veiller à ce que ces clichés ne dérivent pas vers la réduction raciste. Ces arguments là peuvent très bien être retournés pour nourrir l'impunité de tout propos, notamment racistes. Comme tu vois il est question de rectifier les pensées déviantes au moyen d'une action de "la société". Comme tu le sais "la société" a pour moyen d'action la loi. Il s'agit donc de l'intrusion du législateur dans les pensées du public et de coercition exercée contre celui-ci s'il n'a pas l'heur de penser comme il faut. Tu te demande d'ou ça vient ? Je suggère que tu prenne des cours de lecture. Tu te demande quand ça cessera ? Quand tu aura compris que c'est ce que tu propose et cessé de voir ça comme une amélioration de l'humanité.
  11. L'histoire n'a pas retenu ta version : Les documents semblent impliquer également l'assistance de conseillers russes et indiquent que les snipers de la rue de l'Institut (Instytoutskaïa) appartenaient à des unités spéciales du ministère de l'Intérieur, dont une unité spéciale « Omega »86. Néanmoins, des écoutes entre le Premier ministre estonien Urmas Paet et la commissaire européenne Catherine Ashton indiquent que ces snipers auraient étés embauchés par les leaders de l'opposition et auraient tiré à la fois sur les manifestants et la police. http://fr.wikipedia.org/wiki/Euroma%C3%AFdan Bruxelles Paris Berlin. Une bande de brutes et de menteurs sans foi ni loi prêts à assassiner leurs amis pour un bon reportage à la télé. Souvenez vous en au moment de voter.
  12. Je parle de tous ceux qui, comme toi dans le message que je citais, valident la police de la pensée. Heureusement que la justice n'est pas encore au stade stalinien malgré vos constants encouragements. Mais on aura plus de chances de rester dans le domaine du réel si vous arrêtez de soutenir la justice de l'imaginaire. Qu'il y ait débat forcément, mais quelle est le cadre de ce débat, quelle est la limite ? Cette limite je la fixe aux actes parce que juger les pensées des gens est impossible techniquement et peu souhaitable si on ne souhaite pas l'arbitraire total. Si nous voulons une justice objective et un débat objectif, toute proportions gardées, ne condamnons pas ce qu'on imagine que les autres pensent. Quel que soit le débat ça dépasse forcément son cadre puisqu'il n'y a alors plus de débat, juste un accusateur public qui décrète les pensées justes et injustes, les pensées des uns et des autres en leur lieu et place, et qui sanctionne selon son bon vouloir. Tant que vous ne soutenez pas la police de la pensée. Alors ne le faites pas. Le gros problème est qu'on s'autorise une forme de lynchage médiatique basé sur la présomption de pensée. Qui décide qu'un propos est effectivement raciste ? Au nom de quoi exactement est-ce condamnable ? Étymologiquement le racisme est une doctrine politique basée sur la race, l'interprétation la plus évidente qu'on pourra en tirer est le suprématisme racial, c'est à dire qu'il y a une race au dessus des autres. Et bien il s'agit ici d'une pensée. Dès lors nous sommes incapables d'établir un fait quelconque ou une victime quelconque. Il ne s'agit pas d'incitation à commettre des délits, d'appel à la violence ou même à la haine - qui engendre la violence sans quoi ce délit n'aurait pas de raison d'être -. Il s'agit de "pensées pas glop". Super fondement juridique. Et qu'allons nous faire afin de réparer ce tort imaginaire ? Prendre de l'argent ? Incarcérer le malandrin ? C'est simplement impossible, ça ne fonctionne pas. Le seul moyen c'est de condamner les gens pour des actes. Insulte, diffamation là on est dans quelque chose de plus flagrant, les torts sont établis et il y a des moyens d'actions et de réparation qui seront justes pour tout le monde. La question a poser, la bonne n'est pas "suis-je pour le racisme ?" mais "suis-je pour la justice ?" Lorsque la justice fait correctement son travail, elle juge équitablement le raciste et le communiste, le maoiste et le raelien. La justice est aveugle bon sang ! Elle n'est pas censée prendre parti en fonction des croyances des uns et des autres.
  13. S'il y a un lampiste c'est que celui qui tombe n'est pas le responsable, c'est donc qu'il y a une responsabilité cachée aux évènements. A partir de là c'est plus obscur, je n'ai toujours pas bien compris comment mais évoquer une responsabilité occulte à quoi que ce soit vous conduit immédiatement à la case "vous niez les chambres à gaz" et ça je le sais d'expérience.
  14. L'usage du mot "lampiste" fait de vous tous des conspirationnistes. J'appelle immédiatement la LICRA afin qu'un recours en "haine antisémite" vous tombe au cul dans les 12 heures. :smile2:
  15. Vivolta

    Ce que soulève la jupe...

