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Mite_Railleuse

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Tout ce qui a été posté par Mite_Railleuse

  1. Je viens de le commencer. Dès les premières pages, le désespoir, la désolation, le pire, suintent... La violence, le mépris des hommes pour qui les femmes sont des animaux. Ceux, qui perdent pied, infectés par la folie, l’obscurantisme des Talibans, des Mollahs. Et ceux, devenus indifférents, pour pouvoir continuer à "vivre". Je ne saurais que trop en conseiller la lecture, aux grotesques indécents qui osent nous dire en dictature, ici, en France... Dans les ruines brûlantes de la cité millénaire de Kaboul, la mort rôde, un turban noir autour du crâne. Ici, une lapidation de femme, là des exécutions publiques, les Taliban veillent. La joie et le rire sont suspects. Atiq, le courageux moudjahid reconverti en geôlier, traîne sa peine. Le goût de vivre a également abandonné Mohsen, qui rêvait de modernité. Son épouse Zunaira, avocate, plus belle que le ciel, est désormais condamnée à l'obscurité grillagée du tchadri. Alors Kaboul, que la folie guette, n'a plus d'autres histoires à offrir que des tragédies. Le printemps des hirondelles semble bien loin encore...
  2. Pourquoi voudrait-on "salir" la mémoire de cet homme ! Dans quel but ?
  3. Dire d’une femme violée qu’elle l’a bien cherché, ce n’est pas se substituer à la justice. C’est porter un jugement induit par un biais cognitif. Un travestissement de la réalité.
  4. Il n’est pas question de passer pour une "méchante". Je ne le pense même pas. Je n’arrive juste pas à comprendre, accepter cette inversion des rôles. Une double peine pour les victimes et un blanc seing pour les agresseurs. C’est en tout cas ainsi que je le ressens, vraiment.
  5. Tu n’as pourtant évoqué que la mise en garde des filles. Fin bref...
  6. Oui bien sûr. C’est mieux de culpabiliser les filles, au lieu d’éduquer les garçons. Putain, on va galèrer encore longtemps...
  7. Et quand, même des femmes y adhérent, c’est affligeant. Et désespérant...
  8. Le déshonneur qui serait donc de l’entière responsabilité de la victime ?
  9. Quand on dit d’une femme violée, qu’elle l’a bien cherché, on appelle ça comment ? Et je réitère ma question : tu mets en garde ta fille, mais que dis-tu à l’agresseur ? Parce que si elle ne suit pas tes mises en garde et qu’il lui arrive quelque chose, implicitement c’est lui reconnaître une responsabilité. Alors qu’elle n’en a AUCUNE !
  10. J’ai édité, j’avais un peu zappé la fin de ton post...
  11. C’est terrible. Double peine...
  12. Ce n’était pas tellement ça mon propos. Le propos, c’était mon incompréhension devant l’inversion quasi systématique des rôles, dans certaines agressions. Edit : j’ai relu et j’avais occulté la fin de ton post... Toutes mes confuses. Je trouve ça très pertinent.
  13. J’ai cherché le sens de "insider", que je ne connais pas, mais je ne le comprends pas dans le contexte...
  14. C’est hyper violent je trouve ! Et bien dégueulasse...
  15. Et à l’agresseur, tu lui dirais quoi ?
  16. Une femme se fait violer dans une rue sombre, à une heure du matin... Passées les quelques marques d’indignation, d’empathie, inévitablement l’agresseur est complètement occulté, au détriment de la victime qui se retrouve en première ligne, en proie aux nauséabondes dégueulasseries d’usage : être à une heure du matin, seule dans les rues, elle l’a quand même un peu cherché - Si elle s’était habillée plus correctement, tout ça ne serait pas arrivé... Et autres joyeusetés du genre. Quel est ce mécanisme qui fait de la victime la seule responsable de son agression et qui donc, implicitement, dédouane de tout, son agresseur. J’ai beau tourner et retourner cette question dans ma tête, je ne comprends pas...
  17. Elles doivent vachement "s’amuser", celles qui l’accusent, avec tout ce qu’elles doivent se prendre dans la tronche...
  18. Il suffit de lire, ici, sur ce sujet, et d’autres concernant la même problématique, que ce "avant", est toujours bien présent. Hélas ! Et pour encore un bon bout de temps, j’en ai bien peur...
  19. Manifestement non. Mentalité de merde un jour, mentalité de merde toujours !
  20. Non. Mais entre voiture ou deux roues, quand on connaît le taux de mortalité des deux roues en général, et des jeunes en particulier, y a pas photo.
  21. L’un n’empêche pas l’autre. Et les victimes « d’hier », ne sont pas moins victimes que celles d’aujourd’hui. Y a rarement prescription quand on a subit quelque chose… Quelle leçon ?
  22. En tous cas il t’a liké ! Comment que t’as trop de la chance...
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