Un soir, alors que Nasr Eddin le Hodja rentrait de la maison de thé, sur le seuil de sa demeure égard t-il l'anneau qu'il porte habituellement à son doigt.
Aussitôt, son compagnon du soir, s'accroupit dans l'obscurité, et cherche l'anneau évaporé. Le Hodja, lui, s'achemine au milieu de la chaussée baignée de la clarté de la lune.
Mais, pourquoi vas-tu là-bas alors que tu l'as perdu ici ?
Et bien écoute mon ami, si toi tu préfères chercher dans l'obscurité, moi ce sera dans la lumière...
Bonne science de la foi à tous.
Un Djinn tonique (pour le coup).