    On est tous curieux de savoir laquelle :smile2:
  16. Vivolta

    Ce que soulève la jupe...

    :smile2: :smile2: :smile2: Si tu le dis Exactement les lycéens sont des lycéens. J'ai moi-même participé a une "initiative 100% lycéenne" à l'époque ou j'y étais et on obéissait aux ordres d'un prof sans même savoir pour quelle cause on militait. Bon eux ont au moins ils savent que c'est contre le sexisme.
  17. Vivolta

    Ce que soulève la jupe...

    Ahahahah non mais "leur initiative" quoi :smile2:
  18. Il faut avoir la nationalité pour pouvoir voter. Par exemple aucun chinois n'a voté en Crimée.
  19. L'intrusion dans l'imaginaire des gens reste une option légitime. :dry: On en est constamment au stade ou vous défendez l'idée de police de la pensée, à un moment il faudra bien comprendre que vous finirez au goulag comme tout le monde tant que votre position consistera a dire qu'on a le droit -ou même le devoir- de changer les pensées de gens par la force. C'est la limite objective de l'exercice, soit on considère qu'on doit exterminer tous les salauds dont la pensée ne rejoint pas la notre, soit on continue sur un système qui se concentre sur les ACTES RÉELS ET QUANTIFIABLES. La police du réel ou la police de la pensée. Et une fois qu'on a fait ce choix L'ASSUMER. C'est à dire cesser d'attaquer tout le monde à l'aide des "droits de l'homme" lorsqu'on a décidé de les réduire en cendres. L'une des deux options consistant à tuer tout le monde à l'exemple des purges staliniennes, je choisis la seconde et je l'assume.
  20. Vivolta

    Ce que soulève la jupe...

    Bien sur c'est l'évidence même ^^ Dites voir vous êtes déjà allé dans une école ? Clémenceau c'est le lycée qui a toujours été à la pointe de la mode. Dans les année 80 tous les lycéens étaient habillés de longs manteaux noirs et arboraient un air dépressif inspiré de the Cure. Mais le temps ou ils étaient influencés c'est fini maintenant ils sont "indépendants" :D
  21. Erreur Johnny. Le monde entier constate les faits, les accents ne sont pas un système de croyance.
  22. Attends son prochain il se surpasse à chaque fois.
  23. Écoute si l'accent juif n'existe pas, l'accent camerounais dont se rend coupable Roumanoff non plus. C'est pourtant simple à comprendre. On peut dire n'importe quoi, mais de manière cohérente sinon le public ne pourra pas suivre. Comment je peux savoir qu'un accent juif est raciste donc nié tandis que l'accent camerounais est raciste donc exalté ? C'est n'importe quoi votre truc, faites une règle bien claire et quand on saura quelles parties de la réalité doivent être niées et lesquelles doivent nous pousser à l'hystérie... et bien publiez un manuel.
  24. Négation de l'existence d'une communauté juive : Comment cela nie-t-il l'existence d'une communauté juive me dira-tu ? Et bien en lui refusant des éléments d'identité collective par principe, quand bien même ils sont multi-documentés et qu'à part toi toute la terre le valide. (cf : le début de snatch, même en anglais les juifs ont un accent juif) Il te reste alors à nier l'accent marseillais, camerounais ou québecois selon le même principe. Et aboutir à la conclusion évidente : Roumanoff ne pouvait pas faire le mauvais accent car les accents ça n'existe pas. Donc elle n'est pas raciste. Merci.
  25. dixit le mec qui nie l'existence d'une communauté juive. http://www.jdate.fr/?scenario=JDFR%20BB%20Campaign%20Oct13&prm=89709&gclid=COagoJX6sL4CFaXHtAodEkAAHQ
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